L'invasion Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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— Et si nous allions aussi profiter du spa?

— Excellente idée, répond Ayesha en se levant et en me déposant sur le sol.

— Arno, ta serviette est tombée, me dit Marta, ramasse-là.

Je me baisse et la prends.

— Non, me dit Ayesha, ne la remets pas comme ça. Une serviette c'est fait pour s'essuyer, pas pour en faire un pagne. C'est comme ça que tu les salis et donnes du travail supplémentaire.

Encore une humiliation, j'ai ma serviette et ne sais plus quoi en faire.

— Tu as compris maintenant? Plus de serviette à la taille. Si tu veux rester nu, tu ne portes absolument rien.

— Oui Ayesha, réponds-je à son ton fâché.

— Tu peux nous attendre, dit Sarah, nous nous changeons.

J'attends sur la terrasse.

Je me sens tellement humilié que j'aimerais aller prendre mes affaires et m'habiller, mais c'est impossible, je dois rester nu jusqu'à ce que Sarah décide que je peux ravoir mes affaires.

Les trois femmes reviennent vêtues d'un gros peignoir éponge. Ayesha me prend la main m'emmène dans le hammam. Les deux autres nous suivent. Je me retrouve encore coincé entre Ayesha et Sarah. Marta se place juste en face de moi. La chaleur moite envahit rapidement la petite cabine. Les corps me touchent, elles portent encore de beaux maillots une pièce très sexy. Ayesha me prend dans ses bras, et Sarah fait de même. Marta prend mes jambes. Je n'en peux plus d'excitation. C'est trop fort, tout nu au milieu de ces grands corps de femmes noires. Je leur arrive sous les gros seins, et je me sens encore plus petit quand elles sont trois dans un espace si confiné.

— Tu aimes le hammam? Me demande Ayesha.

— Oui, j'aime beaucoup.

— C'est excellent, nous pourrons en faire beaucoup.

— Tu es toujours le bienvenu, me dit Sarah en embrassant ma joue. C'est vraiment agréable de t'avoir ici, et je suis certaine que ce sera toujours le cas.

— Tu as l'air en meilleure forme aujourd'hui, on dirait que tu as mieux dormi.

— Je veille à cela, raconte Ayesha, et puis, c'est un garçon, il a besoin d'une surveillance constante.

— Alors, comment trouves-tu Ayesha? Me demande Marta.

— Très bien.

— Je savais qu'elle te plairait. Ayesha est une championne.

— Tu la préfères à Nathalie? Me demande Sarah.

— Oh oui, réponds-je trop vite.

— Et bien Nathalie semble vite oubliée, un jour... Ironise Marta.

— J'aime beaucoup Nathalie, me défends-je, mais je crois que je préfère être avec madame Ayesha, je ne sais pas pourquoi. Mais il ne faut pas le dire à Nathalie.

— Mais non, c'est entre nous.

— J'en suis très contente, me dit Ayesha en me serrant plus fort. Tu es un très gentil garçon, et très sexy en plus.

— Et ce qui est agréable c'est qu'il préfère passer ses vacances avec nous, mentionne encore Marta. C'est très plaisant.

— Pourquoi préfères-tu Ayesha? Me demande encore Sarah.

— Je ne sais pas, j'aime beaucoup Ayesha, même après deux jours, j'ai l'impression que c'est le mieux, que j'aurais toujours dû connaître Ayesha au lieu de Nathalie.

— Nathalie t'autorisait à te promener nu?

— Hein? Fais-je interloqué. Oh non, certainement pas.

— Ah? Alors c'est pour cela que tu préfères Ayesha, parce qu'elle t'autorise à te promener tout nu devant elle à la maison.

Je me sens tout rouge de honte et de confusion. Quelle idée.

— Ce n'est pas ça, réponds-je. Je ne sais pas vraiment expliquer. Enfin, j'adore être avec vous, avec des femmes comme vous.

— Tu es donc content que le quartier soit désormais uniquement des femmes comme nous?

— Oui, réponds-je sincère, j'adore vraiment.

— Tu es un sacré veinard, dans ce cas.

— Oui, réponds-je à bout, merci d'avoir rendu cela possible. Cela a changé quand vous m'avez demandé de fixer votre télévision.

— En effet, il y a moins d'une semaine.

Elles se lèvent et nous allons dans le sauna. Ici, c'est plus éprouvant et nous nous taisons. Nous y passons trois fois avec chaque fois un passage dans le bain d'eau glacée. Je me sens tout groggy de sauna et d'excitation.

Les trois femmes vont dans le jacuzzi.

— Arno, me dit Sarah, va dans la cuisine chercher une bouteille de champagne pour nous et un Perrier pour toi.

Je pars tout nu. Je vais dans la cuisine et trouve les bouteilles au frigo et les verres dans une armoire. Je ramène le tout et les sers.

— Arno, me dit Ayesha quand je reviens, quand tu reçois un ordre ou une instruction, tu réponds par « oui Sarah », ou « oui madame », tu ne détales pas comme ça sans rien dire, c'est très grossier.

— Oui Ayesha, réponds-je, je suis désolé.

Je finis de servir les coupes et Marta m'invite à les rejoindre. J'adore me retrouver au milieu de ces trois géantes noires dans le jacuzzi. Sous l'eau, c'est un peu moins intimidant.

— Demain vous venez chez moi? Demande Marta?

— Nous allons à la plage, répond Ayesha, mais après-demain d'accord.

Elles sortent du jacuzzi.

— Arno, me dit Sarah, va ranger les bouteilles et les verres dans la cuisine, et reviens nous attendre ici.

— Oui Sarah, réponds-je rapidement pour ne pas me faire réprimander par Ayesha.

Lorsque je reviens, j'attends seul un long moment. Je n'ose rien faire, et pourtant, je me sentirais plus à l'aise si je pouvais m'habiller. Aujourd'hui, c'est un peu trop, elles sont fâchées sur moi à tout bout de champs et c'est dur à supporter.

Elles reviennent me chercher. Sarah nous invite à dîner et il n'est toujours pas question de me rendre mes affaires. Je dois dîner nu à table, toujours sur un coussin pour être à hauteur.

— Arno, me dit Ayesha, ne laisse pas Sarah faire le service, aide-là.

— C'est vrai, intervient Marta, ce serait mieux qu'il apprenne à servir à table.

— Nous y arriverons, leur certifie Ayesha, je vais l'éduquer. Arno, j'ai laissé tomber ma serviette, ramasse!

Je me précipite à ses pieds et la reprends. Je continue le service et finalement j'ai tellement d'instructions que je ne fais plus que cela tout le long du repas. J'avais déjà mangé plusieurs fois avec elles, mais c'est la première fois qu'elles laissent si souvent tomber une serviette ou autre chose par terre.

Ayesha m'ordonne ensuite de débarrasser et de faire la vaisselle.

Il commence à faire noir, et nous nous retrouvons dans le hall quand tout est terminé et rangé. Sarah nous ouvre la porte et se baisse pour m'embrasser.

— Reviens quand tu veux, me dit Sarah.

Nous nous retrouvons pratiquement dehors.

— Attendez, dis-je, il faut que je récupère mes affaires.

— Est-ce si important? Me demande Ayesha d'un air moqueur.

— S'il vous plait, ne me laissez pas aller comme ça dehors, je voudrais récupérer mes vêtements.

— Vraiment? Arno, tu veux faire perdre notre temps? Tu les récupèreras demain.

Cette fois je panique. Je ne veux pas aller tout nu dehors et je sens vraiment mes larmes me monter aux yeux. Je me rends compte de la situation, je suis complètement à leur merci. Si Nathalie me fait un coup pareil, je peux me défendre, je suis devenu physiquement plus forte qu'elle. Elle a ma taille, j'ai des arguments. Avec ces trois femmes géantes, je ne peux absolument rien faire. Et en plus, je me sens tellement humilié dans ma complète nudité.

— S'il vous plait, laissez-moi m'habiller.

— Soit, me répond finalement Sarah en souriant, viens.

Je pousse un soupir de soulagement. Mon cœur ralentit. Nous retournons à la terrasse et elle ouvre le coffre. Je prends tout de suite mes affaires et je m'habille rapidement.

— Cela fait bizarre de te voir ainsi, me dit Marta quand je reviens auprès d'elles.

— Allons-y, me dit Ayesha, je dois encore te laver avant d'aller au lit.

— C'est toi qui le laves?

— Je préfère, tu sais les garçons ne sont pas toujours très propres.

Toutes ces paroles pour m'humilier davantage. Savent-elles ce qu'elles font? Et je n'ose rien dire. Marta et Ayesha me prennent chacune par la main et nous sortons de la propriété de Sarah.

Nous marchons lentement sur le trottoir de notre rue vers notre maison. Au moment d'arriver chez Marta, nous croisons deux grandes femmes noires.

— Ca alors, Ayesha? Tu es ici?

— Je suis ici depuis quelques jours, je suis devenue la tutrice de Arno.

— Excellente nouvelle, cela faisait si longtemps.

— Et Nathalie? Demande une des femmes, il me semble que c'était une petite Blanche qui gardait ce petit mâle, non?

— Elle a désiré partir pour de longues vacances et a fait appel à moi. Marta m'a recommandée.

— Je comprends, répond la femme en riant.

— Il va falloir que nous passions du temps ensemble, demande son amie, cela faisait si longtemps

— Organisons cela. Demain je passe la journée à la plage avec lui, mais ensuite, pas de problème.

— Venez chez moi après-demain, propose Marta.

— Excellent!

— De toute façon, reprend Ayesha, nous avons l'intention d'organiser une petite fête de quartier, pour faire connaissance, une petite garden-party. Je vous tiendrai au courant.

— Ce sera super, et si tu as besoin d'aide, n'hésite pas.

Les femmes se séparent. La pression est moins forte lorsque je porte des vêtements. Mais me retrouver entre quatre femmes géantes, c'est impressionnant. Je me demande si j'ai fait le bon choix. N'aurais-je pas dû partir avec Nathalie?

Marta m'embrasse tendrement en se courbant presque en deux.

— Bonne journée à la plage, et sois bien sage.

— Oui Marta. Bonne nuit.

Cette extrême tendresse me fait revenir à mes bons sentiments. Oui, j'ai bien fait de rester avec elles. Ayesha me tient toujours la main et nous rentrons chez nous.

— Il est tard, tu vas aller dormir

— Oui Ayesha.

— Va à la buanderie et retire tes vêtements pour les laver. Ensuite tu reviens, je vais te laver.

Lorsque je la retrouve dans la salle de bains, je suis déjà complètement nu. Elle me sourit.

— Tu es tout propre, mais je préfère que ce soit rituel, tous les soirs et tous les matins, il faut te laver. Je te laverai. Si j'oublie tu dois me le rappeler.

— Oui Ayesha.

Elle me soulève comme un fétu de paille et me dépose dans la baignoire, puis me lave avec une éponge, sans oublier un seul petit centimètre. Alors, elle m'essuie et m'emmène dans ma chambre, me couche dans mon lit et m'embrasse sue le bord des lèvres.

— Repose-toi bien, demain c'est la plage.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Oui vraiment très bien.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
J'adore cette histoire

Il me faut la suite.

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