La Princesse des Neiges Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Quand nous finîmes par nous calmer, Reiko reprit : « Vous savez quoi? Oubliez cette scène. J'ai une meilleure idée. » Elle s'approcha de Shoji, lui chuchota à l'oreille. Il acquiesça.

« Ça marche. » Et il retourna à son équipement.

« Quoi? » hasardai-je.

« Ne t'inquiète pas, » me répondit Reiko. Je fis la moue. « Ne t'inquiète pas » cache souvent une raison de s'inquiéter, mais Reiko m'assura qu'ils s'en tiendraient au script original. Ils devraient juste monter le film différemment pour compenser la scène manquante. Elle me prit par la main et je la suivis dans la chambre principale. Nous nous étendîmes sur le plus grand lit que j'avais jamais vu.

« Il faudrait peut-être que je jette un œil au script, non? »

― Inutile. Suis juste mes consignes. C'est toute la beauté de ce type de vidéo. Nous pouvons nous passer de réalisateur, ce qui veut dire plus d'argent pour nous tous.

― Comme vous voudrez.

― Oublie la vidéo pour une minute, » me dit-elle, se penchant pour m'embrasser. J'entrouvris les lèvres et elle glissa sa langue, à la recherche de la mienne. Elle grimpa sur moi, nos langues emmêlées. Elle descendit légèrement, mordillant mon cou et léchant le creux de ma gorge. Je défis son kimono et l'ouvris pour sentir des seins contre mes tétons en érection. Mes mains étaient sous son kimono. L'une lui caressait le dos tandis que l'autre empoignait son cul. De la langue, elle traça une ligne, de mon cou vers ma poitrine, et dessina des cercles autour de mon téton. Puis elle le prit dans sa bouche, le suçant avec douceur. Elle avait coincé sa cuisse entre mes jambes et je me frottais contre elle. Je fis glisser son kimono de ses épaules, la poussant un peu pour l'obliger à descendre.

Elle libéra ses bras du vêtement, mais se remit à me sucer les seins. Je lui tenais la tête d'une main et me caressais le téton de l'autre. Quand elle changeait de sein, je changeais de main. Mes tétons étaient aussi durs que la pierre et ma poitrine se soulevait. En réalité, tout cela commençait à me rendre folle et j'en oubliai tout ce qui n'était pas sa langue et sa jambe contre ma chatte. Elle descendit sur mon ventre et laissa ses lèvres caresser ma peau jusqu'à mon petit mont, que je venais de raser. Je tordais mes tétons entre mes doigts, au bord de l'orgasme. Reiko avait juste à tremper sa langue. Elle me toucha un bref instant à l'extrémité de ma fente et je me soulevai du lit pour aller à sa rencontre, mais elle s'écarta. Je m'effondrai sur le matelas et fit glisser ma main entre mes jambes.

Elle me saisit par les hanches, me retourna sur le ventre et grimpa sur mon dos. Elle souffla sur ma nuque. J'avais un doigt sur mon clitoris et son va-et-vient s'intensifiait. Reiko était à quatre pattes sur moi, sa langue courait le long de ma colonne. J'avais fait mon possible pour ne pas jouir avant qu'elle ne m'ait bouffée, mais je n'en pouvais plus. Je baisais ma main, à deux doigts de l'orgasme, lorsque je sentis Reiko m'écarter les fesses et coller sa langue contre mon anus. Il ne m'en fallait pas davantage. Je poussai un cri et mon corps fut ballotté dans des vagues de plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela dura. Des années. C'est l'impression que j'en eus. Je retombai sur le lit, ma poitrine secouée par ma respiration.

Je m'attendais à ce qu'elle s'allonge à côté de moi, mais ses mains me prirent la taille, soulevant mes fesses. Elle me fit ensuite mettre mes genoux sous moi pour que je tienne la pose. Je pensais qu'elle me voulait à quatre pattes, alors je poussai sur mes bras pour me relever. Elle posa sa main sur mon épaule et me dit de rester contre le lit. Pas de problème. J'étais exténuée et la position dans laquelle je me trouvais, si elle devait paraître absurde, était étrangement reposante. Elle était agenouillée entre mes jambes. Elle faisait courir ses ongles parfaitement manucurés le long de mes cuisses et sur mes fesses. C'était formidable, un chatouillement sans la sensation désagréable habituelle. Vous voyez ce que je veux dire, vous riez mais vous voulez que cela s'arrête. Mon souffle devenait plus lourd et mon dos se creusait pour se rapprocher encore. J'étais loin de l'orgasme, mais je jouis presque lorsque ses ongles parcoururent ma chatte.

Puis ils me quittèrent et ses mains vinrent me caresser le cul et les jambes. Je laissai échapper un soupir et me détendis un peu. Elle embrassa mes fesses. Les baisers se transformèrent en coups de langue à mesure qu'elle se rapprochait de mon centre et elle s'appliqua bientôt à y dessiner des cercles humides. Sa langue jouant sur les contours de mon rossignol, je me sentais glisser vers mon deuxième orgasme. J'avais un bras sous moi et je commençai à me caresser. Elle posa ses mains sur mes fesses et les ouvrit, avant de coller sa langue dans ma chatte et de me lécher. Entre la séance précédente et l'excitation provoquée par la venue imminente d'un nouvel orgasme, je devais ruisseler. Et elle dut vraiment en aimer le goût car elle enfonça sa langue encore plus loin, m'explorant toujours plus rapidement. On aurait dit qu'elle essayait de me baiser avec.

Puis elle s'arrêta, se leva et me dit de rester où j'étais. Elle prit quelque chose sur la table et me la montra. C'était un godemiché semblable à celui que j'avais utilisé avec Nobu, à ceci près que celui-ci était légèrement plus gros. Elle me demanda si elle pouvait s'en servir. Oui. Elle se replaça derrière moi. Elle appliqua la tête du truc sur ma fente et lui fit décrire des cercles. Elle le fit pénétrer doucement, mais j'étais tellement trempée qu'il glissa littéralement en moi. Elle faisait lentement bouger la hampe dans mon canal et mon souffle redevint plus lourd. Mes hanches tournaient dans le sens opposé de celui de son instrument. Mon doigt toujours sur mon clitoris, je me mis à gémir. Reiko faisait maintenant glisser son jouet d'avant en arrière et me demanda de lui dire quand l'orgasme viendrait. Elle le faisait tourner et l'enfonçait aussi loin qu'elle le pouvait. En quelques secondes je criais « Maintenant! »

Alors que le plaisir tonnait dans mon ventre, elle retira rapidement l'objet et m'administra simultanément une fessée cinglante. La claque, loin d'être douloureuse, sembla concentrer l'intensité de l'orgasme. Je poussai un cri avant de m'effondrer sur le lit. Je me retournai sur le dos. J'étais trempée de sueur, cherchant à reprendre mon souffle. Reiko s'allongea à côté de moi, sa tête appuyée sur un coude. De l'autre main, elle écartait les cheveux de mon visage.

« Désolée pour la claque.

― Vous plaisantez, c'était génial.

― Eh, les filles, je pourrais en profiter maintenant? » C'était Shoji, il se tenait près de la porte avec le caméscope.

« Pas ce soir, » répondit Reiko, « nous avons du travail demain, il est temps de dormir. »

― Vous avez tout enregistré? » J'avais envie de lui, mais je suivis les instructions de Reiko.

« Une grande partie, » dit-il. « Avec ça et ce qu'on a filmé plus tôt, on devrait avoir assez pour une bonne vidéo HFF amateur.

― Pourquoi tu ne sors pas pour voir si nous avons suffisamment de séquences, » lui conseilla Reiko alors qu'elle se levait du lit. « S'il en manque, nous pourrons les filmer demain.

― Putain. Coincé dans la campagne avec deux stars du porno et je dois encore m'astiquer tout seul. Parlez-moi d'égalité des sexes. » Il souriait et je ne savais pas si je devais le prendre au sérieux. Qu'il m'ait appelée « star du porno » me plaisait bien.

« Ouais, ouais. Ce n'était pas exactement de la glace à la vanille qu'elle mangeait tout à l'heure, » lui répondit Reiko, « alors arrête de te plaindre. » Elle ferma la porte. « Inutile de t'inquiéter pour lui. Il est rarement à cours de chattes.

― Il va faire une autre vidéo en plus de celle que nous allons tourner demain? demandai-je.

― C'est un bon monteur, s'il a suffisamment de séquences, il en tirera quelque chose de bien. Tu es d'accord?

― Je crois.

― Ne t'inquiète pas. S'ils l'achètent, je m'assurerai que tu sois payée. » Je n'y avais même pas pensé.

« Merci, Reiko. » Je me blottis contre son épaule et je m'endormis.

À suivre... . . Yuki va avoir besoin de repos. Car ce seront bientôt coups de fouet et autres réjouissances.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 13 ans
à suivre!???

Y'a t'il un suite s'il vous palais!??

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