Hypnose Mécanique 02

- Plus sérieusement, tu va les mettre à combien?

- Vingt-cinq pour cent de plus par rapport aux autres pour Martha. Léa est plus jeune, plus belle ce sera cinquante pour cent de plus.

- C'est trop, mets les deux à trente pour cent de moins que les autres putes.

- C'est pas possible, elles n'auront plus de clients, elles iront bosser ailleurs, à l'arrivée je perdrais de l'argent. Ces putes ne m'appartiennes pas. Elles bossent pour moi pour la protection que je leurs offre contre les flics, ainsi que les clients violent. Mais si elles gagnent moins que dans la rue, ou que dans un autre bar, elles partiront.

- Léa compensera en venant plus souvent...

- Ce ne seras pas suffisant.

- Tu ne m'as pas laisser finir. Ma conne de sœur, compensera le temps que je te trouve une remplaçante après chaque départ.

- Des aussi jolies?

- Du même niveau que Martha.

- Je marche, mais ce seras plus diversifiée.

C'est a dire?

- Il me faudra une mature, superbe, dans la cinquantaine. Un canon de quarante ans. Deux canon entre vingt-cinq et trente ans. Deux entre vingt et vingt-cinq. Pour finir, deux filles parfaite, entre dix-huit et vingt ans. Par contre pas de mineurs, je ne touche pas à ça. Même à un jour prêt.

- Ça fait beaucoup plus que sept fille ça.

- Je veux m'agrandir, puis de la top qualité c'est bon pour les affaires.

- D'accord, je te fournirais autant de fille que tu en auras besoin.

- Je serais reconnaissant.

- Je veux pas de fric.

- Tu n'auras pas le choix, je te filerais la moitié de ce que je gagne en plus par rapport à maintenant. Je suis un mac, pas un arnaqueur.

- D'accord.

- Tu ne voudrais pas me dire comment tu fais? Ta sœur et ta belle-mère t'obéissent au doigts et à l'œil. Je sais bien que tu me fourniras les autres. Dis moi juste comment.

- Non, je dirais rien.

- Dommage mon ami. En tout cas merci. Si on allait prendre un peu Martha pour se vider. Ta pilule marche si bien que j'ai de nouveau les couilles pleines.

- Allons-y.

On s'est levés en rigolant, nous nous somme dirigés vers les deux filles.

La nuit fut longue. On est repartie à six heures du matin. Mon père et moi n'avons pas autorisé les filles à se rhabiller. Elles débordent de sperme. Elles sont anéantie, détruite. Autant par les nombreux viols subit, que par leurs orgasmes ressentie à chaque vidange d'un mâle dans leurs corps. Martha est encore plus détruite que Léa. Ma belle-maman sait que ce soir, à dix-huit heures, ça recommence pour elle. Le retour se fait dans le bruit de succion. Léa, assise à l'avant suce mon père, pendant que ce dernier conduit. Martha elle, doit me satisfaire avec sa bouche. Une fois arrivée, mon père et Martha monte se coucher. Moi je vais dans le canapé avec Léa. Mais avant ça, je suis monté chercher ma machine. Inutile de vous dire, que tous, nous sombrons immédiatement dans un profond sommeil. Nous n'avons en plus pas d'heures pour nous lever, le lendemain c'est férié, a part Martha, personne ne travaille ou n'a cours.

C'est la sonnerie de la porte qui me réveille. Je me lève, je n'ai que mon pantalon. J'ouvre la porte. Je reste stupéfait, c'est Siobanne. Elle est magnifique. La jeune femme à les cheveux attachés en queue de cheval. Elle porte une petite robe jaune, décolletée, qui met en valeur son superbe corps. Je la laisse entrer. On est dans le vestibule, je n'ai pas prononcé un mot.

- Léa est là, J'ai rendez-vous avec elle.

- Oui...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, que Siobanne ouvre de grands yeux ronds.

- Léa? Il t'es arrivée quoi?

Je me retourne, ma sœur se trouve derrière moi, en tenue d'Ève.

- Tu es nue? Couverte de sperme? C'est ton taré de frère qui t'as fait ça?

Ma sœur se jette dans les bras de son amie en pleurant. Moi, je sort ma machine de ma poche, j'appuie sur le bouton. Aussitôt les deux filles se raidissent, elles se tournent vers moi, le regard vide, attendant mes ordres.