Hypnose Mécanique 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je traverse la rue, je me rends en face. Les vingt-trois filles sont toutes assises en silence, un verre devant elle, le regard toujours vide. Mon père arrive dix minutes plus tard. Il regarde les filles interloquée.

- C'est qui?

- Les putains pour Radiu et toi.

- Merde, il n'y a que des canons. Mais il y en a pas un peu trop?

- Oui, c'est volontaire, deux d'entre elles resteront à la maison, pour nous servir de vide couilles.

- Superbe idée, lesquelles?

- On fera tourner.

- Parfait.

- Papa, prend Lin avec toi, allez-y, il faut que je leurs parle.

- Je ne peux pas rester?

- Non, je ne préfère pas.

- Comme tu veux fiston, c'est toi qui dirige.

- Lin, laisse-moi les clés de ta voiture, je passe te prendre lundi matin.

- D'accord.

La japonaise me donne les clés de sa caisse, si j'ai le permis, je n'ai pas de voiture. Enfin, si, maintenant j'en ai une. Quand mon père et Lin sont partis, je regarde les filles.

- Les vierges vous restez, les autres on se retrouve devant le bar « La chatte brûlante » mardi à quatorze heures. Même rendez-vous pour les vierges. Que toutes celles qui ne vivent pas seule, viennent avec un papier où elles auront notée leurs adresses. Compris?

- Oui.

Réponse chorale.

- Bien, oubliez cette conversation, retournez danser.

Il ne reste que les neuf vierges.

- Les vierges, on se retrouve sur le parking de ce bar, lundi à quinze heures trente. Ce rendez-vous est en plus de l'autre. Compris?

- Oui.

- Parfait, oubliez aussi cette conversation, retournez danser.

Une fois seul, je sort à mon tour, je prends la voiture de Lin, me dirige chez Siobanne.

Pour ne pas qu'elle m'entende, je me gare en face sa villa, je ne rentre pas dans son allée. Il est deux heures du matin quand je sonne à la porte de la jeune miss. Elle descends aussitôt pour m'ouvrir, comme si elle ne dormais pas en m'attendant. Elle est en culotte et tee-shirt, je me retiens pour ne pas céder et la baiser de suite. Une fois de plus j'ai droit à son plus beau sourire.

- Lin n'est pas avec toi?

- Non, je l'ai filer à mon père.

- Comment ça?

- Elle va dormir avec lui, quoique je ne pense pas qu'elle dorme beaucoup.

- Tu ne sors plus avec?

- Si, bien sur, mais je partage.Puis ça reste dans la famille.

La jeune femme me regarde bizarrement, mais ne dis rien. Peut-être qu'elle se demande, si je la partagerais elle aussi avec mon père, si nous sortions ensemble.

- Tu dors avec moi?

- Si tu veux, mais tu ne me touche pas.

La jeune métisse semble déçu.

- C'est mieux que rien. On y va?

- Attends, tu as l'argent?

- Oui, bien sur.

Siobanne me tends une enveloppe épaisse. Je sort les billets, les recomptes. Pas que je n'ai pas confiance, je sais qu'avec mon hypnose, elle ne peut me mentir. C'est juste pour l'humilier encore un peu plus.

- Le compte est bon. On peut y aller.

- C'est la première fois que je paie pour passer du temps avec quelqu'un. D'habitude, c'est moi que l'on veut payer.

- Je sais, il faut un début à tout. Tu as beaucoup d'argent chez toi.

- On m'a payer au black des prestations privées de miss. Mais je te rassure rien de sexuel.

- Je sais. Pour moi c'est pareil, tu paies, mais il n'y aura rien de sexuel.

- Il faut que je tienne vraiment à toi pour ça.

Je ne relève pas, ne répond pas. La nuit se passe à merveille, même si je me retiens pour ne pas la baiser.

Quand je me réveille à midi, Siobanne est déjà lever. Je descend, elle est à la cuisine en train de préparer le petit-déjeuner. On mange le repas du midi vers les quinze heures. On discute beaucoup. Enfin, Siobanne parle beaucoup, moi j'écoute. Vers dix-neuf heures je prends congés d'elle. Elle est triste que je parte. Je vais pour traverser la rue quand mon téléphone sonne, c'est Radiu.

- Allô, mon pote?

- Ça va Radiu?

- Yes. Juste pour te dire, tu avais raison pour les filles. Il y en a deux qui me quittent après leurs taf ce soir.

- Bien, Lin est prévu à partir de demain, elle en compensera une, je dirais à Léa de passer aussi, ça compensera l'autre.

- Parfait, merci beaucoup.

- Ne me remercie pas, au fait j'ai besoin de toi demain à seize heures.

- Bien, pourquoi faire?

- Surprise. Il y aura aussi mon père. Ce serais bien que tu viennent avec en plus cinq des flics qui te protègent.

- Comment tu sais ça toi?

- Je sais beaucoup de choses, alors ça marche?

- Oui, bien sur, on se retrouve où?

- Au vieil entrepôt Glandasse.

- Mais c'est abandonné depuis longtemps. Je le sais bien, il se trouve juste derrière mon bar.

- Je l'ai racheté pour une bouchée de pain, tu verras, ma surprise te plaira.

- Je sais, je suis habitué maintenant. Allez, salut mon ami.

On a raccroché. J'ai remis mon téléphone dans ma poche, quand un taxi c'est arrêté devant la villa de Siobanne. Deux personnes de sexe féminin en sont descendu, sans un regard pour moi. J'ai traversé la route, je me suis retourné. Le taxi est en train de sortir leurs valises. Je reste subjugué par la beauté des deux femmes, elles ne sont pas très loin de la magnificence de Siobanne. L'une à la quarantaine, blonde aux yeux bleus, mince, des formes pulpeuses. L'autre doit avoir vingt ans maximum, châtain claire, la peau très claire. Je n'ai aucun mal à deviner qui elles sont. La sœur et la mère de Siobanne. Immédiatement une merveilleuse idée me vient. Je connais très exactement la suite des événements.

Quand je rentre chez moi, mon père est assis dans le canapé, il regarde un match de foot. Lin, nue, est agenouillée devant lui, en train de le sucer. Une fois qu'elle a finit, Lin se relève, elle est surprise de me voir, elle ne m'a pas entendue rentrer.

- Lin, demain on part ensemble à l'université. Réveille-moi à huit heures.

- Si tard?

- C'est suffisant, on ne commence qu'à neuf heures.

- Mais il faut que je passe chez moi me changer, me maquiller.

- Pas la peine, tu iras comme ça. Je vais me coucher, toi tu dors avec mon père.

- D'accord.

La jeune asiatique est déçu de ne pas dormir avec moi. Mais c'est comme ça, je suis fourbu de fatigue, pas question de galipettes ce soir.

Lin me réveille en me secouant doucement. La japonaise est nue, l'air fatiguée.

- Tu n'as pas dormi?

Seulement une heure, ton père m'a tellement baisée que je peux à peine marcher.

- Je vois ça, tu es couverte de sperme.

- Oui, je peux prendre une douche?

- Vas-y, mais d'abord suce-moi.

Après sa fellation, Lin est partie se doucher. Elle y est restée longtemps. Quand la jeune femme est ressortie, elle portait les même vêtements que samedi et dimanche. Ils étaient froissés. A son visage, sa façon de marcher, on voyait bien qu'elle avait prit cher, fait une nuit blanche. C'est moi qui pris le volant. Je me suis garé sur le parking de l'université. Lin m'appris une chose qui me fit plaisir.

- Tu sais que maintenant ce parking à un surnom?

- Non, lequel?

- « Le parking de Léa la chienne ».

Je souris, ma sœur à donné son nom à un parking. Je ne le sais pas encore, mais il gardera ce nom jusque à la fin des temps. Quand on est descendu de la voiture, Lin me donne la main, on s'embrasse goulûment plusieurs fois. . J'entends des murmure derrière nous. Tous se demande comment, moi, un des mec les moins aimés de l'université, puisse sortir avec une fille aussi jolie, aussi inatteignable que Lin. Ils ne sont pas au bout de leurs surprises. Les cours se passent bien ,je suis assis entre Siobanne et Lin. Je suis au paradis.

Je finis les cours à quinze heures. On sort de l'amphi avec Lin et Siobanne. Je les regardes :

- Lin je garde ta voiture, maintenant elle est à moi. Une objection?

- Non.

- Parfait. Tu vas chez moi, mon père n'est pas là, mais tu l'attendras. De toutes façon ma sœur et ma belle-mère y sont. Compris?

- Oui.

- Siobanne, tu dépose Lin chez moi. D'ailleurs tu le fera tout les soirs.

- Bien. On se voit ce soir? Tu passe chez moi?

- Oui, il faut que je te parle. Je t'appelle quand je suis devant chez toi, tu sortiras. Je ne veux pas rentrer.

- D'accord.

Je pars aussitôt, les laissant en plan.

Avec la voiture de Lin, je suis allé sur le parking du bar en face « La lapine rose ». Toutes mes vierges sont là. Il y a deux jumelles brunes, une black, une hindoue, deux maghrébines, une rousse, une châtain et enfin une blonde. Toutes sont des bombasses, plus belle que Martha, un peu moins que Léa. Trois seulement ont des voitures, je leurs ordonnent de se débrouiller pour que celles véhiculée prennent celles qui ne le sont pas. On se dirige vers l'entrepôt Glandasse. Le temps de mettre tout en place, il est l'heure de retrouver Radiu et les autres. Je sort, ils m'attendent devant.

J'appuie sur ma montre, tous se raidissent, le regard vide.

- Vous accepterez tous ce que vous verraient dedans, sans vous poser de questions une fois partis. Compris?

- Oui.

Réponse chorale.

- Bien, je vais vous donner des pilules, vous les avalerez sans poser de question. D'accord?

- Oui.

- Parfait, oubliez cette conversation.

Je distribue mes pilules magique à chacun d'entre eux. On entrent dans l'entrepôt, tous se figent, ébahit par le merveilleux spectacle.

Quelques minutes plus tôt, dans l'entrepôt avec mes vierges :

Les filles sont entrées avec moi. Maintenant elles sont au milieu de la pièce, se demandant pourquoi elles sont ici. J'appuie sur ma montre, les mettant sous mon contrôle mental.

- Déshabillez-vous, mettez ensuite vos habits dans un coin de la pièce, puis revenez, vous vous mettrez en long. Il y a des matelas par terre, que chacune se mette devant l'un d'eux.

En cinq minutes les filles sont nues, devant un matelas.

- Voilà, vous êtes des otages. Deux filles ont tentées de s'échapper, elles ont été abattues. Vous êtes terrorisée, tellement terrorisée, que vous obéirez à chacun de mes ordres. Compris?

- Oui.

- Bien, je ne vous donne aucune autre directive. Vous réagirez de la façon que vous auriez eut à chaque action qui se présenteront à vous. La seule chose que je vous ordonne, c'est d'obéir aveuglément à chacun de mes ordres. Compris.

- Oui.

- Parfait, revenez à vous.

Les filles reviennent à elles. Toutes se mettent à pleurée. Je teste mon ordre.

- Mettez-vous à quatre pattes sur les matelas. Interdiction de pleurer, de parler, de supplier. Interdiction de bouger. Vous allez attendre la suite des événements comme de braves animaux que vous êtes. Allez-y.

C'est parfaitement synchronisé, les neuf filles, pleurantes, obéissent à chacun de mes ordre. Il est l'heure, je sors chercher mes invités.

Les hommes restent bouche-bées devant le spectacle des filles prêtes à être prise en levrette. Aucun ne prononce un mot, on entend que les sanglots de mes chiennes. J'ai fait mettre une des jumelles à chaque extrémités. C'est elle que j'ai choisit pour être les premières à rester chez moi, à la disposition de mon père et moi. Rien que de penser que je fais les forcer à se gouiner, me fait déjà bander comme un âne.

- Messieurs, ces filles merveilleuses sont toutes vierges. Comme je suis votre fournisseur, il est normal que je passe le premier. Une objection?

Personne ne parla.

- Bien, voilà comment cela va se passer. Je vais dépuceler la première, je vais la baiser un peu, puis je vais passer à la seconde. A ce moment, mon père prendra la première. Quand je passerais à la troisième, mon père se retirera de la première pour baiser la seconde. Radiu baisera la première. Je passerais ensuite à la quatrième, mon père à la troisième, Radiu à la seconde, un autre à la première. Et ainsi de suite, jusque à ce que j'arrive à la dernière, avec qui je finirais ma copulation. Chacun pourra ainsi jouir dans une de ces putain.

Les sanglots des filles augmentèrent de volume en comprenant le terrible sort qui les attendaient. Je repris la parole.

- Tout le monde à compris?

Tous acquiesce de la tête.

- Une question?

Radiu prit la parole.

- Mais si, par exemple, je jouis dans la troisième, il se passe quoi?

- T'en fais pas, avec ma pilule, tu continuera. Jusque à arriver à la tienne.

- OK. Pour l'ordre de passage, on fait comment?

- Moi en premier, mon père en second, toi en troisième. Pour les autres, qu'ils s'arrangent entre eux.

Je continue mon laïus.

- Quand toutes auront eut leurs premier sperme, je dépucellerais le cul de la dernière, on recommence comme pour le vagin, dans le même ordre de passage. Sauf que je vais sodomiser en dernier, la pute que j'ai dépuceler en premier. Compris?

Nouvel hochement de tête.

- Parfait. Une dernière chose, ces chiennes seront ensuite à notre totale disposition. Tout sera permis sur elles. Sauf d'abîmer leurs visages. Messieurs, c'est parti, bonne baise.

Ce fut paradisiaque. J'ai dépucelé analement et vaginalement chacune de ces connasse qui ne m'auraient pas regarder quelques jours plus tôt. Elles m'auraient traitées avec dédain, se seraient moquées, voir se seraient montrer méchante. Là, elles n'étaient plus que des trous à bites, mes trous à bites. J'avais fait un bon choix, les deux jumelles étaient les meilleures coup du groupe. Elles ont dix-huit ans, elles s'appellent Cindy et Laure. On a baiser toutes ces putains jusque à vingt-trois heures, chacune a vue ses orifices violés plusieurs fois. Une fois tous vidés, les hommes sont rentrés chez eux. Je suis rester seul avec les filles. Toutes étaient allongées sur le sol, pleurant de tout leurs corps, choqués au plus haut point. Je les ai remis en transe.

- Mesdemoiselles, vous allez rentrer chez vous. Vous n'oublierez pas ce qu'il vient de ce passer ce soir. Mais aucune ne portera plainte. Vous n'en parlerez à personne. Compris?

- Oui.

Comme à chaque fois, la réponse fut chorale.

- Je vous terrorise, vous accepterez tout de moi, même de vous prostituer. Compris?

- Oui.

- Parfait, n'oubliez pas notre rendez-vous de demain. Rentrez-toutes chez vous, oubliez notre conversation.

Les filles sont parties chez elles après s'être rhabillées. Moi je suis rentré chez moi.

Quand je suis arrivé, mon père est en train de sodomiser violemment Lin sur la table du salon. Il est vraiment insatiable niveau cul. La japonaise n'est toujours pas habituée à se faire enculer. Il suffit d'entendre ses cris pour s'en rendre compte. Je m'approche d'eux, je soulève la tête de Lin par les cheveux. Elle me jette un regard emplit d'horreur et de douleur.

- Quand mon père en a finis avec toi, viens me rejoindre. Ne te lave pas.

- D'accord.

Elle me rejoindra une heure plus tard. Pour se faire casser le cul par moi.

J'ai appelé Siobanne le lendemain matin pour qu'elle vienne chercher Lin. Je n'avais pas envie d'aller en cours. La jeune femme est déçu de ne pas me voir aujourd'hui, surtout que j'ai oublié notre rendez-vous de la veille. Je lui promets de venir la voir aujourd'hui ou demain. Je me suis rendormi jusque à midi. A quatorze heures, j'étais sur le parking du « chat brûlant ». Les vingt-trois filles étaient là. Je les aient mis en transe, leurs ordonnant de me suivre jusque à l'entrepôt Glandasse.Mon père et Radiu devaient nous y rejoindre un peu plus tard. Je leurs avaient téléphoné. Pour dire à Radiu qu'ils prévoient d'ouvrir le bar ce soir, qu'ils virent les autres putes. J'ai dit à mon père que son bar ouvre le soir même. Les deux étaient ravis.

J'ai fait rentrer mon groupe de lesbiennes. J'ai alors commencer mes explications sur leurs futures vies. Après avoir pris à chacune des filles ne vivant pas seule, leur papier avec leurs adresse. Il y en avait treize, j'allais avoir du boulot. J'irais voir chacune des personnes vivant à cette adresse, pour qu'elles acceptent que mes nouvelles putes ne vivent plus chez elles. Pour toutes c'étaient leurs parents. Avec un peu de chance, une mère ou une sœur me plairait. Je les aient fait toutes mettre nue, avant de commencer mes ordres.

- Pour commencer, pour celles qui n'étaient pas là hier soir, je vais vous implanter un souvenir. Vous vous êtes fais violer sauvagement hier par un groupe de proxénètes. Deux filles ont tentées de fuir, elles ont été abattues. Cette action vous a enlevée toute volonté de résistance, de fuite ou de porter plainte. Vous êtes tellement terrorisée, que vous accepterez tout ce que je vous demande. Compris?

- Oui.

- Parfait. Maintenant je m'adresse à vous toutes. Vous allez vous prostituer pour moi, ainsi que pour les deux hommes qui vont arriver sous peu. Vous le ferez contraintes et forcées, sachant que seule la mort vous attends si vous tentez quoique ce soit. Aucune de vous ne tentera quoique ce soit contre elle-même. Vous accepterez tout de vos clients, même les choses les plus abjects. Vous pouvez pleurez avec eux, si l'un d'eux vous demandent pourquoi vous pleurez, vous donnerez deux sortes de réponses. Si ça lui plaît de vous faire mal, vous lui direz la vérité, que vous êtes contrainte de faire la putain. Si par contre, vous sentez qu'il n'est pas content, vous lui direz qu'il est trop bien membré, que vous débutez, que sa bite vous fais mal. Compris?

- Oui.

- Bien. Une dernière chose, si des fois, des flics vous interrogent, vous direz vous prostituer de vous même, de le faire pour le fric. Compris?

- Oui.

- Parfait. A partir de maintenant, vous vivrez ici. Chacune aura son matelas, il y a des douches, des frigos pour la bouffe, ce sera suffisant. Vous irez bosser seule, reviendrez ici seule, sans qu'aucun homme ne vous accompagne, sauf si c'est pour vous baiser. Vous ne tenterez pas de fuir. Compris?

- Oui.

- Parfait. Revenez à vous, oubliez cette conversation. On va attendre mes amis.

Moins de dix minutes plus tard, ils étaient là.

Une nouvelle fois, ils ont été ébahit par les filles. Mon père ne dit pas un mot, tellement il était heureux devant ce cheptel. Seul Radiu réagit.

- C'est qui?

- Nos putes.

- Merde, elles sont magnifique, c'est des top-modèles, du très haut de gammes. Bien plus belle que Martha. Seule Léa est encore plus bonne, mais de très peu. Bravo.

Mon père, pour la première fois de sa vie me prit dans ses bras. J'ai faillit pleurer.

- Bon ben choisissez. Par contre, les jumelles resteront chez moi cette semaine. Ensuite ça tournera, deux par semaine resteront chez moi. Ça vous fait douze filles chacun, choisissez.

Le partage fut équitable. Mon père eut quatre des vierges dépucelée la veille, ainsi que la belle trentenaire. Martha resterait avec Radiu. Pour Léa et Lin, ce fut la garde alterné. Quand elles se prostitueraient, le samedi dans le bar de Radiu, le dimanche elles iraient chez notre père. Les jours serait inversé le week-end d'après. Nous décidâmes aussi, mon père est moi, que ma sœur arrêterait l'université. Si elle continuerait à se prostituer avec les étudiants, le soir elle irait au tapin dans les bar. Une semaine chez l'un, une semaine chez l'autre, Lin restant avec elle. Les deux hommes étaient heureux. Nous ne le savons pas encore, mais d'ici trois mois, le chiffre d'affaire de Radiu va être multiplié par trois. Si au début mon père fera vingt-pour-cent de moins de chiffre, en six mois il fera pratiquement le même que le bar de Radiu. Cette affaire fut un vrai succès.

Après ma petite présentation, j'ai emmené les jumelles chez moi. Je ne me suis pas privé de les prendre chacune, dans la chatte et dans le cul. Une fois bien vidé, je suis allé voir Siobanne, il était dix-neuf heures. Elle voulait discuter avec moi, on allé discuter. Je me suis donc garé en face de chez elle. Je lui ai envoyé un petit SMS pour qu'elle me vienne. Je suis resté dans la voiture. Quand elle est arrivée, j'ai baissé la vitre coté passager. Siobanne a passée la tête dans l'habitacle.

- Monte.

- On va où?

- Discuter dans une coin tranquille.

- D'accord.

On a parlé de tout et de rien. Je l'ai emmené aux entrepôts Glandasse. Les filles étaient dans les bars, on y seraient tranquille. Le trajet à duré une quinzaine de minutes, nous avons discuté de banalité. Une fois à l'intérieur, Siobanne à regardée les lieux, surprise par les matelas au sol.