Dérapages. 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Paul tu ne me croiras jamais, cette chienne de rouquine n'a jamais rien eut dans son ventre. C'est une pucelle!

- Sûrement une de ces connasses de brouteuse intégriste. Les meilleures à violer.

- J'espère juste que ma fille est pareille. Mais trêve de bavardage, la demoiselle a envie que l'on fasse d'elle une vraie femme, il ne faut pas que je la fasse attendre.

Je caresse la peau claire et couverte de tache de rousseurs de ma futur nouvelle putain. Sa peau est d'une douceur dingue. J'hésite sur la façon de faire, puis je décide de me la jouer barbare. Je donne le coup de reins le plus puissant que je peux, tout en me cramponnant aux hanches de ma victime. Ma bite rentre de moitié en elle. Je dévaste tellement les lieux, que Anne manque se soustraire à mes trois furies en cambrant. Mais elles reprennent vite le dessus, d'ailleurs, Carla menotte les poignets de la rousse dans son dos. Ce sera plus facile pour elles de la maintenir. Le hurlement de la fille est horrible, même avec le bâillon boule, il résonne dans la pièce, la souffrance doit être horrible pour elle. Moi je deviens dingue de plaisir, l'endroit est serré, vraiment serré, mon engin est comprimé, a la limite de la douleur. Je sens les parois de son vagin qui palpitent comme des folles pour chasser l'envahisseur, en vain. Un second coups de reins achève de me faire rentrer complètement en elle. Encore une fois son hurlement traverse son bâillon. Il faut dire que cette conne à un petit vagin, trop petit même. Mon gland venant entrer, avec violence, dans son col de l'utérus. Le sang de son dépucelage lubrifie l'intérieur du sexe de ma victime. Je préfère les vagin sec, mais être le premier à y être entrer efface complètement cet inconvénient. Je me mets alors à la défoncer. Entrant et ressortant mon pieu de son corps si accueillant. Ma bite est couverte de son sang de pucelle, j'adore ça.

Je la baise le plus longtemps possible, profitant au maximum des lieux. Ce qui n'a pas l'air de plaire à la malheureuse Anne, qui couine comme une folle. Vaincu elle se laisse faire, subissant mes coups de reins. Mais quand je lui annonce que je vais jouir en elle, la jeune rousse se remets à se débattre. Vierge et lesbienne, cette conne, comme je le pensais ne prends pas la pilule. Il faut toutes la force de mes trois autres putes pour la tenir quand je me mets à gémir. Je me déverse en elle en criant de plaisir, lui remplissant pour la première fois de sa vie, la matrice. Anne est au purgatoire en recevant le premier sperme de sa vie, mais très très loin d'être le dernier. Quand je me retire, un flot de sperme teinté de son sang d'ancienne vierge jaillit de son vagin. Je n'ai pas le temps d'apprécié le spectacle, que déjà Paul me remplace et viole à son tour le vagin de ma belle. Il a mit une capote, c'est parfait, je veux être aussi le père du premier enfant de Anne. Je fais le tour de la fille violée par mon pote, je met ma bite à demi molle devant son visage. Je retire la boule rouge de son bâillon. L'anneau en acier lui maintient la bouche ouverte, je m'enfonce dans l'ouverture, lui faisant prodiguer sa première fellation. Dès que je suis dur, c'est sa gorge que je dévierge. Oui, je sais, dévierger n'existe pas comme mot, je l'ai inventé, mais je l'aime bien, je vais l'utiliser souvent maintenant.

Je me sers de sa bouche comme d'un sexe. Mon ventre frappant le nez de la fille, mes bourses son menton. Involontairement, en bougeant sa langue par manque de place dans sa cavité buccale, elle me prodigue des caresses merveilleuses. Je caresse les longs cheveux roux et raide de ma proie tout en la défonçant. Paul n'est pas en reste, faisant s'enfoncer à fond Anne sur ma bite à chacun de ses coups de reins. Je fais la même à chacun des miens. On profite du corps de notre victime, sachant qu'avec les pilules sexe-dur ce n'est qu'un début. On en a pas pris encore, mais qu'en ce sera fait, la pute rouquine ne sera plus qu'un objet sexuel pour nous, servant uniquement de dévidoir à notre semence. Ce qu'elle est déjà au fond.

Pour sa première pipe, je décide de jouir à fond dans sa gorge. Il est important qu'elle avale mon sperme. J'aurais tellement d'autres occasions de jouir sur son visage ou dans sa bouche. Enfin moi ou d'autres. Quand je sens mon plaisir venir, je me cale bien à fond dans l'orifice, appuyant sur l'arrière du crane de ma belle pour être certain d'être au maximum. Je me vide en criant, jouissant directement dans l'œsophage de la pute, déversant cinq jets puissant de sperme. Quand je me retire, je remet la boule rouge de son bâillon, pour être sûr qu'elle ne recrache rien. Je vais boire un verre dans la cuisine, tandis que Paul continue à s'activer dans le vagin de Anne. J'en profite pour avaler une pilule sexe-dur. Je retourne dans le salon. Paul est en train d'inonder l'intérieur de la rousse de sa semence. Une fois bien vidé, il se retire et va lui aussi se faire sucer. Comme moi, il enlève la boule de son bâillon et s'enfonce dans sa bouche. Avec la qualité du spectacle, allié à la pilule que j'ai pris, je ne tarde pas à rebander. Mes putes tiennent toujours la rousse, qui ne se débat plus. Du moins pour l'instant, la suite risque d'être différente. J'attends que Paul finisse tout en me branlant. Lui, contrairement à moi, éjacule sur le visage de la rousse. Son sperme se mélangeant aux larmes de sa victime. Une fois fini il se retourne vers moi.

- Je lui remet le bâillon?

- Non, pas cette fois, j'ai envie d'entendre un peu sa voix.

Complètement dévastée, sanglotante, je ne sais pas si Anne entends notre petite conversation. Le corps de notre victime est couvert de transpiration, ses cheveux colle à son front, ses tempes. Le viol est très dur à vivre pour une femme, mais encore plus pour une lesbienne, totalement vierge de surcroît, avant notre passage.

Je me lève, la bite droite comme un mât, il est temps de dépuceler le dernier orifice de la jeunette. J'en salive d'avance. Anne gémit, quand je la saisit de nouveau aux hanches, comprenant qu'elle va subir un nouveau viol. Mes trois chiennes la tienne toujours, elles le feront tant que je ne leur dirais pas de la lâcher. Je frotte mon gland contre la chatte défoncée de Anne, j'y mets un peu de sperme dessus, pour la lubrification. Pas pour un quelconque souci pour la pute, juste pour facilité l'intromission de mon engin. Je vais enculer cette conne, je veux lui détruire le cul, le casser pour de vrai. Anne s'attend à une nouvelle visite de son antre d'amour. Elle ne comprend pas immédiatement quand mon braquemart s'infiltre entre ses fesses fermes et serrées. Je me met alors à forcer pour entrer. Bien entendu, son anus me résiste. Si elle n'a plus la boule de son bâillon, Anne ne peut quand même pas parler à cause de l'anneau dans sa bouche, par contre la jeune rousse peut crier. Et cette conne ne se gêne pas pour le faire. Moi je continue à forcer, faisant tourner mon gland pour perforer cette orifice qui me résiste. Son anus palpite pour ne pas me laisser entrer, pour éviter cette nouvelle pénétration non désiré. Petit à petit son trou du cul se dilate tandis que Anne grommelle entre deux cris, sûrement des tentatives pour me supplier. Puis au bout de dix minutes d'une lutte acharnée, mon gland pénètre enfin cette grotte tant désirée. Anne hurle comme une folle, tandis que mes trois putes ont du mal à la tenir. Mains crochées à ses hanches, je me propulse violemment en avant, la pénétrant d'un seul coup de toute ma longueur. Mon ventre frappe contre les fesses de la femelle dans un grand bruit de claque mouillée, tandis que mes couilles frappent son vagin qui dégorge encore de tout le sperme reçu. Le hurlement de Anne est long, guttural, venant du plus profond de son corps. La belle enculée cabre tellement fort, qu'elle échappe à mes trois putes, avant de retomber sur la table. Mes chiennes la maintienne de nouveau. Je sens son trou du cul palpité contre mon pieu plongé en elle. Je me mets alors à la marteler de puissants coups de reins, la faisant hurler encore et encore.

J'ai savouré son étroit fourreau longtemps, jouissant rapidement en elle, mais restant dans ses entrailles pour la violer de nouveau. Cette fois son enculage dure longtemps, très longtemps. Des trois autres putains, c'est Anne qui à le meilleur cul. La conne le contracte à fond, rendant sa sodomie encore plus dévastatrice, plus douloureuse pour elle. Mais tellement plus agréable pour moi. Je la défonce comme un malade, à grands coups de reins, cherchant à faire le plus de mal possible. Je veux la détruire de mon chibre, ce que j'arrive très bien à faire, si ce n'est physiquement, au moins mentalement. A chaque coups de reins, je me retire pratiquement entièrement, avant de rentrer de nouveau de toute ma longueur. Cette fois-ci je dure presque une demi-heure dans le corps martyrisé de ma proie. La douleur est telle, qu'à aucun moment ses hurlements ne diminue d'intensité, de rythme ou de force. Ils augmentent même quand je me vide en elle, mon sperme brûlant ses chairs tuméfiées comme un puissant acide. Quand je me retire, son anus palpite, il est grand ouvert, du sang et du sperme en coule. Il n'a pas le temps de se refermer que déjà Paul est dedans, la sodomisant à son tour. Moi, je contourne le vide-couilles et enfonce dans sa bouche une bite couverte de sang, de sperme et de merde. Anne vomit, mais mon chibre rendant bouche totalement hermétique, elle n'a d'autres choix que de tout ravaler. Je lui viole une nouvelle fois la gorge, mais cette fois c'est sur son visage que je jouis. La deuxième faciale qu'elle reçoit après celle de Paul.

La suite de la nuit fut une soirée de première fois d'enfer pour la pauvre Anne. Avec Paul on s'est gavé de pilules. Première double pénétration, d'abord la chatte et une pipe, puis le cul et une pipe, pour finir par chatte et cul. Puis première deux bites dans un trou. D'abord dans la bouche, puis la chatte puis le cul. Puis première triple avec Inès équipée d'un gode ceinture en plus. D'abord le cul, la chatte et la bouche. Puis deux dans la chatte et un dans le cul, pour finir par deux dans le cul et un dans la chatte. Inutile de vous dire qu'à chaque fois Paul et moi sommes allés jusque à l'éjaculation. On a ensuite attaché solidement Anne à la table, une jambe à chaque pied, pareil pour les poignets. J'ai réunis les trois autres putains.

- Bon, vous allez pour l'instant être quatre. Dès que Anne sera devenue une petite chienne bien obéissante comme vous. J'ai donc décidé d'une nouvelle règle à ce moment là. A la fin de chaque semaine, vous serez notée. Sur votre obéissance, votre participation sexuelle, vos performances au lit. La première pourra faire ce qu'elle veut avec les trois autres, la deuxième avec les deux suivantes et ainsi de suite. Vu que je dormirez avec une seule d'entre-vous, et Paul avec une autre quand il sera là, les deux autres devront et seront obligés de s'amuser ensemble selon leurs classements. Mais on reparlera de tout cela en temps voulut. En attendant, j'ai un petit truc pour vous.

J'ai jeté trois godes ceintures sur le sol, avec une bite de quinze centimètres. Les filles m'ont regardés perdue et apeurée. J'ai souris.

- N'ayez pas peur, vous allez les mettre et vous en servir sur Anne. Je veux qu'elle ai constamment une bite dans la chatte ou dans le cul. Vous la prendrez donc pendant deux heures chacune, une heure dans le cul et une heure dans la chatte tout le temps que Paul et moi ne la baisons pas. Vous vous arrangez comme vous voulez. Vous pouvez faire six heures de gardes pendant que les deux autres dorment, ou plus, ou moins. L'important c'est que vous ayez chacune huit heures de gardes dans la journée. Vous avez dix minutes pour vous organisez, dans dix minutes précise, je veux entendre Anne hurlée. Paul et moi on va se coucher, vous avez de la chance, on est tellement vide que aucune d'entre-vous ne sera baisée ce soir.

Si j'ai choisis des godes d'à peine quinze centimètres, c'est que je veux que Anne garde son étroitesse divine le plus longtemps possible. Chaque chambre a une douche, je n'ai même pas allumé l'eau, que déjà la jeune rousse hurle. Je regarde ma montre, moins de quatre minutes, décidément mes putes sont vraiment bien dressée.

Une fois lavé, je me suis couché, je me suis endormi sous la douce musique des hurlements de ma nouvelle chienne. J'ai dormis comme un loir pendant près de neuf heures. Quand je suis descendu en bas, c'est Carla qui baise Anne. Elle lui défonce la chatte en y mettant de la volonté. Inès et Manon ne sont pas là, Paul boit un café, il me sourit.

- C'est son tour, elle font des gardes de quatre heures. Carla a pris la sienne il y a vingt minutes.

Je prends une capsule et fais mon couler mon café.

- Cool, vas-y quand tu veux, j'y vais après.

Dix minutes plus tard, Paul déboîtait le cul de Anne. Moi c'est sa chatte que j'ai choisis. Je veux la mettre enceinte également, comme les trois autres.

Trois jours maintenant que Anne est baisée non-stop, elle est tellement épuisée, que la conne dort en se faisant tringler. Mais ça porte c'est fruits, la chienne hurle moins, je lui laisse même la bouche libre. La rousse me supplie de la laisser tranquille, qu'elle m'obéiras aux doigts et à l'œil. Mais ce n'est pas la vérité, c'est trop tôt. Surtout que pour mon plan, je ne veux aucune marque visible sur son corps nu.

Six jours, il n'a fallut que six jours pour que cette idiote devienne une pute bien obéissante. Il faut dire que si jamais personne n'a fait preuve de violence envers elle, même pas une tape sur les fesses ou une gifle petite, Anne à été confronté à la l'extrême violence très tôt. Celle de son père humiliant, battant et violant sa femme et mère de Anne. La violant parfois devant elle. Un père très riche et très sadique, passant ses nerfs sur sa femme. Anne me l'a dit le quatrième jours, en me suppliant, elle m'a promit d'être une bonne salope bien obéissante comme sa mère. Je l'ai faites développée. Elle m'a donc tout racontée, m'excitant gravement au lieu de me calmer. Je l'ai sodomisée encore plus violemment que d'habitude quatre fois de suite. En tout cas, si Jess, ma fille, qui n'a toujours connu que l'amour est née lesbienne, Anne l'est sûrement devenu à cause du comportement de son père qui a entraîné un profond dégoût des hommes. J'ai continué son dressage deux jours de plus, mais je savais que j'avais gagné, que ce que Anne avait vu depuis toute petite, l'a conditionnée à être une esclave dans sa vie future. Ou du moins avait fait une grosse partie du boulot. Je dois dire que je fus pas déçu, la pute rousse est obéissante, tendant chatte et cul au moindre petit claquement de doigt. Il est vrai qu'en plus la vidéo du viol canin de Manon et Carla à rajouter pas mal au désarroi de Anne, si elle me désobéit trop, il l'attend la même chose. Pour la première semaine de mon classement, j'ai nommé Inès numéro un, Clara deuxième, Manon troisième et Anne quatrième. Je fus un peu déçu du résultat, aucune ne prenant ses pouvoirs sur les autres. J'ai décidé de laisser faire, je les fais suffisamment morfler. Je vais voir si je pimente les choses ensuite ou pas. Le seul effet actuel c'est que Anne se tape tout le boulot de femmes d'intérieur des autres.

Le matin de dixième jours après la défloraison de Anne, mon plan prit une tournure inimaginable. Quand je suis descendu dans la cuisine pour mon café, Anne est à la table en train de prendre le sien. La jeune fille regarde les infos sur son portable, elle est en tee-shirt et string. Cette nuit j'ai dormis avec Manon et Paul avec Inès. J'ai envie de me vider avant de déjeuner. Je me met derrière elle, je la fais se lever. Anne se laisse faire, mais me supplie quand même. Pas par rébellion, c'est un ordre que je lui ai donné, nous supplier avant un viol.

- Pitié, pas maintenant.

- Ta gueule, j'ai pas envie de t'entendre me supplier avant mon café.

- D'accord.

Je la penche sur la table, lui descend son string et l'encule. La rousse hurle quand je la pénètre a sec, sans aucune douceur. Je lui remonte son haut, je m'amuse avec ses seins fermes. Cette pute est aussi bonne que Manon, presque meilleure.

Je suis au plein milieu de son viol sodomite quand son portable sonne, je regarde qui appelle.

- C'est ta mère, on la rappelle après.

Anne ne répond rien, se contentant de gémir. Moi je continue à la prendre pendant une bonne demi-heure, avant de me vider dans ses entrailles. Comme elle est habituée maintenant, Anne me suce pour me nettoyer. Mais ayant envie d'un café, je ne vais pas au bout. Je mets une capsule dans la machine et la lance. Anne, sanglotante, remonte son string, et s'assoit sur sa chaise, gémissant de douleur quand son cul encore ouvert se pose sur la chaise. Je m'assois à côté d'elle. Je vais pour lui demander de me sucer pendant que je petit-déjeune, quand je pense à l'appel de sa mère. Je prends son portable, la maman de Anne à laissée un message. Je ne l'ai jamais rencontré, mais je l'ai vu en photo. C'est un vrai canon roux elle aussi. Elle a trente-sept ans, c'est le sosie parfait de l'actrice Audrey Fleurot. Je mets le haut-parleur du téléphone et appel le répondeur. Le message de sa mère va changer mon plan pour les prochains mois.

- Allô, Anne, c'est maman.

On entends parfaitement que sa mère est en pleure.

- Je... J'ai quittée ton père... il m'a encore battue... pire que d'habitude... il m'a violée aussi... tu verrais mon visage... mon corps... j'ai plus rien... je suis désolée de te demander cela... mais tu pourrais me cacher... il a juré de se venger quand je suis partie... ma puce... rappelle-moi...

Ensuite la communication se coupe. Je regarde Anne en souriant.

- Tu vas la rappeler et la faire venir ici. Quand il y en a pour quatre, il y en a pour cinq.

- Pas ma mère, je vous en supplie.

- Ta mère ou les chiens pour toi, choisis.

- Ma mère.

L'idée d'un viol par des chiens lui fais tellement peur, que Anne est prête à tout pour l'éviter. Même me vendre sa mère. La pauvre, si elle savait qu'à plus ou moins proche échéance elle y aura droit...

- Bon choix, on va la rappeler, mais avant je vais te dire ce que tu vas lui dire.

Une fois que Anne est bien briefer, je fais le numéro de sa mère sur son téléphone, mettant le haut-parleur.

- Allô, maman, c'est Anne.

- Anne ma puce, tu as eus mon message?

On comprends que sa mère se retient de pleurer cette fois-ci.

- Oui.

- Tu peux m'héberger?

- Je ne suis pas chez moi, je suis chez le père de Jess.

- Merde, je ne savais pas.

- Ce n'est pas grave, il est d'accord pour te cacher chez lui. Papa ne viendra jamais te chercher ici.

- C'est gentil de sa part. Tu peux venir me chercher? Je n'ai que mon portable et la robe toute déchirée que je portée avant que ton père ne m'agresse.

- Oui, tu es où?

- Je me cache dans le petit bois, pas loin de la maison. A hauteur du téléphone de S.O.S.

- OK, on arrive.

- Merci chérie, vraiment merci.

Anne raccroche et fond en larmes, la jeunette sait qu'elle vient de vendre sa propre mère au diable.

Je suis partis la chercher seul avec Anne. Je me suis garer devant le téléphone d'urgence, tandis que Anne est descendu seule chercher sa mère. Quand elles sont revenues, je me suis mis à bander de suite, me prenant d'amitié pour le père de la rousse. La mère de Anne doit être une femme magnifique, comme la célèbre actrice, mais pas en ce moment. Elle à l'œil gauche complètement fermé, tuméfié, totalement bleu. Elle a du sang séché sur le menton, elle a dut saigner de la lèvre. Sa robe courte est déchirer en deux, elle doit en tenir les deux pans pour ne pas être nue. On voit que son corps est couvert de marque de coups, certaines assez ancienne. Son œil valide laisse voir l'effroi le plus absolu, mais aussi, une soumission intense. La conne vient d'échapper à un bourreau, son mari, pour en tomber sur un autre, en l'occurrence moi. Les deux femmes courent presque pour monter dans la voiture. Les deux montent à l'arrière. Anne joue parfaitement son rôle. Sa mère pleure tellement, qu'entre deux sanglots elle me murmure un petit « bonjour » et un petit « merci ». Je démarre rapidement et me dirige vers chez moi et le nouvel enfer de la mère de Anne.