La femme du révérend 01

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs

Caroline regardait éperdue le jeune noir, repensant à son mari elle bredouilla :

- Oh mon Dieu... Je ne peux pas... Je suis mariée... Je ne peux pas faire ça... Je vous en prie... Comprenez-moi...

- Allez ma chérie, nous ne serons que nous deux à savoir... Je sais pertinemment que tu as une folle envie de te faire baiser! ... Répliqua Tyrone fermement.

- Quelle chambre occupes-tu? ... Je vais t'y rejoindre et je te baiserai toute la nuit... Je vais te donner du plaisir... Je te le promets ma chérie...

Eperdue, elle susurra timidement

- La 135...

Quittant le box, Tyrone lui intima :

- C'est bon ma chérie... Je vais t'y rejoindre... Prépare-toi pour moi... Fais-toi tentatrice... Je vais te baiser comme jamais tu ne l'as été...

Assise devant son miroir, Caroline brossait ses longs cheveux blonds.

Elle était follement honteuse de s'être laissé manipuler, mais elle ne pouvait nier son plaisir ni l'émoi que provoquait au fond d'elle-même cet arrogant jeune noir.

- Oh mon Dieu, que m'arrive-t-il? ...

Elle peignit ses lèvres charnues d'un affriolant rouge à lèvres, et un peu de poudre pour accentuer leur plénitude. Un peu de poudre sur les pommettes et d'ombre sur ses paupières, elle aimait l'image que lui renvoyait son miroir, celle d'une ravissante jeune femme riche de sa maturité.

Elle enfila une jupe qui lui tombait au-dessus des genoux bien sûr elle ne portait pas de mini-jupes, elle était femme de pasteur! ...

Elle chaussa des hauts talons et se regarda à nouveau dans le miroir, ces hauts talons mettaient en valeur les courbes parfaites de ses mollets.

Après 3 accouchements, ses nichons étaient restés bien fermes et bien ronds, avec de larges aréoles et des épais mamelons qui dardaient au travers de son corsage.

Elle ajouta un zest de parfum...

Le téléphone sonna soudain, elle empoigna le combiné, espérant que Tyrone n'arriverait pas trop rapidement.

- Hey, chérie... Son mari était au bout du fil.

- Les filles et moi voulions te dire combien on t'aime et combien tu nous manques... Allez les filles venez le dire à maman...

Chacune de ses filles discuta quelques instants avec elle lui retraçant leur journée, lui répétant à quel point elle leur manquait.

- je serai bientôt de retour les filles... Répliqua-t-elle émue.

Son mari lui racontait maintenant son dernier sermon qui portait sur le sexe et les préceptes de l'église, Caroline n'entendit pas entrer Tyrone.

Il s'approcha d'elle silencieusement et lui encercla soudain la taille de ses deux mains tout en l'embrassant dans le cou.

Ses mains remontèrent rapidement sur son torse pour palper ses nibards, il pinça alors les tétons raidis entre pouce et index et les titilla langoureusement toujours en l'embrassant dans le cou.

Elle releva la tête lui offrant un accès aisé à sa gorge. Elle poussa un léger soupir qui n'échappa à son mari.

- Chérie, tu te sens bien? ... lui demanda-t-il vivement.

- Tout va bien mon chéri, je suis juste fatiguée... Répondit-elle le rouge eu front.

Comme son mari continuait à discuter, Tyrone tira son chemisier hors de la ceinture de sa jupe et glissa ses grosses mains dans son décolleté pour empaumer ses nibards bien fermes.

Sa bite se redressait déjà dans son caleçon, il la frottait lascivement contre sa croupe. Un nouveau soupir lui échappa. Son mari le remarqua encore et questionna à nouveau :

- Chérie t'es vraiment sûre que cela va? ...

- Ohhh oui mon chéri... Je vais bien... Je vais me coucher rapidement...

Tyrone lui avait maintenant relevé sa jupe et admirait ses longues jambes, il glissa son index sous la bande élastique de sa petite culotte plongeant tout de go dans sa chatoune, sa foufoune dégorgeait de cyprine.

- Hé bien ma chérie, tu sembles vraiment très fatiguée, tu ferais mieux d'aller te coucher, ta voix tremble, t'es sûre que tout va bien? ...

- C'est sûr, je suis éreintée... Ses genoux chancelaient.

- je t'aime ma chérie, je te rappellerai demain... Poursuivit-il d'une voix douce.

- D'accord mon chéri, embrasse les filles pour moi, je t'aime aussi...

Son mari lui dit alors au revoir mais entendit alors un murmure qui le retint de raccrocher le téléphone.

Tyrone lui saisit le combiné des mains et le reposa à coté de son logement.

Il pensait que si son vieux mari ne raccrochait pas il l'entendrait baiser sa femme à, couilles rabattues. Il avait décidé de lui parler vulgairement, il voulait la transformer en pute blanche pour bites noires.

Le révérend Mike James était certain d'avoir entendu quelque chose de suspect. Quelque chose qui retenait son attention. Il entendait maintenant sa femme parler.

Caroline se tourna vers Tyrone

- Comment pouvez-vous me faire ça... Je discutais avec mon mari et ma famille...

- J'en ai rien à foutre, j'ai compris à quel point t'es chaude, à juger par tes gémissements et l'inondation de ta chagatte alors que je te branlais! ... Je voulais t'informer par ailleurs que j'ai 17 ans et que je vais encore au lycée...

Il l'induisait sciemment en erreur quant à son âge, à l'autre bout du fil son vieux mari ne pouvait que s'affoler de l'entendre se soumettre à un mineur.

Le révérend James n'en croyait pas ses oreilles, de grosses larmes perlèrent à ses paupières, il était honteux de sentir son pénis raidir dans son caleçon.

- Approche que je découvre tes charmes! ... Bordel ce que tu es belle... Aussi belle que chaude! ... Vire-moi ta jupe que je vois tes cuisses! ... Que tes jambes sont longues! ... Tourne sur toi-même que je vois ton cul! ... Et maintenant enlève ton chemisier que je vois tes nichons! ...

Il se redressa à la vue de ses miches jaillissant de son corsage. Il entreprit de palper rudement ses mamelons, elle se sentait honteuse, ses tétons dardaient sous ses caresses, ses nibards étaient en feux! ...

- Ahhhhhhhhh... Gémit-elle alors qu'il mordillait ses mamelons.

- Tu aimes ça ma salope! ... Tu aimes que je te morde les tétons! ... Allez, dis-le-! ...

Caroline ne pouvait en supporter plus...

- Ohhhh, mon Dieu, c'est si bon, jamais je n'ai ressenti autant de plaisir, doux Jésus, que c'est bon! ... grommelait-elle éperdue.

Tyrone la coupa :

- C'est ça ma chérie... Ma petite chérie... T'es ma pute désormais... Tu veux que je te donne du plaisir... dis-le-moi ma petite salope... Allez dis-le!

Caroline était folle d'excitation.

- Oh mon Dieu, je suis toute à toi Tyrone... Oh mon Dieu je suis ta maîtresse... Je t'appartiens entièrement mon Tyrone... S'il te plait mon chéri... Je ne peux plus attendre! ...

Le révérend ne parvenait pas à croire que ces propos salaces sortent de la bouche de sa femme, la mère de ses enfants, la fameuse écrivain religieuse, il n'en croyait toujours pas ses oreilles, les larmes ruisselaient maintenant sur ses joues.

Caroline n'avait pas remarqué qu'il n'avait pas raccroché le téléphone.

Tyrone l'emporta jusqu'au lit et l'allongea sur le dos, la tête à moins de 50 centimètres du combiné téléphonique.

- Je vais goûter à ta ravissante chatoune! ...

Il roula sa petite culotte sur ses cuisses jusqu'à ses chevilles, et la jeta au sol.

Caroline était une blonde naturelle, une épaisse toison touffue couvrait son intimité. Tyrone enfouit son visage entre ses cuisses grandes ouvertes et entreprit de lui lécher la foufoune, Caroline gémissait sous ses caresses linguales.

Il écarta les babines de sa fentine de ses gros doigts de façon à pouvoir se repaître de chaque recoin de sa moule inondée de cyprine, sa chagatte était vraiment succulente. Tyrone était un expert dans le bouffage de minou.

Son mari l'entendit alors s'adresser à sa ravissante femme.

Sa femme gémissait... Tyrone lui chuchota :

- T'as vraiment une succulente chatoune ma chérie... Aimes-tu que je te bouffe la chatte? ...

- Ahhhhhhhh... Oohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuu... C'est si bon... Délirait Caroline hébétée.

- Tu m'appartiens désormais... Dis-le-moi salope... Tu aimes que je te broute le gazon...

- Ohhhhhhhhhh oui... Je t'en prie, n'arrête pas... C'est si bon... Grognait Caroline éperdue de jouissance.

Tyrone s'en prenait maintenant de la langue à son clito tout en titillant ses tétons, Caroline se cabrait pour mieux sentir son épaisse langue s'enfouir en elle.

Elle était perdue dans un monde de plaisir dont elle ne soupçonnait même pas l'existence...

- Ohhhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Soudain Tyrone se retira et se releva.

- Oh s'il te plait Tyrone... Ne me laisse pas comme ça... J'ai trop envie... Je t'en prie...

Debout au pied du lit, Tyrone ôta sa chemise révélant un corps luisant et musclé.

- Viens ici salope et descends mon pantalon...

Carole était toute excitée de s'entendre interpeller aussi vulgairement.

Elle descendit son pantalon et son épaisse mentule lui sauta au visage. Tyrone ravi constatait sa stupéfaction, il jeta un coup d'œil sur le téléphone, il espérait de tout son cœur que son cocu de mari les entendait clairement.

- Dis-moi que t'es ma pute, et je te laisserai me sucer la bite... Dis le ou je m'en vais! ... Supplie-moi de me laisser sucer...

- Ohhhhh oui... Je suis ta petite pute Tyrone, je suis ta pute blanche... Je dirai tout ce que tu voudras mon chéri... Mais... laisse-moi... Laisse moi te faire une fellation... L'adjurait-elle folle d'excitation.

Le révérend Mike se branlait maintenant machinalement, il ne parvenait pas à croire que sa prude femme qui faisait de nombreux sermons à l'église pouvait à cet instant prier un jeune homme de se laisser faire fellation,

Il sanglotait maintenant écrasé de honte et de culpabilité.

Caroline avait maintenant l'épais chibre de Tyrone en bouche, il était si épais qu'il ne parvenait pas à lui enfoncer plus de 10 centimètres dans la gorge.

Elle n'avait jamais sucé de bite auparavant, elle pensait que c'était un grave pêché.

Sa bite dégageait un puissant parfum viril, la peau de sa hampe était douce comme du velours, sa tête montait et descendait le long de sa mentule noire dressée.

Tyrone souriait largement en regardant le téléphone...

- Tu aimes sucer ma bite, salope! ... T'aimes vraiment ça...

- Ummm... Hummmmmmmm... Hummmmmmm... Grognait Caroline la bouche pleine... Regarde toi dans le miroir salope... Regarde ma grosse bite noire enfouie dans ta petite bouche blanche... Admire l'opposition des couleurs... T'adores sucer une bonne grosse bite noire... Hummm... Salope...

Il est vrai que le miroir leur renvoyait l'image obscène d'une ravissante blanche la bouche arrondie sur une grosse hampe noire, dispensant une savoureuse pipe à un jeune noir enchanté.

Le révérend Mike en eut le souffle coupé, les larmes ruisselaient de plus belle sur ses joues, mon Dieu non seulement son jeune amant était plus jeune que ses filles, mais de plus c'était un jeune noir! ... Oh mon Dieu, ma femme se donne à un jeune noir!

Tyrone extirpa son chibre de la bouche accueillante de Caroline, elle le regardait désemparée.

- Ecarte tes cuisses en grand salope! ... Je vais me faire ta mignonne petite chatte d'épouse blanche.

Il empoigna un oreiller et le glissa sous ses reins projetant son bas ventre en avant ce qui lui donnait un bien meilleur angle de vue sur son étroite fentine.

- Oh mon Dieu Tyrone, t'es bien trop gros... Sois gentil... Tu vas me faire mal... Jamais tu ne parviendras à me pénétrer... Je t'en prie Tyrone... Haletait Caroline paniquée.

- Ne t'inquiète pas ma chérie... Tu vas adorer ma grosse bite... T'affole pas... Lui susurra-t-il à l'oreille.

Déjà il fourrait son énorme gland dans sa chagatte, déjà il lui distendait la fentine... Elle se sentait pleine de lui, le pénis de son mari était bien plus petit que cette énorme mentule noire. Jamais une autre bite que celle de son époux ne l'avait pénétrée

- Mon Dieu Nooooooonnnnnnnn... Hurla-t-elle alors qu'il enfonçait son énorme champignon de quelques centimètres dans sa caverne rétive.

- Oooohhhhhhhhh chérie, que ta chatte est étroite! ... S'esclaffait Tyrone en s'enfonçant de plus en plus profondément en elle.

Carole hurlait :

- Oooooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Tyrone j'ai mal... Je t'en prie... Ohhhhhh mon Dieuuuuuu...

Jamais Caroline n'avait ressenti une telle sensation.

- Oooooooohhhhhhh... mon Dieuuuuuuuu, mon Dieu... Tyrone... Tu me fais mal... T'es bien trop gros Tyrone... Ohhhhhhhh Tyrone... Haletait Caroline au bord des larmes.

- Oh mon Dieuuuuuu... Mmmmm... Mmmmmm...

Tyrone savait qu'elle était sur le point de jouir, il cessa tout mouvement, il voulait la voir se tortiller sur sa bite... Il s'enfonça à nouveau...

Caroline n'en pouvait plus.

- Oooooooooohhhhhhh mon Dieuuuuuuu... Mmmmmmmmm... Je jouissssssssssss... Doux Jésus, je jouissssssss... mon Dieuuuuuuuuuu, Ahhhhhhhhhhhhh... Ooooooohhhhhhhh...

Bordel gloussait au fond de lui-même, il possédait une nouvelle salope blanche, et celle ci était mariée, c'était la femme d'un pasteur!

Tyrone avait encore 12 centimètres à lui enfouir dans la chatoune, mon Dieu que sa chatte était succulente, serrée et étroite, mais mieux encore c'était une vraie blonde.

Tyrone s'enfonça à nouveau en elle, il savait que son fourreau se conformerait à ses mensurations peu ordinaires.

Il sentait les parois de son utérus crispées sur sa hampe l'empêchant, pour l'instant de la pénétrer jusqu'au col.

Il se positionna pour faciliter son embrochage avant de tapisser ses muqueuses intimes de sa sève fertile...

Caroline répondait à ses assauts maintenant, son corps était secoué de soubresauts voluptueux.

Il poussa encore et s'engouffra au cœur de son petit trésor dévasté.

Caroline hurlait à pleins poumons, elle répondait à ses assauts en hurlant.

- J'ai mallllllll... Doux Jésus que j'ai mal... Arrêteeeee... Je t'en prie arrêteeeee... J'ai trop mallllllllllll... Ohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuuuus... Ahhhhhhhhhhhhhhh...

Tyrone coulissait de plus en plus rudement dans sa petite chatoune endolorie, jamais caroline n'avait ressenti un tel émoi, elle découvrait des ressources insoupçonnées de son corps, son corps, son esprit sombraient dans un monde totalement inconnu.

- Ohhhhhhhhh Aime-moi Tyrone... Baise-moi jusqu'à l'os... Que j'aime ça.

Sur ces mots elle enserra son torse de ses cuisses, elle voyait dans le miroir son corps blanc emmêlé avec celui de ce jeune noir, mon Dieu qu'elle aimait ça!

Tyrone sentait ses couilles bouillir, il savait qu'il ne tarderait pas à jouir. Il allait bientôt lui remplir l'utérus de son jus crémeux.

Caroline hurlait de plus belle, elle répondait de plus en plus fiévreusement à ses assauts, soudain elle se tétanisa.

- Ohhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuussssssss... Mmmmmmmmmmmmm... Je jouiiiiiiissssssssssss...

Tyrone comprit qu'un intense orgasme la submergeait, à cet instant même ses couilles explosèrent.

- Uuhhhhhhhhh ma chérie... Je jouis aussi... Mmmmmmmmmmmm... Je me vide dans ta caverne brûlante... Mon Dieu que c'est bon! ...

Caroline le sentait jaillir en elle giclée après giclée, lui remplissant l'utérus, décharge après décharge il déversait son sperme fertile dans son intimité

Caroline ne pouvait museler son émoi, ses sensations étaient indescriptibles.

- Ooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Baise-moi... Baise-moi encore... Je jouisssssssss...

De grosses larmes perlaient à ses paupières, les grosses lèvres noires de Tyrone se posèrent sur les siennes, leurs langues s'emmêlèrent joyeusement.

Ils s'embrassaient avec passion, la grosse bite de Tyrone était toujours enfouie dans sa caverne embrasée.

Finalement avec un bruit de sucion suivi d'un sonore "plop" Tyrone extirpa son gros chibre de sa chatoune endolorie. Il s'allongea sur le dos à son coté.

Caroline pleurait, partie du fait de ses actes luxurieux, partie d'en avoir ressenti un intense orgasme.

Tyrone la serrait dans ses bras.

- C'est ça ma petite chérie... Tu te sens bien... Je t'avais bien dit que j'allais te faire jouir comme jamais tu n'avais joui! ...

Caroline ne parvenait pas à croire que ce jeune noir l'avait tant fait jouir, elle qui était assez vieille pour être sa mère.

- Tyrone, je suis mariée... Je me sens si coupable... Regarde ce que j'ai fait... J'en ai honte... J'ai 3 filles plus vieille que toi... Un merveilleux mari... Oh mon Dieu, qu'ai-je fait! ...

Tyrone lui jetait un regard lubrique.

- Lève-toi et viens me nettoyer la bite... T'es ma petite pute désormais... Arrête de te sentir coupable... Lèche ma bite... Goûte à mon foutre et à ta cyprine mêles... Sois une bonne salope... Grouille-toi...

Caroline ne pouvait pas lui désobéir, elle était totalement subjuguée, elle se glissa à l'aplomb de son vit et entreprit de lécher langoureusement.

- Tu t'y prends bien ma chérie... Tu aimes nos jus... Tu adores le goût de mon foutre et de ton jus... allez salope, dis-le-moi... Lui intimait-il tourné vers le téléphone.

Caroline répondit timidement :

- Oh mon chéri ton foutre est si bon... J'aime le goût de ta bite...

- C'est bien ma petite chérie, et maintenant lèche mes couilles, nettoie les aussi...

MLe révérend Mike respirait difficilement, les larmes coulaient de plus belle sur ses joues, il jeta un oeil sur ka tache graisseuse qui maculait le devant de son pantalon, il avait joui en entendant sa femme exulter.

La porte de la salle de bain se referma sur Caroline qui allait prendre une douche rapide. Tyrone n'aimait pas embrasser une gueuse les lèvres imprégnées de son foutre.

Il tendit la main et empoigna le téléphone, il n'entendait aucun bip, bip...

Bien gloussa-t-il en lui-même, son pécheur de mari a tout entendu de notre séance de baise.

- Hello, je sais que tu es au bout du fil... Je t'entends respirer...

Le révérend Mike James soupira dans le téléphone :

- Oui je suis là...

Tyrone n'en croyait pas ses oreilles.

- Hey révérend, la chagatte de ta femme est vraiment succulente... Elle sent bon et a bon goût... C'est une baiseuse de première! ... La prochaine fois que tu lui rouleras une pelle, tu sauras que j'ai enfoui ma grosse bite noire dans sa bouche accueillante... Hey révérend tu ne vas tout de même pas pleurer... C'est pas des manières... Pourquoi n'as-tu pas raccroché? ...

- Je le voulais, mais je n'ai pas pu, je suis désolé... Bredouilla le révérend misérablement.

- Ecoute-moi bien mec, lorsque ta femme va revenir, je vais l'enculer, puis je lui ferai avaler mon foutre... Puis je la baiserai à nouveau, es-tu sur de vouloir l'écouter exulter... Elle ne sait pas que tu as tout entendu... Si tu veux continuer à nous écouter, dis-le-moi franchement! ...

Le révérend Mike James ne parvenait pas à croire qu'il tenait une telle conversation avec un jeune "mineur" noir, sa bite renaissait à la vie, elle raidissait à nouveau dans son pantalon.

- Oui, je veux tout entendre... J'ai tellement honte...

Sanglotait-il dans le téléphone.

- Je veux vous écouter...

Tyrone désirait accabler un peu plus le pitoyable cocu.

- Ecoute-moi bien révérend, désormais ta femme m'appartient, c'est ma petite pute personnelle, après cette nuit elle adorera les grosses mentules noires, et seulement les grosses bites noires! ... Elle doit encore passer 6 jours dans notre ville, pendant ce temps je la ferai baiser par de nombreux copains pour me faire un peu de fric! ... Normalement je réclame 5 $ pour une pipe et 20 $ pour se la sauter, mais comme ta femme est blanche et mariée, et que la demande est forte pour de savoureuses chatounes blanches, je réclamerai le double à ses clients! ... Ah autre chose, quand elle rentrera à la maison, elle aura une nouvelle garde robe, de nombreuses mini-jupes et des corsages si fins qu'ils en seront transparents, j'espère que les jeunes noirs vivant dans ta paroisse adoreront ses nouvelles tenues! ... Hey révérend t'es toujours au bout du fil? ...

- Oui, mais comment savez-vous si elle vous obéira docilement? ...

Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs