Les Jumeaux Croisés 06

BÊTA PUBLIQUE

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« Je ne peux vraiment pas vous laisser seuls » dit Lucie en riant

La voix un peu étouffée de Françoise lui répondit « Je voulais nettoyer la chatte de Léa et on a un peu dérapé ... uuuhhh »

Attaquée par son frère et par l'amie de son amante, Léa commençait déjà à geindre et Lucie devina qu'elle n'aurait jamais la force de finir Françoise aussi elle récupéra la ceinture à gode unique dans le sac de Léa et s'en équipa avant d'aller s'installer entre les cuisses grand ouvertes de Françoise. Elle voyait que Léa faisait des efforts aussi désespérés que vains pour se concentrer sur le clitoris de Soise et elle n'hésita plus . Elle enfila son amie avec le gode et commença à la prendre vigoureusement

« WAAAOOUHH » cria Françoise, « vas-y ma chatte, baise-moi comme une chienne, enfile ta pute »

Léa n'en pouvait plus. Entre la langue de Françoise, le mandrin de son frère et la vision de Lucie en train de bourrer la grosse chatte sous ses yeux, elle se laissa aller à un troisième orgasme d'autant plus ravageur que ni Françoise, ni Loïc ne lui laissaient de répit. Heureusement pour elle, la plantureuse rousse ne put résister très longtemps aux assauts de son amie et jouit elle aussi en s'agrippant aux cuisses de Léa, empêchant Loïc de poursuivre sa baise furieuse. Désappointé, ce dernier se dégagea du con de Léa maintenant inerte et regarda Lucie qui lui sourit

«Il serait peut-être temps que tu t'occupes de moi! »

Il ne se le fit pas dire deux fois et rejoignit Lucie qui se débarrassait du harnais. Elle s'accroupit au bord du lit, cambrant ses fesses pour l'inviter à la pénétrer.

« Vas-y mon gros loup, prends-moi comme un sauvage, j'ai envie de me faire défoncer »

« Ca tombe bien » pensa Loïc « elles me rendent tellement fou toutes les trois que je pourrais passer à travers une porte blindée ». Et, sans préambule, il s'enfonça d'un coup sec dans le vagin de Lucie qui poussa un petit cri de surprise et de douleur. Il la baisa sans ménagement, lui arrachant des ahanements comme si c'était elle qui faisait l'effort mais très vite, ils se transformèrent en grognements de plaisir avant de devenir un hurlement d'extase. Elle s'effondra, se cramponnant au lit pour ne pas se retrouver complètement à terre, laissant son amant la bite à l'air, inassouvi et prêt à tout pour se libérer de la tension qui lui distendait la verge.

Léa avait roulé de l'autre côté du lit et semblait hors combat mais Françoise s'était relevée pour assister à l'accouplement sauvage de son amie et du jeune étalon.

Loïc la regardait avec insistance, complètement oublieux des bourrelets qui lui avaient semblés repoussants de prime abord ; il ne voyait plus en elle que la seule source de plaisir disponible. Il s'approcha d'elle, flamberge en avant mais elle lui dit

« Tu vas devoir attendre un peu mon beau, ma chatte n'en peux plus »

« C'est ton cul que je veux » lui répondit-il d'un ton sans réplique.

Françoise frissonna « Avec ton engin? On ne m'a jamais prise par là avec un monstre pareil! » Loïc farfouillait déjà dans le sac de sa sœur. Il finit par dénicher le tube de gel bien entamé et lui répondit « Léa ne se plaint pas » mentit-il ...

« OK mais vas-y doucement ».dit-elle en basculant en arrière et en attrapant ses cuisses pour replier ses jambes sur ses épaules. Cette démonstration de souplesse étonna l'adolescent et il admira au passage les grosses lèvres de la vulve qui semblaient pointer vers le petit trou en train de s'ouvrir.

Loïc utilisa une partie du gel pour lubrifier sa verge et utilisa le reste pour le pousser dans le rectum de Soise avec un puis deux doigts. Comparée à Léa, le sphincter semblait beaucoup plus dilaté et le jeune homme s'en excita encore d'avantage. N'y tenant plus, il présenta son énorme verge devant l'anus bien dilaté et lubrifié et poussa. Après une brève résistance, le gland vainquit le sphincter et Loïc se retrouva emmanché dans l'anus de Françoise jusqu'à la moitié de va verge.

« OUCH » cria Françoise, « vas y mollo, on dirait que tu m'a enfilée avec une borne routière! »

Encouragé par son premier succès, Loïc se retira doucement et commença un long et délicieux va-et-vient entre les fesses de sa victime consentante. Sans vraiment le faire exprès, il s'aperçut que ses percées l'amenaient de plus en plus profondément dans l'anus de sa compagne de lit. Françoise avait réussi à caler ses deux jambes d'un seul bras et se branlait vigoureusement de l'autre main. Elle haletait maintenant, geignant un peu à chaque pénétration. Elle s'arrêta un instant lorsqu'elle sentit les bourses du garçon heurter ses fesses

« Mais jusqu'où vas-tu?» s'inquiéta-t'elle

« Jusqu'au bout! » répondit-il. « Toute ma bite rentre dans ton cul et maintenant je vais commencer à t'enculer pour de bon » ajouta-t'il en commençant à accélérer ses coups de reins.

« O mon dieu, ta grosse bite en entier dans mon cul oooohhh! »

La friction était délicieuse et Loïc sentait ses couilles bouillonner ; la délivrance était proche. Il accéléra encore la cadence. Françoise glissa trois doigts dans sa chatte et gémit

« Je sens passer ta grosse bite. Aaah, c'est bon, baise mon cul , baise le plus fort! »

Loïc ne se fit pas prier ; il s'enfonçait avec délectation dans le rectum de Françoise de plus en plus vigoureusement mais bientôt :

« Je vais jouir dans ton cul , je vais inonder ton cul aaaah , je viens, je jouis dans ton cul, tout au fond de ton gros cul! »

« Viens mon salaud, donne-moi tout, je vais jouir aussi AAAAHHHHH » hurla-t'elle comme un jet de liquide était expulsé de sa vulve et inondait le bas-ventre de son enculeur.

Tout à son orgasme, Loïc ne remarqua pas tout de suite qu'il était trempé. C'est Lucie qui attira son attention en venant l'essuyer avec son propre slip.

« C'aurait été un peu normal que ce soit la propre lingerie de notre femme fontaine qui répare les dégâts mais cette cochonne ne porte pas de culotte» dit-elle faussement fâchée. Léa s'était relevée et embrassait Loïc à pleine bouche, le caressant de partout pour mieux sentir le corps de son premier amant.

« C'était merveilleux mon amour » finit-elle par dire. « Et à partir de maintenant, tu pourras me prendre et jouir de moi quand tu en auras envie ... sauf 1 semaine par moi où tu devras te contenter des deux autres trous ou de ma main » ajouta-t'elle un peu confuse.

« Tu auras bien besoin de cette semaine pour récupérer » répondit son frère dont les récents exploits avec trois femmes n'avaient pas encouragé la modestie.

« On verra bien qui demandera grâce le premier » rétorqua Léa « Tu ne penses quand même pas en avoir fini avec moi pour ce soir , non? »

« Bon, on verra bien mais je propose de commander du chinois et d'aérer un peu la chambre sinon mes chats vont fuir la maison. » reprit Lucie . « On se rend décents et rendez-vous au salon »

Elles avaient des conceptions minimalistes de la décence car Françoise remit simplement sa robe qui ne cachait pas grand-chose de ses seins, Léa mit sa mini-jupe et son chemisier qu'elle ne prit même pas la peine de fermer et Lucie se contenta du T-Shirt de Loïc. Le garçon s'apprêtait à remettre son jeans lorsque sa sœur intervint et lui présenta son slip encore mouillé de ses sécrétions.

« Tiens mon beau mâle, voilà qui va te rendre encore plus attirant »

Rigolard, Loïc essaya le sous-vêtement, persuadé qu'il ne pourrait jamais entrer dedans mais à sa grande surprise, ses cuisses et ses fesses musclées ne lui firent pas obstacle et il se retrouva bientôt le sexe sanglé dans le slip soyeux de sa mère parfumé par sa sœur.

« C'est bien ce à quoi je m'attendais » commenta Léa « Tu es plus musclé mais nous sommes plus larges et tant que ton machin est au repos, cela te va comme un gant! » Ils rejoignirent Lucie dans le salon qui passait la commande par téléphone et leur demanda ce qu'ils voulaient

« Du gingembre pour Lolo » cria Françoise depuis la cuisine

La commande passée, ils s'assirent à la table à manger, les jumeaux côté mur, les deux femmes côté cuisine et sirotèrent un rosé bien frais en attendant la livraison. Le jeune asiatique qui sonna à la porte oublia de demander un pourboire à la vue des trois femmes qui se relayèrent pour le débarrasser de de son chargement et le payer. Il resta un moment figé après que la porte se soit refermée, se demandant laquelle avait le plus contribué à son érection : la grosse rouquine aux énormes seins qui passaient à travers sa robe, la jeune fille dont les longs cheveux noirs cachaient plus de ses seins que son chemisier grand ouvert ou la petite blonde qui ne portait pas de culotte. Il retourna à sa camionnette de livraison et se branla furieusement en imaginant une bacchanale lesbienne entre les trois femmes.

Françoise qui l'observait à travers les rideaux chantonnait « I had time of my life »

Ils firent honneur au repas même si Léa ne mangea qu'une main puisque l'autre était fort occupée à masser le sexe de son frère à travers son slip mouillé qui adhérait à sa verge comme une seconde peau. Après quelques minutes de ce traitement , le pauvre Loïc sentit sa bite pourtant largement mise à contribution redevenir douloureusement raide. Le slip ne put d'ailleurs contenir fort longtemps le membre même en semi érection qui sortit la tête de sa prison de soie. Léa se concentra sur la partie toujours cachée de la grande verge et se mit aussi à caresser les couilles de son frère. Ce manège n'avait pas échappé à leurs aînées qui regardaient le garçon d'un air goguenard et s'ingéniaient à lui poser des questions qui réclamaient toute son attention pour répondre tout en se livrant à des caresses destinées à le stimuler encore plus.

Sous prétexte de la chaleur, Françoise avait abaissé sa robe sous ses seins tandis que Lucie s'était soudainement levée pour s'essuyer la chatte qui soi-disant « laissait encore échapper le sperme de Lolo ». Le garçon parvint à terminer son repas mais à grand peine et dans un état indescriptible. Sa verge émergeait maintenant complètement du slip féminin qui ne servait plus que de « soutien-bourses » et Léa, le rouge aux joues, la branlait vigoureusement . Mais malgré cette monumentale érection, Loïc se sentait encore loin de la délivrance, ses précédentes éjaculations l'ayant vidé pour quelque temps encore.

Lucie débarrassa la table avec l'aide de Françoise. Lorsqu'elles eurent terminé, Léa leur annonça « J'ai envie d'un dessert » et elle s'allongea sur la table, les jambes pendantes.

Françoise, pourtant repue, ne put y résister et plaça une chaise entre les jambes de la jeune fille et se mit à la lécher et à la pénétrer à l'aide de ses doigts tandis que Lucie encourageait Loïc à écarter les pans du chemisier de sa sœur pour s'occuper de son sein gauche pendant qu'elle s'occuperait du droit. Ainsi offerte à la convoitise des convives, Léa se mit à geindre de plaisir et Françoise arrêta bientôt ses caresses pour appeler Loïc

« Elle est prête pour toi Lolo, elle attend ta belle bite d'âne »

Le jeune homme ne se fit pas prier .Il écarta la chaise, baissa le slip en-dessous de son scrotum et se saisit des jambes de sa sœur qu'il plaça dans le creux de ses coudes. Bien guidé par Françoise qui s'était emparé de son engin, il pénétra le vagin ruisselant de Léa avec un grand « HAN! » de satisfaction. Léa poussa un cri de joie et dit d'une voix hachée à son frère

« Fais-moi du..rer Lolo, j'ai en..vie que tu me... ramones... pendant des heures! »

Le garçon parvint à tempérer ses ardeurs et se contenta d'un rythme lent qui permettait à sa sœur de sentir toute la longueur de son membre s'enfonçant interminablement en elle. Françoise vint l'embrasser à pleine bouche avant de céder la place à Lucie qui avait ôté le T-Shirt bientôt imitée par son amie qui laissa glisser sa robe à terre. La rousse et la blonde s'embrassèrent ensuite par-dessus le corps de Léa qui geignait sans discontinuer. Malgré son envie pressante de la besogner comme un soudard, Loïc essayait de respecter le désir de sa sœur de faire durer son plaisir. Il ne parvenait cependant pas à s'empêcher de la conclure ses mouvements par des à-coups plus brutaux qui la faisaient tressaillir et faisaient trembler ses seins aux tétons complètement érigés. La vue de ces beaux seins comme animés d'une vie intérieure réveillait ses couilles et il sentait lentement monter le besoin de jouir même si il se contrôlait encore sans trop d'efforts.

« Ils sont beaux hein Soise? » glissa Lucie fascinée à son amie

« Oui ils sont beaux et quelle énergie. En les voyant, je regrette de ne pas m'être mis au sport» répondit-elle mezzo voce

« Il n'est jamais trop tard . Vélo d'appartement et sexe de longue durée, ce serait un beau programme d'exercices» continua Lucie de plus en plus émoustillée par la vue des deux jeunes gens se donnant du plaisir sur sa table de salle à manger.

Léa dit soudain d'une voix mourante « Lo .. ïc, je vais ... jouir .. mon amour... Ne t'arrête ... pas. Con...tinue à me prendre ... fort ... très fort! »

« AAAAAHHHH. CEST BON!!! CONTINUE ... »

Le visage de la jeune fille ballotait de droite à gauche tandis que ses hanches venaient spasmodiquement à la rencontre du pal qui la faisait délirer. Elle empoigna ses propres seins et pinça presque cruellement les tétons pour augmenter les messages de plaisir.

Accroché à ses cuisses, Loïc continuait le pilonnage du sexe trempé sans faiblir, Le spectacle de sa sœur en plein délire orgasmique était hautement érotique mais, concentré sur sa tâche, il parvenait à contenir sa propre envie de l'inonder de sa semence.

« Prends ça! Et encore ça! » grommelait-il par moments , accentuant encore ses coups de boutoir.

Lucie abandonna un instant son amie hypnotisée par cette monumentale partie de jambes en l'air et retourna dans la chambre chercher du matériel. Lorsqu'elle redescendit, elle entendit Léa qui hurlait pour la seconde fois

« CEST TROP! JE JOUIS ENCORE! TA BITE D'ANE! NE T'ARRETE PAS! »

Elle vit Loïc, maintenant en sueur, serrant les dents pour ne pas jouir, toujours occupé à bourrer sa sœur sous le regard envieux et avide de Soise qui se branlait assise à côté de la table telle Tantale privée de ce festin. Lucie la rejoignit, la fit se lever et ficha en elle le double gode, lui arrachant un « haaa » de contentement puis , la tirant derrière elle, fit le tour le table pour se coucher en sens inverse de Léa, leurs visages se trouvant à la même hauteur. Elle écarta les jambes puis se redressa un peu pour souffler à son amie

« Vas-y ma grosse catin, baise-moi comme une souillon! »

Françoise plia le gode et l'enfourna dans le sexe béant de la gyneco. Elle le fit aller et venir sans difficulté entre leurs vagins bien lubrifiés. Elle donnait aussi des coups de hanches pour accentuer la violence des doubles pénétrations, à la grande satisfaction de Lucie qui l'encourageait à grand renforts d'obscénités qui lui venaient telles un ras de marée

« Oui ma grosse souillon, baise mon petit con! Aaah! Saute ta pute! Fais-nous jouir comme nos beaux ados! AAARGJH! Agite-bien tes grosses calebasses, ça m'excite! »

Les jumeaux, d'abord étonnés par ce flot obscène, furent pris dans le délire sensuel de leur amie. Léa était repartie au quart de tour tandis que son frère pilonnait maintenant le sexe de sa sœur sans aucune retenue, le regard fixé sur les énormes seins de Françoise qui s'agitaient face à lui. Obnubilé par son propre besoin de jouissance, il ne remarqua pas tout de suite que Léa était partie dans un troisième orgasme

« AAAHHH MON LION! JE VIENS! JE JOUIS! »

Mais très vite, les cris de plaisir changèrent de tonalité et elle commença à geindre et serra ses cuisses autour de ses hanches, l'empêchant de continuer à son rythme.

« Arrête, je n'en peux plus, pitié mon amour »

Loïc finit par réaliser qu'elle avait atteint sa limite et , avec un gémissement de frustration, s'immobilisa dans le vagin ultra-serré de sa sœur.

« Laisse-moi souffler cinq minutes » finit-elle par lui dire

Loïc resta stoïquement immobile en elle, sa verge démesurément gonflée par leur marathon et surexcitée par la vue des deux trentenaires qui se donnaient à fonds à leur plaisir lesbien. Jamais cinq minutes ne lui parurent aussi longues. Son sexe emprisonné dans la gaine de sa sœur exigeait une satisfaction qu'il ne pouvait obtenir alors que tous ses sens étaient enflammés par l'orgie de sexe au milieu de laquelle il baignait.

Enfin, Léa replia ses jambes contre son torse, libérant du même coups les mains de son frère et tenta, tant bien que mal, de décontracter sa vulve toujours serrée autour de la verge qui occupait tout son ventre.

« Vas-y mon amour, viens, jouis en moi, donne-moi tout ton foutre! »

Loïc qui n'attendait que ce signal, lui agrippa les seins et, s'en servant comme d'une ancre, donna d'énormes coups de reins accompagnés de « HAN » dignes d'un bucheron. Léa avait l'impression qu'il voulait lui arracher la poitrine mais résista à l'envie de l'arrêter, consciente qu'il était proche de l'explosion. Le garçon poussait des grognements gutturaux ; totalement concentré sur l'aboutissement de son plaisir. Il labourait sa sœur comme un forcené, ne s'accordant aucune seconde de répit dans sa course effrénée vers la jouissance . Il sentit enfin ses reins s'embraser et un flot de lave parcourut toute sa bite tandis qu'il hurlait à pleins poumons

« AAAHH, PRENDS TOUT! JE VIENS! »

Léa fit passer ses jambes dans le dos de son frère et l'attira vers elle, l'enfonçant en elle plus qu'elle ne le croyait possible. Elle sentait les giclées de sperme qui inondaient l'entrée de sa matrice et frissonna de plaisir pendant que son frère s'effondrait sur elle, agité de soubresauts, ses mains serrant convulsivement ses seins comme s'il voulait en faire jaillir du lait.

Lucie et Françoise ne purent résister à ce spectacle tellement érotique et jouirent elles aussi, accrochées l'une à l'autre. La fine blonde se cramponnait aux gros seins de sa partenaire pour mieux s'emmancher sur le double gode. Lorsque ses spasmes se calmèrent, elle se laissa retomber en arrière sur la table et tourna la tête pour lécher le visage couvert de sueur de sa jeune amie avant de l'embrasser, savourant une dernière plainte de plaisir qui mourrait au fond de sa gorge.

Françoise, assouvie, se redressa, extirpant le gode de la chatte de Lucie puis en fit de même pour son bout. Elle contourna ensuite la table et enlaça par derrière le couple effondré, promenant sa lourde poitrine sur le dos du garçon tout en caressant les seins de l'adolescente avec une douceur qui contrastait avec la brutalité avec laquelle Loïc les avait traités.

Le garçon était complètement KO. A la vague de jouissance avait succédé une sensation de soulagement tellement intense qu'l avait perdu le contact avec son environnement. Même la caresse des lourdes mamelles de Françoise lui semblait diffuse, presque fantomatique.

Léa n'était pas en meilleur état ; ses jouissances consécutives avaient eu raison de son endurance. Elle sentait avec soulagement la bite de son frère se rétracter en elle, soulageant sa chatte éreintée par cette copulation frénétique. Loïc se dégagea du vagin tuméfié et, s'excusant auprès de Françoise qu'il repoussait ce faisant , alla s'effondrer sur une chaise, à bonne portée du visage de sa sœur qu'il embrassa avec une tendresse qui amena les larmes aux yeux de Léa. La rubénienne rouquine se pencha entre les cuisses de la jeune femme et lapa l'entrée de son minou pour recueillir les traînées de sperme et de mouille féminine qui s'en écoulaient . Léa n'avait même plus la force de réagir et se contenta de geindre « pas si fort, pas si vite! » Françoise n'insista pas trop et alla partager son butin avec Lucie en déversant dans sa bouche le contenu de la sienne.

Laquelle Lucie était sans doute la seule à avoir encore quelques réserves, n'ayant pas été ravagée par Bite d'Ane aussi longtemps que ses deux partenaires de harem. Le seul problème était l'état du super-mâle en question, avachi sur sa chaise et la verge tellement en décomposition qu'elle avait trouvé refuge dans le slip de tous les vices incestueux. Résignée à devoir attendre son tour, elle élabora néanmoins un plan qu'elle jugea particulièrement excitant pour la fin de la soirée.