La partie d’échecs

BÊTA PUBLIQUE

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Vanessa put d'ailleurs profiter d'une erreur de sa rivale, celle-ci avait bien trop avancé son cavalier. Elle profita immédiatement pour l'avaler de son fou.

L'arbitre presque navrée tira un gage : « Si un cavalier se fait prendre, une levrette pour la jument qui a laissé faire. »

Il dut réfléchir à la façon de cumuler les deux gages, et parvint à une solution :

— Voulez-vous bien saillir Madame Desprée? » demanda-t-il au maçon « où préférez-vous qu'un autre participant soit désigné. Vous pouvez bien entendu continuer à rosser Madame en même temps que vous l'enfilez... »

Le maçon sans mot dire, baissa son froc et sortit sa belle pioche de son slip, et en enfourna Madame Desprée. La fessée qu'il lui avait donnée ne l'avait pas vidée de ses forces, bien au contraire il lui pressurait les côtes et lui donnait des coups de pine qui auraient abattu un mur. La bouche de Madame Desprée s'aplatissait contre la chatte de Vanessa au grand amusement de celle-ci.

Les mouvements qui suivirent sur l'échiquier furent lents. Madame Desprée cherchait à reconstruire une défense efficace, tandis que Vanessa prenait du temps pour jouer sachant que sa rivale devait avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer.

Le maçon ne dura pas longtemps dans la chatte étroite de Madame Desprée, et il fut vite remplacé, par un noir tout aussi costeau. Madame Desprée avait choisi ce gage, car il s'agissait de la position favorite de son ex-mari, et pensait être capable de tenir cette posture longtemps. Ce à quoi elle ne s'attendait pas, c'était de se trouver face à des hommes d'une virilité nettement plus développée que celle de son ex.

À mesure que les hommes se succédaient dans son trou humide, elle fit la connaissance de queue lui vrillant les parois, d'autres qui était d'une taille à lui occuper toute la chatte... Mais surtout elle se faisait bourrer avec une énergie qu'elle n'avait jamais connue. Vanessa ne fut pas la dernière à remarquer que Madame Desprée jouissait entre ses cuisses à la bave qui coulait de sa bouche. Et la partie s'éternisait dans cette situation où les deux femmes attendaient une erreur de l'autre... les hommes se succédèrent dans le con de Madame Desprée sans interruption, une petite fraction de l'audience lui avait déjà roulé dessus, mais c'était suffisant pour qu'elle soit remplie de plus de sperme qu'elle ne le pensait possible. Elle sentait les geysers de fluide lui emplir le ventre, et elle avait à peine le temps d'en prendre conscience qu'un autre fornicateur prenait la place.

Le pire était qu'elle ne voyait pas sa situation sur l'échiquier s'arranger. Vanessa avait protégé toutes ses pièces, et elle ne trouvait aucune prise d'attaque. Jusqu'à un miracle... Alors que Vanessa allait bouger son fou, la langue de Madame Desprée toucha un point sensible. Sous le coup de la jouissance, et sans faire attention, elle laissa échapper son fou une case plus près qu'elle ne pensait.

Lorsque Madame Desprée vit la position du fou sur l'écran géant. Elle crut d'abord à une erreur de l'arbitre. Elle allait regarder l'échiquier pour vérifier, quand un homme se vida la bite en elle. Elle laissa passer, et put constater qu'il n'y avait pas d'erreur : le fou noir était sans protection! Elle ne se précipita pas, voulant être sûre de son coup. Au point où elle en était, elle pouvait bien se laisser remplir la chatte encore une fois. Elle remarqua aussi que la boîte à jus de Vanessa se crispait, ce n'était pas de plaisir cette fois... Vanessa aussi s'était rendu compte de sa bévue. Elle attaqua. Sa tour fonça sur le fou, et priva Vanessa de cette pièce maîtresse.

Aussitôt, Madame Desprée se redressa. Elle toussa, éjectant des poils de chatte qu'elle avait avalés. Elle ne sentait plus sa langue. Pour sa première expérience lesbienne, elle avait passé une éternité à brouter du gazon. Mais elle se réjouit pourtant de sa seconde expérience lesbienne à venir. Vu qu'elle avait pris un fou, c'était elle qui allait être broutée, et par rien de moins que la plus grosse des connes. Rien de tel pour se sentir revivre.

Elle se rassit sur sa chaise pendant que Vanessa se mettait à quatre pattes pour lui mâcher le berlingot.

Vanessa était plus expérimentée quant aux plaisirs saphiques, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle allait trouver. L'odeur en s'approchant du tunnel d'amour lui était presque insupportable, elle dut prendre sur elle pour placer la tête entre les cuisses. Elle comprit alors d'où venait l'odeur, la chatte qu'elle allait devoir satisfaire venait de se faire foutre pendant une plombe. Qu'elle déborde de cyprine passait encore, mais le pire était qu'un nombre ahurissant de bites y avaient déversé leur sauce.

À peine y mit-elle la langue, qu'elle sentit un flot de sperme lui couler dans la gorge.

Et sur l'échiquier sa situation devenait tendue. Avec la bêtise qu'elle avait commise, sa reine était en danger. Elle n'avait pas le choix, elle sacrifia une tour.

L'arbitre lu alors le gage relatif à cette perte :

« Celle qui perdra la tour pourra se consoler en en prenant une dans le cul. »

Vanessa grimaça. Elle était encore vierge de ce côté-là, et avait soigneusement évité tout gage qui pouvait y être lié. Elle avait une peur terrible de sentir un membre lui péter la rondelle.

Et sa crainte commença à se réaliser de la pire des façons. L'arbitre désigna un grand type, dont elle se rendit vite compte que la bite était proportionnée à la taille. Il cracha sur l'anus de Vanessa, et elle sentit le gland lui pénétrer le cul, puis s'enfoncer d'un coup profondément. Sa tête se releva des cuisses de Madame Desprée et elle hurla :

-AIIIIIIEEEEEEEE!!!!!

Madame Desprée fit un signe de mécontentement à l'arbitre.

— Mademoiselle Moulie, vous êtes prié de ne pas parler, ou hurler, et d'accomplir vos gages.

À contrecœur elle dut se résoudre à se faire défoncer l'arrière-train sans pouvoir rugir à la douleur et au ridicule que lui causait l'élargissement de son petit trou en public. Elle replongea dans la chatte de Madame Desprée, et un flot de sperme coincé lui déboula sur le palais. Elle avala la substance blanche et acre et essaya de se replonger dans le jeu.

Madame Desprée, elle, était à l'aise. La perte du fou de Vanessa avait débloqué le jeu, et elle pouvait passer à l'attaque. Elle se mit à menacer les pièces noires, en attendant de trouver une occasion.

L'opportunité se présenta d'ailleurs de manière inéluctable, le sacrifice de la tour de Vanessa n'avait pas été suffisant pour asseoir sa position. Madame Desprée put envoyer un cavalier partir à l'assaut de la dame noir, et cela tout en restant protégée par une tour. La reine prise, l'arbitre tira un des gages adéquats.

— Il s'agit d'un gage "étoile", et le gage est tel : « la personne perdant sa reine portera un chapeau de tocarde placé dans le sac étoile, puis l'ahurie subira tous les gages déjà tirés. Une webcam déjà configurée retransmettra en direct sur le site porno N° 1 "porno.com" l'humiliation de la pauvre conne. Elle fera un beau sourire à la caméra et fera le signe de la victoire. »

L'arbitre tira du sac "étoile" une webcam. Il la posa de telle façon que le calvaire complet de Vanessa soit bien enregistré. Puis fouillant dans le sac il déplia un bout de tissu. Il s'agissait d'un bonnet d'âne. L'arbitre se leva et le posa le couvre-chef sur les cheveux gluants de sperme de Vanessa.

— Mademoiselle, si vous voulez bien sourire, et honorer le gage.

Vanessa se tourna vers la caméra. Elle savait que sur le bonnet d'âne était inscrit « Reine des connes » malgré la honte, elle sourit, et leva la main en faisant en V des doigts.

— Comme certains gages sont incompatibles, je propose que ces Messieurs aient le choix du trou où ils veulent enfoncer leur sexe. Ils sont aussi libres de fesser Mademoiselle à loisir.

Aussitôt, Vanessa en plus de sentir coulisser une bite dans son cul, reçut une claque puissante sur les fesses lui arrachant un cri de douleur. Elle sentait le match lui échapper, elle n'arrivait pas à se concentrer avec les types qui lui fourraient leur queue dans le cul. Tout cela lui répugnait au plus haut point, elle se sentait dégoûtée d'elle-même. Forcée de sourire et faisant un signe de victoire alors qu'elle se faisait démonter le cul par une plèbe miteuse. Et c'était sans compter qu'elle avait l'impression que la chatte de Madame Desprée était une source de sperme inépuisable. À chaque coup de langue, elle se retrouvait à devoir engloutir du foutre.

Heureusement, se dit-elle, elle avait prévu que ce genre de situation pouvait arriver. C'était pour cela qu'elle avait mis son roi proche de la tour. Elle allait roquer, le gage qu'elle avait écrit dans ce cas était : « La personne roquant, si elle subit un ou plusieurs gages, s'en retrouve libre. »

Elle fit passer sa tour derrière son roi. L'arbitre prit une des deux feuilles au hasard et annonça « Il s'agit d'un gage "triangle" ». Vanessa sentit ses espoirs disparaître d'un coup, l'arbitre n'avait pas tiré son gage, mais celui de Madame Desprée. L'arbitre blêmit en lisant la sentence :

« La personne roquant n'ait qu'une salope. Pour cela elle sera marquée de ce mot au fer rouge sur le bas du dos. »

Le sac en laine décorée d'un triangle était posé sur la table. L'arbitre en sortit le contenu, une longue tige en fer avec marqué au bout « SALOPE » ainsi que plusieurs bougies, un briquet, et un gant .

« Je crois devoir réaliser ce gage moi-même. » Déclara-t-il en enfilant le gant. Il alluma les bougies et posa le fer forgé dessus.

Le fer se mit à rougir, puis devint noir et fumant quand la chaleur du fer eut atteint la température adéquate pour graver des mots dans la chair. L'arbitre prit la longue tige brûlante, et alors qu'un homme finissait d'enculer Vanessa, il enfonça la tige sur le bas de son dos.

Quand Madame Desprée vit l'arbitre plonger le fer sur la peau de Vanessa, elle eut un orgasme. Pour elle, Vanessa n'était qu'une pute qui se baladait dos et nombril à l'air. Cette salope lui avait pris son mari, et bien maintenant le monde serait à quoi s'en tenir vis-à-vis de cette traînée. La marque immuable brûlée sur sa peau la déshonorait à jamais.

En effet, sur la peau brûlée de Vanessa, le mot « SALOPE » ressortait parfaitement. Mesurant une vingtaine de centimètres de long, le qualificatif obscène s'étalait sur tout le bas de son dos.

Vanessa versait des larmes de douleurs. Déjà, elle supportait mal d'être enculée, boire du sperme d'hommes inconnu à même la chatte de sa pire ennemie, tout cela enregistré et diffusé en direct sur internet. Et maintenant elle était marquée d'une injure infâme pour le reste de sa vie. Elle envisagea d'abandonner, de déclarer forfait. Mais non, ce n'était pas dans son caractère, et elle avait trop souffert pour ça. Elle devait aller jusqu'au bout, et gagner le match. Faire payer son humiliation à cette salope de bourge!

Madame Desprée cependant commençait à se lasser d'avoir la chatte envahie par la langue de son adversaire. D'autant qu'elle sentait que cette petite conne agenouillée entre ses jambes lui avait bien nettoyé la chatte de tout le sperme qui la remplissait. Profitant du contrôle de l'échiquier par ses pièces, elle prit un pion.

Vanessa recula de sa position d'infériorité, pour se remettre en face de l'échiquier. Non pas qu'elle put poser ses fesses sur la chaise. Rien n'empêchait qu'elle continue à se faire prendre en levrette ou enculer! Mais maintenant, elle pouvait arrêter de lécher la moule de sa rivale pour recevoir à la place des éjaculations faciales, une bien piètre substitution à son goût. Un homme se présenta pour s'astiquer en face d'elle ; Vanessa qui avait encore des croûtes de foutre au visage grimaça en s'attendant à recevoir une deuxième couche de semence mâle. Et sur l'échiquier la situation ne s'améliorait pas, les pièces qu'elle pouvait bouger étaient peu nombreuses. Il lui restait un espoir, mais il était mince.

Madame Desprée faisait tout pour lui détruire cet espoir, mangeant pion sur pion. Sa reine avala six pions. Cela faisait six hommes qui se masturbaient sur Vanessa. Elle recevait décharges de foutres sur décharges de foutres. Son visage était blanc, le liquide séminal lui coulait sur le corps, on aurait pu croire qu'elle avait pris une douche de sperme. Ce qui ravissait encore plus Madame Desprée que la souillure sexuelle de sa rivale, était de voir Vanessa l'air complètement stupide, obligée de sourire et de faire le signe de la victoire alors qu'elle était déshonorée et dégradée au dernier degré.

Le reste de la partie, d'un point de vue tactique, eut peu d'intérêt. Affaiblis par les conditions où elle se trouvait physiquement, et incapable de penser deux coups à l'avance. Vanessa ne réussit pas à prendre une seule pièce de son adversaire, ses tentatives pour ne pas perdre ne faisaient que prolonger son tourment inutilement. Lorsque Madame Desprée déclara « échec et mat », on ne pouvait plus faire la différence entre Vanessa et un sac à foutre.

Madame Desprée attendit alors l'annonce des deux gages provoqués par le mat avec impatience. L'arbitre annonça d'abord celui qu'elle avait écrit :

« La perdante ayant perdu tout honneur se verra contrainte de remettre sa vie sexuelle entre les mains de la gagnante. »

Elle se vengeait ainsi de cette salope qui avait pris son mari. Au moment où elle avait rédigé le gage, elle pensait priver Vanessa de petits copains et de toutes relations sexuelles jusqu'à ce qu'elle soit vieille et décrépie... Une mise au régime sec. Mais à voir la belle blonde couverte de sperme, Madame Desprée songea qu'elle pouvait trouver des outrages fort divertissants pour humilier cette salope...

Vint alors le deuxième gage.

« La carpette qui perd son roi sera bien heureuse de servir la gagnante comme soubrette, et ce gratuitement et en CDI. »

Vanessa écouta son gage. Elle avait tellement souhaité humilier cette grande bourgeoise en lui mettant un plumeau entre les mains... Et voilà que c'était elle qui allait devoir être au service de cette conne...

Madame Desprée se leva et s'adressa au public.

« Merci à tous pour votre contribution. Vanessa, en a bien profité comme vous pouvez le voir, » dit-elle, au moment où un jet de foutre sortait du cul de la perdante. « Il est temps pour elle de rentrer, avant qu'elle ne dégueulasse encore plus la salle. » Elle s'adressa alors directement à Vanessa lui tendant une pièce de deux euros : « Tiens, petite soubrette, achète-toi un ticket de bus et attends-moi devant les portes de ma demeure... Oui, je sais, tu es couverte de foutre, et tu pues. Si on te fait des remarques dessus, tu n'auras qu'à dire que tu commences ta vie de résidu de capote sur patte. Et tu donneras l'adresse du site où ils peuvent admirer comment tu t'es fait enculer par tout le quartier, ce serait dommage que quelqu'un dans cette ville ignore qu'ils vivent à proximité d'une salope aussi grotesque. »

Vanessa prenant les deux euros partit de la salle des fêtes en pleurant, domptée comme elle le méritait. Du sperme continuait à lui sortir sporadiquement de son cul et de la chatte.

Madame Desprée s'apprêtait à partir elle aussi, mais avant, elle s'adressa au public : « J'espère que vous avez profité de la soirée autant que moi, et si vous vous ennuyez, n'hésitez pas à sonner chez moi. Je garantis que ma soubrette soulagera vos bourses sans rechigner. »

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Anonymous
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5 Commentaires
VictorlepieuxVictorlepieuxil y a environ 8 ansAuteur

Bernard-> je dois dire que c’était très amusant d’écrire un porno en utilisant les règles du jeu d’échecs. Je pense qu'un jour ou l'autre, je réutiliserais l'idée avec un autre jeu et un autre contexte.

Assguard -> à priori (à moins que je sois censuré surtout) je proposerais la suite de mes histoires sur le site où j’en ai mis le début. C’est-à-dire principalement des « amies comme ça » (dont j’ai fini l’histoire… enfin sur papier) et « l’école des sorcières » (que j’aime toujours bien, mais où je n’ai pas vraiment avancé). Pour le reste… c’est plus aléatoire.

Quant à recopier les textes ici, idéalement oui, j'aimerais bien. Mais il faudrait que j’aie le temps de les relire, que ça me plaise toujours.... Donc c’est assez aléatoire aussi.

AssguardAssguardil y a environ 8 ans
Autres histoires

Est-il prévu que tu re-publies tes textes ici et que tu y apportes des suites (à celles qui le nécessitent) ?

AnonymousAnonymeil y a environ 8 ans
Excellent aussi

je ne connaissais pas l'auteur, mais il s'agit avec ce texte d'un des plus beaux que j'ai lus.....imaginatif, crédible, notamment par rapport au jeu d'échec....parfait pour moi.....je vais chercher avec mon moteur de recherche préféré....

Bernard

VictorlepieuxVictorlepieuxil y a environ 8 ansAuteur

Il faut croire que l’internet est un petit monde finalement !

C'est toujours un plaisir de savoir que ses histoires plaisent. Quand à publier ici, il faut dire que l’autre site me gavait un peu avec ses changements de charte tous les six mois, et puis maintenant la pub invirable… J'ai préféré envoyer mes histoires ici.

AnonymousAnonymeil y a environ 8 ans
Excellent

J'adore cette histoire, on reconnait la patte de l'auteur et comme je suis un fervent admirateur ça ne pouvait que me plaire. Et j'ai apprécié du début à la fin avant même de lire le nom de l'auteur, comme quoi c'est pas qu'une question de conditionnement :)

Du très bon Victor !! Content de te lire également ici...

Assguard.

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