J'appartiens à Snake désormais Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Sur ces mots elle me poussa hors des toilettes pour retourner au bar, les sifflets et les commentaires salaces saluèrent mon retour dans la salle.

Puis je retournais dans le magasin, où je pus ré-enfiler mes chaussures, ma micro-jupe, et le tee-shirt, je me sentais mieux, bien qu'aussi peu vêtue, après avoir été aussi longuement exposée aux regards concupiscents de ces hommes.

Snake me tendit le sac avec les vêtements qu'il avait choisi et une fac-ture phénoménale.

- "On a fait un sacré extra dans cette boutique, Je le fends avec vous."

Je regardais stupidement la facture, et à la paire de billets de banque qui l'accompagnait.

10 dollars pour salaire de mon gang-bang! .....

Je me contentais de souffler :

- "Merci monsieur....."

Snake lui sourit et nous retournâmes au bar vider une paire de demis.

J'avais passé tant de temps entièrement nue que je ne faisais pas atten-tion au fait que mes nibards et mon cul étaient découverts.

Normalement je ne bois jamais de bière, mais je sirotais toutes les bières que Snake commandait.

Snake dit au revoir à ses copains et nous étions sur le point de sortir lorsque l'un des hommes accoudés au bar intervint :

- "Hey Snake, si tu veux, je peux déposer ce sac chez toi dans la soirée, je suis en camion... "

Snake répliqua :

- "Merci Mickey... J'apprécie ton geste! ....." et il lui tendit le sac.

On sortait lorsque je réalisais que mes vêtements initiaux se trouvaient dans le sac.

- "Monsieur... " commençais-je craintivement "Puis-je dire quelque chose? ...."

Il me jeta un coup d'œil intrigué et m'interrogea :

- "Que veux-tu salope? ...."

- « Monsieur, je devrai rentrer chez moi tout à l'heure... Je ne peux pas le faire dans cette tenue! ..... Mes vêtements se trouvent dans le sac..... »

- "Tu rentreras chez toi dans la tenue que te dirai! ...... Tu portes ce que je veux quand je le veux! ...... As-tu une autre question? ...."

- "Non monsieur....." soupirais-je désespérée. Je reprenais ma route résignée à retourner chez moi dans cette infâme tenue de pute.

Mais avant que nous sortions du bar, Mickey ajouta :

- "Hey Snake, si ta pute me fait une autre pipe, je te ramène le sac chez toi d'ici un petit quart d'heure! ..... Est ce d'accord? ..."

Snake lui sourit et répliqua :

- "Ca marche pour moi! ..... Es-tu d'accord salope? ....."

Comme si j'avais le choix! .....

- "Oh oui monsieur, si c'est ce que vous voulez! ...."

Des spectateurs explosèrent de rire et l'un d'eux commenta :

- "Bordel Snake, elle est drôlement arrangeante...... Tu cueilles son pucelage ce matin et ce soir elle connaît déjà sa place... J'aimerai que tu me formes une pute de cette façon... "

Snake rit à pleines dents et répondit :

- "Merde alors, je ne sais pas Bubba, c'est beaucoup de travail et de sacrifice pour y parvenir... Peut-être bien qu'on pourrait en trouver une avec un peu de cervelle! ..... Ce serait d'autant plus facile que ce ne serait pas une sombre idiote! ....."

Ils explosèrent à nouveau de rire à mes dépens, et nous sortîmes sur ces derniers commentaires salaces de Snake.

Il enfourcha sa moto et je m'assis derrière lui.

Mais cette fois il ne m'obligea pas à boucler mes mains autour de sa taille, je posais les mains sur ses épaules.

Cela me semblait beaucoup plus évident.

Mes nichons étaient totalement exposés à la vue des véhicules qu'on côtoyait, et dès que je bougeais ma minuscule jupe bouchonnait et devenait pratiquement inexistante, il me dit de ne la redescendre que si on croisait des flics.

Bien sur, dès que je bougeais ma micro jupe s'envolait et mes emman-chures s'élargissaient livrant tous mes charmes aux voitures qui circu-laient.

Les chauffeurs klaxonnaient et me hurlaient leurs encouragements sala-ces tout le long du chemin de retour. Je ne sais pas si l'on croisa des flics, je tenais mes yeux hermétiquement fermés.

On arriva à son domicile vers 14 heures, je devais rentrer chez moi pour 16 heures.

Peut -être bien qu'il serait las de me torturer pour ce jour, et qu'il me laisserait partir tout de suite! ....

Ce que je pouvais être stupide! .....

On pénétra dans la maison, il m'envoya dans la salle de bain prendre une douche rapide.

Je lui demandais une serviette propre, Snake rit et dit :

- "T'as encore de la chance que ne t'oblige pas à t'essuyer avec mes sous-vêtements sales! ..."

Je le croyais. Je pris une douche rapide et me sécha avec la serviette la moins souillée que je trouvais, puis-je remis mes nouveaux vêtements et revins dans le salon.

- "Tu n'as pas besoin de t'habiller quand on est à la maison! ..... Tu ne dois les porter que lorsque l'on sort! ..... "

Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait dire, puis, je vis son vi-sage se crisper et il me balança une sévère beigne.

Les vêtements, je ne devais pas porter de vêtements dans sa maison, pour ce qu'ils cachaient d'ailleurs! .....

Je me dévêtais prestement et me penchais pour enlever mes chaussu-res, mais il me dit de les garder aux pieds.

- "C'est très bien ma chérie... " concéda-t-elle sur le ton de la conversation, on a un peu de temps à tuer.

- "Qu'aimerais-tu faire? ...."

- "Tout ce que vous voudrez maître..." répondis-je aussi obséquieu-sement que possible.

- "Peut être bien que tu pourrais trouver quelque chose à sucer en attendant que Mickey ne ramène tes vêtements! .... Qu'en penses-tu petite salope! ....."

- "Oui maître... "

Que pouvais-je répondre d'autre?

- "Alors demande-le-moi! ...."

Il voulait que je lui demande de sucer sa bite! ....

Je pris une profonde inspiration, il m'avait déjà giflé deux fois aujourd'hui et je ne tenais pas à me prendre une troisième claque.

- "S'il vous plait maître, pourrais-je sucer votre pénis? ...." deman-dais-je servilement.

- "Mon quoi? ...." m'interrogea-t-il incrédule.

- "Stupide salope...... Si je t'entends encore dire un mot comme cela, je te flanque une rouste! ...... M'as-tu bien compris? .....

Je pensais que oui.

J'ignorais seulement de quels termes je devais me servir, et même si je connaissais ce vocabulaire qu'il voulait que j'emploie.

- "Je suis désolée monsieur, je n'ai jamais employé ses mots..... Je ferai de mon mieux je vous le promets! ...."

- "Que veux-tu dire, tu n'aurais donc jamais employé de termes grossiers! ....."

- "J'ai parfois dit merde quelque fois et parfois bordel! ...." rétorquais-je avec hésitation.

Je vis alors son visage s'empourprer et je comptais mon erreur.

- "Je suis désolée monsieur, je veux dire que je n'ai jamais dit que merde! ...."

- "Poste-toi devant moi salope! ...."

Lorsque je fus en place, il m'intima :

- "Montre du doigt les endroits les plus importants de ton corps et cite-moi leurs noms! ...."

- Ca s'avérait plus difficile que je l'avais pensé, eu égard aux épreu-ves que j'avais endurée toute la journée.

Je désignais ma poitrine et dit :

- "Mes nibards... " puis, je dirigeais mon doigt vers mon vagin et ajoutais :

- "Mon con... " puis désignant mon anus :

- "Mon trou du cul... "

Il désigna alors son pénis et me demanda :

- "Et ceci? ...."

- Une bite..." répondis-je docilement, j'écoutais ces mots couler de ma bouche pour la première fois, cela me gênait énormément.

- "Une bite et quoi encore? ...."

- "Une bite et des couilles! ...."

- "Désormais tu n'emploieras plus d'autres termes que ceux-là, mets-toi bien ça en tête! .... Tu m'as compris salope? ....."

- "Oui monsieur... " répondis-je misérablement.

- "C'est bon... " coupa-t-il " Et maintenant ramène ton cul et suce ma bite..... Et t'as intérêt à ce que ce soit bien fait! ...."

Je me dirigeais vers son entre-cuisse, mais il m'arrêta descendit son pantalon et son caleçon et s'assit face à moi.

Je le débarrassais de ces vêtements, il allongea ses jambes et je com-mençais par lui lécher les burnes.

La puanteur de ses organes génitaux était abominable. Il avait déjà eu des rapports sexuels avec moi, enfin ce n'est pas tout à fait juste, en réalité il m'avait baisée avant que nous quittions la maison ce matin même et il ne s'étirait pas lavé depuis.

Je ne crois pas qu'il m'avait baisée à nouveau dans le magasin, il était bien trop occupé à encaisser le fric de ces mecs qui voulaient me baiser.

Cela voulait donc dire son éjaculation avait séché...

Le foutre séché qui souillait sa queue et ses couilles dataient donc de quatre bonnes heures plus tôt.

De toute manière il semblait que sa dernière douche remontait à long-temps.

Je lui léchais les burnes, respirant par la bouche autant que possible pour éviter de renifler la puanteur, comme je lui léchais les burettes, sa gosse bite frottait contre mon visage.

Après quelques minutes il releva ses jambes sur les accoudoirs de son fauteuil et m'invita à approcher.

- "Allez chérie, enfouis ton visage entre mes cuisses...... Léche mon trou du cul comme tu le ferais pour une petite chatte! ...."

Je n'avais pas le courage de lui avouer que je n'avais jamais mignoté de chatoune, aussi enfouissais-je mon visage dans sa raie du cul et je lé-chais le pourtour de l'étroit oeillet.

C'était infâme. Je ne vous dis le goût qui s'en dégageait.

Mais je me débrouillais pour lui complaire, et bientôt il reposa ses jam-bes au sol et me dit :

- "C'est bon, et maintenant voyons si tu arriveras à me faire éjaculer avant l'arrivée de Mickey......"

Je ne l'avais pas vraiment sucé auparavant. Il m'avait baisé en bouche! ....

Mais j'avais une idée, je posai les lèvres sur son gland et commençais à le sucer avec enthousiasme.

Il s'enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche, j'essayais de le contenter sans étouffer.

Mais malgré tout mon bon vouloir, je ne parvenais pas à l'introduire dans ma gorge, j'avais peur qu'il ne me gifle violemment aussi tentais-je de tout mon cœur de l'absorber au-delà de ma luette.

Un moment plus tard il se lassa de mes vaines tentatives, il me saisit la tête et donna un violent coup de rein, il me contraignit à savourer sa pré-sence, puis il me libéra en remontant ma tête.

Il répéta plusieurs fois le même processus.

Après plusieurs tentatives il accrut encore la violence de son coup de boutoir et à ma grande surprise, horrifiée, je le sentis s'enfoncer dans mon arrière-gorge.

C'était douloureux, mais je me rendis compte qu'en m'appliquant, je par-venais à respirer par le nez.

Il se préparait à juter et m'en prévint.

Lorsqu'il cracha ses lourds jets de foutre, i se débrouilla pour que seul son gland se trouve entre mes lèvres, je pus ainsi savourer pleinement le remplissage de ma bouche. Je pouvais ainsi profiter de toute la saveur de son foutre.

Je me retirais et finis de le faire juter en le branlant d'une main cares-sante.

Juste avant de me remplir la bouche de sperme, il m'avait prévenu :

- "N'avale tant que je ne te l'aurai pas dit salope! ......"

Aussi restais-je quelques instants la bouche pleine de son amère potion.

Je me débrouillais pour contenir mes hauts le cœur, dès qu'il eut fini de vomir sa gourme il se retira de ma bouche et me regarda les joues gon-flées de foutre.

- "C'est bien ma chérie, on va avoir une sacré dose de plaisir tous deux, tu apprends vraiment très vite, je vais faire de toi une bonne petite salope en u temps record! ....."

- "Et maintenant quelques règles : tant que je ne te dirai rien d'autre, tu viendras chaque matin, je te dirai à quelle heure la veille, s'il y a un changement de plan, je te le téléphonerai....... Une fois rentrée chez toi tu pourras porter ce que tu veux, mais lorsque tu viendras chez moi tu mettras tes tenues de pute et il vaudrait mieux que je ne te trouve jamais portant des sous-vêtements! ....."

- "Oui monsieur....." marmottais-je sourdement la bouche toujours pleine de foutre.

- "Tant que je ne serai pas lassé de toi, et je ne sais pas dans com-bien de temps cela arrivera, tu feras tout ce que je veux sans me poser de questions, sans proférer la moindre remarque, et cela in-clut le fait de sucer ou de te faire baiser pat tous ceux que je te désignerais, hommes, femmes, bêtes..... As-tu une question à po-ser? ...."

- "Non-monsieur... " répondis-je humblement.

J'entendis à cet instant un véhicule se garer devant la maison, Snake m'intima d'avaler le foutre que j'avais en bouche.

J'avalais tout avec allégresse, j'espérais désespérément qu'il m'offrirait une boisson qui me permettrait d'estomper cet ignoble fumet que j'avais en bouche.

Snake me poussa vers la porte m'ordonnant :

- "Va ouvrir la porte! ......"

- "Bien monsieur....." je traversai de la pièce et ouvrais la porte juste au moment ou Mickey arrivait mon sac de vêtements à la main.

Je m'écartais pour le laisser passer, mais il me poussa devant lui et dit :

- "J'adore te voir marcher devant moi! ..... tourne du cul! ...."

Ces mots m'avaient toujours gênée, je ne les utilisais jamais bien sur, mais j'étais consciente que laisser les employer en parlant de moi était tout aussi humiliant.

Je haïssais ce type de comportement, mais il est vrai que pour eux je n'étais qu'un con à remplir.

Mickey jeta le sac sur le canapé et m'attira à lui.

Snake intervint :

- "Tu ferais mieux de ne pas lui rouler de pelle, je viens de lui coller une sévère giclée de foutre en pleine gorge! ....."

- '"Est-ce bien vrai salope? ...."

- "Ouvre grand ta bouche que je vois ça! ...."

J'ouvrais docilement ma bouche.

- "Ouvre la plus! ...." m'ordonna-t-il sèchement.

Je m'efforçais de l'ouvrir encore plus lorsque soudain je sentis qu'il tor-dait mes nichons de son autre main.

- "Force-toi ma chérie, je suis sur que tu peux faire mieux! ...."

J'ouvrais la bouche aussi grandement que possible, au point de dislo-quer mes mâchoires.

J'avais peur qu'il ne soit pas encore content.

Il me regarda alors droit dans les yeux m'interdisant de détourner le re-gard.

Puis il se pencha sur moi, me tenant par la chevelure d'une main, tordant mes nichons de l'autre et il cracha droit dans ma bouche, et il recom-mença encore et encore.

J'étais épouvantée jamais, je n'avais imaginé qu'on me ferait endurer une telle infamie, je n'avais jamais entendu parler de ce genre de rap-port.

Tout mon corps tremblait de révulsion, mais je ne bougeais pas d'un poil si l'on excepte ces tremblements convulsifs.

Ce type était bien pire que Snake.

Il lâcha finalement mes cheveux et m'ordonna de tendre la langue. puis il lâcha mes nichons et entreprit d'enlever son pantalon, il le descendit sur ses genoux et m'intima :

- "Je pense ma bite n'est pas assez lubrifiée... penche-toi, fais moi bander, enduis ma queue de salive que je puisse te baiser facile-ment! ...."

Il se pencha encore et j'embouchais sa mentule. Sa bite n'était pas aussi grosse que celle de Snake et cela prit du temps avant qu'il ne parvienne à s'introduire dans mon arrière gorge.

- "Eh bien mon salaud! ... " s'esclaffa-t-il s'adressant à Snake

- "Tu prétends que cette salope n'a jamais sucé de bite auparavant! .... Est-ce vrai? ...... Bordel ce qu'elle est bonne! ...."

Snake lui répondit fièrement :

- "C'est ce qu'elle prétend... Et je l'ai crue après sa première pipe! ...... Elle ne savait vraiment pas sucer une bite..... Mais sa chatte était si étroite et goûteuse en compensation! ..... Merde alors, elle était quasiment vierge! .... Une salope de 22 ans mariée à un connard à petite bite depuis moins d'un an... Elle m'a dit qu'elle était arrivée vierge à son mariage! ..... Tu crois ça mec! ...."

- "Eh ben mec t'as vraiment une chance de cocu, qu'elle bon coup! ....."

Il me repoussa brutalement et m'enjoignit de m'allonger sur le dos pour qu'il puisse vérifier l'étroitesse de mon chaton.

Je m'allongeais selon son gré comme une petite chienne bien dressée, instantanément il s'étendit sur moi.

Une nouvelle fois je fus surprise de contraster que mon vagin, pardon ma chagatte était à nouveau trempée de cyprine, prête à l'accueillir.

Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.

Il fora sa grosse bite dans ma chatoune et entreprit de me labourer vi-goureusement.

Il semblait que tous les motards oeuvraient ainsi à en juger par mon ré-cent gang bang! ......

Je ne sais pas s'il m'avait déjà baisée cet après-midi, mais il me chevau-cha longuement avant de gicler en mi.

Au début je me contentais de subir passivement attendant qu'il en fi-nisse.

Ma foufoune était douloureuse, et je n'espérais qu'une chose rentrer ra-pidement chez moi.

Mais après un bon moment je commençais à sentir mes sens répondre à ses assauts. Je me mis à gémir et lorsqu'il se pencha sur mon torse et entreprit de mâchouiller mes tétons, je commençais à jouir lourdement.

Lorsqu'il exulta à son tour, il me mordit si sévèrement un téton qu'une tache de sang en décora l'aréole.

Il resta étendu sur moi une bonne minute, reprenant ses esprits, puis il se releva, me fit mettre à genoux et m'invita :

- "Il semblerait qu'il y ait une chose que Snake ne t'a pas encore en-seigné ma petite chérie..... Lorsqu'un mec est assez gentil pour te baiser fougueusement, tu dois ensuite le remercier en lui nettoyant la queue rapidement! ...."

Je pris une profonde inspiration et je pris sa bite souillée en bouche fai-sant de mon mieux pour la nettoyer aussi vite que possible de façon à en savourer le moins longtemps possible le goût et de pouvoir à nouveau respirer librement.

Mais une fois que j'eus correctement nettoyé sa bite, je dus faire de même avec ses burnes aux flagrances plus que douteuses.

Je me débrouillais pour cacher mon dégoût de peur des répercussions.

Enfin Mickey se recula et remonta son pantalon.

- "Merci Snake, si tu as besoin d'un coup de main pour dresser cette pute, pense à moi je serai heureux de pouvoir t'assister! ...."

- "J'apprécie ton offre! ..." répliqua Snake hilare.

- "Ravi de t'avoir fais plaisir Mickey, à la revoyure! ...." et sur ces mots, Mickey nous quitta.

Snake se tourna vers moi et me dit :

- "Je veux te voir demain à 7 heures du matin, salope... Amène des produits de nettoyage ainsi qu'un aspirateur... Ma femme de mé-nage n'est pas venue depuis un bon moment, aussi t'occuperas-tu du ménage demain..... et maintenant tu peux riper tes galoches! ...."

Je sortais ma tenue usuelle du sac, mais Snake m'arrêta me disant de garder la tenue de cet après-midi, lui obéissant aveuglement je remis ma tenue de salope.

Je faisais tout pour partir rapidement et rentrer chez moi prendre une bonne douche avant de réfléchir à la façon d'affronter mon mari, mes parents, mon pasteur, mes amis, et tous ceux que je devrais rencontrer à un moment ou à un autre.

Je gagnais ma voiture, tachant de ne pas me faire remarquer, que les gens me connaissent ou pas.

Les voisins de Snake semblaient vaquer à leurs occupations sans s'oc-cuper du reste.

Je vis des gens qui travaillaient dans leurs jardins, mais personne ne sembla me jeter de coup d'œil inquisiteur.

*

6 novembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Vulgus

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