La Vie Sexuelle D'Inès Chapitre 07

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Baptiste ne savait pas s'il se prêtait au jeu de la domination ou s'il pensait vraiment ce qu'il disait. Peu importe : il n'oserait pas répondre à un homme aussi viril et musclé et il baissa silencieusement la tête en guise de réponse. Idrissa poursuivit.

« Tu sais, dans le quartier d'où je viens, personne ne se fait traiter comme ça par les gonzesses. Même pas en privé. C'est peut-être un fétiche de blancs. Un noir de chez moi, du Sénégal, il ne se laisserait pas faire. Il prendrait sa grosse bite, et il ferait vite comprendre à la meuf en question que c'est lui le patron. Surtout si c'est une femme blanche qui n'est pas habituée à encaisser ce genre de gourdin. Parce que oui, les hommes noirs sont beaucoup mieux membrés que les petits blancs. On en est l'exemple parfait, toi et moi. Bref, un homme sait ce qu'il veut, et il le prend. »

Pour illustrer une nouvelle fois ses paroles, Idrissa se saisit d'Inès et la jucha sur son épaule. Inès était admirative de la masculinité brute qu'il dégageait. Il l'emmena dans la chambre et la posa sur le lit. Baptiste suivit, penaud.

« Ok, je veux comparer vos bites. » déclara joyeusement Inès. « Allez! Enlevez-moi ces caleçons! »

Les deux garçons se déshabillèrent complètement, Idrissa avec assurance, Baptiste avec gêne. Ce dernier pâlit en voyant l'énorme queue que se trimballait Idrissa. Son dard interminable se balançait de gauche à droite avec les mouvements de son corps. Inès était déjà excitée au plus haut point mais décida de prendre son mal en patience. Elle voulait profiter de l'occasion pour se moquer de Baptiste. Le modeste pénis de ce dernier pointait déjà vers l'avant, signe de son excitation malgré la mine pitoyable qu'il affichait. Inès se saisit des deux membres, un dans chaque main.

« Waouuuuuh! Quelle bite noire tu as! » s'exclama-t-elle à l'intention d'Idrissa. « Elle est magnifique... Bien longue... Bien large... Tout ce dont une femme rêve... ». Elle se tourna alors vers la bite de Baptiste et son expression passa de l'émerveillement au dégoût. « Toi, en revanche, tu as une bite absolument pathétique. Regarde-ça, mon bel Idrissa. On a du mal à la voir tant elle est lilliputienne! C'est triste à voir. Ma main peut la recouvrir complètement. Une petite bite blanche toute rabougrie... » dit-elle.

Inès commença à branler les deux bites qui étaient en début d'érection. L'une grandissait cependant beaucoup plus que l'autre...

« Alors, soumis? Ça t'excites de voir que tu ne fais pas le poids face à ce monstre noir monumental? » demanda Inès.

« Oui... Oui, ça m'excite beaucoup... » répondit Baptiste.

« Oui qui? » renchérit Inès en fronçant les sourcils.

« Oui, ça m'excite beaucoup, Déesse. » corrigea Baptiste.

« Oh, regarde comme la bite d'Idrissa est en train de grandir... C'est hallucinant! Quelle taille! Quelle virilité! » s'écria Inès, admirative. « J'ai une autre question à te poser, soumis. Imagine que tu es une femme... »

« Il en est pas loin! » coupa Idrissa.

Inès éclata de rire. La complicité entre elle et Idrissa était palpable. Elle le félicita de sa remarque avec un bisou sur le gland épais du bel adonis avant de reprendre.

« Si tu étais une femme, qu'est-ce que tu choisirais, soumis? L'énorme pieu noir et large, ou le pénis blanc, microscopique et inférieur? Le corps noir musclé, puissant, taillé pour l'amour, ou le petit corps blanc chétif? Honnêtement, tu choisirais l'homme noir ou l'homme blanc? »

« Je... Hum... Je choisirais l'homme noir... » dit Baptiste timidement.

« Hé bien moi aussi! » ajouta Inès. « On est vraiment très proche l'un de l'autre! A une paire de seins et trois centimètres de bite près! Allez, soumis, va t'asseoir sur cette chaise là-bas, et regarde comment les vrais hommes font l'amour! »

« Oui, Déesse... » fit Baptiste en allant s'asseoir.

« Tu vas en prendre plein les yeux! » promit Idrissa. « Et elle, elle va en prendre plein la chatte! »

Inès bouillonnait intérieurement. Le membre érigé du bel homme lui faisait terriblement envie. Elle se leva et enleva ses vêtements avec rapidité et habileté. Idrissa fondit sur ses seins qu'il se mit à suçoter, ce qui arracha un gémissement de plaisir à Inès. Cette dernière masturba des deux mains la massue ahurissante de son partenaire, par désir plus que par nécessité, car la colonne de chair était au plus dur. Le bel homme noir agrippa Inès et la plaqua sur le lit avant de l'embrasser avec fougue. Le moment tant attendu était arrivé. Guidé par la main d'Inès, Idrissa plongea d'un coup son glaive dans l'intimité humide de la belle blonde qui en cria de douleur. Elle adorait souffrir de l'étroitesse de sa cavité vaginale. Même Baptiste, depuis sa chaise, laissa échapper un « Oh! » d'ébahissement. Il commença à masturber son petit engin. Inès, malgré l'ivresse du moment, le remarqua.

« Hep hep hep! Soumis, arrête de te branler! Je t'ordonne de t'asseoir sur tes mains. T'es là pour observer, pas pour te pignoler la nouille! Si tu désobéis, il y aura des conséquences! » commanda Inès.

Baptiste s'arrêta net et s'assis sur ses mains à contrecœur. Une fois ce problème réglé, Idrissa se lança dans une série de va-et-vient digne des meilleurs acteurs porno. Tout en prenant soin de peloter la poitrine opulente de son amante, il matraquait son vagin de sa superbe lance turgescente, en veillant à varier le rythme. Pour son plus grand plaisir, les parois vaginales de la blonde étaient confortablement resserrées autour de son attribut, provoquant une sensation indicible de chaleur et de stimulation exaltantes. Idrissa poursuivit sa performance magistrale en concentrant son attention sur les fesses rondes et charnues de la belle, qu'il malaxait sans ménagement tout en embrassant à pleine bouche ses lèvres pulpeuses et avides.

Inès était aux anges. Son amant semblait la pistonnait comme si c'était la dernière fois. Elle se délectait de la douce sensation de sa peau noire qui frottait frénétiquement contre sa peau blanche. Mais par-dessus tout, elle adorait l'euphorie causée par l'interminable braquemard qui la pourfendait. Le membre noir étirait son vagin et venait cogner violemment contre sa matrice, lui arrachant des cris d'extase à chaque fois que la sensation de plaisante brûlure lui faisait griffer le dos de son partenaire. Agrippée à son homme comme un marin à une bouée de sauvetage, elle subissait avec joie le forage acharné de son orifice le plus intime. Grisée par tant d'émulation, elle se mit à donner des coups de bassin vers le haut pour venir s'empaler encore plus vite contre le chibre noir. Sa voix partit dans les aigus alors que l'orgasme la frappa sans prévenir. Elle plongea dans un monde de sensations plaisantes où les dimensions spatiales et temporelles n'existaient plus. Son transport était exacerbé par le fait qu'Idrissa continuait de l'embrocher et de la marteler comme si ça vie en dépendait. Inès perdit complètement toute notion de réalité, naviguant dans l'hystérie indescriptible de cet instant suprême. Ses jambes tremblaient convulsivement. Son souffle était aussi court que la pine de Baptiste.

Ce dernier admirait le spectacle hallucinant qui s'offrait à lui. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'y va pas avec le dos de la cuillère -- pensa-t-il. Il était scié par la façon dont ce noir qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam était en train de démolir le vagin pourtant si doux et délicat de sa bien-aimée. La belle semblait être écrasée sous la masse de muscle impressionnante qui la culbutait sans pitié. Le minuscule organe de Baptiste était plus que jamais au garde-à-vous, mais il résista à la tentation de se secouer le cocotier alors qu'Inès était trop occupée à jouir comme une tarée pour faire attention. Il resta donc là, pantois, et surtout jaloux du talent d'Idrissa pour le ramonage de chatte blanche.

A peine Inès fut-elle remise de son premier orgasme qu'un deuxième était en train de monter en elle. Pour temporiser, elle proposa de changer de position. Elle se retrouva alors au-dessus d'Idrissa qui était allongé sur le dos. Accroupie, elle était alors en mesure de contrôler la profondeur et la vitesse de la pénétration. Baptiste avait une vue parfaite de la croupe harmonieuse de la blonde. L'entrée du gland dans le vagin dilaté fut plus facile cette fois, mais elle arracha tout de même un cri aigu à Inès qui n'en revenait décidemment pas de l'épaisseur colossale du pieu noir. Elle entama alors sa danse endiablée. Elle s'empalait avec souplesse à un rythme lent, faisant pousser des grognements de plaisir à Idrissa. Elle dégoulinait littéralement de la chatte tout en accueillant le membre hypertrophié de son amant black.

« OOOOHHHH!!! C'est si bon!!! Tu me dilates tellement!!! J'adore ta grosse bite de noir!!! » s'exclama-t-elle.

« Humpf! Oui!!! J'aime quand tu me dis que ma queue est la plus grosse!!! » répondit-il.

« Ta grosse queue est magique!!! Elle me remplit tellement!!! Infiniment plus que l'autre soumis qui nous mate!!! PUTAIN J'AIME TROP LES BITES NOIRES!!!!! » ajouta-t-elle afin de se moquer de Baptiste qui ne répondit pas, trop absorbé par la vue de la croupe fantastique qui se mouvait au rythme de la pénétration.

Ces mots crus semblèrent réveiller à nouveau la bête qui sommeillait en Idrissa. Il se saisit des hanches gracieuses de sa partenaire et l'invita à venir se faire empaler plus profondément sur son épée noire. Il appréciait la passion que dégageait Inès quand elle ondulait son bassin pour venir se faire transpercer. Bien vite, ils reprirent un rythme de croisière, la belle blonde donnant des coups secs vers le bas. Elle ressentait un plaisir extrême à se faire tamponner par un mandrin aussi pharaonique. Tous les terminaux nerveux de son intimité s'activèrent, et Inès atteignit la jouissance en deux temps trois mouvements. Son vagin se contractait frénétiquement, envoyant des ondes de délicieux plaisir au cerveau d'Inès qui eut l'impression de perdre la tête, tant et si bien qu'elle tomba en arrière sur le lit. Son orgasme était si violent qu'il ressemblait à une crise d'épilepsie ; Inès tremblait de tous ses membres et bavait sur les draps, les yeux dans le vide.

Idrissa se leva et se fit couler un verre d'eau au robinet, qu'il sirota comme s'il assistait à ce genre de spectacle tous les jours. Son érection n'avait pas faibli. Il avait l'air d'un dieu. Il toisa Baptiste avec un regard condescendant. Ce dernier avait les yeux ronds. Il n'avait jamais vu une femme devenir aussi hystérique. A ce moment-là, il enviait Idrissa de tout son être. Il était son reflet inverse : un homme puissant, dominateur, confiant, bien membré... Il avait l'air d'avoir été créé dans le seul but de servir de fantasme à la gente féminine toute entière.

Inès reprit lentement ses esprits. Elle remarqua qu'ils avaient trempé les draps. Elle se leva du lit et vint se coller au mur à côté de la chaise de Baptiste, puis elle sa cambra, présentant sa croupe magnifique à Idrissa, comme pour l'inviter à lui faire l'amour. Le grand noir ne se fit pas prier et vint rejoindre sa belle amante. Il se mit à frotter son superbe sceptre d'ébène entre les jambes de la blonde, stimulant au passage son clitoris. Ils étaient à quelques centimètres sur la droite de Baptiste, qui les regardaient toujours sans mot dire, l'air ébahi. Même s'il était toujours assis sur ses mains et qu'il n'avait pas participé, il vivait sans aucun doute son expérience sexuelle la plus intense.

« Hmmm, tu m'excites tellement... Ton canon noir... Hummm... J'aime quand il me perce... » murmura Inès à l'intention de son amant black.

« J'ai envie de toi... Ton beau cul de blanche me fait bander comme un taureau... » lui susurra-t-il à l'oreille en guise de réponse.

Alors qu'il s'apprêtait à lui pénétrer à nouveau la chatte, elle l'arrêta.

« Je veux ta grosse bite dans mon cul... Défonce-moi le cul!!! » dit Inès avec une lueur de folie dans les yeux.

« T'es vraiment une sacrée salope... » s'exclama Idrissa, surpris de la demande.

Il s'exécuta néanmoins, essayant tant bien que mal de faire rentrer sa poutre majestueuse dans l'arrière-boutique d'Inès. Après quelques secondes, il parvint à faire passer le gland, ce qui suffit à faire hurler Inès de douleur. La sensation de brûlure fit cependant très vite place à la plénitude. Inès tremblait d'anticipation à l'idée d'accueillir dans son cul un chibre aussi surdimensionné. Elle se mit à pousser vers l'arrière par petits à-coups, engloutissant de plus en plus de centimètres de l'énorme sabre noire, si bien qu'elle parvint en quelques minutes à faire rentrer l'entièreté du membre titanesque. Idrissa se mit alors à la sodomiser violemment, faisant fi des cris de douleur de la belle blonde, car il savait qu'à cette douleur perçante était ajoutée une euphorie sans limite.

« Tu aimes te faire ramoner le cul par une grosse bite de black, HEIN?!? » grogna Idrissa dans sa frénésie.

« OOOOOOOUUUUUUIIIIII!!!!! C'EST SI BON DE SE FAIRE ENCULER PAR UNE ENORME QUEUE NOIRE COMME LA TIENNE!!! T'ARRETE PAS!!! » répondit Inès avec ardeur.

Les deux partenaires avaient complètement lâché les chevaux. Ils se donnaient l'un à l'autre sans retenue, ils n'avaient qu'un objectif : s'envoyer en l'air le plus vite et le plus fort possible. Idrissa attrapa d'une seule main le crâne d'Inès et le plaqua nerveusement contre le mur en grognant férocement. Il avait dans les yeux la lueur folle d'un animal en rut. Il était en train de clouer Inès au mur en lui déboîtant l'anus avec son obélisque géant. La belle gueulait alors qu'il la tringlait si fort que les murs de la pièce en tremblaient. Ils approchaient tous les deux de l'extase ultime. Dans un dernier moment de lucidité, Inès regarda Baptiste qui mourait d'envie de se masturber devant cette scène hors du commun.

« Allez, branle-toi, soumis » dit-elle entre deux coups de boutoir.

Il n'en fallait pas plus pour Baptiste qui bondit et commença à se lustrer à quelques centimètres d'Inès qui n'en pouvait plus de se faire matraquer par son homme. Au bout de trente secondes, Baptiste éjacula dans sa main, au moment-même où Idrissa se déversait dans le cul d'Inès. Cette dernière explosa alors dans un orgasme final complètement dingue, qui lui fit perdre l'équilibre. Idrissa se retira, essoufflé, alors qu'Inès se rattrapa de justesse sur la chaise libre, les jambes tremblantes et le corps en sueur. Elle sentait son anus se contracter si fort que le plaisir lui donna des vertiges.

Il lui fallut plusieurs minutes pour se rendre compte de ce qu'il venait de se passer. Elle n'avait certainement jamais joui autant ni aussi fort avec aucun homme. Idrissa était véritablement un amant remarquable. Elle alla l'embrasser et le remercia de cette expérience formidable. Après une étreinte de quelques minutes, elle se souvint de la présence de son soumis, qui n'avait pas bougé d'un pouce, gelé par ce qu'il venait de vivre. Elle le rappela à l'ordre.

« Va te nettoyer, soumis! Tes mains sont pleines de sperme! » s'écria-t-elle en lui claquant les fesses comme on claque un enfant qui n'a pas été sage.

Débarrassé de la présence de Baptiste, elle fut ravie de discuter avec Idrissa, qu'elle connaissait tout de même assez mal pour quelqu'un qui venait de lui mettre une cartouche. Elle apprit qu'Idrissa était né dans un petit village non loin de Dakar, au Sénégal. Il était arrivé en France alors qu'il n'était encore qu'un jeune enfant. Il avait maintenant 23 ans et il vivait de petits boulots. Inès lui parla aussi de son travail dans le webdesign, et de ses relations compliquées avec Baptiste. Ils se quittèrent en s'embrassant, plus langoureusement et tendrement cette fois.

A peine Idrissa parti, Baptiste sortit de la douche, un grand sourire aux lèvres. Inès se félicita intérieurement. Elle avait réussi : elle avait trouvé un moyen de satisfaire ses propres besoins ainsi que ceux de Baptiste. Elle adorait cette position. Elle était tantôt dominatrice vis-à-vis de Baptiste, tantôt soumise à la puissance d'Idrissa. Baptiste avait accepté son rôle de sous-homme dans la relation, et il le fit savoir! Il passa la soirée à dire à Inès à quel point il aimait se soumettre, à quel point il se sentait ridicule en tant que blanc à petite bite devant un homme noir et bien doté comme Idrissa, à quel point il avait joui rien qu'en les regardant se donner l'un à l'autre. Il remercia sa Déesse de l'avoir mis à sa place.

Et les deux colocataires furent tous les deux heureux de voir Idrissa revenir plusieurs fois par semaine...

*

Par Achabcooper

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
L'humiliation

L'humiliation est vraiment un très puissant aphrodisiaque ... J'adore.

Rudy

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