Brian est en Irak Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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- "Alors je te le demande! ...."

Je m'assis, glissais mes pieds dans mes sandales, me levais et nous partîmes sous les yeux concupiscents des spectateurs. Je suppose que ce que nous allions faire était évident pour tous, ou plutôt ce qu'ils al-laient me faire.

Nous nous sommes dirigés vers un autre appartement, mais une fois de plus je ne dépassais pas le salon.

Une fois entré, il m'intima :

- "A poil! ..." et il sortit sa grosse bite.

Il s'assit sur le sofa; écarta ses cuisses en grand, je savais ce qu'il voulait sans même qu'il le précise.

Je m'agenouillais entre ses cuisses et le suçais docilement.

Cela ne prit pas plus longtemps que Ted pour qu'il éjacule, mais il avait le foutre le plus acre que j'ai jamais goûté.

J'avais été suffisamment violée ces derniers jours pour avoir goûté à bien des types de sperme.

Je n'avais jamais eu envie de vomir comme avec le foutre de cet animal, c'était ignoble, horrible.

Je me débrouillais finalement pour tout avaler, je me relevais et me rha-billais rapidement, lorsque la porte s'ouvrit et qu'une demi-douzaine de jeunes gaillards se rua à l'intérieur.

Ils avaient apparemment discuté entre eux de la situation et décidés qu'il n'était pas utile que je me fasse un seul gars à la fois.

Je ne pourrai pas être de retour à la piscine dans les quinze minutes sui-vantes, mais il n'y avait moyen d'échapper à la volonté de ces 6 jeunes.

Personne ne me demanda quoi que ce soit cette fois.

Ils se déloquèrent aussi vite qu'ils le purent et je me retrouvais à genoux au milieu du salon avec une bite dans la chatte et une autre dans la bou-che pendant les minutes suivantes.

Ce fut une véritable corvée.

Aucun d'eux ne me baisa assez longtemps pour m'exciter, si tant et soit-il que je puisse être excitée en ces circonstances.

Ils riaient et plaisantaient à mon sujet alors qu'ils usaient de mes appâts.

Aucun préliminaires, ils me baisaient sans même me caresser.

Ils ignoraient mes nichons se contentant de me remplir la bouche et la chagatte, se relayant à chaque fois que l'un de mes trous se trouvait li-bre.

Il ne fallut pas beaucoup plus de 15 minutes pour que je revienne m'ins-taller sur mon transat au bord de la piscine.

Je les avais fait jouir tous les 8, mais je me sentais dégradée, dégoûtée, bien que ce ne soit rien en comparaison de la veille.

Je devais reconnaître que j'avais subi bien pire.

A mon retour sur ma chaise, Tom pointa du doigt sa montre et me lança un regard réprobateur. Je frémis et lui montrais 7 doigts levés, puis, je me rassis sur mon transat, il secoua la tête de gauche à droite, je com-pris qu'il voulait que j'aille me mouiller à nouveau.

Il y avait plus de monde maintenant, la plupart des chaises longues étaient prises, j'attirai l'attention de l'assistance alors que je me dirigeais vers la piscine dans ma tenue de pute et me ruais dans l'eau.

Une fois dans l'eau, je posais les mains le bord de la piscine appréciant l'eau fraîche qui coulait entre mes jambes.

Je cherchais à ne pas penser à ce qui se passerait lorsque je sortirai de l'onde. Tandis que je me relaxais une paire de copains noirs s'approchè-rent de moi et m'encadrèrent.

Ils semblaient eux aussi des lycéens, l'un d'eux me sourit et me dit :

- "Je n'ai pu m'empêcher de remarquer votre brassière lorsque vous déambuliez... Il faut beaucoup de courage pour porter ce type de tenue ici! ..... Où l'êtes-vous procurée? ...."

Je répondis qu'un ami me l'avait offert.

Le jeune gars sourit et répliqua :

- "Est-ce que vous le mettez uniquement pour faire plaisir à votre ami, ou le message est-il valable pour tous? ...."

- "Oh mon Dieu..." pensais-je " ça ne va pas être facile! ..."

Je répondis finalement :

- « Je peux m'absenter pendant un quart d'heure si vous disposez d'un logement proche..... »

Il jeta un oeil vers son ami avec un large sourire et répliqua :

- "Nous partageons cet appartement qui fait le coin....... Est-ce assez près? ...."

Je hochais affirmativement de la tête et décidais :

- "Alors, allons-y! ...."

Je traversais la piscine à sa suite et en travers je sentais le regard des spectateurs qui me voyaient quitter la piscine accompagnée de deux noirs et gagner leur appartement.

Dès que nous avo,ns quitté l'aire de la piscine ils posèrent leurs mains sur mes appâts.

Celui qui m'avait interpellé s'exclama :

- "Eh bien ma belle, tu ferais aussi bien de te promener nue! ..... Savais-tu que ton maillot devenait transparent au contact de l'eau? ...."

J'opinais de la tête.

- "Bordel t'es une vrai salope alors! ....." s'esclaffa-t-il médusé.

Je soupirais résignée et concédais :

- "Je le suis devenue! ...."

- "J'ai justement ce dont tu as besoin ma salope! .... Avec Nathan on va te donner la ration de bites noires que tu nécessites! ..... Et si tu n'en pas encore assez, j'appellerai des potes! ...."

- Je lui dis que je devais être de retour à la piscine dans 15 minutes.

Il grogna :

- "Bien, bien, bien....."

- Je m'arrêtais et repris :

- Non je dois impérativement être de retour d'ici un quart d'heure! ...."

Il me regarda en rigolant et reprit :

- "Qu'est-ce que c'est que cette histoire? ...."

Je lui donnais une version expurgée de mon histoire comme si je parlais à un gamin.

- "Je me comporte ainsi parce que j'ai perdu un pari! ..... Je dois suivre certaines règles... Je vous suivrai dans votre appart si tu me le demandes, mais je dois être de retour sur mon transat dans 15 minutes au plus! ..... Sinon j'aurai de gros ennuis...... Si je dois avoir des ennuis à cause de vous deux, autant que ce soit parce que j'aurai refusé de baiser avec vous....."

Il me rétorqua alors :

- "C'est bon pressons-nous dans ce cas! ....."

Nous avons gagné son appartement et juste avant qu'il ne ferme la porte je jetais un oeil et vis que je voyais distinctement ce qui se passait dans la piscine et tous ces gens qui stupéfaits me regardaient le suivre doci-lement dans son appart.

Il m'installa milieu de la salle de séjour.

Je suppose que personne dans le coin ne baisait dans un lit!

Je remarquais qu'il n'avait pas fermé la porte dans son dos.

Je ne dis rien cependant.

Qu'allait-il se passer à ce stade du jeu? .....

Je suivis ses instructions et enlevais mon minuscule bikini et je me dis-posais à quatre pattes alors qu'ils se déloquaient rapidement, l'un d'eux enfouit sa bite dans ma bouche, in autre dans ma chatte.

Cela semblait leur seule façon d'envisager les rapports sexuels.

Je remarquais cependant que certains stéréotypes ne se vérifiaient pas toujours, leurs bites étaient de dimensions forts différentes.

Celui qui se branlait dans ma bouche éjacula rapidement.

L'autre, celui qui m'avait "baratiné" prenait son temps, il utilisait ses mains pour me peloter puisque je ne me défendais pas, il réussit à éveil-ler mes sens.

Juste avant de jouir, il se mit à me claquer les fesses tout en m'agonisant d'injures.

Je ne sais pas ce qui me prit, mais, lorsqu'il empoigna fermement mes hanches plongeant profondément dans mon utérus, un orgasme inatten-du me terrassa et je jouis sauvagement.

Je grognais et gardais ma tête entre mes mains alors que sa bite s'amol-lissait en moi.

Il se retira finalement de ma féminité et je remontais sur mes genoux cherchant du regard mes vêtements.

Je réalisais soudain qu'ils étaient maintenant une demi-douzaine d'ado-lescents, garçons et filles, qui se tenaient à la porte d'entrée incrédule.

Je me remettais sur pied rapidement et me précipitais au dans les toilet-tes alors que les deux jeunes hommes qui venaient de me posséder éclataient de rire.

J'utilisais les toilettes pour m'essuyer et remettre mon bikini.

Ils m'attendaient à la porte et lorsque nous retournâmes à la piscine je leur demandais si l'un d'eux voulait bien étaler de la lotion solaire sur mon corps.

Ils étaient plus qu'enthousiastes pour se dévouer.

Je fixais mon regard sur Tom en me rasseyant sur mon transat.

Je n'avais pas le courage de regarder autour de moi.

Dès que je le lui eus demandé, le jeune gars qui avait marchandé avec moi, prit la lotion solaire et entreprit de m'en enduire le dos.

Ses mains, comme celles de ses prédécesseurs qui avaient oint mon corps d'huile solaire, passaient plus de temps dans mon minuscule bikini que sur mes chairs exposées au soleil.

Et ce fut pire encore lorsque je me tournais sur le dos, il déposa une mare d'huile sur mon ventre et il repoussa mon soutien-gorge révélant aux yeux de tous mon opulente poitrine, je tentais à plusieurs reprise de le rabattre, je lui demandais même de cesser son petit manège, mais il continuait imperturbablement à me triturer les miches en dépit de mes protestations.

Il invita un de ses copains à le rejoindre et lui passa l'ambre solaire, ce-lui-ci commença par oindre mes pieds et remonta lentement le long de mes jambes jusqu'à atteindre le fond de mon petit, petit bikini.

Je jetais un coup d'œil circulaire et vis qu'il y avait bien une douzaine de spectateurs assis autour de nous qui observaient attentivement ces jeu-nes hommes qui leur dévoilaient mes charmes les plus secrets, pour leur plus grand plaisir.

Finalement il me tendit le flacon d'huile et me remercia pour le bon temps que je venais de lui offrir, puis il repartit, suivi de son pote vers leurs chaises respectives.

C'était le premier des treize jeunes hommes qui venait de me baiser à se montrer poli et reconnaissant.

Aussi vite que je pensais cela, je m'insurgeais :

- "Mon Dieu! .... Déjà 13 hommes ont joui de mes charmes! .... Combien d'autres devrai-je encore satisfaire cet après midi? ...."

Je savais qu'il était temps de retourner plonger une tête dans la piscine et de ressortir pour parader avec mon maillot trempé sous les yeux des admirateurs qui nous entouraient, exposant par transparence ma cha-toune, mon cul et mes nibards comme si je me promenais nue parmi eux.

J'avais besoin de me relaxer encore quelques instants avant de m'exé-cuter.

Il n'était que 13 heures et quart de l'après midi et j'étais déjà éreintée.

J'étais assoiffée.

Je n'ai pas bu depuis le verre de bière qu'ils m'avaient offert lors de mon arrivée.

J'avais chaud et soif et dans la bouche le goût un puissant remugle de sperme, j'allais demander à Tom si je pouvais avoir u verre lorsqu'il ten-dit le doigt vers moi et me fit signe d'approcher.

Comme je m'approchais de lui, il fouilla dans son sac me tendit sa clef et m'ordonna :

- "Va nous chercher une bière! .... Puis tu reprendras lorsque tu au-ras éclusé la tienne..... Tu peux constater que je prends grand soin de ton bien-être ma chérie! ...."

Je ne lui dis pas ce que j'en pensais! ......

Je gagnais l'appartement de Tom et sortis 4 bières, je me reposais une bonne minute penchée sur le réfrigérateur je respirais profondément.

Je me battais pour refouler mes larmes avant de retourner les rejoindre.

Je n'osais pas flâner trop longtemps, je ne voulais pas donner à Tom une nouvelle raison de me tourmenter.

Je tendais les trois bières à mes trois tourmenteurs et regagnais mon siège ou je sirotais la mienne.

Je sais que lorsque j'aurai vidé ma canette je devrai retourner dans la piscine.

Je buvais à petites gorgées, m'efforçant d'estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, j'avais vidé la moitié de ma bière lorsque ces relents s'effacèrent.

J'avais quasiment vidé ma canette lorsqu'un homme me rejoignit et sans plus d'explication s'assit sur le coté de mon transat.

Il était plus vieux que l'aréopage qui m'entourait, je pense qu'il avait dans les 45 ans.

Il me sourit et me dit :

- "Cela fait un bon moment que je vous observe, je suis fasciné... Vous êtes jeune, ravissante, sexy et vous baisez avec tous ceux qui vous le demandent... Et cela ne semble pas va réjouir! .... Je suis vraiment curieux de savoir ce qui se passe! ...."

Je lui ressortis la même histoire que j'avais servie aux autres, il me dit alors :

- "Je reste sceptique, mais je trouve l'opportunité de vous baiser ir-résistible! ..... Voulez-vous me suivre dans mon appartement! ...."

Je lui répondis que je pouvais le suivre dans son appartement, mais que je devais être de retour dans 15 minutes.

Il me dit alors que c'était une honte, il aurait voulu prendre son temps pour me cajoler.

Je lui dis juste que c'était la règle que je devais observer, il se leva et me tendit la main.

Je pris sa main et il m'aida à le relever à mon tour, puis nous sommes partis vers son appartement.

Contrairement à ces jeunes gens qui 'avaient possédé auparavant il m'emmena dans sa chambre et me prit au creux de son lit. Il me regar-dait avec une sorte de révérence. Il était doux et gentil, il s'allongea à mon coté et me caressa lentement m'excitant de telle façon que lorsque je me tournais pour l'accueillir, j'étais fin prête.

C'était la première fois qu'on me faisait l'amour depuis que Brian était parti, même si c'était contre mon gré je m'en réjouissais.

Peut-être bien que c'était uniquement parce qu'il ne me traitait pas comme un morceau de viande à utiliser pour prendre son pied! .....

Ses mains exploraient mes charmes, éveillant mes sens alors que je m'échauffais. Il m'embrassait avec passion bien qu'il m'ait vu quitter la piscine pour suivre tous ces hommes.

Il était vraiment un bon amant et à ma grande surprise je sentais un or-gasme fracassant monter dans mes reins et je jouis de tous mes mem-bres avant que lui-même ne jouisse. J'essayais de ne pas le montrer, j'étais presque gênée, pourtant il savait que j'avais joui de tous les pores de ma peau.

Lorsqu'il eut giclé dans mon ventre il resta allongé sur moi et me sourit me disant :

- "C'était vraiment formidable! ..... Tu ne sembles pourtant pas être le genre de fille qui se livre à ces actes lascifs, même pour éponger une dette... Me cacherais-tu quelque chose? ...... Si tu as des ennuis je suis prêt à te venir en aide! ...."

Je lui souris, c'était vraiment gentil de me proposer son aide, mais je sa-vais que personne ne pouvait m'aider, je ne pouvais que supporter mon sort.

Je le remerciais et lui répondit que j'appréciais son offre et que j'en étais très touchés.

Je n'ajoutais rien à ces mots.

Je ne pensais pas que quiconque puisse m'aider, mon problème majeur était ce DVD qu'ils pouvaient envoyer à n'importe qui.

Il extraya finalement sa bite amollie de sa chatte, je gagnais la salle de bain la salle et me nettoyais prestement.

Je le rejoignis, enfilais de nouveau mon micro bikini et le remerciais de s'être montré aussi gentil avec moi puis sous sommes retournés à la pis-cine.

Il m'accompagna jusqu'à mon transat, j'allais m'asseoir lorsque je vis Tom et ses deux amis se lever, et m'appeler d'un signe de tête, je m'ap-prochais pour voir ce qu'ils voulaient.

- "On s'est assez amusé pour cette matinée, allez on s'en va main-tenant! ......"

Nous retournâmes dans l'appartement de Tom et les 45 minutes suivan-tes je les passais avec chacun d'eux, tour à tour sous la douche. Je dus les savonner et les rincer à chacun leur tour. Puis je pus me laver moi-même.

Lorsque je sortis de la douche, ils s'étaient rhabillés, je remis mon pagne et la première brassière que Tom m'avait achetée.

C'était ce tout petit maillot sur lequel était inscrit : "Baisez-moi".

Avant que nous quittions l'appartement, Tom me menotta les poignets. J'avais de mauvais pressentiments.

Ce qui était arrivé la veille avait été incroyablement pénible et humiliant, j'avais espéré que ce ne serait qu'un épisode malheureux, que désormais ils me baiseraient me rebaiseraient et m'humilieraient selon leur bon plaisir avant que je ne retourne chez moi, mais visiblement ce n'était pas leur intention.

On gagna la voiture de Tom, cette fois je dus m'asseoir sur le siège pas-sager.

Tom démarra, et avant de quitter le parking il releva mon maillot au-dessus de mes nibards les offrant aux regards.

Une fois de plus j'étais heureuse que mes lunettes soient teintées ce qui me cachait des passants.

Aussi idiot que cela puisse paraître, je me réjouissais que tous ceux qui me voient me balader les seins à l'air ne puissent voir mes yeux.

Et il y avait beaucoup de gens qui me reluquaient.

Tom conduisait lentement, il nous emmena dan su petit restaurant le long de la rivière, pendant tout le chemin des dizaines de piétons, ou de conducteurs dans leurs véhicules pouvaient détailler mes charmes mammaires exposés de façon provocante.

Tom se gara devant le restaurant, il m'ouvrit la portière, m'aida à des-cendre et rabattit le top sur ma poitrine.

Nous sommes entrés dans le restaurant et l'avons traversé pour nous installer à une table le long de la rivière.

C'était un bel après-midi, une légère brise ridait les eaux, mon pagne vo-letait au gré du vent exposant mes charmes les plus secrets, les personnes que l'on croisaient s'immobilisaient pour mieux inventorier mes appâts.

Je ne pouvais rien faire pour me préserver de leurs regards, mes mains étaient toujours menottées dans mon dos.

J'étais sur d'être devenue le centre des conversations, bien sur j'étais la seule de toute l'assistance à arborer des menottes en cuir.

Pourtant cela empira encore.

Comme nous nous dirigions vers notre table, je sentis que ma brassière remontait et, en m'asseyant, je vis que mes tétons étaient clairement ex-posés aux regards de tous, alors que le bout de tissu censé couvrir mon pubis glissait sur le coté exposant mes charmes intimes de la taille aux pieds.

Je suppliais Tom de m'ôter mes menottes où tout au moins de rectifier ma tenue, mais il me sourit et me prévint :

- "Tais-toi stupide petite salope, si je voulais que tu sois décente je ne te ferai pas mettre cette tenue putassière! ....."

Tous les consommateurs avaient les yeux rivés sur moi maintenant, seuls les plus proches détailler ma chatoune.

A quoi pensais-je donc? ....

Comment pouvais-je dire que seuls une douzaine de personnes jouis-saient de la vue de ma foufoune? .....

Cependant tout le monde se rendait compte que je portais une tenue mi-nimum et que la moitié de mes nibards étaient découverts.

Je restais aussi calme que possible et respirais lentement espérant évi-ter ainsi que mon top ne remonte encore.

J'espérais ardemment que notre serveuse arriverait et que je pourrais lui demander de réajuster ma tenue.

Il n'y avait aucune chance que cela arrive.

Il ne s'agissait pas d'une serveuse mais d'un jeune serveur qui appréciait ma tenue tout autant que les autres consommateurs et qui me sourit tandis que je voyais sa bite se déployer comme un mas de tente alors qu'il prenait la commande de Tom et ses deux amis.

Lorsqu'ils eurent tous commandés, le serveur se tourna vers moi, je re-gardais Tom et lui dis :

- "Je ne peux pas manger ainsi! ...."

Il me répondit :

- "Commande, je te les enlèverai lorsque les plats arriveront! ...."

Je n'avais pas très faim.

C'est difficile d'avoir faim lorsqu'on se sent dégradée.

Pourtant l'odeur de nourriture me chatouillait les narines.

Aussi demandais-je un sandwich et un coca light.

J'entendais les conversations reprendre autour de nous.

Je suis à peu prêt certaine que le sujet de leurs échanges avait changé, je sentais toujours les yeux rivés sur mes charmes, les choses empirèrent à nouveau, je sentis un de mes nibards sur le point de s'extraire totalement de mon top pour prendre l'air.

A chaque respiration les choses empiraient.

Je signalais à Tom qu'un de mes nichons serait bientôt totalement libre, il me sourit et commenta :

- "Y-t-il des plaintes? ..... Si oui je dois y faire attention! ...."

Dans les secondes qui suivirent mon premier nibard puis l'autre jouèrent les filles de l'air, les trois copains se sourirent entre eux et m'ignorèrent discutant de la façon d'opérer pour négocier le DVD qu'ils avaient tourné ce week-end.

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