Les Jumeaux Croisés 12

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 12 - Fin Tome 1.
10k mots
4.7
16.9k
1

Partie 12 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chapitre 12 : L'Ere nouvelle

Le vendredi suivant, le jeune couple était de retour à l'aéroport de Lesquin, attendant Lucie et Françoise qui devaient débarquer de leur charter vers 12h. Arrivés bien à l'heure, ils pestèrent en constatant que le vol des Canaries était affiché avec un retard de plus d'une heure. Léa laissa un message sur la boîte de Lucie et ils filèrent manger un plat du jour à Fretin plutôt que de planter leurs dents dans les sandwiches façon « l'Aile ou la Cuisse » de l'aéroport.

Tout en faisant un sort à son Tartare, Loïc taquina sa sœur

« Tu te rends compte que tu vas devoir de nouveau me partager? » demanda-t'il

« Tu te rends compte que tu vas devoir de nouveau me partager? » le singea-t'elle

« Je suis sérieux » se plaignit-il « Cela fait quinze jours que nous vivons ensemble et hormis les trois visites à Sylvie, on n'a fait l'amour qu'entre nous. Mais il est plus que probable que dans deux heures, je vais me retrouver avec deux femelles affamées sur les bras ou plutôt sur la bite »

« Mais comme tu ne peux en satisfaire qu'une à la fois l'autre sera suspendue à mes nibards pendant ce temps-là » répliqua-t'elle. « Par chance, j'aime autant les filles que toi mais il faudra aussi que tu t'habitues à me voir avec d'autres garçons! »

Loïc se renfrogna « je ne te suffis pas? »

« Amplement et même plus. Cette semaine, tu m'as fait jouir en moyenne cinq fois par jour ; c'est plus qu'une fille de mon âge peut espérer mais réfléchis un peu. Nous ne sommes pas un couple normal » continua-t'elle à voix plus basse. Si je veux un jour des enfants, il faudra bien que je me trouve un reproducteur autre que toi et je refuse de prendre le premier quidam venu. Je veux pouvoir en trouver un qui a au moins nonante pourcents de tes qualités et si possible moins de cinquante pourcents de tes défauts, ce qui en laisse déjà une kyrielle » ajouta-t'elle en souriant. « Pour toi c'est plus simple, au rythme où tu vaporises ta semence dans tous les vagins de rencontre, tu auras bientôt repeuplé le département »

Loïc ne parvenait pas à se dérider . « Je sais que l'exogamie est un instinct primaire mais je ne parviens pas à me faire à l'idée qu'un jour, je devrai te laisser prendre un autre homme comme compagnon! »

« Mon gros loup, tu ne m'écoutes pas! J'ai parlé d'un reproducteur, pas d'un compagnon ou d'un époux. Tu es et tu seras toujours mon seul époux, je te l'ai déjà dit. Entre toi et moi, c'est l'Amour avec un très grand A. Le sexe avec les autres, c'est soit pour le plaisir, soit pour les bébés. Et pour le moment, seul le plaisir est à l'ordre du jour »

« A propos de plaisir, Caro semblait déjà moins crispée avec moi hier après-midi »

« Moins crispée? Dès qu'elle le peut, elle se frotte à tes muscles comme une chatte en chaleur «

« Mais elle n'a pas esquissé la moindre tentative pour faire l'amour »

« Je te parie que cela viendra mais cela restera très occasionnel ; contrairement à Sylvie, Caro est une authentique lesbienne. »

« Qu'en sais-tu »

« Ça, je ne peux pas l'expliquer à un homme. Tu dois être une femme pour faire la différence entre l'intensité avec laquelle une lesbienne te fait l'amour par rapport à une hétéro. Ni Lucie, ni Françoise et même Sylvie n'arrivent à me donner les mêmes sensations que Caro. Quand elle te caresse, tu as l'impression qu'elle est dans ton corps tellement c'est fort. »

Puis voyant une lueur d'inquiétude dans le regard de son frère

« Mais je préfère toujours ta diabolique 'bite immonde'! hi hi! Surtout quand tu me prends par surprise. Avant-hier, j'ai beaucoup aimé quand tu m'a baisée pendant que je parlais à Tahira au téléphone. Heureusement qu'elle a raccroché avant que je ne jouisse »

« Tu me fais bander.. »

« J'espère bien mon Lolo mais tu devras encore un peu patienter. Va payer pendant que je vérifie sur l'app si le vol arrive toujours à l'heure annoncée. »

Lulu et Soise furent parmi les premiers à surgir de la zone des bagages mais Loïc faillit ne pas les reconnaître. Elles étaient bronzées d'accord mais il y avait quelque chose de différent chez chacune d'elle. Lucie paraissait plus jeune, plus en forme et dynamique mais le changement le plus spectaculaire, c'était Françoise. Il avait amené à l'aéroport une petite grosse ô combien sympathique mais grosse des pieds à la tête et qui se cachait dans des robes bouffantes. Il voyait revenir une femme certes forte mais qui osait exhiber un corps transformé. Elle n'avait peut-être pas perdu beaucoup de poids mais elle avait réussi à transformer une bonne partie de son gras en muscle. Et cela lui allait à ravir.

Contrairement à son frère, Léa n'avait pas eu la moindre hésitation et était déjà suspendue au cou de ses amies et les trois poussaient des cris de joie aigus comme seules les demoiselles parviennent à le faire.

Loïc s'approcha et embrassa fougueusement Lucie avant de se tourner vers Françoise en disant « Soise, tu es magnifique! » Puis se reprenant « Toi aussi Lulu mais Soise, c'est spectaculaire! » Cette dernière se rengorgea et répondit « c'est vous qui m'avez motivé mes chéris! » Loïc se pencha alors et l'embrassa elle aussi en y mettant toute l'attention et l'affection qu'elle méritait. Ce faisant , il déclencha quelques sifflets dans l'assemblée des voyageurs et, lorsqu'il relâcha son amie, elle était rouge pivoine . « Cela fait bien quinze ans qu'on ne m'a pas sifflée ».

Dans la voiture les deux vacancières firent le récit de leur séjour. « Il y avait une aire de sports dans les jardins de l'hôtel et Françoise n'en sortait que pour faire des longueurs dans la piscine . Et comme elle avait déjà commencé à s'entraîner ici, j'ai eu du mal la première semaine à suivre le rythme mais au bout de quinze jours, on voit la différence. Regarde Léa! » dit-elle en levant son léger T-shirt pour exposer son ventre plat.

« Moi je m'occupais du programme d'entraînement mais c'est Lulu qui composait les menus. Là c'est moi qui ai eu du mal. En quinze jours, j'ai reçu moins de calories dans mon assiette que pour mon petit-déjeuner le jour du départ! Mais cela en valait la peine ; attendez qu'on soit à la maison »

Une heure plus tard, ils se garaient devant la maison de Lucie et les trois filles se précipitaient à l'intérieur , laissant le déchargement des bagages à Loïc. Lorsqu'il eut tout rangé dans le hall, il rejoignit sa sœur qui préparait des jus de fruit noyés dans un déluge de glaçons.

« Où sont Lulu et Soise »

« En haut, dans la salle de bains et aux toilettes ; entre l'attente prolongée à l'aéroport et les trois heures dans l'avion, elles avaient grand besoin de se rafraîchir. »

Cinq minutes plus tard, Lucie redescendait vêtue d'un short moulant et d'un haut de bikini qui rappela à Léa la description qu'elle lui avait faite (« J'étais si maigre que mes seins avaient l'air gros par contraste »). Le frère et la sœur s'exclamèrent « WOW » en même temps tandis que la jeune femme terminait sa descente en parodiant une danseuse de music-hall. Ils pouffèrent tous les trois et s'assirent à la table du salon pour vider les verres en attendant Françoise.

« Ne me dis pas que vous avez passé deux semaines à faire du sport et à ne pas manger » demanda Léa à son amie « Vous n'avez même pas violé un pauvre GO sans défense? »

« Tu rigoles? Le soir on était tellement crevées qu'on n'avait même plus la force d'enlever nos maillots de bain. On ne s'est accordé qu'un seul jour de repos vers le dixième jour pour acheter de nouveaux sous-vêtements et maillots parce qu'on perdait nos slips. L'après-midi on est resté au bord de la piscine à observer les autres clients et clientes comme deux vieilles vaches mais personne n'a éveillé notre intérêt » Elle sourit aux jumeaux « Quand on a du caviar à la maison, on ne mange pas du surimi au restaurant. Ceci dit, ce soir-là , on avait récupéré assez d'énergie pour s'exciter l'une l'autre avec nos nouvelles fringues et cela a fini par une partie de jambes en l'air très jouissive! »

Sur ces entrefaites, Françoise était arrivée en haut de l'escalier, vêtue d'un short et d'un haut identiques à ceux de Lucie même si de deux tailles plus grands évidemment. Ce qui frappa Loïc ; c'étaient les jambes maintenant bien musclées qui avaient perdu presque toute trace de cellulite. Au-dessus du short, le ventre affichait toujours une rondeur qui trahissait les excès passés mais les bourrelets avaient disparu, de même que le double menton .

« WOW! Magnifique! » s'écria le garçon

« Tu exagères » dit Françoise rouge de confusion.

« Non, je t'assure, la différence est frappante et très positive... même si je devrais te voir toute nue pour en être certain »

« Mais cela ne tient qu'à toi mon beau ... » dit-elle en se penchant pour prendre son verre, son cul rebondi tourné vers Loïc. Ce dernier se leva et vint loger son pubis contre le fessier de la rouquine.

« Juste Ciel i » s'écria-t'elle en remuant les fesses « Qu'est-ce? Une presqu'île, non, un cap, une péninsule? Lulu, j'ai retrouvé Bite d'Ane! »

Cette dernière se tourna vers Léa « Ma chérie, est-ce qu'on peut t'emprunter Lolo? Je pense qu'il y a une double urgence »

« C'est mon cadeau de bienvenue mais je tiens à le déballer moi-même! »

Le quatuor se précipita vers la chambre de Lucie où Léa prit les commandes.

« Lulu et Soise, asseyez-vous sur le lit! Que le spectacle commence »

Se plaçant derrière son frère, elle commença à l'effeuiller sans que le garçon n'esquisse le moindre geste. Debout derrière lui face aux filles, elle lui retira sa chemise et caressa son torse, commentant pour le bénéfice de ses amies « Voyez mesdames ; notre étalon est bien musclé ; ses abdominaux puissants lui donnent une endurance remarquable en toute position ». Elle déboucla le ceinture de son jeans puis défit la fermeture. « Nous en arrivons maintenant à la pièce maîtresse, j'ai nommé la Bite d'Ane. » D'un geste brusque, elle fit tomber le jeans sur les chevilles du garçon, révélant la verge de son frère dans toute sa gloire.

« Vous constatez que notre Bite d'Ane ne porte pas de slip, ce qui permet un déshabillage rapide. Par contre, il aurait besoin d'être humidifié pendant que je m'occupe de Françoise. Lucie, vient ici, à genoux et suce notre spécimen. Mais attention, rien que la bouche ; interdiction d'utiliser les mains. »

Lucie s'exécuta avec empressement. Loïc saisit sa tête pour accentuer les mouvements de sa bouche autour de sa verge, retrouvant avec un plaisir non dissimulé la petite langue agile qui tourbillonnait autour de son membre en pleine érection.

Pendant ce temps, Léa avait fait basculer Françoise sur le lit et l'embrassait à pleine bouche. Dans le même temps, elle abaissa le soutien-gorge sous les gros seins, dévoilant les mamelons ultra-larges qui heureusement n'avaient pas rétréci en même temps que le reste du corps de la pulpeuse rousse. Elle malaxa les lourdes mamelles, arrachant des grognements de satisfaction à sa partenaire. Après cinq bonnes minutes de ce traitement, la poitrine de la rouquine était marbrée de traces rouges et Léa passa à l'étape suivante en infiltrant sa main sous son short. Elle fut surprise de sentir une fine toison là où elle l'avait toujours connue parfaitement épilée. Et sous la toison, elle découvrit la vulve de son amie. Elle était brûlante, liquide et ouverte comme elle ne l'avait jamais connue!

Elle fit pivoter Soise sur le lit ,enleva son short puis lui écarta les jambes. La vulve cernée d'un fin duvet roux apparut dans toute sa splendeur. « Soise, c'est splendide!» s'exclama- t'elle en plongeant entre les cuisses grandes ouvertes. « Il faut que je te goûte ». Elle lécha les grandes lèvres avec délectation avant de se concentrer sur le clitoris saillant parmi les petits poils roses-rouges. Sa compagne poussa un « AAAAHH » sonore qui recélait tout son désir inassouvi. Un « OOOHH » tout aussi sonore leur parvint du côté de Loïc qui avait suivi les manœuvres de sa sœur.

Léa comprit qu'elle ne pouvait pas retarder le moment suprême plus longtemps et elle se releva, invitant son frère de la main et de la voix « Viens mon Lolo, elle t'attend, elle est prête pour toi. Prends-la comme ça mais sois fort, elle a besoin d'être bien baisée ».

Loïc s'arracha à grand peine à la délicieuse bouche de Lucie qui le regarda s'éloigner comme si c'était le festin de Tantale qui lui était ôté de la bouche. Léa revint vers elle et l'embrassa à son tour puis elle l'entraîna vers une chaise qu'elle plaça face au lit avant de s'asseoir dessus et de prendre Lucie, les jambes écartées, sur ses genoux, faisant elle-aussi face au lit. Ainsi installées, Léa pouvait faire les seins de son amie ou caresser toute la zone pubienne tandis qu'elles ne perdraient pas une miette de l'accouplement qui se préparait.

Le garçon s'était agenouillé entre les cuisses de son amie, fasciné par le fin buisson de couleur entourant sa cible. Impatiente, Soise s'empara de son mandrin et le présenta à l'entrée de son vagin et commença immédiatement à délirer de plaisir :

« Vas-y Bite d'Ane, fends-moi, ramone ma grosse chatte en manque, ta bonne grosse bite qui me pénètre. Aah, ça fait tellement du bien . Oui, comme ça, en force, défonce-moi, ooh! massacre-moi le minou! AAAHHHH! OUI C'EST CA QU'IL ME FALLAIT! VAS-Y A FOND! BAISE-MOI! OOOHH OUIII! ENCORE! JE VAIS DEJA PARTIR! LOÏÏÏC , JE JOUIS! »

Léa, la main fourrageant dans le short de Lucie lui glissa à l'oreille « Elle a battu son record hein ma biche, un orgasme en moins d'une minute! » Lucie gémit. « Tu as aussi envie de la grosse bite de mon frère? Tu vas devoir encore un peu attendre mais mes doigts vont te faire patienter! »

Loïc qui s'était immobilisé au moment où Soise avait joui, reprit doucement vie . Il enlaça Françoise puis, profitant de sa semi hébétude, bascula sur le côté en l'entraînant avec lui. Sur sa lancée, il la hissa sur lui, l'obligeant à s'empaler complètement sur le gigantesque pénis qui occupait son intimité. Les yeux toujours clos, elle gémit de plaisir. Loïc la saisit par ses gros seins et les pétrit furieusement ; ajoutant ses marques à celles de sa sœur. Puis c'est sa verge se remit en mouvement en elle, réveillant toutes ses sensations.

« Oh mon Lolo, c'est si bon ; tu peux pas savoir » gémit-elle « fais-moi encore jouir mais je veux que tu viennes avec moi! Et après, je te referai bander pour Lulu, pour que tu ramones sa chatte aussi avec ton énorme bite! »

Elle prit bientôt le dessus sur son partenaire et lui imposa sa cadence, moins rapide mais avec des va et vient plus longs qui faisaient complètement sortir sa verge hors de son vagin avant de la refaire pénétrer en elle jusqu'à ce que leurs bassins se heurtent.

Loïc sentait son excitation monter en flèche. Le corps transformé de Soise était particulièrement voluptueux et il ne pouvait empêcher ses mains d'en explorer tous les nouveaux contours. Chacun des retours de sa verge dans l'antre inondée lui arrachait un halètement de désir inassouvi de plus en plus bruyant au fur et à mesure qu'il sentait la tension de sa verge devenir de plus en plus insupportable.

Il empoigna les hanches de sa partenaire pour l'obliger à accélérer son rythme tandis que ses gémissements reprenaient de plus belle « Oui mon Lolo, ta grosse bite tout au fond de moi! AAAH . Si loin, Si fort! Vas y mon Lolo, enfonce bien ta grosse bite d'âne , baise-moi jusqu'à la gorge! mais tu trembles! Tu vas jouir? Attends-moi encore un tout petit peu ... LA! JE SENS TON SPERME! SI FORT! SI LOIN! RAAH JE VIENS AUSSI! J'ECLATE! AAAHHH!

Lucie qui venait de jouir sur les genoux de la belle Léa assista envieuse à ce déchaînement de passion. Elle se leva et fit glisser son short trempé à ses pieds et enleva son haut de bikini tirebouchonné autour de sa taille après que la jeune fille lui eut malaxé les seins comme si c'étaient deux masses de farine fermentée prêtes à passer au fournil.

Elle marcha jusqu'au lit et, sans ménagement aucun, fit basculer Soise sur le dos, l'arrachant du pal toujours à demi-érigé en elle. Elle se pencha sur le membre du garçon et le suça avec fureur , goûtant au passage les sucs de son amie mélangés au sperme de son jeune amant. Elle parvint à arrêter la débandade au moment où Léa montait à son tour sur le lit et prenait place entre les jambes de Soise pour reprendre le léchage en règle de son amie là où elle l'avait arrêté , récupérant au passage elle-aussi le sperme abondant de son homme.

Loïc avait déjà récupéré toute sa vigueur et Lucie bouillait d'impatience . Elle se tourna à quatre pattes, la tête reposant sur les seins de Françoise et elle appela « Loïc, prends-moi, vite, prends-moi comme ça » elle agitait les fesses tout en se cambrant et Loïc n'avait aucune intention de résister à l'invitation. D'un puissant coup de reins, il embrocha la jeune femme jusqu'à ce qu'il bute sur le fond de son vagin. « WAAOOW » hurla-t'elle avant de mordre à pleines dents dans le mamelon de sa meilleure amie qui ne broncha , complètement perdue dans le flot de sensations qui émanait de son bas-ventre mis en ébullition par Léa.

Loïc s'était lancé dans une cavalcade infernale, bien décidé à achever Lucie au plus vite car une autre cible s'agitait devant ses yeux en la personne de sa sœur dont le cul somptueux émergeait d'entre les jambes de Françoise. Bien qu'encore complètement habillée, sa jupe d'été tait plaquée à son postérieur et ne laissait rien ignorer du galbe parfait de ses fesses.

Sous lui, Lucie geignait à chacun des coups de boutoir de son jeune amant qui lui distendait le vagin bien au-delà de ce que sa mémoire lui rappelait. « Oh Lolo! Tu m'as manqué! C'est si bon de se faire bourrer par Bite d'Ane! AAH! N'ARRETE PAS! JE BOUS! » Le garçon se déchaîna, la prenant avec une telle violence qu'elle avait l'impression qu'il pénétrait dans sa matrice. Ses mains avaient entouré le sein gauche de Soise et ses doigts étaient profondément enfoncés dans la chair mais ni l'une ni l'autre ne s'en apercevait, trop concentrées sur le plaisir que leur distillaient leurs deux jeunes amants.

« Lu .. cie ... » sanglota Françoise « Embrass'-moi .. je vais .. de nouveau OOOHHH »

Lucie se précipita sur la bouche grande ouverte de sa vieille complice et but l'orgasme qui lui montait aux lèvres juste avant de mêler ses cris étranglés aux siens tandis que sa croupe était prise de tremblements convulsifs autour du membre qui la perforait.

Le garçon ralentit sa cadence effrénée, heureux de ne pas avoir joui et attendit que sa monture s'effondre sur le corps de Soise pour se retirer doucement de sa vulve contractée.

Il se releva et rejoignit sa sœur qui contemplait, très satisfaite d'elle-même, le corps effondré de Françoise. Aussi nu que Léa était habillée, il l'attrapa aux hanches et l'embrassa. Elle répondit à son baiser et se plaqua contre lui, vissant son bassin sur le sien. Après deux bonnes minutes, c'est elle qui rompit leur étreinte en haletant comme un animal à bout de souffle.

« Ma pauvre lionne, tout le monde a pris son pied sauf toi »

« Mais je compte bien sur mon gros loup pour me chiffonner des pieds à la tête » répliqua-t'elle. « du moins si ces deux obsédées en manque t'ont laissé un peu de force »

« Est-ce que j'ai l'air de manquer de force? » demanda-t'il en posant sa main sur sa verge toujours magnifiquement bandée

« Et si tu me déshabillais au lieu de te vanter? » dit-elle en lâchant sa bite et en nouant ses mains derrière son cou.

Loïc s'attaqua aux boutons de la blouse de sa sœur et l'ouvrit dès le dernier bouton défait. Il passa ses mains sous les pans pour caresser la chair nue, lui arrachant des frissons de plaisir.

« J'aime tes mains, elles me font presque plus d'effet que ta grosse bite d'âne »

Encouragé, il fit sortir la bouse de la jupe et écarta le vêtement, révélant le demi soutien-gorge qu'elle avait acheté avec Tahira. Son excitation monta d'un cran et ses mains remontèrent jusqu'à sa poitrine qu'il caressa par-dessus la petite pièce de lingerie. Les seins orgueilleux de sa sœur menaçaient de la faire exploser surtout avec le pétrissage en règle qu'il commença à leur faire subir.