Les Jumeaux Croisés 09

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Les jumeaux souhaitèrent un bon voyage à leurs amies dans le hall de l'aérogare et récupérèrent la voiture dans le parking. Léa dit soudain

« tu te rends compte que demain matin , les parents partent aussi ; on va se retrouver seuls pendant quinze jours. Ce sera comme un voyage de noces sans bouger de chez nous! »

« Hum .. ; voyage de noces .. baiser comme des lapins ...Je bande » répondit Loïc

« je ne peux pas te laisser rentrer à la maison comme ça . maman serait effrayée de voir cette énorme bosse dans ton futal. On va faire un détour par la Forêt de Phalempin pour que je puisse m'occuper de ta crampe»

Vingt minutes plus tard, Loïc avait pris place sur le siège passager et Léa s'empalait rythmiquement sur sa verge tendue comme un mat. Son frère lui pétrissait alternativement les fesses puis les seins qu'il avait fait jaillir hors du soutien et du chemisier ouvert. L'excitation de leur accouplement en pleine nature l'emportait sur l'inconfort de leur position et les deux adolescents sentaient leurs reins s'embraser et s'encourageaient l'un l'autre « vas-y ma lionne, prends-moi fort, je vais bientôt jouir » « oui mon amour, je sens ta grosse bite toute excitée. Donne-moi ton foutre » . Loïc serra soudain les seins de sa sœur dans l'étau de ses mains « UUUH, Ca y est, je viens mon amour, prends-moi, prends mon sperme! » « AAAH mon loup, oui c'est bon, 'est chaud, je ...aaaahhh! »

Léa posa sa tête sur celle de son frère et murmura « je n'ai plus de force, mais si tu peux, baise-moi encore un peu doucement, c'est si bon ». malgré sa verge mollissante, Loïc s'exécuta tant bien que mal jusqu'à ce que sa sœur l'arrête en l'embrassant « Ouhh c'était bon cet after-sex. Exactement ce qu'il faut à une fille pour bien atterrir! »

Apaisés, ils reprirent le chemin de la maison.

Pendant que ses enfants s'en donnaient à cœur joie, Cecile avait pris les choses en main au cabinet. Au terme d d'une journée frénétique, elle avait profité de ce que Jean était coincé au téléphone avec un client pour ouvrir son pantalon puis elle s'assit sur le bureau devant lui et releva sa jupe, dévoilant son slip noir. Elle commença à se caresser la vulve cachée sous celui-ci avant de glisser sa main sous le fin morceau de tissu et de se pénétrer avec le majeur. Jean continuait tant bien que mal sa conversation quoique ses yeux ne parviennent pas à se détacher du ballet des doigts sous le slip de sa femme. Il voyait une tâche d'humidité se développer tandis que la respiration de Cécile se faisait plus haletante et qu'elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir.

De sa main libre, il commença à ôter la pièce de lingerie jusqu'à ce que le sexe bien ouvert de son épouse apparaisse dans toute sa splendeur luisante. Sa verge était douloureusement raide et tendait désespérément vers un assouvissement pour l'instant impossible. Cécile devait être particulièrement excitée car elle jouit très vite ; se mordant la main pour étouffer les cris qui lui montaient dans la gorge. Après avoir été secouée par une série de spasmes, elle resta affalée un moment sur le bureau avant de remonter son slip et de se relever, rajustant sa jupe comme si de rien n'était mais laissant une marque mouillée sur le buvard. Elle déambula ensuite devant le bureau de Jean, se baissant pour ramasser un objet imaginaire, son postérieur tourné vers son mari avant d'ouvrir son chemisier pour rajuster ses seins dans leur soutien.

La verge de Jean était agitée de soubresauts et il commença à se branler pour la soulager de la pression qui l'habitait mais Cécile intervint et lui emprisonna la main, l'empêchant de poursuivre son œuvre de bienfaisance. Elle finit par plaquer la main de son mari sur son soutien-gorge parfaitement accessible dans l'échancrure du chemisier grand ouvert et le laissa malaxer ses seins, faisant encore monter l'excitation de son mâle de quelques degrés.

Jean parvint enfin à terminer la conversation et se dressa soudain, bien décidé à trousser sa femme séance tenante sur le bureau quand ils entendirent soudain une voix dans l'ouverture de la porte.

« Oh! Désolée! » Dans l'embrasure se tenait Anne-Marie, la jeune stagiaire coachée par Cécile. « J'ai oublié mon GSM sur la table de réunion. Désolée, désolée » balbutia t'elle rouge de confusion tandis que Cécile se glissait devant Jean pour masquer la verge bandée de son mari au regard de la jeune stagiaire. Cette dernière rougit de plus belle et Cécile se rendit compte qu'elle avait les seins à l'air suite aux caresses énervées de son mari qui les avait fait jaillir hors de son soutien. Cela faisait presqu'un an qu'Anne-Marie travaillait avec eux. Jean l'avait embauchée dans le cadre d'un programme de mise au travail et elle aidait Cécile à préparer les déclarations comptables de leurs clients. Les deux femmes s'entendaient bien malgré la différence d'âge sans doute grâce au tempérament maternel de Cécile qui avait très vite décelé chez sa jeune employée un grand besoin d'affection.

C'était néanmoins la première fois qu'elles se retrouvaient dans une posture aussi peu professionnelle. Cécile était toute excitée par leur exhibitionnisme et aussi par le voyeurisme de leur stagiaire qui semblait figée dans la contemplation de la poitrine de sa patronne dont les mamelons tout à fait érigés pointaient comme des balles de fusil vers la jeune femme.

Elle sentait contre ses reins la bite dure comme de l'acier de son mari et elle finit par rompre le silence pesant.

« Anne-Marie, soit tu prends ton GSM en vitesse, soit tu nous regardes mais décide-toi car j'ai le feu aux fesses et ce n'est pas une image »

« Je voudrais regarder » murmura la stagiaire d'une toute petite voix.

C'était le signal pour Jean qui fourailla sous la jupe de sa femme, arrachant presque son slip dans sa précipitation puis il se baissa et la prit d'assaut sans ménagement et sans préliminaire. Cécile était béante ; son numéro de tentatrice puis l'irruption d'Anne-Marie l'avaient portée au comble de l'excitation. Dès que Jean eut complètement enfoncé son glaive dans son fourreau, ils rugirent tous deux de plaisir. Cécile ressentit un soulagement tellement intense qu'elle faillit jouir séance tenante. Quant à Jean, il ne perdit pas de temps et se mit aussitôt à la labourer à grands coups de reins. Tous deux avaient les yeux braqués sur la stagiaire qui , comme hypnotisée, s'avança jusqu'au bureau. Elle se pencha par-dessus le bureau et commença à caresser les seins de Cécile.

Cécile, comme dans un état second, s'arc-bouta sur le bureau et tendit ses lèvres à la jeune femme qui ne se fit pas prier pour l'embrasser passionnément en pinçant les mamelons de sa poitrine. Jean ne se tenait plus. Le spectacle de sa femme et de sa stagiaire en pleine débauche lesbienne le fit basculer et il se figea, tétanisé, au fond du vagin contracté de sa compagne pour éjaculer un flot bouillonnant de sperme qui la fit basculer à son tour. Tandis qu'il rugissait sa jouissance à pleine gorge, Cécile ne put émettre qu'un petit « mmmmhhh » étouffé par la langue féminine qui était mêlée à la sienne.

A la grande surprise de Cécile, la verge de Jean resta totalement raide en elle malgré l'intensité de son orgasme. Elle s'arracha à l'étreinte de la jeune femme pour demander à son mâle « Mon chéri, je crois que notre gentille Anne-Marie aimerait que je m'occupe d'elle ; n'est-ce pas ma belle? »

Anne-Marie hocha la tête, incapable de formuler une réponse intelligible. Cécile lui prit la main et la fit contourner le bureau pour les rejoindre puis défit sa ceinture et l'attache de son jeans qu'elle baissa d'un coup sec en même temps que sa culotte. Elle fit s'asseoir la jeune femme sur la tâche de mouille qu'elle avait elle-même laissé sur le buvard et s'employa à la débarrasser complètement de son jeans. Elle lui ouvrit les jambes et s'exclama « Qu'elle est belle » en découvrant la toison blonde délicatement taillée en triangle qui entourait la chatte de sa conquête. Sans perdre de temps, elle plongea vers l'entrejambe de la jeune femme et se mit à lécher les lèvres de sa vulve. Elle sentit immédiatement son mari se remettre en mouvement et elle gémit dans le sexe béant qui s'offrait à elle.

Jean ne s'était jamais senti aussi excité. Il n'avait jamais imaginé voir sa femme caresser une autre femme et en plus il pouvait participer aux réjouissances. Il regrettait bien de ne pas voir les petits seins de leur employée, toujours cachés par un pull en V qui ne laissait rien deviner des trésors qu'il recouvrait . Il voyait Cécile pénétrer Anne-Marie de ses doigts raidis sans cesser le léchage en règle du jeune clitoris. La jeune fille avait écarté les bras sur le bureau, comme crucifiée et poussait des gémissements discrets qui contrastaient avec ses véhéments mouvements de bassin pour encourager Cécile à poursuivre ses caresses. Rapidement, elle saisit la tête de sa patronne entre ses mains et dit d'une vois mourante « Cécile, je vous aime ... aaah! Je viens .... Je viens! »

Cécile se redressa et progressa sur le corps de la jeune stagiaire, entraînant derrière elle Jean qui se refusait à perdre le contact avec la gaine chaude qu'il pistonnait avec fureur. Elle remonta le pull de la jeune femme qui à sa grande surprise ne portait aucun soutien-gorge. Ses petits seins n'en avaient d'ailleurs nullement besoin. On aurait dit des miniatures de sa propre poitrine.

Jean se déchaina ; la vue de ce corps juvénile exacerbait son désir . A chacun de ses coups de reins, il soulevait presque sa femme elle-même excitée à souhait par le contact de cette chair fraîche. Il explosa soudain , se vidant dans la conque serrée autour de sa verge. Cécile le rejoignit, étreignant la stagiaire en sanglotant de bonheur. Elle sentit vaguement la verge de son mari la quitter en se dégonflant rapidement jusqu'à ce que Jean l'abandonne et se rajuste en toute hâte, un peu gêné par la situation maintenant que l'aiguillon du désir ne se faisait plus sentir.

Cécile, toujours à moitié couchée sur Anne-Marie, lui caressa tendrement le visage.

« Si je m'attendais ... c'est ce que j'appelle une surprise petite fille! »

Rougissante, celle-ci répondit

« Désolée Cécile mais je vous aime depuis que j'ai commencé mon stage ici. Je sais que vous aimez votre mari mais je ne pouvais pas m'en empêcher »

« Tu as toujours préféré les femmes ou est-ce que je suis ta première? »

« J'ai déjà couché avec des garçons mais je n'ai jamais eu de plaisir avec eux alors qu'entre filles, c'est tout-à-fait autre chose »

« Ne t'en vas pas, je dois parler à mon mari mais c'est pour la forme ; après j'aurai une proposition à te faire »

Cécile se releva et, laissant son slip sur le sol, entraîna Jean dans le couloir.

« Mon amour, que dirais-tu d'inviter Anne-Marie pour nos vacances? Avec ses indemnités de stage, elle ne doit certainement pas avoir les moyens de partir. Le gîte a deux chambres donc, s'il ne se passe rien , nous aurons toujours notre intimité mais si je parviens à mes fins, nous pourrions pimenter notre vie amoureuse avec cette jeune pouliche »

« Mais enfin Cécile, elle vient de te dire qu'elle préfère les filles. Tu veux que je tienne la chandelle pendant nos quinze jours de congé? »

« Mais non mon amour. Si elle m'aime autant qu'elle le dit, j'arriverai bien à la convaincre de se livrer aux désirs lubriques de mon seigneur et maître. Je parie volontiers qu'elle n'a jamais eu d'aventure avec un mâle aussi expérimenté que toi et tu pourras la convertir sans problème »

« Et tu accepterais que je couche avec une autre femme? »

« Si tu acceptes que je couche avec une femme ... Puisque je serai toujours présente, moi, ta Première Epouse »

« Evidemment, c'est une proposition que je ne peux pas refuser même si j'ai des doutes quant à nos chances de succès .. »

« Reste ici, je t'appellerai quand ce sera gagné »

Cécile retourna dans le bureau tandis que Jean attendait dans le couloir un peu anxieusement le résultat des négociations. Il n'eut pas à attendre longtemps. Moins de dix minutes plus tard, sa femme l'appelait déjà.

Cécile l'attendait, tenant la jeune stagiaire enlacée par les hanches.

« Jean mon amour, je te présente Anne-Marie, notre invitée pour les vacances en Ardèche. Nous passerons la chercher demain matin à l'aube avant de mettre le cap au Sud! »

Quelques minutes plus tard, ils se retrouvaient seuls après qu'Anne-Marie les eut quittés en les remerciant et les embrassant tous deux sur la joue.

« Tu crois que cela pourrait marcher? »

« Je suis certaine que nous allons avoir des vacances très très sensuelles mon Maître! Ma jeune pouliche a profité de notre absence pour chiper mon slip. J'en ferai ce que je voudrai y compris la soumettre à la Verge de mon Homme! »

Le lendemain matin, ils quittèrent leur domicile dès l'aube après avoir donné leurs dernières instructions aux jumeaux, étonnement matinaux. Ils n'avaient pas soufflé mot de leur compagne de dernière minute de peur que leurs enfants ne comprennent pas qu'ils invitent une étrangère alors qu'eux-mêmes étaient « abandonnés à leur triste sort » sous le ciel du Nord .

Ils ne pouvaient évidemment deviner que lesdits jumeaux n'attendaient que de voir la voiture tourner le coin de la rue pour se précipiter dans le lit parental et se livrer à une frénésie sexuelle de grande ampleur!

Le lendemain soir, ils profitèrent pour la première fois de la voiture de Lucie pour aller à Lille manger dans un restaurant spécialisé dans la cuisine du sud-ouest. Vu leur débauche d'énergie durant les dernières 36 heures, ils se sentaient de taille à affronter la riche nourriture de cette région. Il faut dire qu'ils avaient commencé leurs vacances sans parent en fanfare : Léa avait chevauché Loïc pendant plus d'une heure, s'offrant trois orgasmes sur la verge de son frère pendant qu'il lui caressait, malaxait, triturait les seins jusqu'à y laisser des marques rouges du plus bel effet . Alors qu'elle atteignait en gémissant son troisième orgasme, les hanches du garçon s'étaient animées elles-aussi et il avait fini par se délivrer de l'énorme pression qui lui distendait la bite en se libérant dans le vagin contracté de sa sœur .

Le reste du week-end s'était déroulé à l'avenant . Ni l'un ni l'autre ne parvenait , semble -t'il, à se rassasier du corps de l'autre. Même le samedi soir, alors qu'ils pensaient s'endormir d'épuisement dans le grand lit des parents, Loïc n'avait pu résister et avait monté Léa pour leur offrir un dernier orgasme . Ils s'étaient endormi l'un sur l'autre et l'un dans l'autre, la verge du garçon toujours enfoncée dans sa sœur. Et encore. Léa avait été réveillée en pleine nuit sans trop comprendre ce qui se passait avant de réaliser qu'un corps étranger allait et venait en elle. Même à moitié endormi, Loïc n'avait pu résister au besoin de la besogner et elle attendit de sentir le sperme du garçon se répandre en elle avant de le faire basculer à son côté et de se rendormir.

Le dimanche matin, Léa avait pris sa revanche en s'affublant du double gode et en violant l'arrière-train de Loïc encore endormi. Elle l'avait profité de son sommeil pour le sodomiser sans merci , ne le libérant qu'après avoir joui deux fois elle-même. Pour se faire pardonner, elle avait sucé son énorme braquemart, acceptant sans broncher la présence de la verge jusqu'à sa glotte pour le faire jouir directement sans sa gorge.

Ils avaient refait l'amour plus classiquement en fin de matinée. Enfin, plus classiquement si l'on admet que la machine à laver de la buanderie était un endroit normal pour faire l'amour. Léa, assise sur l'engin, avait été particulièrement excitée par les vibrations de la machine pendant que son frère la pistonnait allègrement. Elle avait pris son pied à deux reprises ; emprisonnant son amant-frère entre ses jambes pour l'obliger à continuer le coït jusqu'à ce qu'elle lui dise « Viens maintenant mon amour ».

Il avait remis le couvert l'après-midi en surprenant Léa alors qu'elle faisait la sieste entièrement nue dans le coin du jardin à l'abri des regards. Il s'était préalablement enduit la verge de lubrifiant et était arrivé à s'enfoncer dans son anus avant même qu'elle ne soit entièrement réveillée. Malgré les protestations de sa sœur, il avait continué à l'enculer en force jusqu'à ce qu'il éjacule en elle.

Une fois arrivés au restaurant, théâtre des débuts de call girls de Lucie et Françoise, ils firent le point de leurs projets de la semaine qui devait atteindre son apothéose avec la soirée chez Sylvie d'Arcques.

« Tu es toujours sure de vouloir y aller?» demanda Loïc

« Oui et non » expliqua Léa « Tant que tu es avec moi, aucune situation aussi scabreuse soit-elle ne peut me faire peur mais quand même , me faire pénétrer par des inconnus qui vont jouir dans mon intimité, cela me met mal à l'aise. En fait d'hommes, je n'ai jamais connu que toi. Au moins pour les femmes, j'ai déjà eu Lulu et Soise. Comme toi d'ailleurs.»

« Tu te sentirais mieux si tu pouvais faire l'amour à un autre garçon avant vendredi? » demanda Loïc

« Peut-être mais à condition que tu sois là »

« Que dirais-tu de Danny? » poursuivit-il « Il n'est pas mal, intelligent, bien élevé et il a déjà de l'expérience paraît-il. Evidemment, je ne pourrai pas participer. Il sait que tu es ma sœur. »

« Et on se connaît depuis le jardin d'enfants. Ce n'est pas lui qui me ferait du mal...Tu peux lui téléphoner pour l'inviter demain soir? Pour une soirée garçons? »

Loïc s'exécuta mais dut un peu s'engager envers Danny en lui promettant une surprise. Après quoi il demanda et paya l'addition et entraina sa sœur vers leur voiture garée derrière le tribunal de grande instance. Une fois dans la pénombre du véhicule, il ouvrit son pantalon et, poussant un soupir de soulagement, il laissa échapper sa verge démesurément gonflée.

« Mais mon gros loup, qu'est-ce qu'il t'arrive? » questionna Léa en riant.

« C'est l'idée que tu vas faire l'amour avec Danny. Je t'ai imaginée toute nue avec lui, prise par derrière, le chevauchant. Bref, vous deux en train de baiser dans toutes les positions et c'est à la fois dur à supporter et très excitant. »

« Et tu crois que c'était toujours facile pour moi de te savoir avec Lucie et Françoise? En train de les baiser alors que moi j'étais au régime sec »

« Hum, je n'avais pas pensé à cela ... » reconnut Loïc

Elle commença à le masturber et continua « Evidemment, quand c'est moi qui me fais baiser, c'est différent, je suis à toi et tu devras repasser après Danny pour réclamer ta propriété. Et comme je compte le laisser jouir dans mon vagin mais aussi dans ma bouche et dans mon cul, tu vas avoir du travail pour reconquérir tes droits »

« Salope » gémit-il pendant qu'elle continuait son œuvre masturbatoire mais continuait implacablement à l'exciter verbalement.

« Tu crois qu'il a déjà sodomisé une fille? J'aimerais bien être sa première. Comme sa bite est certainement moins grosse que la tienne, ce sera plus facile de l'accueillir dans mon cul; je pourrais peut-être même avoir un orgasme anal. Soise m'a raconté que cela lui était déjà arrivé. »

« Léaa ... »

« Et tu crois qu'il aimera mes seins? Je pourrais mettre le soutien de maman ; il les fait bien ressortir non? Je ne mettrai pas sa culotte ; elle t'est réservée à toi, mon frère incestueux ».

« Léaaaah , je viens ... »

Elle cessa de parler et se précipita pour boire la semence qui s'échappait de son sexe comme un geyser.

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