Les Jumeaux Croisés 06

BÊTA PUBLIQUE

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En attendant, elle mit la TV en route et ses trois amis se laissèrent tomber dans le divan pour regarder l'écran d'un œil parfois hébété tandis qu'elle essuyait la table pour enlever toutes les traces de cyprine et de sperme qui la maculaient. Elle rejoignit ensuite le salon, souriant à la vue du jeune couple tendrement enlacé et de sa plantureuse amie qui se poussa contre eux pour lui laisser une petite place. Lucie récupéra au passage une couverture légère qu'elle étendit sur le trio puis se glissa dans le petit espace laissé libre. Françoise se tourna vers elle

« C'est décidé » dit-elle « j'ai décidé de maigrir ; cela prendra le temps qu'il faudra mais je commence le sport dès ce soir. Je laisse ma voiture ici et je rentre à pied »

« N'exagère quand même pas » intervint Loïc à voix basse pour ne pas réveiller sa sœur qui s'endormait sur son épaule « cela te va bien les rondeurs »

« Il m'en restera hélas bien assez malgré tous les régimes du monde » rétorqua la rousse en remuant les plis de son ventre

Loïc rit de bon cœur puis se replongea dans la contemplation du petit écran

« Mais tu en as pour au moins deux heures de marche » reprit Lucie un peu inquiète de voir son amie trop optimiste quant à ses capacités.

« Ce n'est pas en faisant le tour du bloc que je vais améliorer ma forme et mes formes » ré pondit-elle péremptoire.

« Mais tu reviendras quand même demain matin? »

« Tu ne penses quand même pas que je vais rater une journée avec nos tourtereaux? Tant qu'ils voudront bien de moi, je traverserai le département à pied s'il le faut pour les partager avec toi! Sur ce, aide-moi à me lever, je vais y aller avant de trop réfléchir à mon prochain exploit. »

Elle remit son soutien-gorge qui trônait sur le dossier d'un fauteuil puis chercha sa culotte avant de se rappeler qu'elle n'en n'avait pas mise.

« Evidemment, tu n'as rien à ma taille » soupira-t'elle

« Attends » répondit Lucie, j'ai quelque part un collant qu'une patiente enceinte a oublié au cabinet il y a quelque temps.

« Tu vois pourquoi je dois maigrir » se lamenta Françoise « Je dois m'habiller chez Prémaman! »

« Désolée Soise ma chérie, ce n'est pas ce que je voulais dire »

« Donne-moi ce foutu machin, ce sera un bon incitant à perdre du poids. Objectif : qu'il me tombe sur les chevilles! »

« Je t'aime ma chérie! »

« Moi aussi, embrasse-moi pour me donner du courage »

Elle termina de s'habiller et embrassa aussi Loïc puis déposé un baiser sur le front de Léa endormie, anéantie par les émotions de l'après-midi et s'enfuit d'un pas conquérant.

Lucie se réinstalla sous la couverture, se pelotonnant contre son jeune amant qui enlaçait toujours sa sœur endormie. Ils regardèrent un épisode complet de « House M.D. » avant que Léa ne donne signe de vie.

« Ouh » dit-elle « j'ai bien dormi mais où est passé le marteau-piqueur qui m'a défoncé le minou? »

Loïc se rengorgea et à ses gestes, Lucie devina qu'il se touchait sous la couverture. « Aha » se dit-elle, « il y a peut-être encore un espoir pour ce soir » Elle rit de bon cœur « Quelque part sous le slip de ta mère. Il est beaucoup moins vaillant à cette heure... »

Léa plongea la main sous la couverture et dit « Tu as raison ; pourtant jusqu'à présent il n'a jamais résisté au slip de maman ». Elle sentit une légère réaction sous sa paume et ajouta « Lulu, toi qui t'y connais en hommes plus ou moins pervers, tu crois que mon Lolo a envie de baiser notre mère? » Cette fois, elle remarqua nettement le gonflement du sexe de son frère dans le slip.

« Votre mère est attirante » réfléchit à voix haute la doctoresse, « cela ne m'étonnerait pas qu'il nous fasse un Œdipe qui ressort dès qu'on le provoque un peu »

Léa se rendit compte que la verge de son frère reprenait encore du volume et décida de remettre une couche.

« Je ne comprends pas bien » reprit-elle « mes seins sont plus gros que ceux de maman et j'ai de plus belles fesses sans parler du fait qu'elle ne se laisserait certainement jamais enculer comme moi. Tiens qui revoilà?! » ajouta t'elle lorsque le gros gland de son frère surgit à nouveau du slip. « Lucie, ça y est, debout les morts, notre Lolo bande de nouveau! »

« Tu permets que j'en profite? » demanda Lucie dont l'excitation devenait visible à la pointe de ses petits seins bien roses. Elle se pencha vers le garçon et lui murmura « Tu as envie de faire l'amour à ta mère mon bel étalon? Tu as envie de la prendre et de la faire jouir avec ton gros sexe bien bandé? »

Loïc gémit sans répondre ; son sexe dégagé par sa sœur émergeait tel un pic sous la couverture.

« Voilà ce qu'on va faire » continua la perverse décidée à le pousser à bout, « on va aller dans la chambre et je serai ta mère ; tu vas me monter et baiser ta maman. Tu m'appelleras Cécile et tu vas me faire jouir comme une folle. Quand j'aurai bien joui, alors seulement tu pourras jouir à ton tour mais pas dans ma chatte car ce ne serait pas bien que tu mettes ta mère enceinte , je vais te donner mon cul maternel et tu vas l'inonder de ton sperme incestueux. »

« Et moi? » demanda Léa haletante , « je vais devoir tenir la chandelle pendant que mon frère et ma mère prenne leur pied? »

« O non ma chatte! Toi tu vas te venger de ton amant en prenant son cul avec le double gode. Notre Lolo va baiser sa mère pendant qu'il est enculé par sa sœur! Même le docteur Freud n'a jamais pensé à celle-là! »

Loïc rejeta la couverture et s'écria « Allons-y en vitesse, tu me fais bander comme un fou avec tes histoires scandaleuses Lucie »

Cette dernière s'empara de la verge tendue et la masturba doucement tout en caressant les couilles encore masquées par le slip « Pas Lucie, comment est-ce que je m'appelle? » lui dit-elle avant de sucer l'extrémité de la verge. « Cécile » gémit-il tandis que sa mère avalait sa verge jusqu'à la glotte. « Tu t'appelles Cécile »

Moins d'une minute plus tard, ils se retrouvaient sur le grand lit, Lucie-Cécile en-dessous du garçon qui s'escrimait à faire rentrer le grand braquemart dans le vagin de sa mère. Il vivait tellement son fantasme que lorsqu'il parvint enfin à la pénétrer, il s'exclama « maman, je te baise, c'est si bon! »

« Vas-y mon chéri » répondit Cécile-Lucie « baise ta maman ». Avec un gémissement de folle passion, le garçon se mit à la marteler de toute la puissance de ses reins jusqu'à ce que tout à coup, il sente un objet dur et froid heurter la corolle de son anus. Léa s'était emparée de la ceinture avec les deux godes, avait fourré le grand gode vaginal en elle et soigneusement enduit le petit gode anal du restant de gel avant de le pointer sur l'anus de son frère.

Lucie qui avait suivi la progression de sa protégée, immobilisa son amant à l'aide de ses jambes et de ses bras en lui disant « attends mon chéri, Cécile veut que tu laisses ta sœur t'enculer pendant que tu la baises » Loïc se figea et laissa sa sœur envahir son rectum avec le petit gode tout en se caressant le bouton

« Maman dit-elle, je prends le cul de ton fils. Est-ce qu'il te donne du plaisir au moins? »

« oui ma chérie, je sens sa grosse bite qui me remplit la chatte . Aaah ; il va me faire jouir! »

« Moi aussi maman, j'adore m'enfoncer dans ses belles fesses et cela me donne une folle envie de prendre mon pied » Elle avait pris le contrôle de son frère ; ses allées et venues dans son rectum lui dictant le rythme de son coït avec la femme sous lui. Malgré le délire verbal de ses compagnes, Loïc ne se sentait pas encore en état de jouir lui-même. Il fut surpris de sentir Lucie se tétaniser sous lui en hurlant « OUI , JE VIENS! AAAHHH! » Il sentit une ultime brûlure dans son anus tandis que Léa, entraînée dans l'orgasme par les hurlements de son amie, se laissait elle aussi aller à un orgasme libérateur, inondant le gode en jelly qui lui occupait le ventre.

Loïc se retrouva à nouveau pris d'une violente érection, enfoncé dans une partenaire qui avait bien joui et l'abandonnait au milieu du gué mais Lucie -- non Cécile -- tenait à respecter sa parole . Dès que Léa se fut dégagée, elle lui dit « Ma chérie, va chercher l'autre tube de gel dans la pharmacie de la salle de bains, je vais en avoir besoin »

Lorsque la sœur revint, elle lui donna des instructions « mets en une belle quantité sur mon petit trou puis pousses-en un maximum à l'intérieur avec tes doigts. Parfait » Maintenant , sors la bite de ton frère de ma chatte et mets du gel dessus. OK? . Maintenant , mets-là contre mon petit trou. Lààà , je la sens! Je dois essayer de me relaxer ...»

Elle ramena ses jambes contre son torse puis, s'adressant cette fois au frère, elle lui dit.

« Vas-y mon chéri, je suis prête, tu peux enculer ta mère »

Loïc ne se le fit pas dire deux fois et poussa ; sa verge invraisemblablement raide lutta un moment avec le sphincter de Lucie avant de le franchir d'un coup.

« AAARRGHH » hurla la mère putative. « Léaaa, ça y est, ton frère m'encule, viens m'embrasser! »

Et pendant que sa sœur bâillonnait sa mère de sa bouche, Loïc commença à l'enculer pour de bon, pénétrant son rectum de plus en plus profondément à chaque coup de reins. Lucie gémissait de douleur dans la bouche de sa jeune amante ; incapable de s'adapter aux dimensions de son partenaire déchainé. Léa, ayant elle-même subi les assauts sodomites de son frère comprit rapidement la situation et se mis à caresser le clitoris de son amie pour contrebalancer le feu qui lui dévorait les entrailles. Elle pénétrait par moment sa vulve quand la colonne de chair se retirait de son anus. Sans cesser ses caresses, elle finit par interrompre le baiser pour jeter à son frère

« Tu aimes le cul de ta maman frérot? Lequel préfères-tu , le cul de ta sœur ou celui de ta mère? Tu aimes enculer tes femmes avec ta grosse bite hein frérot? Tu n'as pas envie de prendre mon petit cul aussi?»

Loïc ne parvenait plus à respirer ; le discours intentionnellement scabreux de sa sœur le rendait fou ; il ne vivait plus que par sa verge enfoncée entre les fesses de Cécile, sa mère, son fantasme, son amante. Il cria son nom « CECIIILLE » et s'enfonça une dernière fois en elle et jouit au plus profond de son cul. Epuisé, il retomba en arrière, arrachant sa verge de l'anus distendu qui béa un instant avant de lentement reprendre sa taille presque normale. Léa pris Lucie dans ses bras et lui dit

« Ma pauvre chérie, il ne t'a pas trop fait souffrir, cette grosse brute? »

« Ouf, c'était quand même dur » répondit Lucie, normalement j'encaisse assez bien la sodomie mais là j'ai eu les yeux plus grands que le cul. Heureusement que tu m'as aidée en me caressant le clito et surtout en l'excitant à mort .. »

« De toute façon, je crois que c'est rideau pour ce soir »se moqua Léa en montrant son frère inerte à côté d'elles, sombrant dans un sommeil rendu nécessaire par ses excès de jouissance « cette fois, il est bel et bien vidé mon homme! »

« Et toi ma chérie » demanda Lucie, « est-ce que tu aurais encore la force de consoler ton simulacre de mère qui vient de soigner l'Oedipe de ton frère-amant? »

« Pour toi toujours » répondit Léa avec enthousiasme et elle se positionna en 69 par-dessus Lucie et commença à la lécher avec application tout en présentant son bas-ventre à la langue de son amie ..

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