Les Jumeaux D'amour Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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« J'ai l'impression que ta Gabi vient d'être somptueusement baisée mon Lolo! Ca ne te fait rien? »

« Oh que si, j'ai une folle envie de te faire l'amour comme une bête! »

« Qu'est-ce que tu attends alors? » dit-elle en se levant pour coller son pubis à son visage, « je pourrais difficilement mouiller plus que je ne le fais maintenant! »

Le nez enfoncé dans la jupe de sa sœur, Loïc n'eut aucun mal à détecter la familière odeur de son désir. Il passa ses mains sous sa jupe et abaissa son slip. Elle l'enjamba et il s'en saisit pour le humer, détectant au passage la large trace d'humidité dans l'entrejambe.

« Quel odeur préfères-tu? » le taquina t'elle?

« Ne joue pas à sa soeurette! J'adore ton odeur ET j'adore l'odeur de Gabi! »

Sa main gauche repartit sous la jupe et se lova autour de la conque de sa sœur.

« Je veux te faire l'amour ET je ferai l'amour à Gabi dès qu'elle voudra de nouveau de moi »

Ses doigts caressaient la face interne des grandes lèvres parfaitement humectées puis son majeur s'enfonça dans la vulve et elle poussa un petit cri de plaisir et écarta les jambes pour accentuer la pénétration. Son frère en profita pour relever sa jupe et passer sa tête en-dessous. Il plaqua sa main droite sur ses fesses et l'attira vers lui. Sa langue trouva le clitoris plus par instinct que dans la pénombre créée par la jupe mais elle ne manqua pas sa cible et Léa se cambra pour mieux offrir son petit bouton à la caresse.

Entre le doigt fureteur qui s'acharnait sur son point G et la langue gourmande, elle ne tarda pas à gémir à son tour en écho à leurs voisins qui avaient remis le couvert. Mais au moment où Loïc pensait lui asséner le coup de grâce, elle s'arracha à son étreinte en criant

« Non! je veux jouir sur ta bite! Ta grosse bite! Prends-moi! VIITE! »

Elle le repoussa en arrière sur le lit et s'acharna sur son pantalon . Elle l'arracha plus qu'elle ne l'enleva et se précipita la verge qui surgissait du boxer. Sans même ôter le sous-vêtement, elle dégagea le membre turgescent et se jeta sur le corps allongé de son frère. Elle releva sa jupe et posa sa vulve sur l'obélisque de chair. Sans aucune hésitation, elle se laissa tomber jusqu'à ce qu'elle heurte le mâle pubis, engloutissant la verge géante sans aucun effort. Arrivée en bout de course, elle se redressa, s'empala une nouvelle fois ... et jouit. Sans crier gare, sans proférer le moindre son, elle se cassa en deux sur son frère, ses ongles plantés dans ses côtes, le bassin agité de secousses qui écrasaient son clitoris enfiévré sur l'entrejambe du garçon.

Loïc fut pris au dépourvu par l'orgasme de sa sœur ; il était encore loin d'être prêt à jouir lui-même mais ses gonades, elles, étaient bien réveillées et exigeaient de l'action.

Il fit basculer Léa sur le dos sans la lâcher et se retrouva sur elle. Se soutenant d'un bras, il ouvrit son chemisier de l'autre main. Il rabattit ensuite les bonnets du soutien-gorge de sa sœur et se pencha pour sucer alternativement les tétons. Les yeux fermés et cernés de la jeune fille se rouvrirent et elle eut un sourire carnassier

« Tu es en forme mon gros loup. Tu penses à Gabi pour bander aussi dur? »

« Humpf! oh que non,.. han .. ;je sais bien que ... han ... je fais l'amour.. à ma sœur .. humpf .. aux gros nibard .. han .. Tu ne m'auras... pas Léa aah ..! »

« Tu veux dire .. ooh ... mes gros nibards ... massacrés ... par mon .. ooh ...black lover .. géant ... aaah ... . »

Il augmenta l'amplitude de des coups de reins, la faisant vibrer des pieds à la tête mais elle continuait de le provoquer

« Tu aurais dû ... aaaahh ... le voir me couvrir ... ooh son corps d'ébène... Loïc ... son gigantesque corps ... aaah ... Il m'a défoncée ... et ... aah .... m'a fait ... jouir... ooh ... prisonnière ... captive .. aah ... ouverte ... couverte! »

Il la martelait maintenant sans répit tandis qu'elle délirait , la tête ballotée de gauche à droite par la puissance de ses coups de boutoir.

« Et .. HAN.. Qui a la plus .. HAN ... grosse bite .. HAN ... ton colosse .. HAN .. d'ébène .. HAN...ou moi .. HAN ..? »

Elle craqua enfin

« TOI MON LOLO! AAAAH! TOI.. TOI.. TOI!!! AAAH! BITE D'ANE, PERFORE.. AAAH! MOI! »

« JOUIS MA LIONNE! .. HAAANNN ... JOUIS SUR LA BITE D'... AAHHNNN... DE TON FRERE .. HAANNN! »

« OUII LOOÏÏÏC! ... JE VIENS ...... je viens ... Pour toi .... mon ... Lolo ... mon ... »

Loïc s'immobilisa, la laissant savourer les reliefs de son orgasme. Il ne pouvait cependant pas empêcher sa verge de convulser et de faire défaillir Léa à chaque nouvelle vague.

Elle finit par émerger de son état extatique et attira son frère pour l'embrasser passionnément

« Mon pauvre Lolo, je te fais bouillir et je ne te donne même pas l'occasion de jouir. Soulage-toi en moi mon amour ou est-ce que tu préfères me prendre par derrière? »

« J'ai une autre idée » lui répondit-il « Tu te souviens de la fois où j'ai marqué mon territoire? »

« Oh oui, mais cette fois-ci , branle-toi entre mes seins! »

Elle se démena pour détacher son soutien déjà durement malmené et libéra ses magnifiques mamelles pour les offrir à la convoitise de son frère.

Loïc se jucha sur sa sœur, rabattit sa verge et l'emprisonna entre ses seins . Il commença à les triturer de gauche à droite et de bas en haut tout en donnant des petits coups de hanche pour accentuer ses sensations. La vision de sa verge disparaissant entre les deux globes de chair surmontés des larges mamelons aux tétons ardents lui mettait le bas-ventre en feu .

Il revit en pensée les deux orgasmes de Léa et il sentit soudainement sa verge s'embraser. Il sauta sur ses pieds, dominant Léa de toute sa taille et dirigea sa verge vers le corps de sa sœur, gardant tout juste assez de lucidité pour changer son champ de tir à chaque giclée. La première atterrit sur le nez et bouche de Léa, la seconde sur son chemisier et la troisième sur ses seins. Sous l'intensité du plaisir, il perdit l'équilibre, fit un pas en arrière, tomba à genoux entre ses cuisses béantes et déchargea son trop plein sur sa jupe chiffonnée autour de ses hanches, larguant ses dernières gouttes sur son sexe découvert.

Il était toujours en train de reprendre ses esprits lorsqu'on frappa à la porte

« Léa, Loïc? Je dois partir! Je vous téléphonera dès que je connaîtrai mon horaire précis! »

Léa sauta sur ses pieds et se précipita pour ouvrir la porte

Toussaint siffla d'admiration à la vue du spectacle : le chemisier ouvert de la jeune fille na cachait rien de sa poitrine maculée de sperme et sa jupe avait été tellement chiffonnée qu'elle était restée roulée autour de sa taille, ne cachant en rien sa chatte toute autant couverte de semence masculine que ses seins ... ou ses vêtements d'ailleurs.

« Embrasse-moi mon bel amant mais fais attention, le vilain Loïc m'a couverte de sperme! »

Cela ne sembla pas lui répugner car lorsqu'il l'embrassa, il en profita pour s'emparer du sein le plus maculé pour masser le sperme fraternel dans la chair. Pas plus qu'il ne voulut détecter le fluide sur sa langue qu'il poursuivit dans sa bouche.

« Tu es toujours aussi splendide mon amour » lui dit-il après s'être arraché d'elle à regret. « J'espère qu'on pourra se revoir très vite! »

Il fit un clin d'œil à Loïc toujours agenouillé sur le lit, le sexe dardé hors de son boxer

« Et bravo à toi grand chef! »

Il sortit en vitesse probablement pour ne plus être tenté par a magnifique démone qu'il laissait derrière lui.

La porte était à peine refermée derrière le grand Malien que le mobile de Léa se mit à sonner. C'était un numéro de fixe qu'elle ne connaissait pas mais elle décrocha quand même. Seuls ses intimes connaissaient son numéro d'appel.

« Ah c'est toi Tara! Comment vas-tu ma belle? ...Tu restes encore à Amiens aujourd'hui et cette nuit aussi!... oui , je répète voix haute pour Lolo ... Donc tu t'es bien amusée . Tant mieux .... Le train de 06h38 . OK, c'est noté. Je t'embrasse très fort ... partout ... partout... tu me connais! ... Je t'aime plus fort , hi hi! Bisous Tara! »

Elle s'apprêtait à retourner dans sa chambre lorsque Gabrielle sortit de la salle d'eau. Elle avait récupéré son short et son maillot de basket.

« Léa, tu n'as pas envie de venir courir avec moi? J'ai rarement l'occasion de courir avec quelqu'un à part Toussaint mais il est trop lourd pour pouvoir me suivre très longtemps ... »

« Laisse-moi dix minutes et j'arrive. Pendant ce temps, essaye de convaincre Loïc mais il a le même problème que ton frère : bon pour le sprint mais il ne tient pas la distance »

« Je ne tiens pas la distance?!» s'exclama Loïc qui venait de les rejoindre et n'avait entendu que la fin de la conversation.

« Pas au lit mon chéri, pas au lit , en jogging! »

« La dernière fois, tu n'as pas réussi à me décramponner! »

« Oui mais j'étais handicapée de l'entrecuisse par ta faute! Accompagne-nous aujourd'hui et on verra bien si tu parviens à suivre!»

Non sans appréhension, le garçon releva le défi des deux filles et alla se mettre en tenue. Objectif le Stade des Ormes via la Citadelle et retour soit à peu près les 15 km auxquels Gabi s'astreignait -- et cinq de plus que ce dont il avait l'habitude ...

Il tint le rythme sans problème jusqu'à la Citadelle où il fut lâché dans la petite côte mais Léa ne tint pas beaucoup plus longtemps et Gabi prit une avance d'environ 100 mètres . Dans la descente, il parvint à recoller sur Léa et à garder son train mais sa sœur ne parvenait pas à combler son retard sur la jeune Malienne. A mi-parcours, Gabi avait plus de 500 mètres d'avance et ne faiblissait pas ; il la perdirent bientôt de vue malgré tous leurs efforts.

En vue du stade, Léa accéléra et lâcha à nouveau le pauvre Loïc qui maudissait sa trop robuste constitution qui l'handicapait dans sa course derrière une gazelle et une lionne. Lorsqu'il atteignit la piste, Léa avait déjà fait la moitié d'un tour ... en compagnie de Gabi qui semblait enfiler les tours avec la régularité d'un métronome. Faisant fi de son orgueil de mâle, il décida de se laisser rattraper et le trio reprit au petit trot la route de l'appartement.

En arrivant, il eut presque du mal à gravir les escaliers et s'écroula complètement vidé sur le canapé du coin TV tandis que les filles hilares décrétaient l'occupation conjointe de la salle de bains. Même la pensée de ses deux femmes préférées nues ne réussit pas à le remettre d'aplomb et il regarda d'un œil éteint une chaîne de télé-achat jusqu'à ce que ces demoiselles libèrent les lieux. Léa avait fait un effort particulier au niveau de sa toilette, de son maquillage et de son choix vêtements qui s'était porté sur un tailleur assez chic sans être ostentatoire. Elle s'était aussi débrouillée pour trouver dans sa garde-robe une panoplie particulièrement seyante sur Gabi qui avait aussi bénéficié de l'attirail de maquillage de la maîtresse de maison.

« Dépêche-toi beau mâle, les dames ont faim! » lui cria Léa à travers la porte.

La douche le revigora quelque peu et, pour une fois, il se parfuma et prit soin de sa propre tenue vestimentaire. Lorsqu'il ressortit de sa chambre et rejoignit les deux filles, Gabi le dévisagea avec une sorte de ...concupiscence qui lui fit oublier sa fatigue. Léa fut plus directe

« Gabi, tu as de la chance, c'est la première fois que je vois le gros loup aussi bien habillé depuis des lustres! Je me demande à quoi ou plutôt à qui on doit cette débauche d'efforts, hi hi! »

Léa avait déjà convaincu Gabi des mérites du 'Peek-a-Boo' , ce qui convenait aussi -- pour une fois -- à Loïc ; ne fut-ce que pour les cocktails et les hots-dogs. Il prit soin de ne pas manger trop lourd, ne voulant pas perdre son après-midi à faire la sieste alors que Gabi serait dans l'appartement.

Mal lui en prit car Léa et Gabi passèrent l'après-midi à se raconter leur jeunesse et à se faire des confidences en l'ignorant presque totalement .. sauf lorsqu'il y avait moyen de dire du mal des mâles ... et ce ne furent pas les occasions qui manquèrent. Elles ne se décidèrent à rentrer que lorsque Toussaint téléphona pour annoncer son retour vers 20 heures. Il leur restait donc à peine trois heures et il parvint à convaincre ses cavalières de retourner à l'appartement.

Il ne fut pas déçu par le retour au domicile.

Gabi tint absolument à se changer dans le living room et son effeuillage eut des effets dévastateurs sur les jumeaux. Après avoir tombé la veste , elle enleva le chemisier bariolé de Léa sous lequel elle ne portait évidemment pas de soutien-gorge. Ses seins d'onyx sautèrent aux yeux du couple. Etait-ce le frottement du tissu ou une autre source d'excitation mais ses mamelons avait la chair de poule et ses tétons étaient tout hérissés. Loïc voulait déjà partir à l'abordage mais Léa l'arrêta de la main.

La coquine avait ben préparé son coup car lorsque Gabrielle fit glisser sa jupe sur ses longues jambes café au lait, elle dévoila ... le slip de Cécile. Il lui allait beaucoup mieux qu'à Léa mais, de toute façon, le seul fait de voir son slip fétiche en contact avec l'intimité de sa princesse noire rendit Loïc presqu'amok. Il fit tomber son pantalon sur ses chevilles, arracha son boxer et s'installa sur une chaise pour se branler plus facilement en attendant la suite du spectacle.

Léa s'approcha de Gabi, les bras ballants et la belle métisse se mit à la déshabiller à son tour. D'abord la veste du tailleur , puis le chemisier qu'elle rangea sur une des chaises. Léa n'avait plus maintenant que son soutien-gorge qu'elle ignora pour se concentrer sur la jupe qui rejoignit bientôt la veste et le chemisier. Alors seulement, Gabi s'attaqua au soutien qu'elle défit pour pouvoir glisser ses mains sous les bonnets mais sans l'enlever, masquant la poitrine aux yeux d'un Loïc surexcité par la vue des doigts noirs courant sur la chair blanche.

Moins d'une minute plus tard, les deux jeunes femmes s'embrassaient à pleine bouche et Léa se décida enfin à reprendre l'initiative, glissant sa main sous le slip maternel pour caresser la vulve de leur amie. Le garçon n'en pouvait plus. Il ne pouvait qu'imaginer les ballets de tous ces doigts sur ces corps qu'il adorait mais tous les détails lui étaient masqués par les deux cruelles.

Gabi finit par faire tomber le soutien de Léa et son frère put enfin admirer le travail des doigts noirs sur la chair rose des mamelons et des tétons de sa jumelle mais rapidement, Gabi abandonna la poitrine pour se concentrer elle-aussi sur l'entrejambe de sa partenaire. Les deux filles haletaient à qui mieux mieux et avaient abandonné leur baiser pour mieux profiter de leurs caresses réciproques!

Léa jouit la première, étouffant ses gémissements en mordant délicatement l'épaule de Gabi mais elle n'abandonna pas pour autant l'assaut sur le clitoris de la belle Malienne qui la rejoignit dans l'extase. Loïc explosa peu après, propulsant des jets de sperme sur les corps de ses amantes.

Les jambes coupées, les filles se laissèrent tomber sur le canapé

« Il faudra qu'on recommence ça mais un peu plus à l'aise » commenta Léa

« Et avec Toussaint » ajouta Gabi. « Il n'y a pas de raison que seul Loïc se retrouve frustré à mort! Hi hi »

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