les vacances érotiques de Solange

BÊTA PUBLIQUE

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Tout en reprenant mon souffle et mes esprits je préparai la feuille ou figurerait le nom et la présentation du second film :

RECOMPENSE DE LA SOUMISE NATACHA

La soumise Natacha a respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de l'établissement de dressage. Madame la Directrice lui a permis dans son infinie bonté de se donner du plaisir devant une webcam. Si la séance plaisir n'est pas suffisamment érotique, la soumise Natacha sera privée de douche pendant une semaine entière.

Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se donner du plaisir de manière très érotique pour éviter de puer comme une chienne pendant une semaine. Je me lubrifiai copieusement le vagin et l'anus avec du gel. Je lubrifiai également copieusement le godemiché acheté au cours de l'après midi. Je posai le godemiché au milieu du buffet de cuisine et posai devant le godemiché le carton portant le titre du deuxième film. Je retirai aussi les escarpins, pour ce deuxième film je ne porterais que le soutien-gorge, le porte-jarretelles et les bas à résille noirs. Hors du champ de la webcam je débutai le tournage du second film. Après quelques secondes je retirai le carton et allongée sur le buffet, je m'empalai la chatte immédiatement à l'aide du godemiché tout en écartant les cuisses au maximum face à la webcam. J'étais allongée sur le buffet et j'agitais le godemiché dans ma chatte tout en me caressant les seins et les tétons à travers mon soutien gorge. Puis je m'enfonçai le cul légèrement sur le godemiché tout en écartant les cuisses face à la webcam. Dans cette position particulièrement indécente, Madame la Directrice pourrait de nouveau contempler ma toison pubienne bien fournie. Puis je me mis à quatre pattes sur le buffet, le cul tourné vers la webcam et me défonçai alors copieusement la chatte puis ensuite le cul avec le godemiché. Je retirai ensuite le godemiché et terminai ce second film par une gros plan de ma chatte et de mon cul tous deux biens ouverts et affamés. Sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du second film.

Je visionnai les deux films après m'être douchée, mise en robe de chambre et avoir rangé mon petit matériel de punition et de plaisir. La qualité des deux films n'était pas extraordinaire mais les deux scénarios me plaisaient et on pouvait y voir ma bonne volonté. Je nommai ces deux films : PUNITIONsoumiseNatacha-1 et RECOMPENSEsoumiseNatacha-1. Je me rendis compte en visionnant les films une deuxième fois que sur le deuxième film Madame la Directrice pourrait contempler de nouveaux les horribles marques, visibles à travers mes bas à résille, que le manche du martinet avait laissées sur mes pieds douloureusement battus. J'envoyai ensuite ma lettre de motivation, les quatre fichiers en pièces jointes ainsi que les photographies à l'adresse mail de la société EUROLOISIRS. Tous ces événements m'avaient épuisée, je dormis profondément cette nuit ainsi qu'une bonne partie du lendemain. Ma tension et mon angoisse étaient enfin retombées, je serais au calme et détendue jusqu'au moment de ma deuxième épreuve, du moins c'est ce que je pensais pendant la fin de ce week-end.

Petit coup d'accélérateur

Le dimanche se passa dans le plus grand calme. Je fis un peu de ménage, commençai la lecture d'un roman et me reposai. Je profitais sans le savoir de mon dernier ''dimanche libre''. Ma journée de travail du lundi se passa pour le mieux. J'avais la tête à mon travail et j'espérais de temps à autre recevoir prochainement un mail de la part de Madame la Directrice. Contrairement aux premiers appels téléphoniques de Madame la Directrice qui mirent une semaine puis deux longs mois avant de se réaliser, son premier mail m'attendait déjà dès le lundi 24 mars 2009 au soir à mon retour du travail. En fait je vis en l'ouvrant qu'il avait été envoyé dès le lundi matin à 9 h 04. Le contenu du mail était court et brutal : « Soumise Natacha envoie moi ton numéro de portable avant ce soir 22 h 00 et laisse le en permanence en marche. Je dois pouvoir te contacter 24 h 00 sur 24. » L'ordre de Madame la Directrice était clair et sans appel. Je lui transmis donc sans attendre le mail suivant :

Soumise Natacha

WWWWW le 24 mars 2009

ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX

Chambre n° YYY

portable : zz zz zz zz zz

Madame la Directrice,

Vous pouvez Madame la Directrice me contacter à toute heure, je ferai tout mon possible pour satisfaire le moindre de vos désirs.

Dans l'attente de vos instructions, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Directrice, mes salutations les plus respectueuses.

Soumise Natacha

Moins d'une heure après l'envoi du mail à 20 h 27 mon téléphone portable sonnait. A peine avais-je décroché que Madame la Directrice me demanda sans plus attendre : « As-tu une robe ras la chatte que tu puisses enlever rapidement et des talons aiguilles soumise Natacha? »

Ma réponse fut : « Oui j'ai une robe noire très courte et des talons aiguilles Madame la Directrice. »

L'ordre fusa alors sur un ton sans appel : « En porte jarretelles, bas résille, talons aiguilles et en robe ras la chatte. Vas te faire photographier dans une rue passante par des inconnus deux fois avec ta robe et deux fois sans ta robe. Je veux les quatre photographies sur mon bureau dans une heure. »

Elle raccrocha immédiatement. J'étais tétanisée mais je n'avais plus le choix, si je voulais participer à ces vacances érotiques, je devais passer par les quatre volontés de Madame la Directrice. Cette garce profitait honteusement de la situation. Je rechargeai sur le champ les accumulateurs de mon appareil photographique numérique. Il faisait déjà nuit, les accumulateurs devaient être chargés pour activer le flash. Pendant cette charge je me déshabillai complètement et mis à la hâte mon porte jarretelles noir mes bas à résille noirs ainsi que ma robe noire et très courte. Après avoir fixé rapidement les chaussures exigées par Madame la Directrice, je pris mon appareil photo et me dirigeai en trottinant avec mes talons aiguilles dont le port n'était pas du tout habituel chez moi vers une rue passante.

Il me fallait d'urgence avoir le courage de demander à un inconnu de bien vouloir me photographier. Je n'avais en tout et pour tout qu'une heure pour transmettre les photographies à Madame la Directrice. Ce n'était pas une mince affaire et le temps jouait contre moi. Je rencontrai assez rapidement un couple qui sortait d'une brasserie, les deux amoureux devaient se diriger vers leur voiture. Je me lançai instinctivement ainsi : « Pourriez-vous m'aider, je veux faire une surprise à mon ami qui est parti travailler plusieurs mois à l'étranger. Je veux lui envoyer des photographies de moi par mail pour qu'il ne m'oublie pas. »

Le couple s'arrêta près de moi. Je confiai le plus naturellement du monde mon appareil numérique à l'homme et lui demandai de faire deux photographies de moi, une où l'on me verrait au dessus des genoux et une autre où l'on me verrait en totalité des pieds à la tête. Tout en parlant je me dirigeai vers une arrière cour située derrière la brasserie. Pour se rendre dans cette arrière cour il fallait passer sous un porche. Dès que nous fûmes sous le porche je demandai à l'homme de prendre les photographies. Il prit les deux photographies de moi assez rapidement sous le porche et me rendit l'appareil. A l'abri sous ce porche je me lançai, je lui demandai alors : « Je voudrais aussi lui envoyer deux photographies, une au dessus des genoux et une des pieds à la tête, mais cette fois sans ma robe.

Ceci dit, sans lui laisser le temps de réfléchir je lui mis mon appareil dans les mains, reculai et posai ma robe à terre. Il allait j'en suis certaine prendre les deux photographies. Soudain la femme se mit à hurler : « Tu ne vois pas que c'est une nymphomane! Elle te drague cette salope. Pose l'appareil de cette morue à terre et partons mon chéri. Et toi la morue ramasse ton appareil et tire-toi avant que je ne te crêpe le chignon. »

Autant vous dire qu'après avoir remis rapidement ma robe noire très courte, je ramassai prestement l'appareil et je m'éloignai au plus vite de cette furie folle de jalousie.

Je décidai alors de demander le service coquin dont j'avais absolument besoin à un homme ou des hommes non accompagnés de telles furies. Me dirigeant vers la prochaine brasserie de cette rue passante, je vis trois jeunes hommes sortir de la brasserie en question. Ils n'avaient pas mauvais genre et la rue était très passante, je décidai de tenter ma chance, de toutes façon je devais faire vite si je voulais satisfaire l'ordre de Madame la Directrice. Je me lançai : « Messieurs, pourriez-vous me rendre un petit service un peu coquin? »

Le moins timide des trois jeunes hommes me répondit : « Quel genre de service coquin madame? »

Je sautai sur l'occasion : « Pour envoyer un mail un peu chaud à mon ami qui travaille en ce moment à l'étranger je veux joindre au mail des photographies coquines de moi dans le quartier pour qu'il ne m'oublie pas. Je voudrais que vous preniez plusieurs photographies de moi sans ma robe avec mon appareil numérique. L'un de vous trois messieurs se sent-il l'âme d'un photographe de charme amateur? »

Un autre des jeunes hommes, pas le moins timide mais certainement le plus vicieux me répondit : « Et que nous donnerez-vous comme récompense coquine pour ce service madame? »

Cueillie à froid j'eus cependant le courage de répliquer : « Celui qui me prendra en photo aura le droit de me caresser les deux seins pendant une minute. »

J'avais fait mouche, ils se disputaient déjà pour savoir lequel d'entre eux allait me photographier, j'étais sur le point de gagner. La dispute n'en finissait plus je devais intervenir au plus vite. Je dis alors : « Messieurs j'ai pris ma décision c'est lui qui va me prendre en photo. »

Et je pointai le doigt vers le moins timide des trois en lui tendant mon appareil de l'autre main. Dès qu'il eut l'appareil en main je repris le contrôle de la situation et leur indiquai : « Suivez mois, nous allons réaliser ces photographies sous un porche pas très loin d'ici. »

Je me dirigeai alors vers le porche en question. Ils me suivirent tous trois en plaisantant. Le jeune homme à qui l'avais confié mon appareil pris quatre photographies de moi, ma robe posée à terre. Je récupérai alors mon appareil et poursuivis : « Jeune homme venez prendre votre récompense vous pouvez me peloter les seins pendant une minute. Et vous deux rincez vous l'œil à deux mètre de moi de part et d'autre pendant qu'il me pelotera. »

Le jeune homme ne se fit pas attendre et pendant qu'il me pelotait vigoureusement ses deux copains se rinçaient joyeusement les yeux en matant ma poitrine gonflée sous les caresses. Je prenais un plaisir fou à ces caresses vigoureuses sur ma poitrine en pleine nuit sous un porche en ville et je confesse avoir attendu bien plus d'une minute avant de poursuivre profitant de cette aubaine et de ces jeunes hommes prêts à rendre service : « Messieurs, ce sera tout pour ce soir, je vous remercie pour ce service coquin. Au fait pourriez-vous me donner un numéro de téléphone portable où je pourrais vous joindre en cas de besoin pour une petite soirée coquine? »

Le troisième larron cette fois se manifesta : « Tenez madame. » Il me tendit un petit morceau de papier avec son numéro de portable et la mention « soirée coquine avec trois copains » ; il ajouta : « En cas de besoin n'hésitez pas à me contacter je me charge de chercher mes deux potes avec ma voiture et on vous rendra le petit service dont vous aurez besoin. »

Je mis alors fin à la conversation : « Encore merci messieurs, la France n'est pas perdue, il y a encore des hommes serviables, en cas de besoin je n'hésiterai pas à vous contacter, à plus tard. »

Je rentrai dans la foulée à mon domicile en tournant deux fois autour du pâté de maisons pour m'assurer que je n'étais pas suivie. Puis j'envoyai sans tarder les quatre photographies exigées par Madame la Directrice. Je parvins à le faire seulement trois minutes avant la fin du temps imparti soit à 21 h 24. Je n'avais pas pris le temps, temps dont je ne disposais pas, de rédiger un mail d'accompagnement et de donner un nom aux quatre photographies. Ces événements du début de soirée m'avaient épuisée. Mais j'avais maintenant un atout dans mon jeu dont Madame la Directrice ignorait l'existence, les trois jeunes hommes, le moins timide, le plus pervers et celui qui avait une voiture. Tout ceci m'avait mise dans un état indescriptible, la mouille coulait de ma chatte sous ma robe. Cette garce de Directrice m'avait procuré un plaisir fou en m'obligeant à aller me faire photographier sans ma robe en pleine nuit par des inconnus. J'étais maintenant absolument décidée à tout faire pour réussir la deuxième épreuve et passer des vacances que je devinais inoubliables sous son emprise.

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