La Vengeance d'un intello 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Pour préciser, tu ne peux pas dire non à un ordre sexuel mais tout le reste a disparu.

- Merci. Dit Catherine en pensant qu'il y a peu de chance qu'un étranger lui donne un ordre sexuel.

- Oh je pense que tu devras me rembourser toute ta vie. Sourit Bruno alors que la porte d'entrée s'ouvre.

Elizabeth entre avec des sacs de commissions et dit :

- Venez manger!

Catherine demande alors avec un air espiègle :

- Le poulet ou ta chatte?

- D'accord, viens lécher la chatte de ta mère qu'elle soit prête pour ton grand frère. Déclare Elizabeth en posant les sacs de course sur la table et en s'asseyant sur le canapé.

Catherine, qui aime le goût de sa maman, se met à quatre pattes et commence à la lécher, pas surprise qu'elle soit déjà humide. Bruno dit alors :

- J'ai supprimé la plupart des ordres de Catherine.

- Alors elle n'est plus accro au sperme?

- Non. Mais bien sûr, elle ne peut toujours pas désobéir à un ordre sexuel.

Elizabeth hoche la tête :

- Bien. J'aime bien avoir ma lécheuse de chatte personnelle.

- Maman! Proteste Catherine avec un petit rire.

Bruno et sa mère mange le dîner pendant que Catherine mange sa maman. Une fois qu'ils ont fini de manger, Elizabeth dit :

- Maintenant, viens baiser maman!

- S'il le faut : Plaisante Bruno.

- Oui il le faut. Confirme la mère alors que Catherine se retire d'entre ses jambes en se léchant les lèvres.

Bruno pilonne sa mère pendant que Catherine mange son diner. Au bout de dix minutes, le garçon éjacule. Et dès qu'il se retire, sa sœur enterre rapidement son visage entre les cuisses de sa mère. Bruno lui demande alors :

- Pourquoi fais-tu ça? Parce que tu dois le faire ou parce que tu le veux?

- Parce que je le veux. Répond Catherine qui aime ce mélange de sperme avec le jus de chatte.

Une fois que la jeune fille est satisfaite, ils s'assoient tous les trois devant la télé. Quelque temps après, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Bruno se lève et va voir. Il est surpris de découvrir Pierre sur le pas de la porte.

- S'il te plaît, arrête ça. Dit-il dès que la porte est ouverte.

- Tu ne profites pas pleinement de la vie? Demande Bruno avec un sourire.

- J'ai proposé à tous mes profs de les sucer. Et tout ce que j'arrive à penser c'est des bites. Explique Pierre furieux, mais ne le montrant pas pour ne pas être plus conditionné.

- Tu ne peux jamais me mentir. Ordonne Bruno.

Puis il ajoute :

- As-tu aimé sucer de la bite?

Pierre veut dire non, mais une fois passé le dégoût initial de sucer un homme de 50 ans au foyer des travailleurs, il en a profité pleinement. Alors il admet, honteux :

- Oui. Mais parce que tu as fait de moi un pédé.

- je ne t'ai pas obligé à aimer. Fait remarquer Bruno.

- Quoi qu'il en soit, peux-tu supprimer ces ordres?

- Non. C'est permanent. Tu seras toujours un pédé. Mais si tu es intelligent, personne d'autre ne saura que tu dois obéir à tous ordres donnés.

- Des ordres?

- Aboie comme un chien!

- Ouaf...Ouaf...Ouaf!

- Arrête!

- Pourquoi m'as-tu fait ça? Demande Pierre, mortifié.

- Parce que tu étais un despote pour moi au lycée. Et faire obéir ta mère est un bonus supplémentaire.

- Ma mère ne me regarde même pas.

- Et si tu me désobéis de nouveau, je te ferai sucer ton père.

- Mon Dieu non.

- Bien alors. Tu vas seulement rester un amoureux des bites et un avaleur de sperme. En as-tu envie en ce moment?

- Oui. Admet-il, une faim de sperme apparaissant dans sa tête. - Et prendre une queue dans ton cul?

- Oui. Admet-il de nouveau.

- Est-ce que tu sais qu'il y a trois « glory-holes » en ville?

- Non. Dit Pierre, instantanément excité.

- Un au 7ème étage du collège dans les toilettes de la bibliothèque, un aux toilettes du MacDo, et un troisième au sex-shop à l'ouest de la ville.

Bruno avait fait des recherches par curiosité. Pierre, essayant de contrôler sa faim demande :

- Est-ce que je peux sucer ta bite?

- Je ne suis pas un pédé. De plus si je voulais baiser quelqu'un ce serait le cul de ta mère. Dit Bruno souriant.

- Espèce de salaud, je... Commence Pierre mais s'arrêtant aussitôt de peur d'avoir des ordres ajoutés.

- Je vais te donner l'exemple d'ordres que je te donnerai si tu t'emportes encore. Tu devras sucer la bite de ton père tous les jours. Et tous les jours aussi tu devras te faire éjaculer sur le visage par trois hommes mais tu ne pourras te laver avant le lendemain.

- Désolé. S'excuse Pierre devant ses ordres terrifiants.

- Maintenant tu vas aller sucer cinq bites dans chacun des « glory-holes » et tu te feras enculé une fois dans chacun de ces endroits.

- S'il te plaît non! Plaide Pierre.

- Et tu te débrouilles pour avoir au moins six décharges de sperme sur ton visage avant d'aller voir ta petite amie pour lui dire que tu es un pédé qui suce des bites et se laisse enculer.

Pierre ne peut plus contrôler sa colère alors il explose :

- Putain, je vais te tuer!

Alors qu'il va frapper Bruno, celui-ci lui ordonne :

- Frappe-toi les couilles!

Pierre obéit instantanément et s'écroule au sol.

- Tu te frapperas les couilles toutes les heures dans les prochaines 24 heures. Et si tu me menaces encore j'en ferai un ordre permanent. Est-ce clair?

- Oui. Répond Pierre qui se tord sous la douleur.

- Et parce que je suis de bonne humeur, je ne rajouterai pas l'ordre de sucer ton père. Mais comme je dois te punir, tu vas envoyer, dans les deux heures, à ta petite amie ainsi qu'à moi, une photo de toi avec une bite dans chacun de tes trous, puis une avec du sperme sur ton visage. Ensuite tu achèteras un gode ceinture que tu offriras à ta petite amie pour qu'elle te baise avec. Enfin tu iras voir tous les anciens de notre classe qui vivent encore en ville, tu t'excuseras d'avoir été un trou du cul et tu leur offriras d'être leur suceuse pour la journée.

Pierre pense alors que l'humiliation ne finira jamais.

- Est-ce clair?

- Oui. Dit Pierre en se relevant sur les genoux.

- Alors amuse-toi bien. Dit Bruno.

- Ce n'est pas amusant. Fait remarquer Pierre.

Bruno ajoute alors :

- A partir de maintenant, tu n'as du plaisir que quand une bite se trouve dans un de tes deux trous.

Pierre hoche la tête en se rendant à sa voiture pour commencer la lourde tâche humiliante. Malgré lui, sa queue est aussi dure que de la pierre.

Bruno retourne dans le salon et demande à sa mère :

- Quand allons-nous tester le nouveau produit sur tante Lisa?

- Je veux que tu utilises le premier produit sur Lisa

- Tu es sure? Demande Bruno.

- Oui nous pourrons toujours lui donner l'autre plus tard. Est-ce que tu peux l'introduire dans son café? - Oui je peux facilement le transformer en liquide comme de la crème.

- fais-le s'il te plaît.

- D'accord.

Bruno est étonné de voir sa mère aussi vindicative mais cela lui permet de continuer ses recherches.

******

Bruno passe les trois prochains jours à travailler dur. Il crée une version liquide et une version qui rend la personne vaporisée incapable de se souvenir après une heure comment elle est devenue ainsi. De cette façon, le risque de se faire prendre est limité.

Il fabrique aussi un nouveau produit qui manipule l'esprit et intensifie les orgasmes, ceci pour faire plaisir à sa mère.

Bien sûr, au cours de ces trois jours, il baise sa mère tous les jours alors que sa sœur, à sa grande surprise, continue de fricoter avec Éric, l'amenant même à la maison pour dîner.

Puis vient le samedi.

Bruno donne la version liquide à sa mère qui le verse dans le café de sa sœur Lisa. Ensuite, il se met dans le couloir et écoute sa mère transformer sa tante en esclave soumise.

Elizabeth attend que le produit face effet tout en discutant avec sa sœur de chose insignifiantes comme la carrière de Lisa dont elle se glorifie en se moquant de la vie de la mère de famille. Enfin, impatiente de voir si la drogue fonctionne elle demande :

- Lisa, s'il te plaît, masse mes pieds!

- Quoi? Dit Lisa, trouvant la demande ridicule.

Pourtant elle se sent quitter sa chaise. Puis elle demande :

- Pourquoi portes tu des bas à la maison?

- Mon maître et amant de fils aime que j'en porte.

Tandis que Lisa tombe à genoux, elle demande en se moquant

- Ton maître et amant?

- J'ai aussi une fille esclave. En vérité j'ai deux amants et j'espère bien en ajouter un troisième bientôt, très bientôt.

Lisa prend le pied de sa sœur entre ses mains alors qu'elle écoute ses déclarations bizarres et qu'elle est lesbienne. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle a obéi et qu'elle masse le pied d'Elizabeth. « Pourquoi fais-je ça » pense-t-elle. Elle essaie d'arrêter mais ne peut pas.

Elizabeth sourit. Sa sœur a obéi à un ordre simple mais dégradant. Elle dit alors :

- Pourquoi ne sucerais-tu pas chacun de mes orteils tant que tu y es?

- Cesse d'être ridicule Eliz...Dit Lisa, coupée soudainement lorsque sa bouche commence à sucer les doigts de pied de sa sœur à travers le bas. « Qu'est-ce qui se passe? « Elle n'arrive pas à croire qu'elle obéit.

Elizabeth pourrait expliquer ce qui se passe mais elle préfère admirer l'air égaré de sa sœur. Elle apprécie que sa sœur soit ainsi dégradée.

Bien sûr, Lisa essaie de comprendre. « Pourquoi obéit-elle? pourquoi ne peut-elle s'arrêter? »

Une fois que les cinq orteils ont bien été sucés, Elizabeth ordonne :

- L'autre pied aussi petite sœur!

- Qu'est-ce que tu m'as.... Commence Lisa, bientôt interrompue quand sa bouche gobe le gros orteil de l'autre pied.

- Tu es bien sur tes genoux? Dit Elizabeth avant d'ajouter :

- J'imagine que tu as du souvent te retrouver dans cette position pendant ta carrière.

Lisa est furieuse pour deux raisons : la première est que sa sœur l'a surement droguée et la deuxième est qu'elle suppose qu'elle a couché pour arriver au sommet de sa carrière. Bien sûr, c'est un peu la vérité. Elle a sucé, elle a baisé et elle s'est même faite sodomisée à l'occasion. Mais cela fait partie de la hiérarchie sexuelle qui existe dans le monde des affaires. Toutes les grandes directrices d'entreprise ont couché pour arriver au sommet. Il n'y a pas vraiment d'égalité entre les femmes et les hommes jusqu'à ce que vous arriviez au sommet. D'ailleurs elle n'est pas loin du sommet en tant que vice-présidente.

Après avoir fin de sucer les cinq autres orteils, Lisa demande d'un ton venimeux :

- Qu'est-ce que tu m'as fait?

- Rien d'autre que mon esclave personnel. Dit Elizabeth en haussant les épaules.

Lisa se lève et dit :

- Ce n'est pas drôle.

Mais Elizabeth sourit :

- En fait c'est rigolo. Déshabille-toi!

- Qu'est-ce qui ne va pas chez toi? Demande la femme, ses mains obéissant à l'ordre.

- J'ai eu un réveil sexuel! Répond la sœur ainée.

Lisa baisse les yeux et se rend compte qu'elle est en train d'obéir. Dépitée en déboutonnant son chemisier elle demande :

- Mais pourquoi je ne peux pas arrêter ça?

- Je t'ai fait boire un produit qui te fait respecter tous les ordres que je te donne. Dit Elizabeth avec sérieux.

- Tu as fait quoi? Demande Lisa même si elle avait compris la réponse.

Sa sœur sourit :

Tu as toujours été un peu lente à comprendre. Je vais te le dire lentement. Je... t'ai... donné... un... produit... qui... te... fait... obéir... à... tous... les... ordres... que... je... te... donne.

- Vas te faire voir! Réplique Lisa, détestant qu'on la prenne pour une idiote.

Tandis qu'elle enlève son chemisier, Elisabeth poursuit :

- Ce produit t'empêche de refuser de suivre un ordre donné par quelqu'un.

- Tu n'es pas sérieuse? Dit Lisa, même si elle obéit contre son gré à chaque ordre donné par sa sœur.

Elle pense que si c'est vrai, ça peut ruiner sa carrière.

- Enlève ton soutien-gorge! Ordonne Elizabeth, répondant ainsi à la question.

- Ton fils est là. Argumente Lisa.

Elizabeth ignore cette réflexion et une fois que le soutien-gorge tombe et révèle une belle paire de seins, elle commande :

- Pince tes mamelons!

- Elizabeth, ça va.... AHHH. Déclare Lisa avant de crier sous la douleur du pincement qu'elle s'inflige.

Elizabeth décide alors de questionner sa sœur :

- Tu ne peux plus jamais me mentir. Penses-tu que tu es mieux que moi?

- Oui. Répond Lisa.

Elle continue à pincer ses tétons tout en pensant que sa sœur a loupé sa vie en ayant des enfants.

- As-tu déjà mangé une chatte?

- Oui.

Lisa répond en pensant que de temps en temps, pour élever sa situation, il faut faire face à des secrétaires ou à des femmes ayant des postes plus importants. Et Lisa est prête à tout faire pour arriver au sommet.

- Récemment?

- Il y a quelques semaines.

Elle se rappelle comment elle a conclu un gros contrat en servant toute une soirée, habillée en soubrette, une vieille femme de soixante ans. Ce ne fut pas agréable mais l'essentiel est qu'elle ait conclu l'affaire.

- Aimes-tu lécher des chattes?

- Ca ne me gêne pas.

Elle a toujours vu le sexe comme une fin, un moyen d'avancer. Elle n'en a jamais vraiment profité mais elle ne déteste pas non plus. Elle ne s'est jamais abandonné au plaisir que peut donner le sexe.

- A partir de maintenant tu aimes les chattes. Ordonne Elizabeth.

- Mais ça n'explique pas comment le produit fonctionne. Dit Lisa.

- Il fonctionne, tu vas voir.

La sœur ainée ricane en réalisant qu'elle commence à soumettre sa propre sœur. Elle demande :

- As-tu déjà trompé ton mari?

- Je viens de te dire que j'étais avec une femme récemment. Rétorque Lisa.

- Laisse-moi reformuler la question. As-tu trompé ton mari avec d'autres hommes?

- Oui. Répond Lisa même si elle veut dire non.

- Combien de fois?

- Beaucoup. Dit Lisa, gênée d'avouer son infidélité à sa sœur.

- Des hommes différents?

- Des dizaines... S'il te plaît arrête de poser toutes ces questions.

- Combien de dizaines?

- Six peut-être. Répond Lisa en pensant que soixante est un nombre approchant.

- Wow, tu es une vraie salope.

- Ne me traite pas de salope! Demande Lisa.

Elle hait ce terme dégradant. Si un homme fait l'amour à soixante femmes c'est un étalon, si une femme fait l'amour à soixante hommes c'est une salope. C'est des conneries. Le sexe c'est juste du sexe, et rien d'autre.

- Comment veux-tu que je t'appelle alors?

- Aventurière.

- Combien d'hommes as-tu baisé réellement?

- Quelle importance ça a?

- Oui après tout. Enlève ton jean!

- S'il te plaît Elizabeth, tu t'es assez amusée. Dit Lisa tout en déboutonnant son pantalon.

Mais la sœur ainée déclare :

- Je viens juste de commencer. Comment as-tu fait pour te retrouver dans la position professionnelle actuelle. Tu as couché pour y arriver?

- Non, oui, ce n'est pas aussi simple.

Lisa pense que oui elle a baisé beaucoup d'hommes, presque soixante, pour arriver à grimper au sommet mais son travail acharné ainsi que son intelligence y sont pour quelque chose aussi.

- Je pense que si.

Elizabeth exprime son désaccord et ignore les paroles de sa sœur :

- Tu t'es déjà faite enculer?

- Oui. Admet Lisa en baissant son jean.

- Aimes-tu avoir ton trou du cul pénétré?

- Parfois. Répond Lisa en pensant aux quelques fois avec des petites bites ou en étant ivre.

- Enlève ta culotte aussi. Ordonne Elizabeth.

- Pourquoi fais-tu ça? demande sa sœur en obéissant.

- Pour me venger des années où tu m'as traitée de haut.

- Es-tu jalouse de moi? demande Lisa en sachant qu'elle avait toujours été l'enfant préféré de ses parents, celle qui réussit.

Elizabeth se moque d'elle :

- Oh oui je suis super jalouse de toi, tes heures de travail interminables, ton mariage avec un nul, ta vie sans enfants et à penser toujours à l'argent.

- Vas te faire foutre! Riposte Lisa.

- Oui je prévois de te baiser ma sœur. A genoux maintenant.

Tandis qu'elle obéit et se met à genoux, Lisa se rend compte que sa situation devient plus difficile qu'elle ne l'a imaginé. Alors elle dit :

- S'il te plaît Elizabeth?

- Rampe vers moi! Ordonne Elizabeth qui se complait dans le pouvoir qu'elle a sur sa sœur.

Elle sait que ce qu'elle fait est moralement répréhensible mais ça ne la gêne pas.

- Elisabeth? Répète Lisa en rampant vers son ainée en commençant à craindre qu'elle ne lui fasse lécher sa chatte.

- Sois une bonne esclave obéissante et ta situation n'empirera pas. Dit Elizabeth en la regardant d'en haut.

- Que m'as-tu vraiment fait? Supplie Lisa.

Elizabeth appelle :

- Bruno?

- Oui? dit Bruno en sortant du couloir où il écoutait.

- Elizabeth? Crie Lisa, le souffle coupé alors qu'elle tente se de couvrir avec ses bras et ses mains.

Bruno explique en regardant sa tante nue à genoux :

- Le produit que tu as bu a modifié ton cerveau. Tu dois maintenant obéir à tout ordre donné par une personne.

- Tu n'es pas sérieux?

Lisa est mortifiée par ce qu'elle entend, pourtant ces mots explique pourquoi elle a obéi aux ordres ridicules de sa sœur.

- Aboie tantine!

- Ouaf...Ouaf...Ouaf...

Lisa obéit instantanément, la honte et la colère brulant en elle.

- Stop Tantine! Ordonne Bruno.

- Pourquoi m'as-tu fait cela? Demande Lisa.

- Parce que maman me l'a demandé.

- Pourquoi me fais tu ça? demande Lisa en regardant sa sœur.

- Parce que tu ne m'as jamais respectée. Maintenant tu vas le faire. Dit Elizabeth.

- Et plus tu désobéiras, plus on manipulera ton esprit pour te rendre la vie plus facile. Dit Bruno.

- S'il te plaît Bruno, je n'ai jamais fait de mal. Plaide Lisa en espérant que son neveu qui a créé le produit soit plus rationnel.

- je ne sais pas ma tante. Mais le produit a déjà transformé ton cerveau. Dit Bruno en haussant les épaules.

Puis il ajoute :

- Mais je dois insister sur le fait que toutes les salopes dans la maison doivent être en bas nylon. Catherine!

- Mon Dieu! toute la famille fait partie de ce jeu tordu? demande Lisa.

- Allez, viens manger ma chatte! Ordonne Elizabeth qui veut être la première à être servie par sa sœur.

- C'est pas... Essaie de protester Lisa avant que son visage soit enfoui entre les jambes de sa sœur.

Elle lèche la chatte avec dégoût, choquée par sa situation.

- Tu aimes manger des chattes. Tu veux plaire à toute femme qui t'offre sa chatte. Ajoute Elizabeth aux ordres déjà implantés.

Instantanément, sa sœur commence à aimer de lécher et elle devient plus agressive. Elle veut goûter le doux nectar de sa sœur. Elle ne peut croire à quel point elle en a envie même si elle sait que son cerveau est manipulé.

- Oui? Demande Catherine en entrant et voyant sa tante manger la chatte de sa mère.

- Vas chercher pour notre nouvel animal de compagnie une paire de bas. Demande Elizabeth.

- Bien sur maman.

Catherine hoche la tête, excitée d'avoir son propre animal de compagnie.

- Tu aimes ma chatte petite sœur chérie? Demande Elizabeth.

- Oui. Reconnait Lisa, incapable de mentir.

Puis elle retourne lécher sa sœur. Elle est choquée mais ne peut s'arrêter de lécher la chatte délicieuse de sa sœur.

- Tu veux que Bruno te baise? demande Elizabeth en regardant son fils se déshabiller.

- Mon dieu non! dit Lisa le souffle coupé.

Alors Elizabeth rajoute des ordres :

- L'inceste t'excite. A chaque fois que tu vois un membre de la famille, tu es excitée et tu veux le baiser.

- Attention. Rappelle Bruno à sa mère, ne voulant pas que les ordres soient trop extrêmes.

- Ne t'inquiète pas, je fais attention. Rigole sa mère, pas vraiment inquiète pour les conséquences à long terme sur sa sœur.

Catherine revient et Elizabeth lui dit :

- Mets les bas à ta tante, nouvel animal de compagnie.

- Oui maman! répond Catherine avec impatience.

- Mets-toi sur le dos sœurette. Et à partir de maintenant, quand nous sommes seuls tu m'appelles Maîtresse. Ordonne la sœur ainée.

Lisa obéit, s'allongeant sur le dos dans le silence. Une partie d'elle est déçue car elle n'a pas eu le temps de finir de lécher sa sœur. « Merde, pourquoi je ne peux plus penser correctement? »

trouchard
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