De la Chimie des Corps Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Il n'avait pas beaucoup avancé lorsque les deux jeunes femmes sortirent de la chambre de repos mais le mûrisseur avait terminé sa tâche. Il expliqua à Anne-Sophie la teneur de son nouveau projet puis décida d'aller porter les nouveaux diffuseurs dans la salle de contrôle. Accompagné de Carmen, redevenue l'impassible caporal Gomez malgré de solides cernes sous les yeux, il retrouva le Colonel Perrin qui regardait avec attention la scène qui se déroulait dans une cellule que Walter n'avait pas encore vue jusqu'à présent.

Deux femmes presque nues y étaient attachées au mur et se contorsionnaient en regardant Matthew et Votsörr se faire prendre en levrette par les gardes qui faisaient la file derrière les deux militaires. Les deux captives n'étaient vêtues que de leur voile et d'une culotte qui semblait bien humide dans la lumière crue des projecteurs. Quelqu'un avait dû avoir une nouvelle idée car leurs mamelons étaient hérissés d'aiguilles d'acupuncture . Walter n'avait aucune connaissance dans ce domaine mais cela ne semblait en tout cas pas leur enlever une once de plaisir, que du contraire.

« Attendons que Matthew et Votsörr en aient terminé avant d'essayer la version 'L' « dit le colonel « mais j'aurais besoin de vous emprunter Gomez pour patienter, Major »

« Volontiers mon Colonel mais je souffre moi-même d'un certain inconfort. Si cela ne vous ennuie pas de partager ses faveurs ... »

« Je vous laisse sa bouche ; cela fait trop longtemps que je n'ai pas honoré son délicieux cul »

Aux premiers mots du Colonel, Gomez avait déjà laissé tomber son pantalon sous lequel elle ne portait plus de slip et s'agenouilla devant le colonel pour sortir sa verge qu'elle enduisit de lubrifiant qu'elle gardait en réserve dans un holster puis elle se tourna vers Walter et ouvrit sa braguette pour en sortir sa verge roide qu'elle enfourna avec professionnalisme tandis que le Colonel s'agenouillait derrière elle.

Il embrocha le caporal sans difficulté et commença immédiatement à se mouvoir en elle tout en s'adressant à Walter qui, lui, se laissait sucer par l'experte soldate.

« A propos Major, votre femme est ... han ... une redoutable négociatrice! .. han... J'ai été obligé de .. han .. remonter vos royalties à 25%.. humpf.. et de vous accorder deux ... han ... jours de travail à domicile... humpf ... pendant le week-end ... humpf ... du moins tant que .. aah ... votre progéniture ... humpf ... serait en bas-âge .. aah ... Gomez ma chère... je vais.. han... bientôt ... humpf ... jouir ... AAAAHHH! Bon sang .. humpf ... j'en avais .. humpf .. besoin! »

« Allez-y mon Colonel .. Aah, je sens votre semence dans mon petit cul ... Merci mon Colonel! »

« Caporal » dit Walter, « pourrais-je à mon tour me soulager de la même façon? »

« Certainement Major, dès que je vous aurai préparé »

Le tube de lubrifiant refit son apparition et avant peu, Walter la sodomisait à son tour, reconnaissant que l'anus du caporal était sans doute le plus accueillant et le plus confortable de tous ceux qu'il avait perforé jusqu'à maintenant. Elle geignait doucement en se caressant le clitoris. Le colonel , lui , continuait ses explications.

« Elle a aussi exigé que Toussaint soit confirmé dans ses fonctions, ce qui nous a obligé à le chercher jusque dans la chambre de votre infirmière où le spectacle était grandiose. Cela nous a mis dans un état indescriptible l'Hauptmann et moi mais la voiture était trop étroite pour nous pouvoir nous satisfaire, ce qui explique qu'elle a rejoint Matthew pour exciter nos prisonnières en me laissant ici à souffrir jusqu'à l'arrivée providentielle de Gomez! »

« AAAAHH! » Walter se vida les bourses au plus profond de l'accueillante cavité anale en imaginant Soise pourfendue par l'énorme sexe de Toussaint. Le caporal s'affaissa, le bassin agité de spasmes tandis qu'elle s'offrait un orgasme discret, le clitoris écrasé par ses doigts de fée ;

« Merci Gomez, je crois que Matthew et Votsörr en ont terminé, voulez-vous leur apporter les diffuseurs? »

Vingt minutes plus tard, Walter, l'esprit et le corps dégagé de toute pression génésique, observait les deux captives qui brutalisaient mutuellement le sexe de leur comparse en poussant des cris orgasmiques désespérés.

Le Colonel semblait avoir des réserves car il enculait maintenant son adjointe sous le regard envieux de Matthew qui espérait sans doute qu'il aurait assez d'énergie pour lui offrir son tour . Pendant ce temps, les deux filles de la cellule se 'fistaient' énergiquement en tête-bêche tout en écrasant les aiguilles d'acupuncture sur le ventre de leur partenaire de crime pour mieux les faire rentrer dans leurs mamelons qui laissaient perler quelques gouttes de sang. Lorsqu'elles montrèrent des signes de lassitude, Votsörr retourna dans la cellule pour leur remettre une dose de 'L' .

L'heure avançait et Walter retourna au labo où l'attendait Anne-Sophie assez contente d'elle-même

« Prof, je pense que vous avez cherché trop loin. Que diriez-vous d'une pilule de Tadalafil avec un bon cocktail vitaminé de A, B, D et E? »

« Cela vaut la peine d'être essayé ... Vous avez du Tadalafil quelque part en stock? A l'infirmerie peut-être? »

« Vous rigolez? Tous les mâles du complexe en ont dans leur tiroir! Ils reçoivent tous une dotation mensuelle ... Tenez : j'ai été chercher votre ration à l'intendance et voici mon cocktail vitaminé garanti sans danger! Dorénavant, je vous en donnerai tous les matins ...»

Walter but le cocktail et avala le comprimé.

« Cela fera de l'effet d'ici une heure » dit Anne-So.

« J'en ai pour deux heures route » dit Walter « Ce sera largement suffisant! Je retourne voir où cela en est avec notre échantillon 'L' et je rentre. Je vous revois demain matin Anne-Sophie!»

Dans la salle de contrôle, le Colonel avait repris son poste d'observation. Les deux prisonnières semblaient totalement épuisées mais n'en continuaient pas moins à se lécher et se caresser l'une l'autre . Un écran de télévision interne offrait un gros plan sur un sexe béant aux lèvres rouge vifs et tuméfiées. Le sergent Matthew joua avec un joystick pour agrandir encore l'image sur un clitoris boursoufflé, écarlate agressé par une langue de plus en plus maladroite.

Hauptmann Votsörr fit remarquer.

« Vous devriez changer de tenue Sergent, votre entrejambe est complètement trempée »

« La vôtre vaut à peine mieux, Ulla. Je suggère que vous enleviez vos treillis l'une comme l'autre jusqu'à la fin de l'opération » continua le colonel

Les deux femmes s'exécutèrent, dévoilant le sperme qui s'écoulait de leurs ouvertures anales te vaginales »

« Vous ne vous sentez pas plus à l'aise ainsi? »

« Oui mon Colonel » « Merci mon Colonel »

« Si vous retourniez maintenant toutes les deux dans la cellule de ces dames leur faire une petite démonstration? Elles semblent en panne d'inspiration et votre exemple ne pourrait que leur être bénéfique ... »

Les deux soldates se regardèrent et hochèrent la tête en souriant. Elles se dirigèrent vers la porte de la cellule tandis que Walter prenait congé de son supérieur.

« Colonel, je vous quitte pour aujourd'hui ; je reviendrai demain matin mais ensuite je travaillerai depuis mon domicile tout le week-end si vous n'y voyez pas d'inconvénient. »

« Voulez-vous que je vous envoie Melle Terclavers pour vous aider? »

« C'est encore un peu tôt. Ma femme détesterait me voir en aussi charmante compagnie si elle ne peut pas en profiter elle-même! »

« Très bien, à demain Lévèque ; Toussaint vous attend! »

Walter était à peine assis dans la voiture que le grand Africain lui dit

« Doc, Soise est enceinte! »

« Elle m'a déjà mis au courant Toussaint et nous faisons tous deux partie de la liste courte des pères putatifs »

« Oui mais elle ne veut pas d'un père dans les pattes à ce qu'elle m'a dit . Doc, si c'est moi le père cela se verra tout de suite. Qu'est-ce que je vais dire à Léa et comment est-ce que je vais pouvoir m'occuper de mon enfant si elle ne veut pas d'une présence paternelle?»

« Chaque chose en son temps mon jeune ami. Je suis loin d'être un expert en relations conjugales mais ce que je sais de ta Léa m'incline à penser que vous devriez en parler ensemble le plus vite possible . Je suis persuadé, sachant ce que Soise, Lucie et toi m'avez raconté , qu'elle saura comment organiser vos futures relations selon les desiderata de chacun! Sur ce, si cela ne t'ennuie pas, j'ai besoin d'une nouvelle sieste, la journée a été éreintante»

Lorsqu'il rentra à la maison, il eut l'impression d'être au château de la belle au bois dormant. Les bébés dormaient et Françoise s'était assoupie dans un fauteuil à côté de leurs berceaux. Il gagna sa chambre pour trouver Niki endormie sur le côté elle-aussi. Il se déshabilla et se glissa derrière elle mais le simple contact de ses fesses pourtant protégée par son slip le fit bander démesurément. Il parvint malgré tout à s'endormir, la verge confortablement logée dans la raie de ses fesses.

Il se réveilla quelques heures plus tard avec une curieuse sensation. Dans la pénombre de la chambre, il vit le corps de sa femme qui s'agitait tout contre lui puis réalisa que sa verge était prisonnière de son ... de son anus! Elle avait fait descendre son slip sous son bassin et s'était débrouillée pour passer du lubrifiant sur sa verge avant de forcer son sphincter sur le membre érigé.

Walter passa sa main par-dessus les hanches de sa femme et s'empara d'un de ses seins, gonflé par la montée du lait. Il sentit immédiatement quelques gouttes du liquide maternel humecter ses doigts tandis qu'elle gémissait.

« Wally, tu te réveilles au bon moment! Tu peux jouir dans mon cul mais fais-moi les seins! j'ai envie! »

Son mari obtempéra et , de sa seule main disponible, pressa chaque mamelle à tour de rôle puis tira sur les mamelons, faisant jaillir le lait pendant que sa femme délirait de plaisir »

« Ooh Wally, c'est si bon! Viens mon homme! Remplis mon cul et vide mes pis! OOOHH , je vais jouir sans mon clito ... oooh .. ; rien qu'avec mes mamelles de grosse truie!!! ... WALLY ... VAS-Y! BOURRE!! ... BOURRE-MOI ET DONNE ... AAAAHH! TON ... SPERM' .. AAAHH! »

D'un dernier coup de boutoir, Walter se vida dans l'anus de sa moitié en lui mordant l'épaule sous l'intensité de sa jouissance. Niki donna encore un coup de hanches vers l'arrière pour l'accueillir au plus profond de ses reins et fut prise de contractions spasmodiques elle aussi. Sa vulve béante laissa échapper un lot de cyprine trop longtemps contenue.

Ils se rendormirent peu après, la verge de Walter toujours enfoncée dans le rectum conjugal.

Le lendemain matin, Lucie passa contrôler l'état de sa patiente

« La césarienne est maintenant parfaitement cicatrisée. Plus que deux semaines de patience et je pourrai à nouveau t'accorder ta liberté sexuelle complète! »

« DEUX SEMAINES! Tu veux me faire mourir de frustration!

« N'exagère pas! Je vois bien que tu as eu des compensations pas plus tard que cette nuit! Tu oublies que je suis une bonne gynécologue? »

« C'est pas la même chose! Je veux sentir un bonne grosse bite en moi! Une verge d'homme .. ooh l Lulu! J'ai tellement envie! »

« Hum , je vois que ma patiente souffre! Hippocrate commande, je vais te soulager! »

Elle se pencha vers sa patiente toujours allongée sur son lit les jambes écartées pour l'examen et posa ses lèvres sur le clitoris en totale érection

« OOOH LULU! »

Avec toute sa science de bisexuelle, Lucie l'amena rapidement à un orgasme salvateur qui calma -- au moins temporairement -- les besoins de Niki.

« C'était délicieux mais encore quinze jours sans me faire vraiment baiser, ça va être long »

« Tu es sûre que tu étais vraiment lesbienne? Ecoute, prends patience et dans deux semaines , je vais organiser une vraie partouze ici avec mes jeunes amis ; tu vas voir des verges comme tu n'en n'as jamais rêvé. Et des jeunes filles qui te feront grimper aux rideaux ... sans parler de Soise et moi! »

« Arrête sinon tu vas devoir recommencer le traitement! Embrasse-moi et laisse-moi m'occuper des petits vampires! »

Niki s'installa dans un nouveau train-train quotidien avec ; les assauts des bébés voraces, Walter qui disparaissait à l'aube pour revenir vers 19 heures à cause du trajet , fatigué mais toujours en assez bonne forme pour lui offrir une compensation sous la forme d'un cunnilingus sauf quand Françoise s'était déjà trop occupé d'elle.

Entretemps, Walter avait trouvé une infirmière intérimaire qui prendrait soin des triplés lors de la fameuse soirée qui approchait à grands pas. Elle s'appelait Fabienne Cartier ; c'était une belle et athlétique jeune femme qui inquiéta un peu Françoise, sensible à cette concurrence. Niki s'employa à la rassurer en galante femme au cours d'un 69 mémorable qui les laissa toutes deux pantelantes

« Personne te remplacera jamais auprès de notre famille, ma chérie » lui dit Niki. Mais tu as aussi besoin de repos et bientôt, tu auras besoin d'aide toi-aussi! Une aide efficace et agréable à regarder ne se refuse pas! »

C'est Françoise qui l'avait incitée à commencer des exercices de gymnastique et à reprendre le jogging pour retendre les muscles de son ventre trop relâchés après les mois de grossesse. Niki se rendit compte très vite qu'à près de quarante ans, elle avait nettement plus de mal à se remettre aux exercices physiques que dix ans auparavant.

« Tu en as pour des mois » l'avait prévenue la rouquine qui l'accompagnait dans ses efforts pour la soutenir. « Une année d'oisiveté, c'est trois mois d'efforts pour revenir au niveau! »

« Pff. Moi ça fait dix ans que mon seul sport était à l'horizontale » se plaignit Niki

« Hélas , ça ne compte pas ... sauf pour l'endorphine mais regarde-moi : quinze ans de paresse et au bout d'un an d'efforts, alors que je suis presque à la moitié de mon programme, je vais reperdre six mois avec mon bébé mais je suis bien décidée à limiter les dégâts! »

Le grand soir arriva enfin et Niki put enfin faire à nouveau l'amour à son mari bien-aimé, solidement aidée par une Françoise en pleine forme. Elle goûta ensuite aux deux pines géantes des jeunes mais revint avec bien vite aux dimensions plus consensuelles de Walter qui l'honora avec une avidité et une vigueur qu'elle n'avait plus connue depuis l'époque du 'pot lillois'. Elle s'en inquiéta entre deux assauts

« Walt, tu n'as quand même pas repris ta cochonnerie? »

« Non ma douce! J'ai simplement été sevré trop longtemps de ma Niki! »

Et il la hissa sur sa verge à nouveau pleinement érigée, lui arrachant de soupir de bien-être

(« Le cocktail d'Anne-So n'est pas du 'pot lillois' n'est-ce pas » se répétait-il en jouant des hanches pour mieux prendre possession du vagin de son épouse)

Tout le petit groupe défila dans son lit au cours de la soirée et elle s'endormit rompue mais comblée.

Le lendemain matin, alors qu'ils prenaient leur petit-déjeuner, le Colonel se présenta à leur porte en compagnie d'une jeune africaine qui devait être la sœur du grand Toussaint. Le cœur de Niki se serra, elle pressentait de mauvaises nouvelles ..

Walter fit les présentations et le Colonel prit tout de suite la parole.

« Mesdemoiselles Lucie et Françoise, auriez-vous la bonté de vouloir vous occuper des enfants pendant que je m'adresse à vos amis? Je vous remercie! »

Le 'remerciement' équivalait à un congédiement et Lucie se leva entraînant une Françoise que la curiosité rendait beaucoup plus réticente.

« Mesdames et Messieurs, j'ai pris la liberté de faire ramener Mademoiselle Sawané en urgence afin de pouvoir m'adresser à votre groupe en entier. J'irai droit au but. Nous avons identifié une nouvelle menace contre notre continent voire toute la race humaine si nos supputations se révèlent exactes. Cette menace est liée à la sexualité humaine et nous essayons de rassembler le groupe le plus doué et le plus résistant possible dans ce domaine. Nous pouvons heureusement compter sur le Major Lévèque et ses remarquables travaux pour nous aider à contrer cette menace mais , comme dans toutes les batailles, la victoire ne pourra être remportée que par l'Infanterie et nous comptons sur vous quatre pour faire partie de cette infanterie. »

« Mais Adju .. je veux dire Colonel » intervint Toussaint, vous ne pouvez pas leur demander de lâcher leurs études, leur carrière sportive comme cela ; ces jeunes ont un avenir à préparer! Moi, il n'y a pas de problème quoique .. « Il ne finit pas sa phrase, regardant Léa.

« Nous avons surtout besoin de vous quatre pour la première phase de notre contre-offensive. Si tout va bien, nous en avons pour quelques jours ; quelques semaines tout au plus . Nous devrions pouvoir vous libérer fin août »

« Une guerre fraîche et joyeuse, comme en 1914 » ironisa Loïc

« La comparaison n'est pas mauvaise jeune homme mais le jeu est à l'échelle supérieure cette fois. Si nous échouons, ce ne sont pas quelques empires qui sont menacés de disparition mais toute la race humaine! »

Le Colonel poursuivit

« Madame Lévèque, je vous laisse le Caporal Cartier, Fabienne pour vous, qui assurera votre sécurité tout en vous aidant pour les triplés. Elle est vraiment infirmière diplômée du Corps Madical et c'est une garde du corps très dévouée.. Entre elle et vos deux amies, vous ne devriez pas trop souffrir de l'absence de votre mari. Contrairement à nos précédents accords, la raison d'état me dicte de vous l'enlever durant toute la durée de l'opération. »

« J'espère que Walter et les jeunes ne courront pas de danger, Colonel »

« Je ne peux hélas rien vous garantir, Madame, mais nous ferons l'impossible pour éviter les risques inutiles. C'est tout ce que je puis vous promettre. Ceci me rappelle que j'ai un dernier test à effectuer. »

Il se tourna vers les quatre jeunes gens qui se tenaient la main par couple.

« Nous savons que vous les Delmotte et Toussaint peuvent affronter des relations, disons, non- désirables . Vos prestations à la Villa d'Arcques en témoignent mais nous ne savons pas encore si Mademoiselle Gabrielle en est capable... Veuillez-vous approcher Gabrielle. »

Il la fit s'appuyer sur la table du déjeuner et baissa le pantalon de training et le slip de la sportive puis palpa son entrejambe avec une considération purement clinique.

« Ah! J vois que la présence de Loïc a eu son effet ; vous êtes parfaitement lubrifiée ma chère! »

Il ouvrit sa braguette et en sortit sa verge en érection. Il ne faisait pas le même calibre que les deux 'beaux-beaux-frères' mais disposait néanmoins d'une arme redoutable.

« Colonel .. » gronda Loïc tandis que Toussaint serrait les poings. Voir Gabi se faire traiter comme un simple réceptacle du plaisir d'un soudard, tout galonné soit-il, les révoltait.

« Fixe! » Aboya le Colonel. Les jeunes gens se pétrifièrent sous la Voix du Commandement

Le Colonel écarta les jambes de Gabi et s'introduisit d'un coup en elle. La jeune fille gémit et ahana sous la percée dans son vagin à peine préparé à cette intromission soudaine. Le Colonel la sabra avec délectation sous les yeux de l'assistance d'abord médusée puis fascinée par ce quasi viol.

« Votre intimité est de plus en plus moite, Gabrielle » commenta le pourfendeur « Je pense que vous allez jouir avant moi!»

« Aah, Colonel ... après .. ooh .. deux semaines ... sans Lolo ... oooh ... et mon frère ... et Léaaah .. . je pourrais .. jouir ... rien qu'en mettant ... aaaah ... mon slip ..! »

« Voilà qui est ... han ... de bon augure ... han ... très .. chère .. Han! »

« OOOOH .. CO ... LO .. NEL! OUIII! JE JOUIIIS .. AAAAHH! »

Elle se coucha sur la table, le corps agité de spasmes

« Ooh, ça fait du bien »

« Voyons un peu jusqu'où vous pouvez aller » continua le Colonel qui se retirait lentement de la vulve contractée. « Caporal, veuillez prendre position »

Fabienne rampa sous la table et se mit immédiatement à lécher la chatte de Gabi pendant que le Colonel crachait sur ses doigts et les fourrait entre les fesses noires dont la cambrure l'excitait au plus haut point quoi qu'il n'en laissât rien paraître. Il présenta ensuite sa verge lubrifiée par les sécrétions intimes de la jeune franco-malienne contre son sphincter et donna un grand coup de reins qui perfora la rondelle pourtant contractée