les vacances érotiques de Solange

BÊTA PUBLIQUE

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Ce furent les dernières paroles que j'entendis, elle raccrocha sans dire un mot de plus.

J'étais abasourdie. Je savais cependant que c'était là ma seule et unique chance, j'avais déjà franchi plusieurs obstacles. Madame la Directrice avait visiblement reçu ma lettre et celle-ci avait retenu son attention car elle m'avait contactée. Les photographies de mes seins et de ma chatte l'avaient émoustillée car deux mois plus tard elle m'avait recontactée. Je pensais également avoir surmonté la difficulté du deuxième entretien téléphonique car Madame la Directrice s'était réjouie des claquements de mon escarpin solide sur mon cul, en effet elle m'avait récompensée par la suite. Enfin elle m'avait communiqué, certes rapidement et brutalement, ses instructions pour la première épreuve d'évaluation. Je devais impérativement dormir afin de reprendre quelques forces pour m'attaquer dès le lendemain matin à la première épreuve d'évaluation et tenter de la réussir brillamment. Cette nuit fût cependant fort agitée. Moi qui dors habituellement sur le dos, je ne trouvais pas de position confortable avec mon postérieur endolori suite aux cinquante coups d'escarpin que je m'étais moi-même administrée sous les ordres de Madame la Directrice pour mon manque de respect envers elle. Je finis cependant par essayer de dormir allongée sur le ventre. Mes pensées revenaient sans cesse en boucle : Quel instrument de punition vais-je acheter demain, où vais-je le trouver? Quel objet de plaisir vais-je acheter demain, où vais-je le trouver? Je dormis en fait très peu et très mal mais pendant l'une de mes périodes de veille je trouvai la force de positionner mon radio-réveil sur la position alarme ce que je n'aurais jamais fait une fin de semaine normale, mon réveil naturel le week-end étant pour moi sacré.

Après un petit déjeuner réparateur, je devais prendre ma première décision : Quel était mon instrument de punition préféré? En faite ce serait celui que j'oserais acheter et dont l'utilisation ne serait pas trop douloureuse. J'éliminai rapidement la cravache, j'avais contre cet instrument un à priori défavorable, ce matériel destiné normalement à l'équitation devait avoir selon moi un prix élevé et je n'aurais jamais le courage de l'utiliser sur mon propre corps. La matraque fût elle aussi éliminée, je ne voyais vraiment pas où en acheter une et me voyais encore moins l'utiliser. Quant au fouet, je n'osais même pas imaginer où je pourrais en trouver un, ne parlons donc pas de son utilisation. Il ne restait que le martinet. On devait pouvoir en trouver selon moi dans une animalerie ou dans le rayon dédié à la nourriture et au matériel pour animaux de compagnie dans un hypermarché. Ma décision était prise j'irais acheter un martinet dans mon hypermarché habituel ou si je n'en trouvais pas dans une animalerie. Par la même occasion je ferais l'acquisition d'un scanner et d'une webcam. La deuxième décision était beaucoup plus délicate : Quel était mon instrument de plaisir préféré? Je devais tout d'abord trouver le courage d'une part de pénétrer dans un sex-shop chose que je n'avais jamais faite de ma vie et d'autre part d'oser prendre en main l'instrument en question. Ma décision était prise, mes cheveux étant brun, pour ne pas être reconnue, moi qui ne porte que très rarement une robe je mettrais donc une robe, des lunettes de soleil très couvrantes et une perruque blonde. Je cherchai et trouvai dans mes affaires une robe rouge qui me convenait, les lunettes de soleil et la perruque. Pour immortaliser ce moment excitant, je pris quelques photographies de mon déguisement. Il fallait maintenant choisir l'instrument de plaisir. J'éliminai en premier le bras de fisting, je n'oserais jamais toucher cet objet dans le sex-shop et encore moins l'utiliser. Je rejetai ensuite les boules de geisha puis le vibromasseur, je ne me sentais pas le courage de les acheter dans un sex-shop. Il ne restait plus qu'un godemiché. Ma décision était prise j'oserais entrer, certes déguisée, dans un sex-shop et je me procurerais un godemiché. Avant de partir je notai dans mon agenda l'adresse précise de deux animaleries et de trois sex-shops. Je décidai d'acheter le matériel informatique et le martinet en matinée puis de me déguiser et de visiter pour la première fois de ma vie un sex-shop dans l'après-midi. Je prendrais l'après-midi pour transporter mes achats et mon déguisement, un sac de sport que je pourrais porter à l'épaule. Pour l'achat dans le sex-shop je prendrais du liquide ne souhaitant pas laisser un chèque avec mon adresse dans ce commerce ou une trace de cet achat sur mes relevés de carte bancaire.

Dans mon hypermarché habituel, l'achat des provisions et des consommables nécessaires pour la semaine ne me pris que peu de temps. L'achat du scanner et de la webcam ne me pris que quelques minutes supplémentaires. L'achat d'un martinet était déjà une autre paire de manche. Il me fallut dans un premier temps trois passages dans le rayon dédié aux animaux de compagnie l'air de rien mais scrutant attentivement les accessoires pour animaux avant de pouvoir observer un court instant l'objet de ma recherche mais sans ralentir et en poursuivant mon chemin. Je savais maintenant où étaient accrochés les martinets. Je devais prendre sur moi pour attraper un martinet et le déposer dans mon chariot. J'avais fait une erreur, dans mon hypermarché habituel je pouvais à tout moment rencontrer une connaissance. Il aurait été plus prudent d'aller dans un hypermarché d'une autre commune que je ne fréquente jamais. J'avais une peur bleue de rencontrer une amie ou une voisine qui pourrait dire à haute voix : « J'ignorais que tu avais un jeune animal à dresser Solange, tu nous fais des cachotteries. » Dès que le martinet fut dans mon chariot je me dirigeai rapidement vers une caisse pour sortir au plus vite de l'hypermarché. Dans la file d'attente en caisse j'avais des bouffées de chaleur. J'avais maintenant peur qu'un inconnu sans gêne me dise : « Si vous en avez envie Madame, je peux vous montrer comment l'on utilise un martinet sur une femme en chaleur, ou tout autre chose du même mauvais goût. » Je ne fus tranquille qu'une fois sortie de l'hypermarché et le martinet disposé au fond de la malle de mon véhicule avec le matériel informatique et les achats de la semaine.

Dans le feu de l'action de la première épreuve

De retour à mon domicile je me préparai un repas à la hâte et le pris tout aussi rapidement pour commencer à me familiariser avec l'utilisation du scanner et de la webcam. L'utilisation du scanner était très intuitive, je parvins sans difficulté à scanner les deux faces de ma carte d'identité. Je nommai les fichiers correspondants : CNIsoumiseNatacha-1 et CNIsoumiseNatacha-2. L'installation de la webcam fut un peu plus longue mais je m'en sortis sans grosse difficulté. Mes premiers essais de tournage de petits films sur des objets inanimés m'apprirent immédiatement que la tâche était délicate. Il fallait trouver, la bonne distance entre l'objet à filmer et la webcam pour réaliser un cadrage correct, la bonne hauteur et la bonne inclinaison pour placer la webcam par rapport au sujet à filmer. Ces premiers essais de tournage réalisés, il était déjà temps de me diriger vers un sex-shop.

Je garai mon véhicule dans un endroit relativement tranquille et dans la zone proche des trois sex-shops dont l'adresse figurait dans mon agenda. Prenant mon courage à deux mains, je mis à l'intérieur du véhicule, ma robe rouge, ma perruque blonde et mes lunettes de soleil très couvrantes. La partie la plus excitante de mes achats débutait. Quant j'arrivai au premier sex-shop, j'étais extrêmement angoissée. Il était situé dans une ruelle particulièrement sombre où même en plein jour on ne se sent pas rassurée. Je ne fis même pas une tentative pour y pénétrer, ce lieu incarnait à lui tout seul le mot sordide. La vitrine était totalement occultée par un rideau noir et délavé par le peu de soleil qui éclairait le lieu. Je n'osais imaginer l'intérieur de cette boutique douteuse. Ma décision était prise, je me dirigeai immédiatement vers le deuxième sex-shop. Le deuxième sex-shop était dans une rue passante, il avait une véritable vitrine, certes avec bien peu de choses, mais pas un rideau délavé comme le premier. Il était plus engageant, je réunis tout le courage dont je disposais et pénétrai dans la boutique. La patronne avait un très mauvais genre, elle discutait avec trois individus douteux des derniers films qu'elle avait reçus. La conversation volait très bas. On pouvait trouver dans les présentoirs un nombre très important de films sur DVD et je vis au fond de la boutique deux cabines réservées à priori à leur visionnement. Dans mon dos étaient disposés quelques articles du genre sextoy mais je n'osais même pas quitter les films des yeux et me retourner. Voyant mes hésitations dans le choix d'un film la patronne vint me dire : « Nous avons trente cinq genres différents ma petite dame, que recherchez-vous? »

Je répondis : « Rien de bien précis madame. »

L'un des individus douteux ajouta : « Elle recherche des sensations fortes. »

Un autre poursuivit : « Elle a peut-être besoin qu'on lui mette la main où je pense. »

Ils éclatèrent alors de rire tous les trois, contents de leur exploit. J'étais rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. La patronne poursuivit : « Vous n'êtes pas une cliente habituelle madame, puis-je vous conseiller? Les trois lascars au comptoir sont forts en paroles mais ce sont de bons bougres, ils ne feraient pas de mal à une mouche. »

Je répondis très gênée : « Non merci, je suis trop indécise, je reviendrai une autre fois. » Je quittai alors cette affreuse boutique me promettant de ne jamais y remettre les pieds. Il ne me restait plus qu'une seule cartouche, le troisième sex-shop. J'avais envie de pleurer tellement je me sentais humiliée par les trois lascars. Je savais que cette fois je devais absolument acheter un godemiché, sinon fini le bel espoir d'un séjour très excitant.

Le troisième sex-shop était situé dans une allée couverte entre deux immeubles donnant sur une rue passante, c'était la seule boutique de l'allée. Le simple fait de s'engager dans l'allée couverte impliquait déjà que l'on se rendait au sex-shop. Je fis trois fois le tour du pâté de maisons avant de réunir le courage suffisant de m'engager dans cette allée couverte. Engagée dans l'allée couverte j'arrivai devant la boutique en question. Elle n'avait pas de vitrine, la façade était en béton nu, le seul orifice dans le béton étant une porte vitrée recouverte sur sa face intérieure à l'aide du drap noir. Au moins le drap dans cette allée couverte n'était pas délavé par le soleil et il semblait propre. Angoissée, je réunis toutes les forces qui me restaient et franchis la porte vitrée. La patronne semblait fort sympathique, c'était une petite blonde un peu rondelette, ronde de visage et très accueillante.

Elle me dît simplement : « Prenez tout votre temps, je dispose d'un large choix de DVD, de quelques cassettes vidéo et de différents accessoires, je suis convaincue que vous trouverez votre bonheur. »

Je commençai par explorer le rayon des DVD. Au moins l'endroit était calme et j'étais seule. Soudain pendant que je faisais mine de m'intéresser à un DVD en manipulant une boîte, un homme entra dans le sex-shop. Il dit bonjour en entrant puis demanda courtoisement à la patronne si elle avait des nouveautés depuis la semaine dernière. Elle vint suivie du client près du rayon des DVD et lui montra les sept nouveautés reçues cette semaine. L'homme choisit rapidement une boîte et la donna à la patronne. En fait comme je le compris à ce moment les boîtes étaient vides. Seul un numéro figurait à l'intérieur et à l'aide de ce numéro, la patronne pouvait très rapidement trouver sous son comptoir dans une série de tiroirs le DVD recherché. Elle le remit au client qui gagna une cabine de visionnement située au fond du magasin. De nouveau seule dans la boutique je pris mon courage à deux mains et me dirigeai vers le rayon des sextoy situé à l'entrée de la boutique à côté des livres et revues. Je vis immédiatement plusieurs articles intéressants. Un godemiché de taille 'humaine normale' fort réaliste de couleur chair ainsi qu'une main de femme de taille 'humaine normale' de couleur noire dont les cinq doigts se regroupaient au niveau de leur dernière phalange attirèrent toute mon attention. Je me lançai et demandai à la patronne : « Mon ami est parti pour six mois travailler à l'étranger et pour son anniversaire je souhaite lui envoyer par internet un petit film de moi utilisant un sextoy, je suis totalement débutante en la matière et son anniversaire arrive ce soir, que me conseillez-vous madame? »

Elle me répondit très gentiment : « Vous avez une charmante idée pour l'anniversaire de votre ami, je suis convaincue qu'il va apprécier votre film, je vous conseille pour débuter un godemiché de taille réaliste comme celui-ci. »

Elle me montra le godemiché sur lequel j'avais flashé. Je saisis la balle au bon et dis immédiatement : « Je vais suivre votre conseil, je le prends. »

Elle le décrocha du rayonnage et le mis dans un sac discret après avoir rejoint son comptoir. Je payai mon sextoy et me préparais à quitter le sex-shop fière de mon courage. Quand elle me rendit la monnaie et me tendit le sac contenant le godemiché, elle ajouta : « Quand vous aurez pris de l'assurance je vous conseille la main de fisting que vous pouvez voir derrière vous, c'est une main pour débutante. Plus tard quand vous serez une habituée, je pourrai vous commander un bras avec le poing fermé de fisting et si vous devenez comme moi une experte, je pourrai vous procurer une jambe avec un pied de fisting, depuis que j'utilise ce pied et cette jambe, j'en suis folle. »

Visiblement la patronne quoique fort gentille n'avait pas sa langue dans sa poche, j'étais certaine qu'elle n'avait pas cru un traître mot de l'histoire de mon ami. Elle semblait douée en psychologie et capable de donner des conseils éclairés par sa propre expérience. Je pris le sac qu'elle me tendait sans rien répondre, puis quittai la boutique en lui disant : « Au revoir madame et merci pour vos conseils. »

Une fois à l'extérieur du sex-shop, dans l'allée couverte je faillis m'évanouir. Tout ce que je venais de vivre et d'entendre m'avait coupé les jambes. Je dus me trainer au bord du malaise jusqu'à mon véhicule.

Dans mon véhicule il me fallut cinq bonnes minutes pour reprendre mes esprits et cinq autres bonnes minutes pour remettre mon déguisement dans mon sac. Une fois de retour à mon domicile je me préparai un repas solide pour avoir les forces d'affronter mon épreuve et la réussir brillamment avant les fatidiques 22 h 00. Il était déjà 19 h 00, je devais rédiger ma lettre de motivation d'une seule traite, je n'aurais pas de si tôt une deuxième chance. Je saisis immédiatement sur mon ordinateur la lettre suivante :

Soumise Natacha le 22 mars 2009

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ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX

Chambre n° YYY

Madame la Directrice,

J'ai profité de ma seule et unique permission de sortie pendant le séjour de six mois que j'effectue à l'établissement de dressage XXX. J'ai rédigé cette lettre avec franchise et concision pour vous présenter mes attentes sans vous faire perdre inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement dans un établissement de dressage à la demande de mon amant pour un séjour de six mois afin que l'on m'apprenne les bonnes manières. En effet une de ses relations lui a rapporté des faits de racolage actif me concernant. Je ne peux nier car il m'a surprise en flagrant délit. Je suis donc dans cet établissement chaque nuit en semaine le lundi, mardi, mercredi et jeudi soir de 21 h 00 à 5 h 00 et le weekend du samedi 12 h 00 au lundi matin 5 h 00. Une soumise m'a indiqué que les conditions de séjour dans l'établissement de dressage que vous dirigez Madame la Directrice sont très difficiles et que le règlement y est très strict. Elle m'a dit également que tout manquement au règlement de cet établissement de dressage est puni d'un châtiment corporel et d'une humiliation. Cependant je sais aussi que vous êtes juste Madame la Directrice et que vous ne punissez pas sans raison. Or le directeur de l'établissement dressage où je séjourne actuellement abuse de son autorité. Chaque samedi soir il désigne au hasard deux soumises. Les soumises désignées au hasard ont la tête recouverte d'une cagoule et sont conduites par des gardiens au deuxième sous-sol de l'établissement de dressage dans une pièce insonorisée. Dans cette pièce elles sont tabassées et violées toute la nuit par les gardiens en question. Le but de ce traitement est de rendre les soumises travailleuses et obéissantes. Le lendemain matin l'épouse du directeur choisi l'une des deux soumises qui sont devenues travailleuses et obéissantes malgré elles. Elle se sert de cette soumise pendant une journée entière comme esclave, elle lui fait faire tous ses travaux domestiques en la battant. Elle se sert aussi de ses trois orifices naturels dans les pires conditions que vous puissiez imaginer. J'ai déjà été désignée trois fois pour passer la nuit du samedi soir au deuxième sous-sol et choisie deux fois par l'épouse du directeur pour la servir comme esclave. Pour échapper à cet enfer, je souhaite être transférée le plus rapidement possible dans l'établissement de dressage que vous dirigez Madame la Directrice. Pour vous prouver ma motivation, je joins à cette lettre deux petits films réalisés ce jour de mon unique permission à votre attention. Je vous promets si vous acceptez mon transfert dans votre établissement une obéissance totale.

Dans l'attente d'une réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Directrice, mes salutations les plus respectueuses.

Soumise Natacha

Pour le premier film devant traiter de l'utilisation de mon instrument de punition préféré, au cas particulier de l'utilisation d'un martinet, je devais choisir rapidement un scénario. Mon scénario en tête je le mis immédiatement en application. Je préparai l'accessoire suivant, un support en carton sur lequel je pouvais fixer une feuille de papier destinée à être filmée par la webcam. Sur une feuille de papier j'écrivis de ma plus belle écriture le titre et l'introduction du premier film :

CORRECTION DE LA SOUMISE NATACHA

La soumise Natacha n'a pas respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de l'établissement de dressage. Madame la Directrice lui a ordonné de s'administrer une bonne correction devant une webcam. Si la correction n'est pas suffisamment sévère, la soumise Natacha sera envoyée dans une chambre sans le moindre confort.

Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se punir sévèrement afin d'éviter de croupir dans une chambre sans le moindre confort. Je me déshabillai complètement, puis je mis en place ma queue de cheval. J'enfilai en toute hâte un porte-jarretelles noir, des bas noirs à résille et les escarpins que j'avais utilisés hier au soir sous les ordres de Madame la Directrice. Je mis un soutien-gorge noir dans lequel je fis tenir entre mes deux seins le martinet acheté le matin même. Après les essais effectués entre l'achat du martinet et celui plus mouvementé du godemiché, je savais que la webcam était positionnée pour filmer tout ce qui se passerait sur le buffet de ma cuisine. Je mis en place le carton où figurait le titre du film et son introduction sur mon buffet de cuisine. Puis hors du champ de la webcam je débutai le tournage d'une pression sur le bouton de la souris. Après quelques secondes je retirai le carton et m'allongeai sur le buffet de cuisine, les jambes écartées et le sexe face à la webcam. Je retirai le martinet de son écrin entre mes seins et commençai sans plus attendre à me fouetter vigoureusement le ventre avec les lanières. Madame la Directrice aurait ainsi une vue sur mon pubis, ma chatte poilue et mon cul. Quand mon ventre fut bien rouge je retirai mon soutien-gorge et continuai par une volée de coups sur chacun de mes seins puis sur la poitrine dans son ensemble. Sous la douleur je devais serrer les dents. Je me mis ensuite à quatre pattes sur le buffet les genoux écartés au maximum, le cul orienté vers la webcam mais sans tomber du buffet. Je me fouettai alors longuement les fesses puis l'arrière des cuisses. J'enlevai alors langoureusement mes talons aiguilles puis mes bas couchée sur le buffet, les jambes en l'air. Je me remis à quatre pattes sur le buffet et m'administrai alors une sérieuse correction sur la plante des pieds, d'abord avec les lanières du martinet puis pour finir avec le manche en bois. J'exposai pour finir en gros plan devant la webcam le résultat de ma correction : traces sur mon ventre, mon sein gauche, mon sein droit, mes fesses, l'arrière de mes cuisses et sur mes pieds douloureusement fouettés puis battus avec le manche du martinet. Enfin sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du premier film d'un nouveau clic sur la souris.