Les Jumeaux Croisés 09

BÊTA PUBLIQUE

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« Alors tu peux jouir mon amour, donne-lui tout ton foutre, inonde-la en pensant que c'est à moi que tu envoies toutes ces giclées »

« LEEAAAAH! CA Y EST JE VIENS!!! AAAHHH! JE VIENS POUR TOI!!!... »

Il y eut un peu de confusion à l'autre bout de la ligne puis Léa entendit la voix de Françoise

« Tout va bien ma chérie mais ton homme s'est écroulé sur Lulu et j'ai dû la dégager avant qu'elle n'étouffe. En tout cas, on peut dire qu'il t'obéit à la voix et à l'oreille ton bel étalon, tu as eu un effet magique sur lui, il a tellement rempli Lulu que le trop plein de sa semence est ressorti et il y en a plein les draps maintenant. En tout cas , on te doit beaucoup pour le prêt, cela fait des années que je n'ai plus pris mon pied comme ça! »

Puis Lucie pris le relais

« Oui ma chérie, merci mille fois de nous avoir laissé Lolo mais j'ai comme l'impression qu'on va encore te déranger demain après-midi pour le faire jouir sinon je risque d'avoir le trou de balle comme un entonnoir sans pour autant arriver à mes fins »

Lucie raccrocha en riant, se sentant beaucoup mieux. Elle ne croyait pas beaucoup à une sorte d'envoutement ; Loïc avait sans doute réussi à se retenir tout l'après-midi pour obliger Lulu à lui téléphoner. Il montrait ainsi qui était son élue de cœur. Merci gros Loup!

Du coup, quand ses parents rentrèrent, elle se précipita joyeusement pour les aider à décharger la voiture et ranger les courses. Cécile annonça ensuite qu'elle allait faire un brin de toilette et sa fille décida d'en faire autant. Ce n'est qu'une fois rafraichie qu'elle se rendit compte qu'elle n'avait plus de serviette hygiénique. Elle utilisa donc un tampax et se dirigea vers l'aile des parents pour emprunter une serviette à sa mère. La porte de leur salle de bains étant ouverte, elle arriva sur le pas de la porte et recula précipitamment. Sa mère était à genoux, entièrement nue et taillait une pipe à son père! Elle jeta à nouveau subrepticement un coup d'œil mais c'était bien ça : son père, adossé au mur, la verge sortie de la braguette et les mains sur la tête de sa femme prenait visiblement beaucoup de plaisir à la grandiose fellation que lui prodiguait Cécile. Celle-ci suçait avec application la verge de belle taille de son mari (« mais pas aussi grande que celle de mon gros Loup » pensa Léa) tout en lui caressant amoureusement les bourses. Son père soupira

« C'est très bon ma chérie, tu es vraiment une artiste, j'ai les couilles en feu! »

Léa s'adossa au mur du couloir, glissa sa main sous son slip, ferma les yeux et se mit à caresser son clitoris . « Si Lolo était là, il deviendrait fou » se dit-elle . Elle aimait son père mais ne ressentait pas le même désir sexuel à son égard que son frère par rapport à leur mère. Léa reconnaissait volontiers qu'ils étaient encore très attirants et que tant les seins de sa mère que la bite de son père pourraient en attirer plus d'un mais elle préférait chercher ses futurs amants et des amantes en dehors du cercle familial ; « un frère dans son lit, cela suffit »!

Son père finit par gémir « ca y est ma chérie , je viens » et Léa décida de battre en retraite vers sa chambre. Elle ne revint que dix minutes plus tard après s'être fait offert un petit orgasme très satisfaisant qu'elle dédia à son frère. Elle prit cette fois la précaution d'appeler sa mère de loin. Cécile était toujours dans la salle de bain, très guillerette et lui passa les serviettes demandées en chantonnant.

Le dimanche après-midi, elle dut s'isoler pour donner l'ordre à son frère d'éjaculer dans la bouche de Françoise tandis que Lulu lui faisait le compte rendu de leurs ébats et lui annonçait qu'elle ne ramènerait Bite d'Ane que le lundi matin. « J'ai encore envie d'en profiter demain matin ma chérie, je peux? ». très satisfaite de se voir reconnaître son droit de propriété, Léa donna sa bénédiction de bon cœur. Tant qu'elles y étaient, elles prirent rendez-vous pour le vendredi après-midi suivant. Le sexe n'était pas officiellement au programme puisque Lucie et Françoise comptaient sur les jumeaux pour les conduire à l'aéroport mais Léa se dit qu'elles auraient largement le temps organiser une joyeuse partouze!

L'attente du vendredi fut particulièrement longue pour la jeune fille surtout lorsque Lucie et/ou Françoise débarquait à l'improviste pour sauter sur son frère qui du coup ne portait plus qu'un short pour tout vêtement jusqu'au retour des parents. Léa aimait jouer à la voyeuse et regarder ses amies jouir bruyamment sous les coups de la grosse bite de son jumeau mais elle était aussi particulièrement frustrée de ne pas pouvoir se joindre à ces copulations sauvages.

Le vendredi matin, Léa fit sa toilette et constata avec soulagement que ses règles étaient bel et bien finies. Elle fonça aussitôt, vers la chambre de Loïc, nue comme un ver et se glissa dans le lit du bel endormi. prenant bien garde à ne pas le réveiller, elle caressa doucement les bourses et la verge de son frère, finissant par déclencher une splendide érection matinale. Le jeune homme se réveilla doucement, perdant le fil d'une rêverie sans doute très sensuelle et découvrit le visage de sa sœur à côté du sien.

« Bonjour ma douce »

« Bonjour mon aimé.... si les deux vieilles obsédées t'ont laissé un peu d'énergie, que dirais-tu de me rappeler ce qu'est une bonne partie de jambes en l'air façon gros Loup? »

« Laisse-moi 2 minutes pour me laver les dents et pisser et je m'occupe de toi ma chérie »

Dix minutes plus tard, Léa se releva et alla dans la salle de bain où Loïc s'évertuait à pisser malgré sa monumentale érection. Elle se colla à son dos, et lui fit « pssss » à l'oreille tout en s'emparant de la verge de son frère. Ce dernier s'appuya des deux mains au mur pour faciliter l'éjection de l'urine dont elle dirigea le jet saccadé vers la cuvette. Lorsqu'il fut enfin parvenu à se soulager, elle le retourna et sans lui laisser le temps de protester, prit sa verge dans sa bouche malgré les relents un peu âcres et se mit à le sucer et à le masturber vigoureusement. Elle ne faiblit pas son rythme et au bout de quelques minutes

« Léa arrête sinon je vais jouir »

« T'en fais pas mon gros loup, je saurai te faire bander sans problème!» répondit-elle en interrompant un instant sa fellation forcenée. Un instant plus tard, il saisit sa tête et s'enfonça au maximum dans sa bouche pour éjaculer à gros bouillon le premier sperme du jour tandis que Léa lui soupesait les bourses pour l'encourager à se vider dans sa gorge.

« Pfouu, merci sœurette! mais tu devras attendre pour la suite, tu m'as lessivé»

Elle se releva très satisfaite d'elle-même et constata que la verge fraternelle mollissait plus rapidement que d'habitude (« Un peu fatigué le Lolo ; on va voir si mon truc marche »).

« Je suis contente, j'avais justement envie de te sucer dans la salle de bains depuis que j'ai vu maman sucer papa le week-end passé »

« Tu .. tu as vu maman .. sucer .. papa? »

« oui, elle était toute nue et je voyais ses beaux seins et elle caressait les couilles de papa pendant qu'elle suçait sa bite. C'est une grosse bite mais pas aussi grosse que la tienne »

« Suçait .. bite?» les mots s'étranglaient dans sa gorge. Léa sentait contre son ventre la verge monstrueusement bandée de son frère.( « moins de deux minutes ») se dit-elle (« Vive maman!) »

« Oui, elle suçait sa bite et il a fini par jouir en elle et elle a tout avalé »

Loïc, incapable de parler, la prit dans ses bras et la souleva pour la ramener vers sa chambre. Il la jeta sur le lit et lui sauta dessus, lui écartant les jambes sans ménagement . Elle dut l'aider à la pénétrer vu son état de surexcitation et il se mit à la besogner avec une rudesse qui la réjouit (« exactement ce que j'attendais : une bonne baise sauvage! ») « vas-y mon Lolo, baise-moi en force, prends-moi comme une bête, viole-moi. J'ai besoin que tu me ramones bien! »

Lolo était déchaîné . Il baisait sa sœur mais il n'avait que sa mère en tête et dans son imagination fiévreuse, il voulait éliminer toute trace de son rival en laissant une empreinte indélébile de sa bite dans le vagin qui l'accueillait. Il poussait des « han » de bûcheron tout en la prenant en force de toute la puissance de son mandrin hypertrophié. Soumise à ce traitement viril et affamée de sexe après sa semaine de jeûne, Léa ne résista pas longtemps à cet assaut sauvage et jouit en écrasant son frère sur elle ; les jambes et les bras l'enserrant comme dans un étau de chair tandis qu'elle hurlait son plaisir. Elle parvint à le maintenir ainsi cinq bonnes minutes, le temps de savourer son extase avant que le jeune homme ne recommence à lui faire l'amour avec la même virile brutalité.

Dans l'heure qui suivit, Léa ne connut pas moins de quatre orgasmes. De son côté Loïc n'avait joui qu'une seule fois après quoi, il s'était quelque peu calmé mais sa sœur l'avait rapidement en selle en lui demandant avec une fausse innocence parfaitement voulue « tu crois que papa est un bon coup? j'aimerais qu'il me fasse l'amour pour que je puisse comparer vos techniques »

A la seule idée de cette concurrence paternelle, le garçon était reparti de plus belle à la conquête du vagin de sa sœur qui s'était à nouveau pâmée sous les coups de boutoir de son frère.

C'est Léa elle-même qui mit fin à leur session frénétique après son quatrième orgasme en disant à son frère « bon, on va un peu souffler maintenant car Lucie passe nous prendre dans deux heures et j'aimerais encore être capable de lui dire au revoir comme il faut »

Bien que se sentant encore en état de la monter pendant un orgasme ou deux, Loïc acquiesça. Il voulait lui aussi garder des réserves pour les deux femmes et de plus, il allait avoir sa sœur pour lui tout seul pendant quinze jours!

Ils prirent ou reprirent une douche, aérèrent la chambre du garçon et effacèrent les traces de leurs coïts furieux puis Léa écrivit un petit mot à ses parents pour expliquer leur retour tardif ce vendredi soir. Ils étaient fin prêts lorsque Lucie klaxonna devant la porte. Ils firent un détour par chez Françoise pour l'embarquer ainsi que ses valises . Les jumeaux s'étaient installés à l'arrière pour laisser la place du passager à Françoise et Léa profita de sa position pour se pencher et peloter les gros seins de sa corpulente amie.

« Et comment vas-tu Soise? Je ne t'ai pas trop manqué? »

« Mais si ma chérie! Un jeune étalon , c'est magnifique mais tu sais que j'adore la chair féminine aussi! Je suis contente qu'on a encore quelques heures devant nous pour que tu me laisses des souvenirs impérissables avant que je ne doive me contenter de la vieille »

« Tu sais ce qu'elle te dit la vieille? » intervint gaiment Lucie

« Attends de tâter de mon gode «super-lolo », tu ne vas plus rien dire, tu vas hurler! » répliqua Françoise en pourléchant les babines.

« C'est quoi ce gode?» demanda Léa dont les mains plongeaient maintenant dans le décolleté de la rouquine

« C'est le seul que j'ai trouvé sur internet et dont la taille se rapproche de l'engin de notre Bite d'Ane ; moins long mais plus gros ; ça va être très bon de te fourrer avec! »

« Quand je pense que je t'ai pris des boules de geisha pour t'occuper pendant le vol et toi tu menaces de m' écarteler! »

« Et j'ai un autre modèle pour la plage » ajouta Françoise « Il rentre en entier même dans les chattes les plus petites mais après il gonfle et il vibre sans faire de bruit. Et en plus il est étanche! On peut même se baigner avec ...»

Loïc se mêla aux échanges :« Si je comprends bien, vous n'avez pas besoin de moi cette après-midi? ».

« Moi j'ai besoin de toi mon gros loup » répliqua immédiatement sa sœur « mais je veux d'abord échanger quelques fluides avec Soise » continua t'elle en abaissant le décolleté de cette dernière, exposant sa poitrine sanglée dans un sage soutien. Léa extirpa un sein après l'autre et pinça les mamelons tandis que Françoise gloussait de plaisir.

Ils arrivaient devant la maison de Lucie et elle demanda à Françoise de se rajuster avant de débarquer. Ils se précipitèrent tous les quatre à l'intérieur de la petite maison où Léa se jeta littéralement sur son amie aux gros seins. En moins de 30 secondes, elles étaient toutes les deux torses nus et s'embrassaient avidement en s'écrasant mutuellement leurs seins les uns contre les autres.

Très émoustillé, Loïc enlaça Lucie par derrière et lui fit sentir sa monumentale érection . Ils assistèrent en spectateurs alléchés à l'effeuillage express des deux Walkyries qui roulèrent bientôt sur la moquette toujours soudées l'une à l'autre. Si cette position leur apportait de nombreuses satisfactions sensuelles, elle était loin de leur garantir l'extase et Léa pivota sur elle-même pour se repositionner en tête-bêche sur son amie. La verge de Loïc réclamait elle aussi un assouvissement rapide et il poussa Lucie à quatre pattes, releva sa jupe , fit glisser son slip sur ses genoux et se déhancha pour introduire son membre déjà violacé dans l'antre déjà plus qu'humide de celle qui resterait à tout jamais sa première amante.

En moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire, la pièce se remplit de gémissements de plaisir qui allaient crescendo. Françoise, qui avait déjà subi les attouchements de Léa dans la voiture et dont l'imagination fertile emplissait sa tête de godemichés géants, fut la première à céder à la montée de l'orgasme. Ses sécrétions inondèrent la langue gourmande de son amante tandis qu'elle mordait le clitoris de l'adolescente toujours en manque de sexe qui ne tarda pas à la rejoindre dans l'extase, accrochée aux cuisses de Soise comme à une bouée de sauvetage.

Loïc qui avait déjà payé de sa personne parvint à se contenir mais conduisit néanmoins sa monture elle aussi à la jouissance. Lucie couina de bonheur sous les assauts de son cavalier et geignit « Soise, je viens aussi, Bite d'Ane me fait jouir! Ooooh! »

Elle tomba en avant, ne gardant que le gland du garçon en elle. Elle se dégagea en rampant et rejoignit ses deux amies qui essayaient de reprendre leur souffle après leur course à l'orgasme. Elle les embrassa l'une après l'autre avant de faire basculer Léa sur le côté et de s'installer en 69 avec elle. Délaissée, Soise chercha Loïc du regard et eut un sourire concupiscent en voyant la verge bandée trembler d'excitation mal contenue.

Elle contourna les deux adeptes de Lesbos et vint se coller au garçon, saisissant son membre et le masturbant avec une belle énergie. « Tu veux bien jouir en moi, mon bel étalon? J'ai envie que ta grosse verge me bourre bien et que tu m'envoies toute ta semence quand je jouirai comme une folle! »

Loïc ne se fit pas prier, il renversa Soise sur le dos et la monta immédiatement , la pénétrant sans coup férir . « AAAHHH » cria-t'elle tandis qu'elle sentait l'interminable baobab la remplir de ses dimensions imposantes. Le garçon aimait se vautrer sur les formes rebondies de sa partenaire ; il l'écrasait de tout son poids tout en la besognant sans répit, faisant rebondir ses gros seins qu'elle finit par empoigner pour les présenter l'un après l'autre aux dents de son agresseur tant désiré. Loïc mordit dans les mamelons extra-larges qui lui emplissaient la vue tout en s'arc-boutant pour ne pas perdre la profondeur de son pilonnage. Si Léa et Lucie se dirigeaient vers un orgasme en commun des plus contrôlés, Soise était au bord de l'hystérie, accompagnant des hanches chaque retour de la verge démesurée pour encore mieux s'empaler sur son pourvoyeur de bonheur. Lorsque la jouissance la frappa, ce fut comme une décharge de foudre et elle se tétanisa complètement, incapable de proférer un son.

A nouveau, Loïc parvint à résister à l'appel du sperme et resta stoïquement immobile tandis que sa partenaire se tordait dans tous les sens sous l'emprise d'un plaisir à la taille de l'engin qui lui fouillait le ventre. Lorsqu'elle retomba, ses muscles se détendirent tellement que Loïc en profita pour lui remonter les jambes et la sodomiser d'un coup sec alors que sa verge n'était lubrifiée que des seules sécrétions vaginales de son amie.

Ce n'est qu'à ce moment qu'elle se mit à hurler

« AAAHHH! LOIC, SALAUD! TU M'ENCULES! »

« Merci , c'était le but » grommela-t'il entre ses dents serrées. Il continua à forcer son anus sans aucune pitié, préoccupé uniquement par l'aboutissement de son plaisir. Il passa ses deux bras sous les cuisses grassouillettes et s'y cramponna pour la bourrer jusqu'au fond du rectum, lui arrachant des cris qui étaient probablement plus dus à la douleur qu'au plaisir mais il n'en avait cure.

« LES FILLES, A MOI, IL ME DECHIRE AVEC SON MONSTRE! »

Si Françoise espérait une aide quelconque de la part de ses deux complices, elle fut rapidement déçue. Léa vint s'installer à califourchon au-dessus de sa tête et abaissa sa conque sur la bouche de la rousse sodomisée en disant « tais-toi Soise, tu devrais être heureuse que Bite d'Ane a choisi ton cul pour se soulager! »

Quant à Léa, elle avait enlacé son frère et caressait son torse en lui murmurant des encouragements « vas-y mon loup, baise ce gros cul, défonce-le avec ta bite géante! »

« Mmm mmh » protesta Françoise, la bouche bâillonnée par la vulve de Lucie

Léa introduisit ensuite sa main entière dans le vagin ruisselant de Soise non pas pour lui apporter du plaisir mais pour caresser la bite de son frère à travers la fine couche de chair qui la séparait de l'anus distendu. Son autre main partit explorer les fesses de son frère et son majeur trouva son petit œillet ou elle enfonça une phalange et elle lui murmura à nouveau « Tu préfères peut-être le gode de Lucie frérot? Un bon gros gode entre tes fesses pendant que tu sodomises Soise comme un Cosaque? »

Loïc, tous ses sens en ébullition n'en pouvait plus. Il donna deux derniers coups de reins chaotiques et s'épancha en meuglant dans les tréfonds de Françoise. Léa retira sa main mouillée du vagin de la belle enculée et s'en servit pour soupeser les bourses de son frère. Mais ce soudain retrait ne fut pas perdu pour tout le monde car il déclencha l'orgasme de Soise qui se pinça le clitoris au moment suprême en criant « JE VIENS AVEC TOI BITE D'ANE, JE JOUIS! OUIIII! »

Léa n'était pas en reste et écrasa son propre clitoris sur les babines de son amie, étouffant le reste de ses cris et l'inondant de cyprine.

Seule Léa n'avait pas eu son compte mais après le festival Loïc le matin et son 69 avec Lucie quelques minutes plus tôt, elle ne ressentait pas la même urgence que ses compagnes. Elle aida son frère à se désengager du rectum de Françoise qui geignit une dernière fois « Mon trou de balle et ma chatte doivent ressembler au tunnel sous la manche après ce que vous leur avez fait subir »

Lucie rit de bon cœur et se dépêcha de l'embrasser « Mais non ma chérie ; dans un mois, tu auras retrouvé tes dimensions normales, ce qui veux dire que, pendant tes vacances, tu as peu de chances de rencontrer un mâle assez bien monté pour que tu ressentes quelque chose. »

« Bouh ...ouh ...ouh! Quinze jours sans Bite d'Ane et même pas moyen de se rattraper avec un autre mec! cela va être les vacances les plus longues de ma vie! »

« Et si j'emploie sur toi ton nouveau gode « super-lolo? » demanda Lucie goguenarde

« Ce ne sera pas la même chose mais à défaut de grives, on mange des merles » soupira Françoise.

« Bon, je vous abandonne, je n'ai pas encore préparé mes valises. Ceux qui veulent prendre une douche, c'est maintenant parce qu'après, j'aurai besoin de la salle de bain pour un bout de temps » s'exclama Lucie en sautant sur ses pieds.

« Première » clama Françoise

« Nous deux après » minauda Léa en embrassant le ventre de son frère.

« Je n'aurai jamais la salle de bains » conclut Lucie d'un air désespéré.

Peu après 18 heures, ils embarquaient à nouveau dans la voiture de Lucie en direction de l'aéroport mais cette fois, Loïc était au volant . Lucie avait prétexté une trop grande nervosité pour conduire mais elle voulait surtout vérifier l'aptitude du jeune homme à la conduite. « le permis ne fait pas le chauffeur » avait coutume de dire son père. A première vue, l'examen était concluant et elle se sentait rassérénée.