La Gobeuse 02

BÊTA PUBLIQUE

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« Regarde-nous Suzichan, » j'essayais, mais même en ouvrant les paupières un petit peu je ne pouvais rien voir à travers le sperme. Je clignais des yeux plusieurs fois jusqu'à ce que je puisse voir M. Takashita devant moi, sa queue au niveau de mes yeux, en train de se faire fougueusement manipuler par Reika. Cela alla droit sur moi, le premier jet me touchant entre les deux yeux. Je gémissais et baissais à nouveau la tête. Je me sentais plus merdique qu'un ver de terre.

« Soixante-douze! » cria l'hôtesse alors que le dernier homme déversait son foutre sur moi. Assez ennuyée, je réalisais que certains hommes devaient avoir joui deux fois sur moi. J'étais depuis longtemps rentré dans ma coquille, tâchant de prétendre que tout cela n'était pas en train de m'arriver, même si c'était clairement le cas.

Tout le département se réunit autour de moi et chanta à nouveau : "Joyeux Anniversaire", cette fois avec une lourde couche d'ironie. Puis je fus relâchée et une des hôtesses m'emmena aux sanitaires. Elle m'aida à me déshabiller sans un mot, je pleurais toujours et prenais une douche chaude. Je me shampouinais les cheveux deux fois et je serais restée plus longtemps si elle n'avait pas couper l'eau pour me faire sortir. Puis alors que je me séchais avec une serviette, je découvris que mes vêtements avaient été mis dans un sac en plastique transparent. Ils avaient l'air d'être dans un état affreux. Reika avait apporté la tenue de Sailor Moon et je m'habillais rapidement dans cette tenue de personnage de dessin animé sexy.

Ils se mirent à applaudir quand je revins. Puis, je passais une heure à déambuler parmi les invités. J'aurais voulu rester dans un coin, mais Reika vint me chercher et me prit par la main pour que je reste en mouvement. Avec les talons hauts que je portais, je dépassais la plupart d'entre eux et mes jambes étaient complètement nues. Plusieurs traders passèrent leur main sur mes cuisses sans se cacher. Tous m'appelaient "Suzichan" ou "gobeuse" comme si j'étais une sorte de sex-toy sur patte, ce que d'une certaine façon, je suppose être devenu.

Je pleurais sur l'épaule de Reika tout le long du retour et elle finit par me mettre au lit. J'étais épuisée : physiquement, mentalement et émotionnellement. Ç'avait été une fête d'anniversaire que je n'oublierais hélas jamais.

Le jour suivant au travail fut épouvantable. Cela aurait pu être pire encore si M. Takashita n'avait pas fait circuler un mémo pour rappeler à tout le monde de toujours rester poli. Je n'étais pas mentionnée précisément, mais il mit un point d'honneur à me saluer comme Mademoiselle Tailor et à me donner un salut adapté à une sous-directrice. Je retournais la courbette, la laissant durer un peu plus que nécessaire pour montrer mon appréciation : les mains sur les cuisses et les doigts se touchant. Ainsi personne n'oserait se montrer irrespectueux envers moi. Tous les traders me saluèrent correctement, comme pour montrer qu'ils avaient compris le message.

Après mon excursion du déjeuner (de l'oral et de la baise normale pour changer), je me remis à travailler jusqu'à ce que Reika arrive avec le nouveau DVD. Je l'avais craint et ne fut pas particulièrement surprise. Sur la jaquette était écrit : "Suzichan : Gobeuse #3" au-dessus, une photo de moi avachie contre la barre métallique et dégoulinante de foutre. Au bas à gauche était inscrit : "Bukkake d'anniversaire!" et dans le coin droit "72" il me fallut un moment pour comprendre que c'était le nombre de fois qu'on m'avait juter dessus. Le bukkake, je compris, était un jeu sexuel japonais ou un groupe d'hommes déchargeaient leur sperme sur une femme. On peut traduire ça assez correctement par "éclaboussure".

« Est-ce... Est-ce qu'ils en ont tous reçu un? » je murmurais, sentant des larmes prêtes à couler.

« Tous les hommes qui ont joui, » dit Reika en souriant de ma gêne. Et comme je regardais derrière la porte du bureau, je pouvais voir les pochettes de DVD être discrètement rangées dans les vestes, les tiroirs de bureau et les mallettes. Personne n'oserait le regarder pendant les heures de travail. Mais plus tard, ils le feraient tous.

De fait, alors que nous rentrions tous chez nous, j'entendis un groupe de traders dire à un autre : « Hey, on va tous au club mater le film, vous venez? »

*****

Je supposais que rien ne pouvait être pire que cette fête d'anniversaire, mais au fil du temps je finis par comprendre qu'il était toujours possible d'infliger quelque chose d'autre : une nouvelle perversion ou une nouvelle dégradation. Je pense qu'au fur et à mesure ils les essayèrent toutes sur moi, et souvent plus d'une fois. Mais comme les grenouilles qui ne sortent pas l'eau si on la réchauffe lentement, nous autres les humains nous restons dans des situations ridicules tant qu'on pense pouvoir les endurer peu à peu.

***

Mon retour le jeudi suivant se fit avec seulement le groupe des cadres directeurs. Je me demandais ce qui allait m'arriver. Ils ne m'avaient pas fait déguiser, mais la présence de caméramans dans le fond de la salle me convainquit que quelque chose de différent allait arriver. Depuis mon anniversaire, je ne me laissais plus berner : la présence de caméra présageait toujours une mauvaise nouvelle.

Quand le repas fut finit, M. Takashita prit comme d'habitude l'initiative. Il fit signe à une serveuse qui s'avança pour m'aider à me déshabiller : pas de strip-tease cette semaine. Mais en jetant un œil autour de moi je fus surprise de voir que chacune des assistantes aider leur patron à se dévêtir. Ça ne pouvait pas signifier que...

Bientôt je fus nue parmi un groupe de six hommes. Ce qui allait arriver semblait assez clair. J'allais me faire gangbanger. D'abord ils me firent me mettre à genoux et je suçais leur queue autour de moi chacune à tour de rôle. Depuis un moment sucer des queues était devenu une seconde nature pour moi. Ne laisser personne vous dire que ça ne demande aucun effort... après plusieurs mois j'avais appris pas mal d'astuces et de techniques. Et je connaissais ces six bites intimement.

Je fus rapidement à quatre pattes, un homme dans ma bouche et un autre en train de me baiser "en brochette" comme ils aimaient dire. Je compris l'analogie immédiatement : j'étais le morceau viande se faisant perforer par leurs deux queues. C'était la première fois que je me faisais prendre par deux hommes à la fois. Ce n'est pas facile d'y réagir, à moins qu'ils adoptent le même rythme. Après un moment j'appris qu'il fallait soit avaler la bite bien à fond, soit laisser sa bouche grande ouverte pour que votre partenaire vous baise la bouche.

Si on essaie de trop faire par soi-même, celui qui vous nique par derrière vous projette contre le type en face qui cogne sa bite contre vos dents, ce qu'il n'aime pas trop. Ils n'arrêtaient pas d'échanger de place toutes les deux ou trois minutes pour prolonger les choses. Mon esprit était parti dans un monde fait de rêves lucides où je pouvais ignorer ce qui m'arrivait et juste me concentrer sur la mécanique de sucer et de baiser. Puis soudainement je sentis la grosse teub de Monsieur Takashita s'enfoncer dans ma chatte. Il savait ce qu'il faisait et de derrière il s'enfonça profondément pour me remplir pleinement. Je ne pus pas m'empêcher : je jouis. Il y eut des acclamations et des applaudissements ; je venais de prouver que j'étais une vraie salope.

À un moment je levais les yeux et je vis que l'on avait confié un verre à Natsuki, j'étais trop prise cette semaine pour m'en occuper. La femme mature rodait autour de nous et, à en juger par le contenu du verre, deux hommes avaient déjà éjaculé. Mais vu qu'ils étaient encore tous autour de moi, ils devaient escompter se servir deux fois de moi. J'avais appris par Reika que les directeurs avaient essayé de faire de Natsuki une gobeuse dix ans plus tôt, mais qu'elle ne pouvait s'empêcher de vomir. Je me demandais comment elle se sentait, agenouillée avec le verre dans la main. En ce moment, elle avait les yeux dans le vide.

Plus tard ils me firent asseoir sur une bite d'un des hommes. Je devais me pencher en avant, mes seins s'écrasant contre son buste pendant qu'un deuxième homme me montait par-derrière par le petit trou. Je me sentais ridiculeusement écarteler. Mais la sensation d'être si remplie me fit jouir à nouveau, me laissant haletante contre la poitrine de mon amant. Ils devaient trouver ça très amusant, car ils voulurent tous avoir leur tour et je n'arrêtais pas de m'asseoir sur la queue d'un homme l'un après l'autre. Quand Monsieur Takashita me prit le cul, cela alla au-delà du plaisir et me fit entrer dans la douleur. J'étais sûre qu'un pénis aussi gros ne pouvait être conçu pour entrer dans mon étroit sphincter. Même si, à ce moment, il n'était plus si étroit, cela faisait tout de même sacrément mal.

Plus tard, dans ce qui devait apparemment être une récompense pour avoir souffert, mon patron me plaça en "position de la grenouille" (comme il l'appela) ce qui impliquait que je m'allonge sur le dos, les jambes courbées pour que mes genoux soient proches de mes aisselles. De cette façon, ma chatte gonflée et gluante était grande ouverte, et il entreprit de me la remplir bien à fond. Sa queue cognait une de mes zones les plus sensibles et je me retrouvais soudain hors de contrôle, j'eus le plus grand orgasme de la soirée. Je giclais littéralement de plaisir (je ne le découvris toutefois que plus tard, en regardant toute la scène le dimanche après-midi).

« Notre gobeuse est une vraie cochonne! Suzichan, tu aimes les grosses bites, » se moqua-t-il.

"Pas dans mon cul" songeais-je, mais il avait raison : me faire bien remplir me faisait de l'effet. La douleur et me faire prendre en tournante ne me plaisait pas en soi, mais la stimulation intense que ça procurait, si ; c'était comme être prise entre le feu et la glace. Quand je me rapprochais trop du feu, j'étais prise de chaleur et je jouissais

La soirée finit avec moi au milieu du cercle d'hommes nus avalant un verre plein de sperme. À en juger par le volume de substance gluante, ils devaient avoir presque tous giclé deux fois, c'était comme si les cinq autres directeurs avaient été là aussi. Je me sentais épuisée après presque deux heures de sexe non-stop, et humiliée qu'ils m'aient vu jouir trois fois dans une tournante. Et puis aussi un peu malade de la quantité de sperme dans mon estomac. "Je suis sûre que le sexe ne devrait pas se passer comme ça, " me dis-je dans le taxi avant de m'endormir sur l'épaule de Reika.

Chapter 7 -- Yasuko

Pendant un peu plus d'un mois, il n'y eut pas de vrai changement. J'y pensais maintenant comme à une routine : mon travail sérieux qui était reconnu et recevait des éloges, la prostitution au déjeuner, les attouchements le lundi matin et la représentation du jeudi soir. C'était comme ça que j'envisageais ces soirées, comme si je jouais un rôle. Des fois, c'était une tournante avec les directeurs, d'autres fois je faisais un strip-tease et suçais tous les cadres, et une fois je fus déguisée en fliquette et dus me mettre à genoux pendant que tous les employés de l'étage giclaient sur moi. Cette prestation fut horriblement humiliante mais comme j'étais en uniforme, je pouvais en quelque sorte prétendre que ce n'était pas à moi que ça arrivait.

Mais en tout cas je survivais, et mon évaluation semestrielle arrivait dans moins d'un mois. Mon travail était meilleur que jamais et cette échappatoire était une bouée de sauvetage sur laquelle je pouvais m'appuyer plutôt que de me morfondre dans les dégradations que je subissais. Je consacrais l'entièreté de mes facultés mentales au travail pour me donner la montée d'endorphine me permettant d'ignorer le cauchemar qu'était devenu le reste de ma vie. Il y avait aussi des moments où j'étais libre : les déjeunés avec les autres femmes le jeudi, ou les week-ends avec Reika quand elle n'était pas d'humeur dominatrice et qu'elle ne me faisait pas regarder mes vidéos pornos.

Puis, un jeudi soir les choses furent différentes, on alla à un autre club et j'eus un pressentiment étrange. Tous les directeurs étaient là, ainsi que peut-être une vingtaine de traders, sans oublier les caméramans. Nerveusement je cherchais Reika du regard, mais elle était au bras de M. Takashita et devant mon air interrogatif se contenta d'un sourire ironique. Ma dépendance vis-à-vis d'elle était devenue vraiment malsaine, et j'étais absolument incapable de me sortir de cette relation. Elle était ma seule amie à Tokyo et j'avais besoin d'elle.

Je portais ce que Reika avait choisi pour moi : le même costume de femme d'affaires que j'avais porté pour mon premier bukkake. Je me demandais si c'était délibéré ou non. C'était difficile à dire, après avoir été humiliée lorsque je l'avais apporté au pressing, Reika l'avait souvent sélectionné pour que je le porte au bureau. Les courtiers devaient savoir qu'ils avaient jouis dessus, et sur moi.

Il y avait de la nourriture au buffet et l'on put tous manger, même les assistantes et moi. Vu les chances que je finisse par avoir droit à un gokkun à la fin, j'étais contente de pouvoir me remplir l'estomac avant. Je pris même quelques coupes de saké ce qui me décontracta un peu les nerfs, même si je restais comme sur des charbons ardents ; je me sentais prête à pleurer à tout moment.

Finalement, le silence se fit dans la salle quand une jeune fille entra. Il me fallut un moment pour réaliser qu'elle n'était sans doute pas si jeune, mais qu'elle était simplement costumée en uniforme d'écolière japonaise sexy. Elle alla parler à M. Takashita et je me rendis compte qu'elle était habillée comme le personnage de Gogo Yubari, l'écolière membre d'un gang d'assassin du film "Kill Bill". Elle avait des chaussures de sport et des socquettes blanches, une jupe à carreau lui arrivant à mi-cuisse, un blazer d'écolière et un chemisier blanc ainsi qu'une cravate rouge dessous. Elle avait les cheveux longs comme une écolière et comme elle était Japonaise, elle ne mesurait pas plus d'un mètre cinquante. On pouvait facilement la prendre pour une ado. Mais, alors que M. Takashita l'amenait vers moi, je pouvais voir qu'il y avait une vraie assurance à la façon dont elle marchait. Quant à M. Takashita, avec Reika pendue à son bras de l'autre côté, il avait tout d'un homme puissant.

« Je te présente Mademoiselle Yasuko. » Je dépassais d'une bonne tête la jeune fille/femme. Je portais des talons hauts et mesurais entre dix et quinze centimètres de plus. Je la saluais d'une courbette adaptée à une personne que l'on ne connaît pas. Sa courbette fut beaucoup plus brusque, une salutation destinée à une subalterne.

« Dorénavant, tu feras tout ce que Mademoiselle Yasuko te dira de faire, » entendis-je mon patron dire. Je m'inquiétais aussitôt des implications, d'autant qu'il rajouta : « Si elle te donne un ordre, c'est comme si je te donnais moi-même un ordre.

— Oui, Takashita-Sama, » parvins-je tout juste à sortir. M. Takashita se retira, me laissant seule face à la nouvelle venue. Je réalisais que tout le monde me regardait.

Elle pencha coquettement la tête d'un côté et me regarda, elle avait tout d'une écolière : une écolière très sexy. « Tu m'appelleras toujours Mademoiselle Yasuko. Tu comprends?

— Oui... oui Mademoiselle Yasuko. » Je me sentis rougir.

— Tu es une bonne fille, Suzichan, » elle continuait de me parler avec une voix douce et chantante comme si elle s'adressait à une petite fille. « Takashita-sama m'a généreusement laissé regarder tes films. Tu as le potentiel pour être une gobeuse de talent, avec de l'entraînement. Et je vais t'entraîner, c'est clair?

— Euuuooouii... Oui Mademoiselle Yusuko, » je commençais à pleurer. Elle avait visionné mes DVDs, elle m'avait vu me faire gangbanger, me faire couvrir de sperme et avaler des verres de foutre. Et cette écolière allait m'entraîner?

— Ce soir nous commencerons par un "vrai" bukkake. Viens t'asseoir ici. » Elle me fit prendre place sur une petite chaise d'enfant en plastique au centre de la pièce. Mes genoux me remontaient jusqu'aux seins. Je les tenais fermement pressés ensemble. Qu'est-ce qu'elle voulait dire par un "vrai" bukkake? J'en avais déjà subi deux, j'avais des DVDs pour le prouver.

« Tu vas ouvrir la bouche, Suzichan. Bien en grand. » Oh mon dieu! Pas ça!

« Tes collègues vont maintenant accomplir le bukkake. Tu garderas la bouche ouverte tout le temps pour que les gentlemen qui le souhaitent jouissent dedans. Tu n'avaleras rien. Quand ta bouche sera trop pleine, tu pourras laisser couler les éjaculations dedans. » Elle me tendit un bol en verre, un peu comme un bol de cuisine de taille moyenne.

« Garde-le sur tes cuisses, sous ton menton. Tout ce qui quitte ta bouche doit tomber dans le bol. Tu comprends ce que je dis, gobeuse? » Elle me parlait toujours en gazouillant comme à un bébé : c'était si humiliant.

« Oui, Mademoiselle Yasuko, » je pleurais maintenant ouvertement. J'avais l'impression qu'un ver de terre aurait été mieux traité.

Comme dans les deux précédents bukkakes, les premiers jets de sperme m'atterrirent dessus presque immédiatement après qu'elle ait fait un pas de côté ; ils avaient tous commencé à se masturber en l'écoutant donner ses instructions. Un des hommes jouit sur mon visage, pendant que l'homme à coté giclait dans ma bouche ouverte. Je pouvais sentir le foutre chaud et gluant toucher ma langue et rebondir contre ma gorge. Je faillis l'avaler avant de me rappeler mes consignes. C'était vraiment dur de ne pas s'étrangler et je crachais la matière dans le bol.

« Non, Suzichan, » dit mon bourreau, « Tu gardes tout dans ta bouche. Et tu gardes la bouche ouverte. » De nouveau cette voix jeune et calme et je réalisais que j'avais involontairement fermé la bouche. Je l'ouvrais à nouveau juste quand le troisième homme vidait le contenu de ses couilles sur ma langue. C'était tout simplement épouvantable, devoir garder la bouche ouverte pour qu'un collègue du travail puisse déposer son sperme dedans. Je me mettais à sangloter ce qui rendait la tâche encore plus difficile.

Après le cinquième homme, ma bouche me semblait remplie à ras bord. Je pouvais sentir la mare de sperme ballotter à l'intérieur. Je risquais d'être submergée. Je devais cracher ou avaler.

« Laisse ça sortir doucement Suzichan, » me dit Yasuko. « Laisse ça couler hors de ta bouche, le long de ton menton, jusque dans le bol. Doucement. »

Presque reconnaissante je fis comme elle le commandait, sentant l'immonde contenu de ma bouche baver lentement sur mes lèvres et glisser le long de mon visage puis sur le menton. Je pouvais voir les caméras enregistrer ce moment en plan serré. Je me sentais à la fois humiliée et consternée par moi-même, consternée que je ne me rebelle pas.

Les hommes s'approchaient de moi de plus en plus vite. Quelques-uns loupaient ma bouche et cela atterrissait sur mon visage ou mes cheveux. Parfois je pensais que c'était délibéré, mais d'autres fois ils jouissaient si vite qu'ils n'avaient tout simplement pas le temps de bien viser.

Cinq fois encore je dus vider le contenu de ma bouche sous l'injonction de Yasuko. Puis la file des hommes se termina. Je restais assise, étourdie et désespérée, me demandant ce qui allait arriver ensuite.

« Très bien, gobeuse, Maintenant reste bien immobile, » dit la fausse écolière à côté de moi. Elle prit une cuillère en plastique et commença à récupérer le sperme qui avait loupé ma bouche pour le déposer dans le bol. Il y en avait sur mon visage, dans mes cheveux. Mes vêtements étaient aussi couverts par des giclées et des retombées.

« Pose le bol, Suzichan. » Yasuko avait amené une table basse devant moi. Incapable de me retenir, je fixais le contenu du bol : les couleurs allaient du presque incolore au blanc ou au jaune crème. Le volume devait représenter au moins trois fois plus que je n'avais jamais avalé avant, et devait inclure une bonne part de ma propre salive. Je voulais désespérément que Yasuko ne me demande pas de faire un gokkun. J'étais sûre que cette quantité me ferait vomir. Peut-être que si je vomissais ils me laisseraient tranquille, comme ils le faisaient pour Natsuki.