La Seduction De La Baby-Sitter Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Après nous être rincées, je nous essuyais toutes deux puis la prit par la main et la couchais à nouveau sur le lit. Je manoeuvrais immédiatement pour me placer entre ses jambes, lui disant que je devais vérifier si j'avais fait du bon travail. Cette fois il n'y eut aucune hésitation de sa part et elle gémit son accord lorsque ma langue pénétra sa douce chatte brûlante. Elle avait ses mains sur ma tête la guidant presque là où elle voulait m'entraîner.

« Qu'est-ce que je suis en train de te faire, chérie? » demandais-je doucement entre deux lapements. « Tu me dévore la chatte, » ronronna-t-elle en retour.

« Tu aimes que je te fasse ça? » continuais-je. « J'aime que tu me dévore la chatte... c'est si bon. » Elle gémit alors que je faisais danser ma langue contre son clito.

« Joue avec tes petits tétons, chérie. Joue avec tes seins pendant que je te regarde. »

Taylor se caressa les seins de la main, les engloba puis en tira vivement les pointes. Elle les pinça tous deux... plutôt sèchement, me donnant l'impression qu'elle aimait une touche de douleur avec son plaisir. Cela m'excitait aussi qu'elle fasse ce que je lui demandais.

« Tu vas encore jouir pour moi? » demandais-je. « Oh oui, je vais jouir... oh je vais jouir, » chanta-t-elle jusqu'à ce qu'à nouveau ses hanches ne se dressent au-dessus du lit et qu'elle grogne avec vigueur. Cette fois elle m'attira jusqu'à elle et m'embrassa avec force. Nous restâmes couchées un moment puis elle se redressa pour quitter le lit.

« Reste dans mon lit cette nuit chérie, » dis je en agrippant sa main. Elle regarda par-dessus son épaule avant de revenir s'allonger. Je me levais brièvement, éteignis la lumière, et m'allongeais près d'elle. Je la pris dans mes bras comme une lumière diffuse pointait à travers la fenêtre.

« Y a-t-il autre chose encore? » demanda Lisa en souriant au succès dont avait fait preuve sa protégée.

« En fait, oui... beaucoup plus, » continua Katherine en nous asticotant, Lisa et moi, avec son histoire.

Katherine reprit, « Taylor et moi avons l'habitude de dîner ensemble au café et lorsqu'elle ne se montra pas ni n'appela, je sus que quelque chose n'allait pas. Je mangeais seule puis me hâtais vers notre dortoir. J'étudiais un moment puis pris une douche avant de m'allonger sur le lit et de regarder un peu de télévision. »

Vers 21.15, Taylor ouvrit la porte et rentra sans bruit. Je pouvais presque sentir l'atmosphère se rafraîchir comme elle entrait sans dire un mot. Je n'avais pas besoin d'en savoir plus pour comprendre qu'elle regrettait la soirée précédente.

« Où étais tu? » questionnais-je. « J'étudiais à la bibliothèque, » vint la brève réponse.

Je réfléchissais à une réponse possible lorsqu'elle mit les choses au point, « Je ne veux plus que nous refassions ce que nous avons fait hier soir..., » dit-elle doucement marquant une pause... « c'était mal. »

Je regardais Taylor qui gardait le regard tourné vers le sol. « Je ne suis pas sûre de comprendre. Qu'avons-nous fait de mal? » répliquais-je.

« C'est juste... c'est juste que ce n'est pas naturel, » répondit Taylor.

« Je vois, » répondis-je sèchement. « Viens t'asseoir ici, » dis-je en tapotant un coin de mon lit près de moi. Taylor me regarda durement comme si l'endroit était brûlant.

« Oh voyons... Je ne vais pas te sauter dessus, » dis-je avant d'ajouter rapidement... « quoique, qui pourrait m'en vouloir, tu es tellement désirable. »

« Katherine! » s'exclama-t-elle face à mon commentaire, presque comme une mère surprenant son enfant à dire quelque chose de grossier.

« Viens t'asseoir avec moi et discutons, » lui assurais-je. Katherine posa ses livres sur le bureau et enleva sa veste, avant de s'asseoir lentement à mes côtés.

« Maintenant laisse moi te demander... as-tu apprécié ce que nous avons fait la nuit dernière? » demandais-je.

« Ça n'a aucun rapport...c'est quelque chose que nous n'aurions pas du faire... c'était mal, » répondit-elle.

« Je vois... et qu'est-ce qui fait que c'est mal? Insistais-je

« Deux filles ne font pas... deux filles ne peuvent faire l'amour, ce n'est pas bien, » dit-elle en essayant de se convaincre.

« Laisse moi te demander Taylor... nous sommes amies, n'est-ce pas. Tu es mon amie la plus proche. » Taylor acquiesça lentement. « Et parfois des meilleures amies peuvent faire ensemble des choses qu'elles ne feraient pas avec d'autres. Elles peuvent partager leurs pensées les plus intimes. Se dire leurs plus profonds secrets? » continuais-je.

« Ouais, je suppose » dit-elle doucement.

« Est-ce que tu me crois Taylor? » demandais-je. « Bien sûr que je te crois, » répondit-elle.

« Et tu sais que je ne ferais jamais rien, rien dans ce monde de fous qui puisse te nuire. Je ne veux que te donner du plaisir. Me sentir aussi bien que toi. Tu vois, il y a quelques mois j'avais les mêmes doutes que toi. » Taylor me regardais droit dans les yeux... pendue à mes lèvres.

« Je n'avais jamais embrassé une autre fille... je n'y avais jamais pensé avant de rencontrer quelqu'un . Et maintenant je sais qu'il manquait quelque chose dans ma vie. Je ne suis pas sure de retourner un jour vers les hommes. Peut-être le ferais-je. Mais je sais que ce que j'aime vraiment ce sont les filles. J'aime les toucher. J'aime la façon dont-elles me touchent. Et j'aime la façon dont nous nous embrassons et tout le reste. Je ne pense pas que qui que ce soit puisse faire l'amour à une femme comme une autre femme... et je voulais juste que tu le sache... que tu le ressente. »

« Lorsque tu m'a demandé à propos de mon tatouage la nuit dernière... cette personne que j'ai rencontré. La personne à laquelle je me suis donnée... ce n'est pas un mec. C'est une femme. » dis-je.

Les yeux de Taylor étaient écarquillés et je pouvais imaginer ce qu'elle pensait. « Je me suis donnée à elle. Elle m'a fait couper les cheveux, épiler ma chatte, elle m'a fait poser ce tatouage afin de me rappeler chaque jour que je lui appartiens. Mon âme lui appartient - mon corps... et j'adore ça. Je ne me suis jamais sentie aussi aimée, aussi désirée. »

« Je voyais qu'elle réfléchissais vraiment à ce que je lui disais. Je levais la main et caressais sa joue doucement, laissant mes doigts caresser sa mâchoire et s'attarder sur son visage. Bébé, je sais que j'aime le sexe lesbien et tout au fond, je sais que toi aussi. Je pense que c'est-ce qui te travaille ce soir. Je crois que tu as vraiment aimé ça. Je pense que tu n'as pensé qu'à ça toute la journée, n'est-ce pas. » demandais-je.

C'est comme si quelqu'un avait lu le journal intime de Taylor. Comment pouvais t-on connaître ses pensées ainsi? Je pouvais lire sur son visage.

« Au fond, ce que nous faisons, c'est notre secret. Personne n'a à le savoir. Les meilleures amies ont des secrets, pas vrai? » demandais-je.

Taylor acquiesça. Je passais la main derrière sa nuque et l'attirais à moi. C'était l'instant crucial. Si elle devais tracer une ligne dans le sable, c'était le moment. Mais elle ne résista pas et, au contraire se rapprocha de moi. Lorsque nos lèvres se touchèrent, ce fut aussi électrique que la nuit précédente. Je pris l'initiative en faisant pénétrer ma langue dans sa bouche mais la sienne rencontra la mienne et elle commença à me rendre mon baiser avec vigueur.

Elle s'écarta l'espace d'un instant en me dévorant des yeux. « Ce que nous faisons est notre secret, n'est-ce pas? » supplia-t-elle presque. « Absolument » répondis-je.

« Je savais que j'avais tort de dire cela. Sachant parfaitement que j'avais l'intention de vous en parler et de l'attirer plus profondément dans notre style de vie. Mais je savais qu'elle désirait vraiment cette expérience... d'aller plus loin. Et je voulais cela de sa part. je voulais que Taylor soit une lesbienne tout comme moi... comme nous. »

« Tu as bien fait chérie, » roucoula Lisa. « Ce n'est pas lui mentir lorsque tu fais cela pour son propre bien... et crois moi. Elle t'en remerciera encore et encore... n'est-ce pas Ann? » ajouta Lisa en me regardant.

« Katherine, je crois que ma petite culotte est trempée de t'écouter. S'il te plait, n'arrête pas. Continue, s'il te plait, qu'est-il arrivé ensuite? » répondais-je.

« Et bien, » commença Katherine, « Je me dis qu'il n'y avait pas de temps à perdre pour voir jusqu'où elle irait et je crois que j'ai appris de toi, Lisa. Nous nous embrassâmes un moment puis je demandais à Taylor de déboutonner ma blouse. Elle me regarda pendant quelques secondes avant de commencer tout doucement à défaire les boutons de ma chemise, exposant mes seins. Mes tétons avaient déjà commencé à durcir suite à nos baisers. »

Je pris sa main et la guidais vers mon téton. « Je veux que tu sentes mes seins, chérie, vois comment ils sont, comment tu as fait durcir la pointe de mes seins. » Le regard de Taylor glissa jusqu'à mes seins et elle caressa doucement mon téton de le paume de la main. « Tire mon téton,chérie... J'aime ça. Taylor tordit et tira doucement mon téton provoquant chez moi un hoquet alors qu'une secousse brûlante traversait ma chatte.

« Déshabille toi pour moi, bébé. Je veux te voir nue. » L'hésitation de Taylor ne dura qu'un moment comme elle se levait du lit et marchait vers le bureau. Elle s'extirpa de ses chaussures et, se penchant en avant, retira ses chaussettes. Elle fit passer son chandail par-dessus sa tête puis déboutonna son jean et le fit glisser lentement le long de ses jambes. Elle paraissait si sexy ainsi debout dans un ensemble soutien-gorge et culotte assortis. « Tout . Enlève tout, bébé. Je te veux entièrement nue pour moi. »

Taylor grimaça un sourire en dégrafant son corsage et le laissa tomber de ses épaules, l'attrapant et le plaçant sur son lit. Puis elle fit glisser sa culotte, exposant sa chatte que nous avions rasée ensemble la nuit précédente. C'était si charmant. Je suis si contente qu'elle ne soit plus cachée au milieu de tous ces poils.

Je fis tomber un oreiller sur le sol et lui demandais de s'agenouiller dessus. Elle le fit sans hésitation. Je me levais du lit et achevais d'enlever la blouse que je portais. Habillée de mes jeans, je lui demandais de me déshabiller. Elle déboucla ma ceinture puis fit descendre la braguette en faisant glisser mes jeans. Lorsqu'ils furent à hauteur de mes mollets, je m'en extirpais et les rejetais sur le côté. Je ne portais pas de culotte et mon minou rasé se trouvait juste en face de son adorable visage.

« Maintenant, chérie, je vais te donner ce à quoi tu as pensé toute la journée. Parce que c'est bien ce que tu as fait, n'est-ce pas? Tu as pensé à me manger la chatte. A me plonger la langue dans le con. C'est pas vrai? » Taylor se contenta de regarder fixement mon mont de vénus rasé, dont le clitoris émergeait, déjà humide de mes liqueurs. « Répond moi. Dis moi : n'est-ce pas ce à quoi tu as pensé? » dis-je plus sévèrement. Taylor acquiesça lentement.

« Je t'ai demandé de me répondre. Dis moi à quoi tu as pensé... probablement pendant toute la durée de la classe. Dis moi. » pressais-je.

« Oui, je n'ai pensé qu'à toi. Comme je voulais que nous le refassions. Comme j'ai aimé que tu me dévore la nuit dernière. Comment c'était bon. Comme je voulais te le faire aussi. » pleura-t-elle presque.

Je souriais. J'étais là, les mains sur mes hanches, ma petite colocataire hétéro agenouillée devant moi. Nue... confessant à quel point elle voulait me dévorer la chatte. J'avais tellement pensé à cet instant. « Ok, bébé. Embrasse ma petite chatte. Embrasse là doucement de tes lèvres. »

Taylor se pencha en avant et plaça délicatement un doux baiser sur les lèvres de ma chatte. Je pouvais sentir son haleine chaude et je brûlais d'agripper sa nuque et l'attirer à moi. « C'est bien ma douce... maintenant avance ta langue et lèche délicatement l'extérieur de mes lèvres. » Taylor enfonça doucement sa langue dans ma chatte. Elle donnait quelques coups de langue puis celle-ci se retirait dans sa bouche avant d'en émerger un peu plus humide. Elle traçait des arabesques de salive le long des creux de mon con. « Maintenant, plonge la dedans, plonge ta langue dans ma chatte et lèche moi comme je l'ai fait la nuit dernière. »

Taylor était peut-être une novice mais ce qui lui manquait en expérience, elle le compensait en efforts, plongeant dans ma chatte comme une traînée. J'écartais mes lèvres de mes doigts, lui permettant de plonger plus profondément dans ma chatte. Ses mains agrippèrent mon derrière fermement. J'étais au paradis comme ma co-loc broutait sa première femme.

Elle y allait de bon cœur et je perdis toute notion du temps comme sa langue poussait profondément dans mon con, léchant mon clito, et suçant mon petit bouton rigide. « Oh bébé, ta langue est tellement bonne, » gémis-je. « Tu aimes le goût de ma chatte? » grognais-je.

« Oui, c'est si bon. J'aime ta chatte. J'aime manger ta douce chatte, » chanta presque Taylor.

« Et j'aime que tu la dévore. Je veux que tu le fasses souvent. Je veux rentrer de classe et te voir me bouffer la chatte. Je veux me lever le matin et te voir me manger la chatte. Le feras-tu pour moi bébé? Seras-tu ma petite lécheuse de chatte? » demandais-je en faisant courir mes cheveux dans ses doux cheveux bruns

« Oh oui, Catherine je le veux. Je veux te le faire tout le temps, » dit Taylor en levant les yeux vers moi, son visage maintenant humide de mes liqueurs. Elle se concentra à nouveau sur ma chatte, léchant, suçant, et mordillant légèrement mon clito, faisant des bruits de lapement tout en s'enfonçant dans mon con.

« Je crois que tu es accro à ma chatte. Je ne pense pas que tu pourrais te refuser à mon minou. Maintenant que tu y a goûté... tu en redemanderas toujours. Tu y penseras. Tu auras besoin de le lécher. »

Je sentis mes jambes trembler alors qu'elle poursuivait ses assauts contre ma caverne jusqu'à ce que mes genoux rendent grâce et que je doive lutter pour demeurer debout alors qu'orgasme après orgasme secouait mon corps. Je me laissais enfin tomber sur le lit et elle m'y rejoignit. Ses doux petits seins caressant mon ventre comme elle s'allongeait, ses seins écrasant les miens. Cette fois c'était elle qui m'embrassait, enfonçant profondément sa langue dans ma bouche comme je goûtais mes liqueurs sur ses lèvres, sur son visage.

Taylor m'embrassais avec avidité, nos deux corps pressés l'un contre l'autre. Je parcourais son cul ferme de mes mains, enveloppant les fesses, la serrant tout contre moi. « Je veux te baiser. Je veux te baiser bébé, » dis-je doucement dans son oreille. Taylor se redressa et me regarda d'un air surpris.

« Ça risque d'être difficile, tu ne crois pas, » plaisanta-t-elle.

Taylor vit mon expression et agrippa ma chatte, y envoyant un petit choc électrique sans le faire exprès.

« C'est ça que tu as, pas une queue. Et c'est bien ainsi, » ajouta-t-elle en souriant.

« J'ai une petite surprise pour toi, » dis-je comme je la repoussais et me laissais glisser sous elle. Je marchais vers mon tiroir et en retirais mon gode ceinture. « Est-ce que tu as déjà vu un de ces trucs? » interrogeais-je.

Taylor prit un air interdit comme je le manipulais des mains. J'en conclus que sa vie de recluse l'avait laissée ignorante de ces jouets. J'enfilais les jambes dans le gode ceinture et le fixais comme le gode noir bougeait entre mes cuisses. Les yeux de Taylor s'écarquillèrent en réalisant que j'avais maintenant l'équipement nécessaire pour la baiser.

Je sortis du lubrifiant et en étalais le long du membre bien que confiante dans le fait que ses liqueurs étaient plus que suffisantes. Je la repoussais sur le lit et remontais ses genoux tout en prenant position entre ses jambes. Je guidais mon membre dans son petit trou et enfonçait la tête juste ce qu'il fallait pour qu'elle s'y adapte avant que je ne m'introduise complètement.

Lorsque je fus certaine que la tête était bien rentrée, je me penchais et pris un de ses petits tétons dans ma bouche, en suçant et en léchant la pointe. Elle grogna comme j'enfonçais encore la queue en elle, sentant sa chatte se détendre et accueillir mon membre. Elle se redressa, cherchant ma bouche et je répondais à son désir, la rencontrant à mi-chemin comme nous nous embrassions à nouveau, sa langue s'enfonçant profondément dans ma bouche, à la recherche de la mienne.

J'allais et venais, laissant la queue avancer et reculer dans son petit con brûlant comme elle grognait sous moi, ses mains enveloppant mon cul et me ramenant chaque fois que je me retirais. Je poussais plus fort, délibérément, en écrasant ma chatte contre la sienne. Après seulement quelques minutes elle propulsait son bassin contre le mien, allant au-devant de mes coups. Ses doigts plongeaient dans mon dos et je me demandais si ses ongles avaient fait couler mon sang.

Ça me faisait mal et c'était bon en même temps. Comme je me cambrais, mes tétons pendaient et elle se mit à les laper avec avidité de la langue, les capturant entre ses lèvres, et les mordillant légèrement.

Je m'assis et pliais ses jambes en arrière, ses genoux touchant ses tétons alors que je lui tenais les pieds, puis laissant ses jambes glisser contre mes épaules, les repoussait, martelant ses fesses à chaque coup de boutoir.

« Et maintenant, qu'est-ce que je te fais là, bébé? » soufflais-je. « Tu me baises » répondit Taylor.

« Et comment c'est? » continuais-je. « Putain, c'est trop bon... oh, c'est tellement bon... baise moi Katherine. Prend ma chatte brûlante. Baise moi bien, » criait-elle.

Ses mots m'excitaient encore et encore. « A qui appartient cette petite chatte? » demandais-je. « C'est ta chatte. Ta chatte. Baise ta chatte, Katherine. Baise la. Je t'appartiens.» gémit Taylor.

C'étaient là les mots que j'espérais entendre. Je décidais d'en profiter. De voir si je pouvais la faire le reconnaître... « Est-tu ma petite lesbienne chérie? Tu es une lesbienne comme moi? »

Taylor bougea la tête de côté. Elle ne voulait pas le dire. Elle ne voulait pas l'admettre mais je savais qu'elle le devait. Je savais que je devais le lui faire dire.

« Dis moi Taylor. Dis le moi où j'arrête, » répliquais-je. « Non s'il te plait, s'il te plait baise moi, » pleura-t-elle.

« Alors dis moi ce que je veux entendre. Dis moi qui tu es » continuais-je.

« Je suis une lesbienne » dit-elle doucement... presque trop doucement entre nos deux corps s'écrasant l'un contre l'autre.

« Plus fort, dis moi ce que tu es ou je vais arrêter et tu n'auras qu'à te finir toute seule » menaçais-je.

« Non, s'il te plait Kat, je... je suis une lesbienne. Je suis une lesbienne. J'aime que tu me baise. J'aime que tu me bouffe la chatte. Je ferais tout ce que tu voudras... quand tu le voudras... baise moi. Baise ma chatte. Baise ma petite chatte de lesbienne, » s'exclama-t-elle.

Je ne pouvais me retenir. De l'entendre... de savoir que je l'avais dressée. Elle était mienne. Ma petite lesbienne. C'était tout ce que je pouvais endurer. Je jouis comme jamais je n'avais joui. J'écrasais sa chatte et elle me rendit mes coups. C'était une putain de machine! Nous jouissions toutes les deux. Nos hanches étaient plaquées les une contre les autres alors que nous nous embrassions follement. Enfin je me laissais rouler de côté, épuisée. Ma queue humide dégoûtant ses liqueurs comme j'étais couchée sur le ventre.

Taylor gisait à mes côtés haletante. Ses cheveux, son front et sa lèvre supérieure humide de sueur. Elle regarda ma queue pendante et se pencha pour prendre le phallus humide dans sa bouche. Léchant ses liqueurs de son manche.

Elle me regardait droit dans les yeux alors qu'elle allait et venait le long de la bite de latex. Elle avait l'air si sexy comme elle la prenait dans sa main, déplaçant celle-ci de haut en bas sur toute sa longueur.

« Je l'attirais à moi et l'étreignais comme elle posait sa tête sur ma poitrine. C'est alors que je sus qu'il n'y aurait pas de retour en arrière. J'avais transformé ma petite colocataire hétéro. J'avais fait ce que tu m'avais demandé. » Katherine termina en plongeant son regard dans les yeux bruns de Lisa.