Hypnose Mécanique 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- C'est elles?

- Oui.

- Tu ne m'as pas menti, elles sont encore plus belle que sur la photo. C'est de la vrai top qualité. Ça change des filles qui sont là d'habitude.

- J'imagine. Tu préfère laquelle?

- La plus jeune, c'est une miss monde. Remarque l'autre n'est pas loin non plus.

- Je sais, en plus elles sont vraiment bonne à baiser.

- J'imagine. Tu es certain de ne pas vouloir que la jeune devienne une régulière?

- Certain.

- Dommage.

J'ai souris.

- Bon, Radiu, tu te rappelles ce que je t'ai dit?

- Oui, parfaitement, ça marche pour moi.

- Nickel.

Je suis allé m'asseoir à la première table. J'ai fais signe à mon père de venir me rejoindre, avec les deux femelles. Ils se sont levés, sont venus. Je pouvais voir le bas du sexe de Martha quand elle marchait, ainsi que le sperme maculant son entrecuisse. Pour Léa, je ne pouvais voir que le sperme sur son entrejambe. Les hommes assis face à elles, ont ouverts de grands yeux ahuris. Pourtant ils étaient habitués à la dépravation du lieu. Ce qui leurs tourne le dos, se retourne, alertés par leurs amis. Le trio s'assoit à ma table, couvé du regard pervers et envieux de tout les mâle du bar.

J'étais venu quelques jours plus tôt voir Radiu. Je ne savais pas encore si ma machine marcherait à fond, mais je voulais prendre les devants. Je suis allé le voir chez lui. Pour un hacker comme moi, ce n'était pas difficile de trouver son adresse perso. Cela n'avait pas été plus difficile de pirater les fichiers de la police de mon pays. J'avais chercher les fichiers des maquereaux. Aucun ne m'avait vraiment fait flashé. J'ai eus l'idée de chercher alors, dans le fichier des indics. C'est là que je suis tombé sur Radiu. Les flics avaient un dossier énorme sur lui. Si les filles qui faisaient le trottoir pour lui n'étaient pas vraiment consentante, elles étaient des deuxième ou troisième mains. Forcées à se prostituer par des mafieux russes, puis vendu à des italiens ou des allemands, avant d'être revendues à Radiu. Par contre les filles qui bossent à « La chatte sauvage », sont toutes consentantes. Elles sont aux nombre de sept, tournant sur les sept jours de la semaine. Trois du lundi au jeudi, quatre le vendredi, sept le samedi, et six le dimanche. Radiu prenait vingt-cinq pour cent de leurs gains. En échange il leurs offrait protection contre les autres macs, mais surtout contre la police. Les filles étaient jeunes et jolies, mais loin de la superbe beauté de Martha, à mille lieux de celle de Léa. Je l'ai vu car dans les dossiers numérisé de la police, il y a les photos de tout les membre de « La chatte sauvage ». J'ai aussi compris pourquoi Radiu est tranquille avec les flics. C'est un top indic. Il a permis l'arrestation de nombreux gros trafiquants de drogues, d'armes. Balancés des tas de go-fast, mais également certains de ses concurrents les plus importants. A lui seul, il est responsable de quinze pour cent des grosses affaires résolues par la police de la ville. Une vraie mine d'or.

Son appartement se trouve au dessus de son bar. Il est immense, superbe. Quand je suis allé frapper chez lui, c'est Radiu qui m'a ouvert. Il était en caleçon. Il m'a regardé d'un air surpris.

- Oui?

- J'ai une affaire à vous proposer.

- Je ne fais aucune affaire.

J'ai sortis une photo, pris l'été d'avant, de ma belle-mère et de ma sœur, en petit maillot de bain.

- Je pense que ça vous parlera, surtout que ces deux putains pourront vous ramener beaucoup d'argents.

Avec le dossier qu'ils avaient sur lui, Radiu sait que ce n'est pas un piège des flics. Ses concurrents l'auraient éliminé directement. Je vois que je l'intrigue. Il ouvre grand la porte.

- Entre, on se tutoie, j'ai horreur du vous. Par contre je te préviens, si tu me fais perdre mon temps, je te défonce ta gueule de pédé.

- D'accord.

Le salon était immense, il m'a fait m'asseoir sur un grand canapé. Il s'est assit à côté de moi.

- Je t'écoutes.

- La plus vieille, c'est ma belle-mère, l'autre ma grande sœur. Elles ont trente et dix-neuf ans.

- Oui, c'est bien. Elles sont canons, mais je ne vois pas ce que tu me veux.

- Martha, c'est ma belle-maman, elle va bosser pour toi.

- Pourquoi je l'embaucherais? Elle va faire de l'ombre aux autres, pas sur qu'elle arrive à compenser, à prendre tout les gars qui ne voudront aller qu'avec elle.

- Sûrement, mais cette pute ne te prendras rien. Tout est pour toi.

Mentalement, Radiu calcula que juste en la mettant au même prix que les autres, cette fille lui rapporterait autant que quatre passe des autres. Trois passes de bénéfices à chaque client pour elle. Surtout que vu sa beauté, il pourrait la faire bosser pour plus cher.

- Là, tu m'intéresse. Elle est d'accord?

- Non, mais elle ne posera aucun problème, acceptera tout.

- J'espère pour elle et pour toi...

- Si vous espérez, c'est que tu es d'accord?

- On peut dire ça. Je présume que tu ne me diras pas le pourquoi du comment.

- Non.

- Pas de soucis. Et la jeune?

- Pareil, mais elle ne viendra que le week-end. Le reste du temps elle est prise.

- D'accord. Juste une question, tu te les fais?

- Oui.

- Chanceux, même si c'est glauque de baiser sa sœur.

Je lui ais mentis sur le coup. Je ne savais pas encore si ma machine allait fonctionner. Mais j'y croyais vraiment.

- Je sais.

- En tout cas c'est deux beaux canons.

- Surtout qu'elles ne sont pas photogénique, elles sont encore plus belles en vrai.

- J'ai du mal, à le croire. Elles commence quand?

- Le dimanche, dans quinze jours. Je t'appellerais pour le confirmer. Mais ce seras avant un mois. Par contre je veux qu'elles soient seules pour leurs premier jours.

- D'accord. Mais si tu m'arnaque, je te brise les jambes.

On a encore discuter avec Radiu, pendant une bonne heure. Je lui ai expliqué mon plan, la façon dont je voulais que ça se passe. Il m'a offert plusieurs whisky, avant que je ne le quitte pour rentrer chez moi. Histoire de finir totalement mon invention.

De retour à aujourd'hui: Radiu est venu s'asseoir à notre table, en souriant. Un serveur est venu nous prendre notre commande, enfin seulement à mon père et moi. Je lui ai précisé que les deux chiennes n'avait pas le droit de boire. J'ai pris un bourbon, Radiu et mon père une vodka.

- Martha, je te présente ton nouveau patron.

- Mais je ne suis pas serveuse. Je n'y connais rien. Puis j'ai jamais bossé.

Radiu, mon père et moi, sommes partis dans un fou rire.Ma belle-maman ne compris pas pourquoi.

- Avant de vous expliquer, les filles, écartaient bien les jambes, face à la salle. Que tout le monde voient bien vos chattes pleines.

Sans un mot, elles ont obéis.

- Tu ne seras pas serveuse, tu feras la pute ici.

- Non! Pas ça!

- Tu n'as pas le choix, tu obéiras à mon ami Radiu comme si c'était moi.

Martha à baissé les yeux, elle ne savait pas pourquoi, mais cette connasse ne pouvait résister à mon ordre. Aussi dégradant, humiliant, horrifiant soit-il.

- D'accord.

- Tu bosseras tout les soirs ici. De dix-huit heures, à sept heures du matin. Ensuite Radiu t'enverras chez un pote à lui, vider les couilles des mecs qui bossent sur ses chantiers. Tu te fera baiser jusque à midi. Ensuite ce seras repos.

- Pitié...

- Ta gueule. Tu as compris?

- Oui.

- Tu obéiras?

- Oui.

- - Parfait.

Radiu était rayonnant. Léa c'est penché vers moi, m'a murmuré au creux de l'oreille :

Merci de m'épargner, tu ne le regretteras pas.

Je l'ai regardé en souriant, je lui ai caressé la joue.

- Ne me remercie pas, j'arrive à ton tour. Toi aussi tu vas bosser ici.

Ma sœur est devenu blanche, tandis que mon père à sourit, rigolant presque de la mine déconfite de sa fille.

- Mais ce ne sera pas à plein temps, juste le samedi soir et le dimanche soir. Il faut bien que tu nous vident, papa et moi. Mais je te rassure, j'ai quand même d'autres projets pour toi.

- Les... Lesquels?

- C'est une surprise.

Léa se tut. Se demandant quel sort je lui réserve.

- Martha suit moi.

La jeune femme s'est levée, le regard apeuré, se demandant ce que je peux bien lui vouloir. J'ai entraîné ma belle-mère dans le fond du bar, dans les chiottes. J'ai vérifié que l'on était bien seuls. J'ai appuyé sur le bouton de mon appareil. Elle s'est raidi, son regard est devenu vide.

- Bon, a partir de maintenant, chaque fois qu'un homme jouira en toi, dans ta chatte, dans ton cul, tu auras un orgasme. Pour les fellations, c'est une sur deux, sauf pour les gorges profondes, là tu jouiras à chaque fois. Mais ce sera un orgasme subit, un orgasme donné par ton corps contre ton esprit. Un orgasme dégoûtant, un de ceux qui te fera te sentir encore plus pute que ce que tu n'est. Chacun de tes accouplements restera un viol terrible pour toi, rendu encore pire à cause de tes jouissances. Compris?

- Oui.

- Bien, rien d'autre ne change, on y retourne. Oublie cette conversation, reviens à toi.

Ma belle-maman est revenu à son état normal. Elle m'a regardée, se demandant se que je voulais.

- A genoux, suce moi. Quand je te le dirais, tu me fera jouir sur ta face de pute.

Martha s'est mise à genoux, sans protester. La pute m'a sortie le pieu, l'avalant aussitôt. Elle m'a fait une pipe merveilleuse. Quand je le lui ai dit, elle a sortie ma pine de sa bouche, me branlant pour que je jouisse sur son visage. Une fois finis elle s'est relevée. Martha à pris un morceau d'essuie-mains.

- Tu fais quoi?

- Je m'essuie.

- Non, ça te décore.

- Mais..

- C'est un ordre.

Humiliée, ma nouvelle esclave à obéit, on a traverser la pièce sous les quolibets et les rires des clients.

On s'est assis à notre table, sous le sourire du roumain et de mon paternel.

Radiu me regarda :

- Bon, ce n'est pas tout, mais j'aimerais voir si elles sont aussi bonnes qu'elles sont belles.

- Je t'en prie, fais toi plaisir.

Il caressa la joue de Martha, qui gémit à ce contact.

- Déshabille-toi! Enlève juste ta nuisette. Vue qu'en dessous tu n'as que tes porte-jarretelle et tes bas.

- Mais...

Il la gifla violemment. Sa joue rougit immédiatement.

- Tu m'obéis et tu seras relativement tranquille. Tu fais la forte tête, je te punis. Je te garantis que je te ferais regretter ta rébellion. Surtout que ton beau-fils m'a donné carte blanche pour toi.

J'ai enchaîné la dessus.

- Tu ne compte plus, ta vie ne vaut plus rien, tu n'existe plus. Tu n'es plus qu'une putain, un sexe pour les hommes. Tu es, à partir de maintenant un vide couilles, une éponge à sperme. Tu es une chienne, une merde, ta vie compte moins que n'importe quel animal de compagnie. Compris?

- Oui.

On voyait que cette conne était atteinte au plus profond d'elle même, Martha était détruite. Rien ne pourrait la sauver de ma vengeance. J'ai caresser les cheveux de Léa. Ma sœur se faisait toute petite, espérant échapper à ma vue. Mais comment ne pas voir un tel canon.

- C'est pareil pour toi Léa. Une objection?

- Non.

- Parfait.

Martha a ôter sa nuisette, tout en restant assise. Dévoilant son corps à tout les hommes du bar. Radiu c'est levé.

- Messieurs, ces putains vont vous être offerte. Mais je les testerais avant. Elles sont proprette, pas besoin de capotes.

Les deux femelles sont devenues blanches en entendant mon ami. Mais aucune n'a moufté. En la soulevant par les cheveux, il a fait se lever ma belle-mère, lui arrachant un petit cri de douleur.

- C'est de la belle pouliche ça, des petits seins adorable, un joli cul, un magnifique petite moule. Cette vraie rousse sera à vous dans quelques instants. En attendant je vais la tester. Tout vous seras permis sur elle. Ne vous en faites pas, la jeunette suivra peu après.

Radiu à fait pencher ma belle-maman sur la table. Il se place derrière elle. Le silence règne tellement dans le bar, que l'on entend le zip de sa braguette descendre. L'instant d'après, il est en elle. La faisant crier de souffrance quand il pénètre d'un seul coup sa chatte sèche et non préparée.

- Putain, qu'elle est bonne, cette chienne est vraiment serré, on croirait presque une pucelle.

Radiu se met a pilonner ma belle-mère, lui arrachant des petits cris de souffrances, la faisant grimacer. Mon père me regarde d'un air interrogateur. Je comprends immédiatement, je lui fais signe que oui. Il attrape Léa par les cheveux, la courbe sur la table en face de Martha. Ma sœur se mord la lèvre, pour ne pas faire encore plus plaisir à mon père en criant. Déjà qu'il a sa chatte. Radiu savoure le vagin de ma belle-maman. Il la besogne cinq longues minutes, puis se retire. Je vois que la verge du roumain est un petit peu plus courte que la mienne, mais beaucoup plus épaisse. Le maquereau remonte son sexe, avant que Martha est compris quoique ce soit, il est déjà dans ses reins, complètement enfoncé. La femelle hurle à pleins poumons, tente de fuir cet ignoble viol. C'est seulement la deuxième bite qu'elle prend dans le fion. Radiu se courbe sur sa proie. Empêchant, avec son poids, toutes possibilités de fuite. Il la sodomise brutalement, méchamment, sadiquement.

- Les gars, ça se voit que cette chiennasse n'a pas été sodomisée souvent, on dirais une vierge du cul.

Mon père grogne, il vient de se vider dans ma sœur. Celle-ci ne peut se retenir, elle se met à crier de plaisir, faucher par un violent orgasme. Toutes la salle reste étonnée en entendant les cris de jouissance de Léa. Même Radiu arrête de prendre sa victime.

- Putain, mais cette chienne à jouit?

- Oui, je te l'ai dis, c'est deux putain de grosse salope!

- Je vois ça. Elle aussi tu crois qu'elle va jouir?

Il ponctue sa question, en pointant Martha du menton. Je lui souris en répondant :

- J'en suis persuadé.

- Même du cul? On ne l'a pas prise souvent par là.

- Je sais, c'est moi qui l'ai dépucelée il y a même pas trois heures. Mais elle jouira, j'en suis certain.

- On verra bien.

Radiu reprends son viol sauvage, réenclenchant des hurlements stridents de la part de ma belle-mère. Mon père c'est de nouveau assit. Il a but d'un trait sec sa seconde vodka. Aussitôt, un serveur lui en a servit une autre. Radiu avait laissé des instructions, il savait recevoir.

Les cris puissants de Martha décuple encore, son violeur, la prend de plus en plus vite. Il n'est pas loin de l'éjaculation. Quand il se vide dans les entrailles de sa proie, lui brûlant les chairs intimes, les cris de la salope se modifie considérablement. De souffrance, ils deviennent jouissance. L'orgasme le plus puissant qu'elle n'est jamais connu la foudroie. L'homme se retire d'un seul coup de l'anus de sa proie. Martha pleure autant de douleur, que de la honte dû à sa jouissance. Radiu s'enfonce dans la bouche de sa victime pour lui faire nettoyer sa bite. Martha s'exécute automatiquement. Une fois propre, il range sa pine dans son pantalon. Il redresse ma belle-mère par les cheveux.

- Messieurs, cette chienne est a vous!

Aussitôt, les vingt-cinq clients du bar se lève. Depuis notre arrivée, de nouveaux habitués sont entré. Le roumain envoi la femelle vers les hommes. Il n'a même pas le temps de s'asseoir, que déjà la salope se retrouve à quatre pattes, prise en levrette. Une bite dans la chatte, une autre dans la bouche. Il regarde Léa qui est de nouveau assise après le viol de mon père.

- Tu ne perds rien pour attendre. Je recharge un peu pour m'occuper de toi!

Ma sœur ne dis rien, se contentant de baisser la tête. Je prends mon sac à dos, sort le sachet plastique où se trouve mes pilules, j'en pose une devant Radiu, une autre devant mon père, j'en gobe une moi même. Mon paternel avale la sienne. Le maquereau nous regarde.

- C'est quoi? Je ne prends pas de drogue.

- Ce n'est pas une drogue, c'est comme la petite pilule bleue pour bander, mais énormément amélioré. Il n'y a que des truc légaux dedans.

- C'est sur?

- Tu ne crois pas que j'en aurais pris une sinon.

- Je te fais confiance.

Radiu l'avale. Immédiatement il se met à bander. Il se redresse, attrape Léa par les cheveux, il la courbe sur la table. Il lui arrache ses vêtements, la pute devra rentrer nue. Ma sœur hurle dés que le roumain pénètre son anus, se mettant à la défoncer comme un fou.

- Cette salope est encore plus serrée que l'autre.

- Normale, dis-je, je ne l'ai dépucelée que vendredi soir, elle était totalement vierge.

- Mon pote, tu es vraiment un gars génial.

Je souris, je suis vraiment content du compliment de Radiu. Il se concentre sur le viol de ma sœur. Cette dernière crie comme une truie. Rapidement le roumain arrive à l'éjaculation, jouissant torrentiellement dans les entrailles de Léa, qui a son tour, est dévastée par un orgasme puissant.

Radiu se retire des reins de sa victime. Je regarde Martha, les hommes se succèdent dans son vagin, son cul et sa bouche. J'envoie le paquet de pilules à Radiu.

- Ils vont en avoir besoin, si ils veulent durer.

- Pas con ça.

Le maquereau se lève, il distribue mon inventions aux clients, leurs expliquant à quoi cela sert. Pas de doute, la nuit va être longue.

Je regarde Léa, qui reste toujours arc bouté sur la table. J'ai alors une merveilleuse idée. J'en parle à Radiu et mon père. Les deux sont enchantés.

- J'ai un matelas dans l'arrière-bar, Hugues viens avec moi, on va le chercher.

Cinq minutes plus tard, les deux hommes sont là, ils mettent le matelas par terre. Radiu se couche dessus, le braquemart dressé comme un mat. Je soulève la tête de Léa.

- Va te mettre sur ton nouveau patron, la bite dans ta chatte. Tu vas le baiser.

- Pitié.

- C'est un ordre.

Comme une zombie, ma sœurette obéit. Je vois son magnifique corps nu se lever, bouger, pour aller s'empaler sur Radiu. Je la laisse monter et descendre quelques instants sur l'engin de mon nouvel ami, avant de me lever à mon tour. Me voyant faire, le roumain plaque Léa contre lui, restant toujours empalé dans son ventre. Quand la putain sent que je la tiens aux hanche, que le gland de ma bite se pose contre la petite étoile plissée qui garde l'entrée de ses reins, ma frangine tourne sa tête vers moi.

- Tu fais quoi Jonas? Tu fais... Glumph...

Léa n'a pas le temps de finir sa phrase, mon père l'a attrapée par les cheveux, avant de s'enfoncer dans sa gorge. Je me mets alors à forcer pour pénétrer le cul de ma sœurette. C'est difficile, elle est encore plus serrée que pour sa première sodomie. L'épais sexe du roumain comprime énormément le conduit anal de ma frangine. Si la bite de mon père n'étouffait pas les hurlements de Léa, je pense qu'ils se seraient entendus à des kilomètres à la ronde. Ma bite est vraiment compressée par les reins de ma proie. C'est un véritable étau de chair. Mais un étau parfait, qui m'arrache des gémissements de plaisirs intense, tellement le cul de ma sœur est délicieux. Autant vous dire que l'on ne résiste pas longtemps dans le corps de Léa. On jouit comme des fous, torrentiellement, en même temps. La pute ressent un orgasme démentiel la traverser quand on se déverse en elle. Puis on repart pour un tour. On tourne. Je me retrouve dans sa chatte, Radiu dans sa bouche, mon père entre ses fesses. Une fois vidée de nouveau, Léa ayant eut son orgasme, on change de trou une dernière fois, moi dans sa bouche, mon père dans sa chatte, Radiu dans son cul. Les autres nous imitent avec Martha, la prenant en triplette.

Quand on s'est vidés, on a prêté Léa aux clients. Mon père l'a suivit, il était vraiment fou de sa fille. J'en ai profité pour discuter avec le roumain.

- Alors, ma marchandise te satisfait?

- Au delà de mes espérances. Même les tops escort ne sont pas aussi parfaite.

- Tant mieux. Pour le prix pour les baiser, tu as décider quoi? Tu vas les faire tourner à combien d'euros la passe?

- Ben déjà ça dépend de ta part.

- Je n'en veux pas.

- Super bonne nouvelle ça!

Radiu et moi, avons rit longtemps de sa blague.