CFNM à l'université Chapitre 08

BÊTA PUBLIQUE

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— Ce n'est pas vrai, me défends-je.

— Soit, ce n'est pas vrai, mais il n'y a que toi qui nous plaises ici. Allez, va chez ma sœur.

Je sors dans le couloir et elle ferme sa porte. Je vais jusqu'à celle de ma chambre quelques mètres plus loin, et au moment où j'allais entrer, je me rétracte. Je vais oser aller tout nu chez Marie-Dominique.

Journal de Stéphanie.

Marie-Dominique et moi étions occupées de parler d'Arno dans sa chambre.

— Il était derrière la porte. C'était marrant. Et si excitant.

— Il faudra attendre demain. Il est tard.

— Virginie a eu de la chance, elle l'a bien mené à la baguette, il était complètement perdu.

— Oui, et toi aussi tu l'as bien eu avec ta brosse.

— J'ai dû me faire violence, j'avais son beau sexe sur les seins, si je bougeais un peu, je pouvais le prendre en bouche. Il tient bien le coup.

On a frappé à la porte. Marie-Dominique s'est levée et est allée ouvrir. Et je me suis vite cachée derrière la porte, c'était Arno. Et il était tout nu.

— Arno? Que fais-tu ici? S'est étonnée franchement mon amie.

— Euh... Je viens te rendre ton rouge-à-lèvre, celui que tu avais prêté à ta sœur.

— Ah oui. Euh, merci.

Elle lui a pris le bâton. Je lui ai indiqué de l'emmener au living. Elle a compris et l'a poussé tout en avançant dans le couloir.

— Allons au salon, j'ai envie d'un verre d'eau et tu vas le servir.

Elle l'a poussé vers le salon. J'ai vu les portes de Sandrine et Annick s'ouvrir.

— Cela commence à bien faire, Annick a chuchoté, cela fait des heures que vous vous amusez et nous sommes calées dans nos chambres.

— Viens voir le spectacle.

— Nous aimerions aussi nous amuser avec lui, Sandrine a ajouté.

— Ce sera votre tour, et il est un peu plus habitué, nous ne nous attendions pas du tout à ce qu'il reste nu ce soir. Je suis désolée, vous aurez votre tour.

— Nous ne sommes pas fâchées, mais très jalouses. Allons voir le spectacle.

Nous nous sommes postées derrière la porte ouverte. L'autre était ouverte également et Virginie m'a fait signe. Marie-Dominique était debout dans le salon.

— Tu es si gentil, tu m'as apporté mon rouge. Il ne fallait pas.

Elle jubilait.

— J'ai envie d'un verre d'eau, tu peux me l'apporter. Et aussi, si tu veux aider, fais le correctement, regarde, il y a encore des tasses.

— Oui Marie-Dominique, il a répondu.

Il est allé chercher un verre d'eau, puis il a rangé ce qui trainait encore. Le salon n'avait jamais été aussi rangé.

— J'aime quand tu me coiffes. Tu le referas encore?

— Oui, comme tu veux.

— Merci, cela m'aide beaucoup, tu sais quand tu t'occupes de mes cheveux, cela me détend, et je travaille mieux. Alors, j'aimerais que tu m'aides beaucoup.

— Demande-moi tout ce que tu veux, il lui a dit assez sincère.

Il était venu tout nu, il osait enfin. Je me demandais si je ne devais pas apparaitre, mais il fallait que ce soit un jeu plus long. Au moins, il ne pouvait nier qu'il était ravi de la situation.

— Bon, je vais aller me coucher, elle lui a dit. Merci pour le verre d'eau.

— Bonne nuit, il lui a répondu.

— Si tu veux, tu peux m'accompagner jusqu'à ma chambre.

— Oui, d'accord.

Nous sommes vite allées nous cacher dans la chambre d'Annick pour les voir passer. Marie-Dominique l'a fait entrer et a laissé la porte ouverte.

Récit d'Arno.

J'entre dans la chambre. Je suis assez fébrile, j'ai osé venir nu frapper à sa porte, mais maintenant, je ne sais plus quoi faire. Elle m'a joué un bon tour avec son peignoir ouvert, je n'arrête pas de penser à ce moment, et je veux le revivre. Je suis fou, je ne pense pas correctement. Que viens-je faire ici? Et quelles conséquences si jamais on me voit nu dans la chambre?

— Assieds-toi, me dit-elle.

Dès que je suis assis, elle vient contre moi.

— J'aime que tu sois avec moi, et toi?

— Moi aussi, murmuré-je.

— Il faudra passer plus de temps ensemble. Mais tu es toujours dehors.

— Moi?

— Oui, avec tes amies, et tes associations.

— Non, me défends-je. Enfin depuis un mois, je suis souvent ici. Comme je l'ai dit à Stéphanie, vous n'avez pas voulu on aide. Alors, je passe mon temps. Je veux voyager. Je pense que la semaine prochaine, j'irais bien visiter Prague.

— Oh non, je veux que tu restes avec nous. Tu sais, en juin c'est terminé.

— C'est toi qui le dis, nous nous verrons encore, le loft est grand. Tu peux habiter près de chez nous.

— Vrai? Tu voudras continuer à me voir?

Elle se jette dans mes bras et m'embrasse fougueusement. Cette fois, son peignoir ne s'ouvre pas. Mais son baiser est long, et je n'ose arrêter. Je vais devoir avouer cela à Stéphanie.

— Merci, tu es formidable. Demain, je dois partir toute la journée. Mais en soirée, j'aimerais que nous parlions. Tu pourras venir dans ma chambre? Et en même temps, tu pourras la ranger.

— Oui d'accord.

— Tu es si gentil. J'aime quand tu m'aides ainsi. Tu pourras aussi faire mes corvées?

— Lesquelles?

— Tu sais, chacune doit s'occuper à tour de rôle de la salle de bains et du rangement. Tu devrais le faire pour moi.

— Oui d'accord. Je ferai tout ce que tu veux.

— Tout?

— Oui

— Je peux vraiment tout te demander?

— Oui.

Elle m'embrasse et me pousse sur le lit avant de se coucher sur moi. Je m'aperçois que la porte est ouverte. Je jurerais avoir vu un visage.

— Ta porte est ouverte, m'inquiété-je. On va nous voir.

— Et alors? Nous ne faisons rien de mal.

— Je vais y aller, mendié-je. Il vaut mieux que j'aille dormir.

— Soit, souri-t-elle, tu as encore peur de moi. Ce n'est pas grave. Un jour, tu seras à l'aise avec moi.

Elle se relève et me laisse me lever.

— En attendant, retire mes pantoufles!

Elle semble un peu fâchée. Je m'agenouille face à elle et retire délicatement les pantoufle qui ne tiennent même pas à ses pieds.

— Bonne nuit, me dit-elle avant de m'embrasser et de coller son pubis au mien. A demain!

Groggy, je sors de sa chambre et elle ferme derrière moi. Pendant un moment, je ferme les yeux. Quelle soirée! Dire que je voulais entrer nu au salon! Suis-je fou? Je viens de passer encore six heures nu un peu partout.

Je retourne lentement vers mon couloir, et après avoir éteint partout, je me glisse dans ma chambre. Stéphanie m'attend, assise sur le lit.

— Dis-donc, cela fait longtemps que je t'attends. Où étais-tu passé?

— Euh... J'ai aidé Virginie et...

— Cela fait deux heures. Tu es tout nu dans cet appartement depuis plus de six heures. Qu'as-tu fait?

Je me sens un peu désemparé, Stéphanie semble fâchée.

— Il m'est arrivé une drôle d'aventure. Marie-Dominique a pris un bain et elle m'a demandé de lui peigner les cheveux. Puis, Anne-Sophie a demandé la même chose. J'étais dans sa chambre, et sa sœur est venue lui demander son rouge. Anne-Sophie m'a ensuite demandé d'aller le lui rapporter.

— Et tu y es allé tout nu?

Journal de Stéphanie.

Il était fort troublé.

— Ne sois pas embarrassé, je suis ravie. J'aimerais que tu sois plus souvent nu.

— Oui, mais...Les filles ne me disent rien, elles semblent trouver cela normal. J'étais nu dans la chambre de Virginie, elle n'a rien dit.

— Et que veux-tu qu'elle te dise?

— Je ne sais pas. Elle pourrait me dire d'aller m'habiller.

— Pourquoi? Elles adorent que tu restes nu, elles ne sont pas connes.

— Elles m'embrassent, me pressent contre elles. Je suis nu, et même habillé, ce n'est pas normal.

— Allons, je suis d'accord. J'ai toute confiance en nos amies. Même si elles t'embrassent, elles ne passeront pas la limite. Je les aime, et elles adorent te voir nu. Elles en profitent.

— Oui, heureusement, c'est encore limité, Annick et Sandrine ne sont pas au courant.

— En tout cas, elles sont discrètes, Virginie et Marie-Dominique ne m'ont rien dit.

Je mentais... pour la bonne cause, pour le rassurer.

— En tout, cas, tu sembles apprécier, tu es en constante érection. J'aime.

Je lui ai pris son sexe en main, il a failli tomber.

— Tu sembles très émotif.

Je l'ai approché et j'ai embrassé le bout. Il n'en pouvait plus.

— Et bien? Tu ne veux pas?

— Je bande à cause d'autre chose, il a dit, c'est mal.

— Tu m'as déjà expliqué le fonctionnement. Et il n'y a que moi qui en profite!

J'ai encore embrassé son sexe. Il était fou de plaisir. Je l'ai serré et tiré sur le lit, puis je l'ai chevauché comme une amazone. Ma position favorite.

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Anonymous
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2 Commentaires
OmegaNuOmegaNuil y a environ 6 ansAuteur

Oui, le chapitre 7 es prévu pour le 11/3, je ne sais pas pourquoi ils ne l'ont pas publié.

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
il manque un chapitre

où est passé le chapitre 7 car on passe du chapitre 6 au chapitre 8

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