Les Jumeaux Croisés 12

BÊTA PUBLIQUE

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« OOOH , tu es gros mon Jean! Elle ne sait pas ce qu'elle rate la petite. Ouh là, tu vas si loin! Ca me fait tellement de bien! Je parie qu'il et trop gros pour toi MAaahMie! Aah, c'est bon cette grosse bite qui me remplit le ventre! Encore, il revient! Vas-y mon amour bourre-moi!

« Mmmmmmhh » fit Anne-Marie en se tortillant désespérément sur sa chaise, espérant peut-être trouver un point de friction pour son clitoris enflammé mais ne parvenant qu'à faire aller et venir le plug anal dans son rectum.

Jean était tout aussi excité ; la chainette qui reliait les deux pincettes ancrées aux tétons de sa femme venait lui caresser la poitrine à chacun de ses va et vient et il s'empara de ses seins, les faisant osciller encore plus pour augmenter l'amplitude du balancement. Cécile, à bout de désir, lui griffait la poitrine « Oui mon amour, broie mes seins .. ooh ils vont exploser ... et moi aussi .. JEAN! JE VAIS JOUIR! VIENS AVEC MOI! OUI! MAMIE! IL GICLE EN MOI... AAARGH! C'EST BOOoon ...

Elle s'écroula sur son mari qui l'embrassa puis laissa sa tête reposer sur son épaule. Après quelques minutes de calme absolu uniquement troublées par les « mmh .. mmh » de leur prisonnière, il chuchota à l'oreille de Cécile

« Mon amour, tu es sûre qu'Anne-Marie est d'accord pour ce jeu? On n'y va pas trop fort? »

« Non, elle voulait nous faire un cadeau pour nous remercier de ces vacances et comme elle me l'a dit, elle n'a que son corps à nous offrir. Nous avons sélectionné les gadgets ensemble et on les a même essayé jeudi soir pendant que tu dormais et elle a adoré »

« Bon , et quelle est la suite du programme? »

« On va continuer à la torturer gentiment jusqu'à ce tu sois en état de la sodomiser en beauté »

« Elle est d'accord pour ça aussi? »

« Fais confiance à ta Première Epouse mon amour!»

Cécile se redressa et défit les pincettes l'une après l'autre puis se massa les mamelons pour ramener la circulation sanguine dans ses tétons . « OOUUUHHH! » cria-t'elle « si je n'avais pas eu un orgasme à l'instant, J'aurais pu en avoir un là tout de suite ». Elle sentit un vague frémissement de la verge ramollie qui était en train de s'évader. Elle se releva

« Maître, je pense que vous pourriez défaire les pincettes de votre jeune servante »

Jean s'exécuta mais au lieu de masser les seins d'Anne-Marie, il prit un téton en bouche et fit signe à Cécile de s'occuper de l'autre . Le corps de leur victime consentante se tendit comme un ressort et elle hurla silencieusement « MMMH MMMH » , ses yeux se révulsèrent et elle retomba pour sursauter immédiatement lorsque le plug se renfonça dans ses entrailles.

Cécile se dirigea vers elle et la libéra de son bustier sous lequel elle était en nage puis lui caressa les seins tendrement.

« Es-tu prête pour le dernier plug ma chérie? »

Anne-Marie hocha vigoureusement la tête. Son aînée l'aida donc à se lever, fit glisser le slip en latex et procéda à l'échange des godes. Non sans satisfaction, elle constata que le plus gros des plugs franchissait le sphincter presque facilement. Sous son bâillon, le jeune femme ne réagit presque pas à l'intromission du massif envahisseur. Elle remonta la culotte et la fit pivoter pour montrer à Jean l'impressionnante bosse qui saillait entre ses fesses.

« Maître, elle sera bientôt prête à accueillir votre Verge. Désirez-vous qu'elle la nettoie en attendant »

Jean fasciné par la vue du cul perforé de sa jeune compagne approuva de la tête. Cécile défit alors la boule et laissa son amie jouer des mâchoires pour retrouver un peu de mobilité puis fit signe à Jean de s'approcher. Elle plaça la bite gluante à l'orée des lèvres d'Anne-Marie et lui ordonna « Suce-le, nettoie la bite de Notre Maître ».

La jeune femme, agenouillée devant Jean, s'exécuta avec enthousiasme tandis que Cécile saisissant l'extrémité du gros plug à travers le latex, faisait aller et venir l'engin dans son anus. Elle commenta « Maître, elle est plus que prête. Son petit cul vierge est bien ouvert et n'attend plus que votre plaisir »

Jean avait retrouvé toute sa vigueur et ne tenait plus en place dans la bouche hospitalière de la plus jeune de ses compagnes. Il ne se laissait plus sucer ; il lui baisait la bouche, maintenant sa tête à deux mains pour garder le contrôle total de ses allées et venues.

« Je suis prêt » grogna-t'il « Mets-là sur le dos et relève-lui les jambes. Je veux qu'elle me voie pendant que je prendrai sa dernière virginité «

Cécile défit les menottes dans le dos d'Anne-Marie mais les rattacha par devant. Elle fit ensuite basculer la jeune femme sur le dos et enleva la culotte. Elle l'aida à ramener ses jambes jusqu'à ses épaules, révélant le plug aux yeux avides de leur mari. Tenant d'une main ses poignets menottés au-delà de sa tête et de l'autre ses jambes en position haute, elle se pencha vers la jeune fille « Tu es prête mon amour? Notre Maître va prendre possession de ton petit cul ».

Jean retira le gode et présenta sa bite au bord du sphincter parfaitement lubrifié par les trois précédents occupants. Il s'appuya sur les cuisses de la jeune femme pour l'ouvrir au maximum et donna un léger coup de reins ; franchissant l'obstacle presque sans effort.

« Notre jeune vierge est grand ouverte Cécile! Viens lui caresser le clito pendant que je la sodomise »

Cécile obéit prestement, abandonnant bras et jambes de sa partenaire parfaitement soumise pour venir lui caresser le clitoris. Jean ahanait déjà de plaisir en la pistonnant sans relâche.

« Plus vite ordonna-t'il, je ne pourrai pas me retenir longtemps ; ce petit cul m'aspire les couilles! »

Mais Cécile ne s'en faisait pas trop pour sa MaMie ; elle sentait bien que le petit bouton de son amie n'avait plus de petit que le nom et qu'elle était prête à jouir à la moindre caresse supplémentaire. Dès qu'elle sentit les signes annonciateur de l'orgasme de la jeune femme, elle dit à Jean « Ca y est Maître, votre servante jouit avec votre grosse bite dans son cul »

« Et moi AAAH. JE JOUIS DANS SON CUL » YAAAH! TOUT AU FOND! OOH»

Jean soupira au volant ; que de beaux souvenirs durant ces vacances ; cette dernière journée ne s'était pas finie là. Comme Anne-Marie était encore chauffée à blanc, Cécile lui avait fait l'amour comme un homme en utilisant un double gode à sangles. Ayant joui deux fois quasi consécutivement, il avait assisté à cette scène hautement érotique en spectateur très intéressé mais peu réactif. Il s'était rattrapé dans l'après-midi en leur faisant l'amour l'une après l'autre dans la piscine et encore plus tard, Anne-Marie avec le double gode et lui avaient fait subir à Cécile une double pénétration particulièrement jouissive pour tous les membres du trio.

« Ca , je suis impatient de recommencer » se dit-il mais son attention revint à la route. Ils approchaient de Lyon et la circulation devenait particulièrement dense.

Par mesure de précaution, il avait inspecté ses femmes avant le départ pour être certain de ne pas être distrait pendant la conduite. Bien lui en avait pris car les coquines avaient toutes deux mis leurs soutiens « spécial tétons » et Cécile avait tout leur attirail de gadgets dans un sac à l'arrière où elle comptait s'asseoir avec MaMie.

« Pas question de conduire un lupanar ambulant » avait-il dit fermement. « Mettez des soutiens normaux et le sac à malices dans le coffre. Cécile tu t'assieds à côté de moi ; Anne-Marie à l'arrière! Elles avaient boudé pendant la première heure de trajet avant que leur bonne humeur naturelle ne reprenne le dessus.

Une fois passé Lyon à une vitesse d'escargot cardiaque, la circulation s'éclaircit et Jean décida d'en venir aux choses sérieuses.

« Cécile, j'aimerais faire étape à La Rothière. Tu veux bien téléphoner à l'auberge pour réserver la chambre familiale si elle est encore libre? Et comme serons là en milieu d'après-midi, on pourrait montrer le lac à Anne-Marie avant le dîner ... »

Elle s'exécuta avec empressement puis expliqua les détails de leur étape à leur compagne, surtout à propos de leur plage « privée » au bord du lac. « Evidemment, un samedi, nous ne serons peut-être pas seuls ...

Jean continua sur sa lancée « Demain matin, on repassera par Lusigny puis cap sur la maison. Et nous installerons Anne-Marie directement dans la chambre d'amis. J'ai bien réfléchi : autant affronter les jumeaux en face et leur présenter notre invitée avant qu'ils n'aillent habiter à Lille plutôt que de comploter dans leur dos. Je n'ai pas honte de ce que nous faisons et eux ne méritent pas ce genre de manœuvres. Ceci dit, nous ne sommes pas obligés de tout leur dire immédiatement....

Lesdits jumeaux étaient fort affairés. Ils avaient déjà préparé une petite montagne d'objets et de vêtements qu'ils comptaient prendre avec eux dans leur futur appart à Lille puis ils s'étaient attelés au nettoyage complet de la maison qu'ils voulaient rendre propre comme un sou neuf à leurs parents. Le nettoyage n'avançait cependant pas vite vu qu'ils travaillaient en tenue légère et avaient le plus grand mal à résister à la proximité du corps dévêtu de leur alter ego. C'est Léa qui avait ouvert le bal en voyant son frère nettoyer l'escalier en position accroupie. Elle n'avait pu résister à la vision de ses belles petites fesses moulées dans un vieux short. Elle avait commencé à les caresser, provoquant la réaction de son frère qui avait baissé l'avant de son short pour laisser s'échapper sa verge monumentalement érigée.

Cela s'était terminé par un orgasme mutuel dans l'escalier même, Loïc debout besognant sa sœur accroupie en levrette sur les marches supérieures. Depuis lors, Léa ne portait plus qu'un cache-poussière de façon à ce que son sexe presque toujours humide puisse être accessible à tout moment à la bite d'âne. Souvent, c'était elle qui prenait l'initiative en venant planter ses seins plantureux devant le nez de son jumeau. Sans s'en rendre compte, ils avaient varié les pièces et les positions lors de la première journée et décidèrent donc le lendemain de terminer le tour de la maison en continuant à explorer leur kama sutra personnel.

C'est ainsi que Léa fut pourfendue assise sur la commode du hall d'entrée, baisée en missionnaire sur le lit de la chambre d'amis, sodomisée dans la salle de bains et prise debout sur le palier du premier étage. Elle suça son frère dans sa chambre de jeune fille qui n'avait jamais été jusqu'ici le théâtre de leurs étreintes. Elle prit bien garde à avaler la dernière goutte du foutre fraternel pour éviter les tâches dans sa chambre fraîchement lavée. Il lui rendit la politesse en lui léchant la vulve et le clitoris alors qu'elle était assise sur la machine à laver dans la buanderie dont les vibrations contribuèrent presque autant à son orgasme que les caresses de Loïc.

Ils passèrent la nuit du samedi au dimanche dans le lit de Loïc pour ne pas devoir rechanger les draps du lit parental. Ils ne dormirent cependant pas beaucoup, trop occupés à se donner du plaisir en attendant de pouvoir vivre leur amour à l'abri des regards.

Ils se réveillèrent assez tard et ne perdirent pas de temps pour recommencer à faire l'amour. Après un bref brin de toilette, Loïc se coucha sur sa sœur, s'empara de ses seins et se mit à la baiser comme si le sort du monde en dépendait. Ils s'embrassaient en gémissant, fébriles dans leurs étreintes de plus en plus sauvages. Léa avait l'impression que le sexe de son frère n'en finissait plus de s'enfoncer en elle tandis qu'elle accumulait des orgasmes de plus en plus ravageurs. Alors qu'il s'épanchait pour la troisième fois au plus profond de son vagin, elle le supplia « Je n'en peux plus mon amour! Je peux encore te sucer si tu veux mais ne me fais plus jouir sinon les parents verront tout de suite que j'ai été baisée et par tout un régiment encore bien! »

Elle eut tout juste le temps de se maquiller, après une douche salutaire, pour dissimuler les cernes autour de ses yeux quand elle entendit la voiture s'arrêter devant le garage. Loïc ouvrait déjà la porte de rue et embrassait sa mère qui lui avait sauté au cou. Léa courut vers eux et se dit en s'approchant (« heureusement que Lolo a pu se videren moi sinon il serait en train de bander comme un taureau en voyant Maman habillée comme ça! Elle a rajeuni de dix ans ma parole ») . il faut dire que Cécile était resplendissante en short moulant et bustier assorti ; lequel bustier était juste ce qu'il fallait trop petit que pour transformer sa poitrine en bombe prête à exploser au visage du premier mâle venu.

Son père avait l'air tout aussi heureux et détendu que son épouse et il lui fit une accolade d'ours, la soulevant de terre comme lorsqu'elle était petite. Ce n'est que lorsqu'il la reposa à terre qu'elle aperçut la troisième silhouette qui descendait de la voiture. C'était une jeune fille blonde, un peu plus âgée que Loïc et elle et tout à fait ravissante dans le même ensemble short-bustier que sa mère. Cécile faisait déjà les présentations « Anne-Marie , voici Loïc et voilà ma Léa! » . Loïc embrassa gentiment la jeune fille sur la joue non sans reluquer sa poitrine au passage. Léa qui s'était habillée très sagement regretta son excès de modestie en voyant les yeux de son frère s'égarer. Discrètement elle lui pinça les fesses et bomba le torse pour lui rappeler qui avait la poitrine la plus imposante du trio féminin. Puis Anne-Marie l'embrassa sur la joue en disant « Cécile m'a tellement parlé de toi, Léa! »

Tout le monde s'attela au déchargement des bagages y compris le sac d'Anne-Marie. Loïc interrogea son père du regard.

« Anne-Marie va rester quelque temps avec nous pendant qu'elle suit une formation professionnelle. Comme elle ne gardera une fraction de son salaire au cabinet, elle ne pourra plus payer le loyer de sa chambre en ville donc nous lui avons proposé la chambre d'amis »

« Chic » s'écria Léa, « ce sera comme si j'avais une grande sœur à la maison! »

Les deux mâles devinrent très songeurs tout à coup ; le père s'imaginant en train de faire l'amour à sa fille comme il le faisait à Anne-Marie et Loïc se voyait déjà baisant Anne-Marie et Léa dans le même lit. Pour masquer leur trouble et surtout une soudaine érection, sans se concerter, ils empoignèrent les bagages et les montèrent à l'étage.

Restées seules entre femmes, racontèrent à Léa la piscine et les excursions en omettant bien entendu les moments intimes sauf pour l'épisode du bal pour lequel Cécile expliqua fièrement à sa fille qu'elle et Anne-Marie « faisaient bander » tous les hommes du village.

« Avec votre façon de vous habiller, cela ne m'étonne pas! » commenta Léa moqueuse

« Quoi! Si tu n'aimes pas mon bustier, je peux l'enlever » dit Cécile en joignant le geste à la parole et en tirant les bonnets vers le haut pour dévoiler ses seins presqu'aussi bronzés que le reste de son corps.

« Maman! Mais tu es devenue une vraie dévergondée pendant ces vacances. Tu as une très belle poitrine mais cache la avant que ton fils redescende!» (« Si tu savais » ajouta-t'elle in petto ...)

« Désolée ma chérie mais nous avions souvent la piscine pour nous seuls et nous sommes devenus un peu naturistes » Elle se reprit. « il est un peu tard pour de déjeuner et un peu tôt pour le dîner mais j'ai faim . Si on se préparait un buffet? Pour une fois on a pris du Champagne au lieu de cidre »

Une heure plus tard, ils étaient tous attablés et devisaient gaiment. Cécile avait offert un chemisier particulièrement sexy à sa fille qui avait insisté pour le mettre séance tenante au grand dam de son frère qui bavait jusque par terre . (« Cela t'apprendra à reluquer les seins d'Anne-Marie » se moqua-t'elle intérieurement en voyant sa mine renfrognée)

« En fait, la rentrée va être un événement pour tout le monde sauf moi » dit Jean en profitant d'une accalmie dans la conversation

« Comment cela? » demanda sa femme

« Tu reprends un temps plein ma chérie, les jumeaux vont s'installer à Lille pour étudier à l'unif et Anne-Marie reprend ses études et vivra avec nous. Il n'y a que pour moi que cela va rester le même train-train quotidien »

« Mon amour, je suis persuadée que l'avenir nous réserve à tous de belles surprises »

« Eh bien , levons nos coupe à cette prédiction »

Fin du premier tome

Si la suite des aventures de Léa et de sa famille vous intéresse, merci de me faire signe. Après avoir abordé ou effleuré des thèmes comme l'inceste, le sexe anal, les jouets, le sexe en groupe et intergénérationnel, les épouses affectueuses, les lesbiennes etc .., j'ai quelques idées pour introduire dans un second tome le sexe interracial ou non consensuel et revenir sur le BDSM ou la Première Fois.

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Lazarus

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5 Commentaires
LazarusHarshawLazarusHarshawil y a environ 9 ansAuteur
Merci Objuse

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Bien à vous

Lazarus

objuseobjuseil y a environ 9 ans
Merci Mr Lazarus

Merci Monsieur Lazarus pour ces merveilleux moments de lecture.

Puis-je me permettre de vous encourager à poursuivre votre écriture si plaisante ... et excitante ...

A la lecture "Les jumeaux Croisés" , je me suis souvent identifiée à Léa, ainsi qu'à Soise, j'aime leur ouverture d'esprit, leur appétit ... (bien que physiquement , je suis plus ressemblante à Soise).

Je me réjouis de lire un tome 2.

Perso, je ne suis pas une adepte du thème de l'inceste, mais j'avoue que ça ajoute un certain piquant à l'histoire. (Lolo tu veux être mon frère , dis ?)

J'aime bien aussi le thème de la soumission amoureuse d'Anne-Marie, je lui souhaite tout le bonheur du monde :)

En cette période d'obscurantisme religieux, Monsieur Lazarus , vous savez nous offrir de l'Amour, merci !

Bises à vous.

LazarusHarshawLazarusHarshawil y a plus de 9 ansAuteur
Merci pour vos encouragements !

J'ai commencé le tome 2; je devrais pouvoir publier les premiers chapitres la semaine prochaine. J'ai également une idée pour une histoire parallèle (avec comme thèmes Contrôle Mental & Romance) qui devrait également démarrer sous peu

Bien à vous

Lazarus

AnonymousAnonymeil y a plus de 9 ans
merci

merci de ce premier tome , superbe d'érotisme , l'élégance de l'écriture embellit une syntaxe ciselée

j'attends avec impatience et délectation un tomme deux de la même veine

AnonymousAnonymeil y a plus de 9 ans
Une suite est souhaitée

Merci pour cette excellente saga. Votre proposition pour des rapports interraciaux et non consensuels seraient très bien reçus. A suivre donc pour le Tome 2

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