L'invasion Ch. 13

BÊTA PUBLIQUE

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J'obéis, malgré la douleur dans les pieds, malgré la douleur partout en fait. Tout plutôt que le fouet. Les deux géantes me regardent, elles semblent si loin. Je m'efforce de garder un bon rythme, mais je m'aperçois que j'ai oublié de compter. Je n'arrête pas, j'ai de bons muscles à cet endroit, et je peux effectuer de longs exercices.

— C'est bon, me dit tout à coup Sadia. Debout!

Je me replace en position devant elle. Alors, elle place son poignet horizontalement devant moi et me demande de m'y accrocher. Elle me soulève ainsi et place son bras tendu à hauteur de son épaule. Je suis suspendu.

— Tractions, me dit-elle. Au moins vingt.

Ca, je sais que je n'y arriverai pas. Je crois que j'arrive à quinze sans avoir les muscles déjà fatigués. Je commence donc, et j'y trouve une certaine excitation, ainsi nu accroché à un bras de femme recouvert de cuir noir. Je me tire et me laisse descendre lentement. Elle me regarde, prête sans doute à me frapper. Heureusement, de près le fouet est moins douloureux. Je m'essouffle, j'arrive à dix-sept, je tire, je peine, les muscles me brûlent.

— Encore, m'encourage cette fois Sadia.

Je ne sais comment, mais je parviens à faire mes vingt tractions.

— C'est bon. Un peu de repos, me dit Sadia, nous allons commencer les étirements. Ayesha, que veux-tu faire?

— Je le veux très souple, pour mieux le tenir lors de ses fessées. Regarde.

Elle me prend à nouveau par les poignets et me soulève. Je trouve vraiment très humiliant cette manière de me porter, mais ai-je le choix en étant si petit. Nous allons à la terrasse où elle s'assied sur une chaise.

— Il faudrait qu'il puisse se plier en deux, mais il ne peut pas.

Elle me met debout et me courbe vers l'avant, évidemment, je coince à un moment. Elle pousse et je hurle.

— Tais-toi!

Elle me frappe les fesses.

— Tu vois, il faudrait qu'il vienne beaucoup plus bas. Et aussi, je veux placer ses deux pieds derrière sa tête.

Elle me prend sur ses genoux et me plie à nouveau, elle parvient à tirer assez pour placer un pied au niveau de mon oreille, mais pas plus, je pleure à nouveau de douleur, une autre douleur, interne cette fois.

— Arrête, s'il te plait, j'ai mal.

Elle frappe à nouveau mes fesses hyper tendues cette fois, augmentant encore la douleur. Comme je crie encore, elle frappe et frappe encore, sa main est tellement grande qu'elle couvre la totalité de mon cul et va même toucher mes testicules. Je n'en peux plus de douleur, c'est ma pire journée depuis l'arrivée d'Ayesha.

— Je vais y travailler, cela prendra sans doute du temps.

Sadia prend mes chevilles et me soulève à nouveau à l'envers. Elle gifle mon sexe plusieurs fois.

— Arrête de crier ainsi, commande-t-elle. Nous allons commencer tout de suite. Ayesha, je recommande de dresser ce mâle, il ne sait pas se tenir.

— Son dressage commence également. Tu vas l'assouplir, et moi, je vais le faire travailler et le dresser.

J'ai encore plus peur qu'avant. Sadia continue ses coups de main sur mon sexe qui est à nouveau bien dressé. Puis, elle m'emmène plus loin dans le jardin et me laisse tomber.

— Rampe, misérable petit mâle, tu n'es bon qu'à ça.

J'avance avec peine et douleur, et reçois encore des coups de fouet. Je hurle et pleure, rien ne fait. Je bloque dans deux bottes de cuir noir, je regarde tout là-haut pour reconnaitre Marta.

— Je suis déçue, me dit-elle, tu dis que tu veux cette vie avec nous, mais tu ne t'appliques pas.

Je me sens à nouveau soulevé par les chevilles. A l'envers, je suis monté à leur hauteur.

— Premier exercice, me dit Sadia, nous allons tirer sur les membres.

Elle n'a plus son fouet, que je vois accroché à sa ceinture. Marta se penche pour prendre mes poignets, et ainsi me retrouvé-je tendu, écartelé entre les deux femmes.

— Ecarte ses bras à 45 degrés, dit Sadia pendant qu'elle fait la même chose avec mes jambes, et même plus, jusqu'à ce que je crie de douleur dans les tendons de mes cuisses.

A ce moment, elles tirent toutes les deux et mon corps se tend, les tendons de mes bras et de mes jambes se trouvent tirés trop fort, je hurle, c'est une torture.

— S'il vous plait, pleuré-je. Arrêtez, j'ai trop mal.

— Tais-toi, viens me dire Ayesha en se penchant au-dessus de moi, tu dois être parfait pour moi.

Pour marquer le coup, elle gifle encore mon sexe, les douleurs sont différentes et partout. Pendant qu'on m'écartèle, on me frappe le sexe. Je n'en peux plus, je ne pense même plus à la situation humiliante d'exposition, je hurle, sans arrêt.

Et puis, il y a une accalmie. Je suis laissé pantelant tenu par les mains puissantes. Pendant un moment seulement et Ayesha continue de frapper mon sexe.

— Tu vas voir ce qu'est la discipline, me dit-elle. Tu as cru connaitre cela il y a quelques jours, ce n'était rien.

Elle frappe et frappe encore.

— Et tu osais te masturber, commettre un tel crime sous ma surveillance.

— On reprend, dit Sadia.

Elles tirent à nouveau sur mes membres. Je croyais que c'était le maximum, mais j'avais tort, elles tirent encore plus fort. Je hurle, je supplie, je pleure, rien n'y fait, ces femmes cruelles continuent leur torture.

Encore un repos, elles tirent trois minutes, me laissent reposer trois minutes, mais Ayesha continue ses gifles sur mon sexe, elle frappe des deux mains alternativement. Au bout d'une bonne dizaine d'élongations, enfin, je me sens déposé sur le sol. Je me mets en boule et sanglote sans arrêt. Aucune pitié, Sadia me prend et me place assis sur le sol.

— Laisse-toi faire, ordonne-t-elle. Il faut que tu saches faire le grand écart.

Elle place alors mes deux plantes de pied l'une contre l'autre, et appuie sur mes genoux pour les poser le plus près du sol. Encore la douleur fulgurante. Mais c'est comme un autre ligament. Je hurle encore. Je veux reculer, mais on me retient par derrière. Sadia pousse très fort, atteint presque le sol et me maintient ainsi.

Une bonne dizaine de fois. Alors, elle essaie le grand écart frontal puis latéral.

— Il y a encore du travail, il est souple, mais pas au point que tu veux, Ayesha.

— Combien de temps te faut-il?

— Je peux venir tous les jours.

— Merci. Je vais le mettre à la discipline intensive. Ton service en fera partie.

— Oh, si tu veux, je peux passer la journée, et je lui fais faire ses exercices plusieurs fois par jour, ce sera très dur, mais il aura des résultats rapides.

— C'est très gentil, tu as entendu Arno? Remercie Sadia.

— Merci Sadia, parviens-je à balbutier.

On me prend encore par les chevilles pour me porter.

— Dès demain, nous commençons sérieusement, me dit Ayesha. Tu sauras quelle sera ta vie avec nous si tu n'es pas sage et obéissant.

— Pitié, Ayesha, je n'ai rien fait de mal.

— C'est de l'éducation, Arno, je veux que tu saches ce qu'il en est de vivre avec nous.

— Mais j'aime vivre avec vous, je ne veux que ça, mais il ne faut pas me faire mal.

Je continue de pleurer. Quelle gageure! Ainsi tenu par les chevilles, à l'envers par cette femme géante, au milieu de ses amies.

— Va chercher le thé glacé, m'ordonne-t-elle, tu vas nous servir à la terrasse.

— Oui Ayesha.

Elle me dépose sur le sol, et je me dépêche vers la cuisine. Lorsque je reviens avec le plateau, les trois femmes sont assises autour de la table basse. Je les sers.

— Demain, entends-je Sadia, je t'apporte le matériel, cela ira plus vite.

Je ne sais que faire, j'attends le bon vouloir des grandes femmes. Finalement, Marta et Sadia s'en vont, et je reste avec Ayesha.

— Va prendre une douche et au lit, me dit-elle. Demain, tu as beaucoup d'entrainement.

— Pitié, ne me faites pas mal.

— Tu auras ce qu'il faut pour te rendre souple et résistant. Arno, c'est comme ça, sache que rien de mal ne t'arrivera. Tu es protégé, nous ne voulons que ton bien, mais tu dois aussi m'obéir et faire tout ce que je veux, tu m'as assez dit que c'était ce que tu voulais.

— Oui, mais ça fait mal.

— Ce ne sera pas tous les jours facile, petit Arno. Allez, à la douche.

— Puis-je avoir à manger?

Elle prend une assiette et y dépose du pain et du fromage.

— Tiens! Et va manger par terre sur la terrasse!

Malgré ces traitements, je me sens bien, dès qu'Ayesha sourit, tout va bien, et je ne pense plus à mes misères...

Le lendemain, Ayesha vient me détacher, j'ai encore mal partout, mais elle n'en a cure. Une douche et je suis prêt. Dans le jardin, je vois qu'on a monté deux grandes perches d'acier. Sadia m'attend, toujours vêtue de sa combinaison de cuir noir.

— Tu vas commencer par 50 tours de la maison en courant, ordonne-t-elle. Je ne veux pas te voir faiblir, une vitesse constante. Si je ne suis pas satisfaite, tu reçois le fouet. En avant.

Commence alors mon calvaire. Je parviens à effectuer une trentaine de tours avant de recevoir un premier coup de fouet, puis, Marta vient s'installer devant la maison et me frappe de sa cravache à chaque tour. Je n'en peux plus. Au bout du compte, elles me prennent et m'attachent aux perches, je suis écartelé en croix, les bras tirés en l'air et les jambes en bas, j'en suis au moins à un angle de 150 degrés. Je suis tenu par des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Sadia appuie sur le bouton d'un boitier et je me sens écartelé. Tout tire, je hurle de douleur, c'est encore pire qu'hier.

Alors, elle s'éloigne et prend son fouet.

— Il faut de la douleur, me dit-elle, tu dois souffrir, tu souffriras jusqu'à ce que tu sois souple.

Et pendant que l'engin m'écartèle, Sadia me frappe le dos et les fesses avec son fouet.

Ayesha vient voir et parle avec Marta, elle n'a aucune compassion, il me semblait qu'elle m'aimait, mais elle me laisse ainsi être torturé sans frémir. Je souffre atrocement des étirements et des coups, alors elle s'approche encore et vient gifler mon sexe, comme hier. Je suis assez haut cette fois, mon sexe est à hauteur de sa poitrine. Elle frappe et frappe encore, des deux mains. Marta se tient à ses côtés et regarde.

Cela doit durer une heure, alors on me détache.

— Pompages, m'ordonne tout de suite Sadia.

Je pleure, je ne parviens plus à bouger, je me laisse aller à mon sort, à mon désespoir. A aucun moment n'éprouvent-elles de la pitié. Elles continuent leur torture sans arrêt. Quand j'ai fini, Ayesha m'emmène dans le garage et me fait tout sortit dans l'allée pour le nettoyer. Mais je ne finis pas, Sadia vient me chercher pour courir autour du jardin et puis m'attache à nouveau à ses perches, cette fois la tête en bas. C'est encore pire.

Je passe la journée à me faire torturer et à servir, ranger, me faire discipliner. Une heure avec Sadia, deux heures de travail et de service. Je n'en peux plus, j'ai mal partout, ma peau est rouge et pleine de marques et de zébrures. Je saigne, j'ai des bleus, des marques rouges, noires, seul mon visage a été épargné, mon sexe est douloureux des centaines de coups reçus, de même que mes testicules, pendant des heures, j'ai reçu des gifles, des claques, de la cravache et du fouet. Jamais Ayesha n'est-elle gentille avec moi, uniquement une extrême sévérité. Les jours se succèdent ainsi, des heures de sport intensif avec la torture des étirements. Il me semble que c'est deux semaines plus tard, je parviens à faire le grand écart de face et de côté, et Sadia montre fièrement que je peux être en une sorte de boule, elle coince mes jambes derrière ma tête avec mes bras coincés sous entre elles et mon corps. Je ne parviens même pas à me défaire de cette position. Et surtout, Ayesha peut me plier en deux pour me donner une fessée.

Et je suis quand même excité.

Un soir, elle apparait sans sa tenue de cuir noir. Elle porte une jolie robe de coton blanche et elle me prend dans ses bras.

— Voilà, c'est fini, mon chéri, tu as bien tenu le coup.

— Pourquoi as-tu été si méchante avec moi?

— C'est de l'éducation, mon petit Arno, je t'aime, je dois veiller à ce que tu sois parfait, c'est ainsi que tu peux vivre avec nous, comme tu le souhaites.

Je pleurniche et renifle un peu.

— Je vais te laver, et ensuite, je vais te soigner. Tu es dans un sale état.

— C'est toi qui l'as voulu, protesté-je.

— Oui, et cela va t'arriver encore très souvent. Que crois-tu? Que tout sera toujours très simple? Si tu aimes vivre avec nous, c'est comme cela.

Après une douche apaisante, elle me mène sur la table de la terrasse et me masser avec un onguent qui calme instantanément mes douleurs. Je me sens bien, et après ces deux semaines de tourmente permanente, c'est le paradis, j'en suis tellement reconnaissant à Ayesha que je pense qu'elle a eu raison de me faire subir ce traitement. Elle m'embrasse, me laisse parfois le visage sur sa grosse poitrine, et parfois même sur le dessus, sur la peau. Je me sens alors si heureux.

Elle me remet debout.

— Voilà, demain il n'y aura plus aucune marque.

— C'est quoi comme pommade?

— C'est quelque chose de chez nous.

Elle me prend dans ses bras et me porte ainsi chez Marta qui prend un apéritif sur sa terrasse en compagnie de Sarah et de Vania.

— Voilà notre bel Arno, dit Sarah, j'ai entendu que tu t'entrainais. C'est bien. Même si on t'entendait crier jusqu'ici.

— Je suis désolé, réponds-je.

— Ce n'est rien, c'est pour ton entrainement, tu es motivé. Demain matin, viens chez moi, cela fait longtemps que tu n'es plus venu au spa, cela te fera du bien.

— Merci Sarah, réponds-je alors qu'Ayesha me dépose.

— Sers un verre à ta tutrice, me dit Marta, très gentiment.

Aucune d'elles n'est sévère, elles portent des robes simples, pas de cuir. Quand j'ai servi Ayesha, Sarah me prend sur ses genoux et me tient comme un petit enfant, comme s'il fallait me cajoler.

— En tout cas, Arno, bravo, cela fait deux semaines que tu vis tout nu, me dit Marta. Tu ne t'es pas habillé, n'est-ce pas?

— Non, répond Ayesha à ma place. Il était toujours dans la propriété et cela lui est totalement interdit.

— Tu te plais toujours en vacances avec nous?

— Oui, réponds-je sincère. J'adore ces vacances.

— Malgré ces deux semaines?

— C'était un mauvais moment, mais je suppose que c'était nécessaire.

— Bravo, dit Marta, tu commences à bien tout comprendre. Tu veux donc rester vivre avec nous?

— Oui, plus que jamais. Je ne veux plus vous quitter.

— C'est agréable à entendre, répond Sarah.

— Et tu ne t'es plus masturbé? Intervient Vania.

— Non, réponds-je. Non, non.

— Il a été sous surveillance constante, et la nuit, il est attaché. Il ne commettra plus jamais ce crime, dit sévèrement Ayesha.

— C'est un jeune garçon, à son âge, on fait cela tout le temps.

— C'est une très mauvaise habitude, et c'est criminel sur cette île, martèle ma tutrice. Il y aura d'autres solutions. S'il se comporte bien.

Le lendemain après-midi, après une matinée de rêve chez Sarah, Ayesha m'appelle.

— Tu peux aller chez Sonia, tu vas lui dire que tu iras passer la journée avec elle demain.

— Oui Ayesha.

— Je pense que tu as bien mérité la journée, un peu de repos.

— Merci Ayesha.

Je me demande ce que je dois faire. Je vais au garage pour prendre mon vélo. Ayesha arrive avec un polo, un short de coton et des sandales.

— Je suppose que je ne dois pas te rappeler que tu t'habilles dehors?

— Non Ayesha, je le sais.

Je sors avec le tout et m'installe sur le trottoir. Personne. J'enfile vite mes habits. C'est bizarre, après si longtemps, j'étais habitué. Oui, mais pas sur la route.

Je file à vélo jusqu'au port, en croisant parfois des voitures électriques de ces géantes noires. C'est bizarre de me retrouver dehors, seul et libre. Oui, je ne suis même pas libre, je ne peux quitter l'île. Je suis leur prisonnier. Mais j'adore cette île, c'est chez moi, et j'adore Ayesha. Même ces quinze jours ne sont pas si désagréables, j'ai eu de mauvaises pensées. Je les regrette. Je m'arrête dans la forêt et essaie ma nouvelle souplesse. Je peux aller en grand écart, et en étant debout, je peux monter mon pied sur ma tête. Quelle performance de cirque. Tout cela pour qu'Ayesha puisse me plier pour me punir encore mieux. C'est vrai que les coups sont beaucoup plus douloureux. Et leur façon de me tenir d'une main en l'air, comme si je n'étais rien, je ne suis qu'un jouet.

Je reprends mon vélo et pédale jusqu'au port. Il y a plein de femmes géantes noires en uniforme, elles vaquent à leurs occupations, et me regardent à peine. Tous ces uniformes seyants, j'adore. Quand elles sourient et qu'elles ne m'en veulent pas, j'adore voir ces femmes géantes. J'entre dans le commissariat. C'est excitant toutes ces femmes en uniformes de toutes les couleurs.

— Pardon madame, je voudrais voir madame Sonia.

La femme m'emmène à son bureau.

— Ah, je t'espérais plus tôt, me dit la belle Sonia en me voyant entrer.

— Excusez-moi, j'avais du travail, mais madame Ayesha a dit que je pouvais passer la journée de demain avec vous.

— Parfait. Je t'attends avec impatience.

— Moi aussi, osé-je dire.

— Quel genre de travail?

Je rougis. Un peu confus, je regarde mes pieds.

— Et bien, madame Ayesha a voulu que madame Sadia m'entraine, et aussi me fasse des exercices d'assouplissement.

— Je vois, mais tu sais, la prochaine fois évite de crier, tu as dérangé tes voisines.

— Oui, mais cela faisait mal.

— Je ne veux pas savoir les raisons, nous avons eu plusieurs plaintes, et c'était contre toi. C'est toi qui criais. J'ai réussi à calmer les femmes, mais la prochaine fois, j'envoie quelqu'un te faire arrêter. Tu connais ensuite le processus.

— Oui madame. Je ne savais pas, j'avais vraiment trop mal.

— Et bien tu feras attention, Arno, la discipline est une chose très sérieuse, je suis certaine que tu seras encore de très nombreuses fois dans de telles situations. Mais cela ne te donne aucun droit de déranger la quiétude des femmes vivant autour du parc.

Sonia se lève et vient m'embrasser. Je frémis. Dire que demain, je serai tout nu dans ses bras. Je me promets de lui obéir et de ne pas hésiter à me mettre tout nu. J'ai envie de sentir son corps contre le mien.

— Allez, je ne vais pas te mettre en retard, je t'attends demain matin. 9h. Pas plus tard.

— Oui Sonia.

Elle me prend encore dans ses bras et m'embrasse affectueusement. Je retourne chez moi, je suis trop excité. Je ne tiens plus, et je faillis m'arrêter dans les bois pour me masturber. Mais elles ont certainement placé des caméras ou autre chose. Elles le sauront et je connaitrai des journées épouvantables. Et pourtant, cela devient intolérable!

J'arrête le vélo dans l'entrée et regarde autour de moi. Personne, sinon une voiture qui arrive. Rapidement, je me mets nu et entre avec mon vélo. La voiture s'arrête et deux géantes noires en sortent. Elles portent du cuir noir et entrent dans la propriété. Je vais vite dans le garage et range mon vélo. Puis je vais au salon. Ayesha m'arrête dans le hall. Elle aussi porte sa tenue de cuir noir.

— Ah, te voilà, et tout nu. C'est bien.

— Il y a des femmes qui arrivent.

— Je sais, je les ai invitées.

— Mais, Ayesha, je... enfin, je ne peux pas m'habiller et...

— Qu'est-ce que tu croyais, que je n'allais jamais voir d'amies. Et la règle reste la même.

Elle me pousse au salon. Il y a quatre géantes noires vêtues de cuir noir. J'ai un choc. Mais on sonne, pas le temps de m'émouvoir.

— Va ouvrir, me dit Ayesha.

J'hésite.

— Allons, tu veux une fessée? Devant tout le monde?

— Non, pitié, murmuré-je.

Je me précipité à la porte et l'ouvre. Les deux géantes en cuir noir sont là et entrent dans le hall. Ayesha les accueille. On sonne encore et j'ouvre à trois géantes noires en cuir.

— Cette fois nous sommes au complet, dit Ayesha d'un air gai.

Elle me tire au living. Je suis tout nu au milieu de dix géantes noires vêtues entièrement de cuir noir. C'est vraiment impressionnant, et je n'avais jamais vu aucune des invitées.

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