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Il était sous le charme de la jeune femme qui se mouvait tendrement dans ses bras, et qui l'embrassait entre deux cris de plaisir. Il ne bougeait pas son bassin, il se contentait de la tenir en l'air de ses bras forts, profitant de chaque instant. La belle dansa ainsi pendant une dizaine de minute qui semblèrent une douce éternité pour les deux amants.
Aurélien décida ensuite qu'il était temps d'en faire voir de toutes les couleurs à sa belle petite amie. Il commença ainsi à la transporter hors de la chambre. Inès ne protesta pas, trouvant la manœuvre audacieuse. Le grand jeune homme la posa alors sur la table de la cuisine et la retourna comme une crêpe. Il introduisit alors son membre glorieusement érigé dans l'intimité dégoulinante de sa partenaire. Tout en malaxant les fesses de la jeune femme, qui feraient bander n'importe qui, il se mit à la pilonner par derrière. Inès ne demandait que ça et bientôt elle criait de nouveau son plaisir.
« OOOOOOHHHHHH!!!! OOOOUUUUIIIII!!!! TA GROSSE BITE ME REND FOLLE!!!! T'ARRÊTE PAS PUTAIN!!!! DÉFONCE-MOI COMME SI TU ME BAISAIS POUR LA DERNIÈRE FOIS!!! »
« T'AIMES QUAND JE TE LA METS BIEN PROFOND HEIN?!? T'AIMES LA GROSSE BITE QUI VA BIEN AU FOND HEIN?!? »
« OOOOOOUUUUUUIIIIII!!!! J'ADORE ÇA!!!! PLUS FORT!!!! AAAAAAHHHHHHHAAAAAAAAANNNNNNNNNN JE JOUIIIIIIIIS »
Inès explosa une nouvelle fois dans un orgasme ravageur dont elle ne se remit qu'après de longues minutes. La partie de jambes en l'air fut éprouvante pour les deux amants car elle dura encore une heure et demie de plus. Aurélien transporta Inès dans tous les recoins de son appartement pour la tringler dans des endroits tout à fait insolites. Ils se donnèrent l'un à l'autre sur la machine à laver, dans la salle de bain devant le miroir, sur le canapé... La performance d'Aurélien fut herculéenne, d'une part parce qu'il parvint à se retenir de jouir pendant une heure et demie de sexe torride avec une véritable bombe, et d'autre part parce qu'il la transporta partout à la seule force de ses bras. Ils finirent de nouveau sur le lit, Aurélien éjaculant enfin dans un râle de plaisir intense alors qu'il déboîtait Inès en levrette.
Les amants se remirent de leurs émotions lentement. La matinée était déjà terminée et ils mangèrent ensemble un bon repas fait maison par Aurélien. Inès regardait amoureusement le jeune homme et le repas se passa dans l'ambiance la plus joyeuse et complice qui soit. Pour passer le temps et récupérer de leurs ébats éprouvants, Aurélien entreprit ensuite de jouer son répertoire à Inès qui admirait ses qualités de musicien. Les Beatles, Motorhead, Led Zeppelin, Nirvana, tous y passèrent.
Quelques heures plus tard, les amants se sentaient d'aplomb pour faire l'amour à nouveau. Ils prirent leur temps cette fois-ci, s'embrassant et se caressant avec douceur alors que chacun déshabillait l'autre. Inès, qui se sentait en confiance, eut une idée un peu coquine. Elle attendit qu'ils soient tous deux nus et glissa à l'oreille d'Aurélien qu'elle allait chercher quelque chose. Voyant son sourire malicieux, il la laissa faire. Elle sortit de la chambre et alla chercher un mètre ruban qu'elle avait vu un peu plus tôt sur une étagère alors qu'Aurélien la transportait partout. Elle revint triomphante dans la chambre. En voyant le mètre dans sa main, Aurélien compris son intention.
« Ma parole, tu n'as qu'une obsession! Je croyais que pour vous les femmes, c'était pas la taille qui comptait! » plaisanta-t-il.
« Si on dit ça, c'est pour ne pas attrister les petites bites! » répondit Inès avec un sourire.
Ce petit jeu, mesurer la taille de son engin, semblait exciter Aurélien qui commença à bander. Inès, allongée à ses côtés, se saisit du membre et le branla lascivement. Aurélien se mit à transpirer, émoustillé par le regard de défi que lui jetait Inès. Elle continua sa lente masturbation et attendit que le gros mât soit au maximum de sa taille.
« Commençons par la circonférence... » dit Inès sans cacher sa propre excitation. Elle entoura délicatement l'engin avec le ruban et lu à voix haute le résultat de la mesure. « 14,5 centimètres! Pas mal du tout! ».
Aurélien mit ses mains derrière sa tête, fier de lui. Il regarda Inès s'extasier devant la taille impressionnante de sa virilité. Elle déroula le ruban et mesura ensuite la longueur de la bite du bel homme. Elle ouvrit grand les yeux.
« 24,7 centimètres! Putain! T'es vraiment gaulé comme un dieu! » lâcha Inès.
« Arrête, tu vas me faire rougir... » dit-il de façon volontairement ironique.
« Tu sais, je devrais pas te dire ça mais Laura a vu la bite de Baptiste, et elle est toute petite! Hahahah! » avoua-t-elle, gênée de livrer un secret mais curieuse de la réaction d'Aurélien.
« Ah bon? À vrai dire, ça ne m'étonne pas. Il n'est pas très viril, le Baptiste! » commenta-t-il.
Inès le regardait amoureusement. Elle tourna la tête et fixa la grande bite avec adoration et révérence.
« Tu sais quoi? T'as mérité une récompense pour être gaulé comme ça! Je vais chercher autre chose qui va te faire plaisir... » s'exclama-t-elle.
Elle quitta la pièce pour aller fouiller dans son sac et revint avec son plug anal et du lubrifiant.
« C'est un plug anal... Attends... Que...? » bafouilla Aurélien.
Inès ne lui laissa pas le temps de digérer la surprise. Elle lui tourna le dos, à genoux sur le lit, exposant son cul somptueux. Après avoir préparé son anus avec une bonne dose de lubrifiant étalé avec le doigt, elle se saisit du plug et le planta lentement dans son cul. La partie fine creusait l'entrée étroite, préparant le terrain pour la partie large du plug. Avec un peu d'effort, Inès parvint à rentrer entièrement le plug rose. Elle laissa échapper un râle de plaisir mêlé à de l'inconfort. Cependant, son anus s'accommoda très vite et se resserra autour du sextoy. Aurélien était bouche bée. Inès ne laissait maintenant apparaître entre ses fesses rebondies que la petite queue de cheval du plug. Aurélien bavait presque. Il voyait les fesses d'Inès se contracter légèrement d'excitation. La blonde n'avait pas prononcé le moindre mot. Elle tourna sa tête vers Aurélien, l'air plus sérieux que jamais.
« Prends-moi la chatte. »
Ni une ni deux, il lui bondit dessus. Il l'allongea sur le flanc et se mit derrière elle. Il frotta quelques secondes son membre à l'entrée de son vagin. Ce dernier dégoulinait. Il enfonça alors sa grosse bite dans la chatte humide qui n'eut aucun problème pour l'accueillir. Il se mit à mouvoir son bassin d'arrière en avant, en faisant travailler ses abdos, arrachant à sa partenaire des gémissements de plaisir. Cette dernière était littéralement comblée : d'une part avec l'énorme mandrin d'Aurélien qui ravissait sa chatte, et d'autre part avec le plug anal qui dilatait agréablement son anus.
« Tu...as...acheté...humpf...ça...quand? » glissa Aurélien à son oreille.
« Hier...HAANNHH...J'ai...repensé...à...HHOOOOHH...ta...proposition!!! » répondit-elle, extasiée par les coups de boutoir du jeune homme.
Les deux amants se donnaient corps et âme l'un à l'autre. Aurélien s'était saisit de la gorge d'Inès après avoir passé son bras entre ses seins. Son excitation se traduisait par une brutalité accrue. Inès, même si elle ne l'aurait pas avoué, adorait être ainsi malmenée. Être à deux doigts de manquer d'oxygène décuplait sa jouissance. Alors qu'Aurélien la pistonnait, elle orgasma violemment. Criant dans son extase, elle ressentait les muscles de son corps se tendre. Son rectum se contractait convulsivement autour du plug qu'elle avait dans le cul, multipliant son plaisir. Jamais elle n'avait ressenti une telle sensation provenant de son anus. Aurélien, voulant qu'elle se souvienne de cette partie de jambes en l'air, accéléra ses va-et-vient et fourra son engin au plus profond de sa chatte. Inès jouit et se tortilla en continu pendant une bonne dizaine de minute alors qu'Aurélien continuait sa besogne, après quoi Inès demanda à ce qu'il s'arrête, n'en pouvant plus.
« Comment tu me défonces!!! Incroyable!!! » s'exclama-t-elle.
« C'est ton plug qui m'excites. J'imagine ma bite à sa place et ça me rend fou! » répondit-il.
« J'ai envie que tu m'encules! » dit Inès, folle de désir.
La bite d'Aurélien se raidit encore davantage.
« J'ai trop envie de prendre ton beau cul! Tu m'excites à mort! » répondit-il.
Inès se leva, et retira lentement le plug de son cul dans un gémissement de plaisir. Debout, appuyant ses mains contre le mur, elle se cambra. Puis elle frappa sa croupe dans un « clac » retentissant, et dit :
« Viens prendre ce qui est à toi! »
Aurélien se leva, la bite plus dure que jamais. Il présenta son membre à l'entrée de l'anus dilaté de sa partenaire. Il ne força pas l'entrée, laissant le cul de la belle blonde s'adapter à la grande verge qui tentait de le pénétrer. Petit à petit, l'anus céda à la pression et le gland entra entièrement. Inès laissa échapper un râle d'excitation. Aurélien, parvenant à tempérer son impatience, enfonça un peu plus profond sa queue dans le cul somptueux. Il arriva à faire rentrer la moitié de son pénis. Inès sentait les parois de son anus qui frottaient le gros membre viril. La sensation de plénitude mêlée à de l'inconfort était inédite pour elle. Aurélien entama des va-et-vient lentement, conscient de la nouveauté pour Inès.
« OOHHoohoOOhohOhhoHOH » gémit-elle. « Doucement...C'est bon...Va plus loin...MMMmmmhhhMMmmhhh... »
La découverte de ce terrain de jeu inconnu excitait au plus haut point les deux amants. Aurélien augmenta le rythme, causant chez Inès des gémissements plus marqués et une respiration saccadée. Il enfonça sa bite de plus en plus loin dans l'anus de la jeune femme, qui semblait assez excitée pour accueillir toute la longueur du pénis surdimensionné. Serrant les dents, il se mit à transpirer. Le cul de la jeune femme était enserré autour de sa bite, et cet étroitesse lui procurait à lui aussi des sensations nouvelles. Ils s'accordèrent ensemble sur le bon rythme à adopter, pour que la douleur d'Inès soit minimale et le plaisir maximal pour les deux.
« OOOOOHHHHH... J'aime sentir ta grosse bite qui dilate mon cul!!! OOOOOHHHH... C'est TROP BON...OOOOOHHHHH!!! » s'exalta Inès.
« MMMmmmmhhhhh... HAANNHHHH... J'aime prendre ton cul!!! J'aime te donner du plaisir!!! OOOOHHHH... Ton cul est si étroit, si serré autour de ma grosse bite!!! » dit Aurélien.
Il accéléra légèrement la cadence, pour la plus grande satisfaction d'Inès qui lâcha des râles de plus en plus aigus. Aurélien, qui avait jusqu'à présent gardé ses mains sur les hanches de la blonde, passa sa main droite derrière la taille fine de sa bien-aimée et titilla son clitoris. Les râles de celle-ci se transformèrent très vite en couinements de plaisir alors que la grosse queue continuait d'élargir son cul. La passion était palpable entre les deux jeunes qui transpiraient tous deux à grosses gouttes.
« Je vais JOUIR!!! JE VAIS JOUIIIIIIIIIR!!!!! » cria Inès.
« Moi aussi! Je vais jouir dans ton cul!!! » grogna Aurélien.
L'orgasme les frappa en même temps. Aurélien émit des grognements graves en serrant les dents alors qu'il éjaculait dans le cul de sa belle, son pubis caressant agréablement les fesses musclées et rebondies. Inès était quant à elle dans un état second. Ses yeux se révulsèrent alors que son cul se contractait autour de la grande bite d'Aurélien, augmentant encore sa jouissance. Inès pouvait presque sentir la circulation sanguine accrue dans la bite qui occupait son anus tant celui-ci était serré autour du magnifique pieu. Ses muscles se contractaient, envoyant vague après vague de plaisir dans tout son corps. Ses cuisses musclées faillirent la lâcher tant elles tremblaient. Ils se laissèrent tomber tous les deux sur le lit, épuisés. Après s'être quelque peu remis de leurs émotions, ils s'entrelacèrent et s'embrassèrent passionnément. Cette nouvelle expérience les avait encore rapprochés.
« J'ai adoré ça! Il faudra que tu me prennes le cul plus souvent... » dit Inès entre deux baisers.
« C'était divin. J'étais dans un autre monde... » dit Aurélien en plongeant ses yeux dans ceux d'Inès.
« Oui, moi aussi. Tu m'as fait ressentir des choses que je n'avais jamais ressenti... Je n'ai jamais eu une telle connexion avec quelqu'un, pendant le sexe et même en dehors. Tu es beau, drôle, et surtout tu es membré comme un homme, contrairement à certains... » dit-elle.
Aurélien gloussa, voyant très bien à qui elle faisait référence. Mais Inès conserva son air solennel.
« Je t'aime. » ajouta-t-elle, en regardant Aurélien droit dans les yeux.
Ce dernier regarda Inès longuement, touché par autant de tendresse et d'honnêteté. Il passa sa main dans les cheveux blonds d'Inès, et embrassa amoureusement ses lèvres pulpeuses.
« Je t'aime aussi. » dit-il.
Ils avaient maintenant tout dit. Ils ne formaient plus qu'un. Ils n'avaient plus de tabous. Ils avaient juste la liberté de profiter pleinement de leur amour. Ils s'embrassèrent ainsi longtemps, riant ensemble de temps à autre. Très vite, la nature revint au galop, et Aurélien brandissait à nouveau son membre érigé.
Inès le regarda malicieusement. Ils passèrent le reste de la journée à faire l'amour, dans diverses positions et dans divers orifices...
***
Deux mois passèrent. Deux mois pendant lesquels Aurélien et Inès tissèrent des liens amoureux forts. Ils se voyaient autant que leurs emplois du temps respectifs le permettaient. Ils diversifièrent leurs activités : comme un couple normal, ils allaient ensemble au cinéma, à la salle de sport, à des concerts... Mais leur activité principale restait toujours le sexe.
Et ils n'étaient pas comme les couples normaux de ce point de vue : leurs accouplements étaient particulièrement intenses, longs, passionnés et jouissifs. Parfois à la limite de la violence. Ils essayaient toutes les positions et passaient des heures à s'épuiser dans leurs étreintes amoureuses. Depuis leur premier rapport anal, ils avaient recommencé de nombreuses fois, pour leur plus grand plaisir. Inès se sentait épanouie et confiante quand elle était avec Aurélien. Au lit, elle laissait le grand homme la dominer de toute la puissance de son corps. Il arrivait à faire ressortir le côté soumis chez Inès. De leur côté, Laura et Baptiste s'étaient finalement mis en couple. Leur attraction l'un pour l'autre était réelle, et Inès se réjouissait qu'ils se donnent une chance l'un à l'autre. Jusqu'à ce samedi après-midi...
Inès travaillait dans le salon de son appartement. Elle avait passé la semaine sur la conception du site d'une entreprise privée aux exigences précises. Elle n'avait pas vu Aurélien depuis le week-end dernier et aurait bien besoin de satisfaire ses pulsions sexuelles. Ils devraient pouvoir se libérer et se voir ce soir. Inès n'attendait que ça. Elle vit partir Baptiste chez Laura, deux étages plus haut. Malgré la déception du premier soir, Laura avait accepté de laisser une deuxième chance à Baptiste. Inès savait que Laura n'avait sûrement pas fait ça pour le sexe, connaissant la taille ridicule du pénis de Baptiste. Laura aimait surtout chez Baptiste sa personnalité joyeuse et son engagement politique à la limite de l'héroïsme.
Baptiste avait en effet gagné en popularité au sein des manifestants et des participants aux mouvements sociaux suite à une garde à vue le mois dernier. Lui et une bande d'amis avaient réussi à mettre en échec des policiers, permettant à d'autres manifestants de forcer le passage dans une rue très fréquentée de Paris. La manifestation fut donc un succès retentissant, bénéficiant d'un écho national. Baptiste et ses amis sont restés en garde à vue une journée entière et ont été applaudis comme des héros à leur sortie.
Inès était fière de son coloc', et heureuse qu'il ait enfin une copine pour se vider les couilles de temps à autre... Elle se demandait comment ça allait pour Laura sur le plan sexuel. Baptiste arrivait-il à la satisfaire? Elle chassa les pensées cochonnes de son esprit pour se concentrer sur son boulot. Déjà 18h00. Il fallait avancer le travail. Une demi-heure de labeur plus tard, Baptiste se pointa dans l'appartement, l'air à moitié énervé, à moitié honteux. Il attrapa ses clés de l'appartement et dit à l'intention d'Inès :
« Je vais faire un tour. »
Sans plus d'explications, il franchit le seuil de la porte. Inès n'avait même pas eu le temps de réagir. Quelque chose n'allait pas. On aurait dit qu'il s'était disputé avec Laura. Inès regarda son écran d'ordinateur. Il lui restait encore des choses à faire... Tant pis. Elle se leva et gravit les deux étages qui la séparait de l'appartement de Laura. Elle trouva Laura énervée et au bord des larmes.
« Hey... Qu'est-ce qui ne va pas? » s'enquit Inès.
« Oh... C'est toi... Je...euh... On vient de s'engueuler avec Baptiste... » répondit Laura avec un air triste. « Je viens de... de le larguer. »
Ces mots firent comme un choc à Inès. Ils avaient pourtant l'air de s'être bien entendus dans l'ensemble jusqu'à présent. Inès se rapprocha de la belle Laura et la prit dans ses bras.
« Oooohhhh ma chérie... Ça me rend triste... » souffla Inès.
Laura lui rendit son étreinte. Elles se pressaient l'une contre l'autre. Elles avaient toujours été très proches et à l'aise l'une avec l'autre. Inès voulait partager ce moment difficile avec son amie.
« Que s'est-il passé? » demanda Inès après qu'elles se soient assises toutes les deux sur le lit.
« Je sais pas si je dois tout te raconter... C'est privé... » hésita Laura.
« On ne s'est jamais rien caché toutes les deux. Si tu ne veux pas m'en parler, c'est ton choix. Mais je pense que je pourrais t'aider à traverser cette épreuve si tu m'en parlais. » insista Inès.
« D'accord, on ne se cache rien. » dit Laura. « Il vient de monter pour qu'on fasse l'amour. Et malgré tous mes encouragements, il n'a pas réussi à bander. Encore. C'était trop pour moi et je l'ai quitté. J'ai voulu le larguer depuis un moment depuis que j'ai réalisé qu'il ne POURRA PAS me satisfaire sexuellement. J'avais besoin qu'il me donne plus physiquement. J'ai vraiment de l'affection pour lui, mais à un moment, il faut aussi qu'il assure au lit, il faut que je sente quelque chose. Depuis deux mois qu'on couche ensemble, jamais il n'a comblé mes envies. »
« Tu crois que ça a à voir avec la taille de son engin? » demanda Inès.
« Bien sûr! C'est une malédiction son petit machin! Non seulement, je n'arrive pas à le sentir mais en plus il a du mal à bander et il perd confiance en lui. Les seuls orgasmes qu'il a réussi à me donner en deux mois, c'est avec sa langue. Mais ce n'est pas assez pour moi... » dit Laura.
Elle s'arrêta un instant, contemplant Inès. La blonde avait écouté toute son histoire patiemment, d'un air concerné.
« Merci de m'avoir écouté. Tu es toujours là pour moi. » ajouta Laura.
Inès ne répondit pas. Elle se contenta de s'approcher d'elle et de l'enlacer à nouveau. Laura se laissa faire. Leurs poitrines étaient serrées l'une contre l'autre. Ce moment, qui aurait pu être gênant, ne l'était pas pour les deux amies. Inès sentait le corps chaud de Laura, elle respirait la douce odeur de son shampoing. Elle sentit le sang lui monter à la tête, et dans un moment de folie, embrassa les lèvres de Laura. Elle s'éloigna soudainement, sans comprendre ce qui lui avait pris.
« Je... euh... je... Désolée... » balbutia Inès.
Elles se regardèrent un instant. Le regard de Laura avait changé. Inès n'y voyait plus la détresse mais le défi. À sa grande surprise, la brune rapprocha son visage du sien et lui rendit son baiser. Inès se régala de la douce sensation sur ses lèvres. Elle ferma les yeux et se laissa plonger dans le moment. Les deux amies se mirent à s'embrasser de plus en plus langoureusement.
Après une dizaine de minutes passées à se bécoter, Laura enleva tendrement le haut d'Inès, révélant ses deux gros seins qui gonflaient son soutien-gorge.
