La Gobeuse 02

BÊTA PUBLIQUE

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« Prends ça, gobeuse, » dit Yasuko en me tendant une brosse à dents. J'étais si reconnaissante : elle allait me laisser me brosser les dents pour éliminer le goût. Je restais assise tenant la brosse et attendant le dentifrice.

« Plonge la brosse dans le bol, Suzichan, et brosse-toi les dents. » Comment cette voix aussi douce pouvait-elle me demander, non, m'ordonner de faire quelque chose de si horrible? Ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas m'en vouloir à ce point... J'éclatais de nouveau en sanglots. « Mainteant, gobeuse, obéis-moi! »

Lentement, je plaçais la brosse à dents dans le bol de sperme et la relevais, observant de gros blocs de semence retomber dans le bol. Mais il en restait beaucoup sur les poils et, avec répugnance, je mis la brosse dans ma bouche.

« Brosse énergiquement, petite fille. Comme si tu te brossais les dents avant d'aller au lit. »

Je commençais à faire ce que mon instructrice demandait. C'était complètement dégoûtant. Elle me faisait faire quelque chose que je faisais chaque jour, mais le transformait en quelque chose de carrément dégradant. En sentant le foutre de tous ces hommes contre mes gencives pendant que je frottais, je me demandais si le goût partirait un jour. Sans mentionner qu'il est très dur de se brosser les dents quand l'on pleure.

« Crache! »

Je crachais dans le bol, et pus voir la masse de sperme maintenant mousseuse atterrir sur le dessus.

« À nouveau, gobeuse. » Trois fois Yasuko me fit plonger la brosse et recommencer. Comme je me frottais méthodiquement les dents, elle se pencha à mes oreilles et murmura : « Demande-moi poliment la permission de boire le bol, et je te laisserais arrêter de te brosser les dents. »

J'étais si désespérée que je capitulais immédiatement. « S'il vous plaît Mademoiselle Yasuko ; puis-je boire le bol maintenant? » Il y eut quelques acclamations du cercle des hommes. Ils s'étaient presque tous rhabillés et regardaient le spectacle. Je savais aussi que les caméras enregistraient toute la scène.

« Oui, Suzichan, tu peux boire. Prends le bol et bois tout. Et alors tu remercieras humblement ces hommes pour ton bukkake. »

Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre si je voulais en finir? Vider le contenu du bol parut durer une éternité, il y avait à la fois du sperme et de la salive. J'étais presque certaine que j'allais tout régurgiter, mais non. Tout cela resta obstinément dans mon estomac, Yasuko utilisa la cuillère pour être sûre que les derniers morceaux aillent bien dans ma bouche.

« Merci à vous tous, Messieurs, pour mon bukkake, » dis-je à voix basse.

« Très humble, Suzichan, mais dis-le plus fort, » insista l'écolière-femme.

Je répétais la phrase plus clairement et elle me passa un torchon mouillé pour que je puisse me laver le visage. Même si pour le reste de la soirée je dus rester dans le même costume taché de sperme, et avec des morceaux de foutre séchés dans les cheveux. Perversement, les hommes voulaient me caresser le bidon comme pour se convaincre eux-mêmes que j'avais bien avalé tout le sperme. Moi bien sûr, je savais que j'avais toute cette masse à l'intérieur, c'était comme si je pouvais la sentir barboter dans l'estomac.

*****

J'étais déterminée à me rebeller après ça, à montrer mon indépendance même d'une petite façon. Mais au moins prouver que je n'étais pas complètement sous leur emprise. Je passais le week-end à me demander ce que je pouvais faire pour recouvrer un peu d'amour propre sans que mon patron ne perde la face et ne me donne une mauvaise évaluation. Car, à mesure que le reste de ma vie volait en éclat, cette évaluation avait pris une signification capitale pour moi. Par contre j'avais songé à déménager et prendre mon propre appartement, je pouvais financièrement me permettre de louer un studio, mais cela signifierait que je serais toute seule et je ne voulais pas perdre l'amitié de Reika. J'avais besoin de sa compagnie, même au prix de sa domination sur moi. Cela allait si loin que même être forcée de regarder les épouvantables DVDs avec elle le dimanche ne m'avait pas fait changer d'avis.

Après avoir pesé le pour et le contre tout le week-end, je décidais de me rebeller et de me m'affirmer en me confrontant au tripoteur anonyme du métro. Il perdrait la face, comme moi, mais j'étais déterminée. J'allais donc au métro le lundi matin, sans dessous comme d'habitude selon les ordres de Reika, et à l'arrêt où nous changions de ligne je sentis sa présence familière derrière moi un peu sur la gauche ; comme d'habitude, Reika me faisait face. Comme je sentais ses doigts défaire ma jupe et descendre dessous pour me peloter la chatte, je fis un brusque demi-tour pour lui faire face, tout en tenant ma jupe pour être sûre qu'elle ne tombe pas sur mes genoux.

Je ne sais pas à quoi je m'attendais, quelque papy vicelard sans doute. Mais ce n'était pas le cas : c'était Monsieur Kurokawi, un des six cadres supérieurs de l'étage. Je restais là, choquée. Il sourit et me mit de nouveau ses doigts sous ma jupe. Je ne pouvais rien faire d'autre que de rester là, immobile, pendant que ses doigts entraient de force en moi. Comme d'habitude, puisque Reika me l'avait demandée, j'avais ajouté du lubrifiant avant de quitter la maison. Maintenant je pouvais l'entendre ricaner derrière moi et me souffler à l'oreille :

« Tu es une vilaine fille, Suzi. Et si souillon. Une vraie petite souillon américaine! » Je pouvais sentir son corps se presser fort dans mon dos. En faisant face à Monsieur Kurokawi je lui avais rendu la tâche beaucoup plus facile. Il eut bientôt ses deux doigts enfoncés jusqu'aux articulations dans mon vagin. Il guida ma main libre sur sa queue et je commençais à le branler. Je crois que j'aurais pu reconnaître son sexe, je l'avais sucé suffisamment de jeudis pour ça. Sans mentionner toutes les fois où il m'avait baisée lors d'une tournante.

Quand il finit par jouir à l'intérieur de son manteau et de son pantalon de ville, je réalisais que tout cela avait été un piège organisé depuis le début ; et que Reika y avait participé. Je me sentais encore plus humiliée et désespérée : quelle rébellion! Et les choses devenaient pires encore.

« Lèche tes doigts, gobeuse. » Cela ne venait pas du directeur, mais de mon amie derrière moi. Accablée, j'obéis, là au milieu d'un wagon de métro bondé, les larmes me coulaient sur le visage.

Je me demandais comment Monsieur Kurokawi se débrouillait avec tout le sperme dans son pantalon et son manteau. Plus tard Reika m'expliqua qu'il les confiait à son assistante personnelle, et lui disait de tout amener au pressing. Il gardait des costumes en double dans son bureau.

Pourquoi chercher à lutter contre eux? Ils avaient toujours une longueur d'avance sur moi.

*****

Ce jeudi en fin de journée Yasuko apparut au bureau et eut une conservation privée avec Monsieur Takashita. Je supposais qu'ils discutaient de ce qu'ils prévoyaient de me faire subir ce soir. Visiblement, cela nécessitait plus de préparation que d'habitude. Je frissonnais à cette idée.

Au club était présent la moitié des traders qui avaient loupé la séance de la semaine précédente, ainsi que les directeurs. Monsieur Kurokawi en particulier me fit un grand sourire. Savoir ce qui allait inévitablement m'arriver me rendait si nerveuse que je pouvais à peine manger. Je m'y forçais pourtant, m'assurant de me gaver de suffisamment de riz : je ne tenais pas à m'imaginer l'estomac vide, seulement rempli par un grand bol de sperme. Yasuko était continuellement à mes côtés, à la fois pour m'encourager et me féliciter : « Tu es très belle ce soir, Suzichan, si élégante. » « Je crois que tu vas être formidable ce soir. » Et d'autres compliments du même genre. Ces louanges me faisaient me sentir bien, mais les encouragements m'inquiétaient. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien avoir prévu pour moi?

Finalement ce fut l'heure. Yasuko me demanda mon téléphone portable. Il était dans mon sac à l'endroit où les femmes laissaient le leur. J'allais le chercher et le donnais à Yasuko. Elle me sourit et déclina, elle me mena à une chaise en plastique au centre de la pièce.

« Maintenant, tu vas appeler Reika, » dit-elle gentiment. Je regardais autour de moi pour voir où se trouvait mon amie, mais elle avait quitté la pièce. De toute évidence, je devais l'appeler avec mon téléphone. Je cliquais sur son nom dans le répertoire.

« Salut Suzi, » fit la voix de Reika.

« Mets Reika en attente, » dit Yasuko. J'obéis. « Maintenant, je veux que tu parles à ton amie durant tout le bukkake. Tu garderas toujours la bouche ouverte et la tête penchée en arrière. » Elle me saisit la tête pour bien me montrer la position qu'elle voulait que je prenne. « Parle-lui maintenant! »

« Oui, Mademoiselle Yasuko. »

Je remis le téléphone à mon oreille et entendis Reika dire : « J'aimerais être là, mais Yasuko m'a dit que je devrais être la personne au téléphone. Mais j'espère bien regarder tout ça avec toi dimanche. »

Elle finissait sa phrase quand le premier trader me juta sur le visage, du sperme arriva dans ma bouche, mais la plus grande part toucha mon front et mon nez. Un second homme suivit, cette fois il sembla viser mon téléphone portable et mon oreille, du moins, c'est là que le foutre finit. Je pleurais ouvertement maintenant.

La voix enthousiaste de Reika me parvenait au bout de la ligne :

« Oh, ils ont commencé?

— Oui, » répondis-je, trouvant ça dur de bien prononcer les mots, tout en essayant de garder la bouche ouverte comme Yasuko faisait bien attention de me le rappeler. Ce fut juste à ce moment que la queue suivante déchargea un gros volume dans ma bouche. Je suppose que je n'étais pas supposée avaler, mais c'était trop compliqué. Comment s'attendaient-ils que je me débrouille avec toutes ces consignes? Tout ça était trop horrible.

Cela continua dans cette veine pendant un moment : les gars me déchargeaient dessus, la caméra zoomait pour un gros plan et Yasuko me donnait de courtes instructions. Je me demandais si je serais plus tard capable de passer un appel sans me rappeler cette scène. Reika n'arrêtait pas de me poser des questions qui demandaient une réponse, et auxquelles je tentais de répondre en formant des mots. Cela devenait de plus en plus difficile à mesure que ma bouche commençait à se remplir ce sperme. Rien qu'à tenter de dire quelque chose, de la semence me coulait dans la gorge, et encore plus débordait de ma bouche pour couler le long de mon menton et tacher mon costume.

Seulement la moitié des hommes semblaient viser ma bouche ouverte, le reste pointait leur bite vers mon téléphone et mon oreille. Ce ne fut bientôt plus qu'une masse gluante. Je pouvais toujours entendre Reika bavarder au loin (et à ce moment précis, elle proposait un endroit où dîner samedi), mais c'était parce que le téléphone était pressé contre mon oreille et que rien ne pouvait s'y glisser. Le microphone et le clavier étaient complètement englués dans le foutre, comme l'étaient du côté du téléphone, ma main, mon oreille et mes cheveux. Et je doutais que Reika puisse comprendre un mot de ce que je disais : avec ma bouche fourrée par du sperme, ma prononciation était indistincte. Quant au téléphone, il était couvert d'une masse gluante et le son qui en provenait devait être déformé.

Finalement, la parade de queues ralentit et s'arrêta tout à fait. Je restais assise sur la petite chaise en plastique, mon téléphone collé contre mon oreille au milieu d'une mer de foutre. Ma bouche était littéralement pleine et un petit filet me coulait encore sur le menton.

« Avale, gobeuse, » dit gentiment Yasuko, « en une bonne grosse bouchée. »

Je le fis, sentant l'incroyable masse de sperme me glisser le long de la gorge en un seul gros morceau gluant. Dégueu, mais j'arrivais maintenant à bien le gérer.

Dieu merci, cette semaine ils me laissèrent prendre une douche. Je pouvais sentir où le sperme était tombé de mon menton, j'avais la poitrine et le soutif poisseux, et cela continuait jusque sur la taille. Après m'être rapidement lavée les cheveux, je retrouvais une fois encore les habits de Sailor Mercury. Mademoiselle Yasuko me prit par la main et me mena à la table où j'avais laissé mon téléphone. Il était complètement couvert de crème blanche gluante. Reika était là aussi. Elle bondit pour m'embrasser sur les joues. Comme avec mon costume de dessin animé je la dépassais d'une bonne tête, elle dut se mettre sur la pointe des pieds.

« Tu penses que ton téléphone marche encore, Suzichan?

— Je ne sais pas, Mademoiselle Yasuko. » Je me demandais ce qu'ils attendaient de moi, il y avait-il d'autre humiliation à venir?

« Comme tu as été une bonne gobeuse aujourd'hui, je pense qu'on devrait t'offrir un cadeau. » Elle fit glisser un petit paquet vers moi, empaqueter de façon exquise selon le style japonais.

Je l'ouvris les doigts tremblants. Dedans il y avait un nouveau téléphone portable, le dernier modèle. Il devait coûter très cher. C'était une édition rare, une de celles qui confèrent un important statut social. Je riais intérieurement, me disant que pour avoir ce statut il suffisait simplement de se faire couvrir de sperme par ses collègues.

« Mets ta carte SIM dedans, gobeuse »

Je démontais mon vieux téléphone gluant et dégoûtant pour en repêcher la petite puce. Elle, et mes doigts, finirent couverts de sperme.

« Lèche-la pour la nettoyer, Suzichan »

Et je le fis, léchant la puce et mes doigts jusqu'à ce qu'il n'y ait plus une trace de foutre. Puis je les essuyais sur une nappe avant de mettre la carte dans le nouveau téléphone. Reika composa le numéro immédiatement et tout le monde se mit à rire en entendant de nouveau sa voix au bout de la ligne.

La fête continua quelque temps, puis, alors que je m'apprêtais à partir avec Reika, je surpris Mademoiselle Yasuko (j'avais pris l'habitude de penser à elle avec son titre) en train de parler avec Monsieur Takashita.

« Je pense qu'elle est prête Takashita-sama. Elle n'est pas encore parfaite, mais elle est prête. »

Prête à quoi m'interrogeais-je? Que pouvaient-ils attendre de plus de moi?

à suivre...

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Anonymous
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3 Commentaires
trouchardtrouchardil y a environ 6 ans

Tres bonne suite. Le texte est assez pojntu, ça n'a pas du être facile.

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