L'invasion Ch. 14

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Elle fait un signe et les femmes arrêtent les coups. Je sens qu'on me libère. Je suis remis debout mais des mains me gardent fermement.

— Mettez-le dans la cage, dit Sonia.

Cette fois, on m'attache d'autres anneaux aux chevilles et aux poignets, on me place dans une cage et on m'y accroche en me gardant couché. C'est inconfortable, je suis couché sur de l'acier. La cage est fermée et montée à quelques mètres. Les femmes en uniforme noir viennent me voir, elles ricanent, un sourire mauvais, comme si elles m'en voulaient. J'ai peur, s'il m'arrive quelque chose ici, je serai vraiment en mauvaise posture.

— Tu passeras tes nuits ici, me dit Sonia. Je sais, ce n'est pas confortable, mais quand on est puni, c'est pour une raison.

Elles me laissent ainsi un bon quart d'heure, dans le noir, seul. Puis elles reviennent et me descendent de la cage. On garde mes anneaux pour me montrer d'autres engins de punition.

— Il n'y a rien de bien méchant, pas d'engins de torture comme tu pourrais le croire. Les punitions sont très sévères.

Elles m'attachent debout en extension, et une femme approche avec une plume.

— Ceci peut te sembler agréable au début, mais tu verras, c'est très dur.

La femme sourit et commence à chatouiller mes testicules avec la plume. Cela m'excite encore plus, une autre vient avec une autre grande plume sur mon sexe. Elles caressent ainsi mes parties. Au début, c'est agréable.

— Tu sens? Cinq minutes, tu tiens le coup, ensuite, tu deviens fou d'excitation, et cela peut durer deux heures. Bien entendu, pendant tout le temps de ta punition, il te sera formellement interdit d'éjaculer, tu verras les effets d'un tel traitement pendant des jours et des jours.

Effectivement, je commence à sentir les effets de cette ultra excitation. Elles continuent. Et puis, c'est fini, une femme prend mon sexe et le tend horizontalement. Il est trop dur gorgé de sang. Une femme arrive avec une mini cravache.

— Juste après, tu auras droit à la cravache.

Elle me frappe le sexe avec la petite cravache. Pas trop fort, c'est tenable, mais au bout de nombreux coups, qui deviennent de plus en plus fort, je hurle de douleur.

— Allons, tout cela n'est rien. C'est bon, détachez-le.

Les femmes arrêtent, comme à regret.

— Tu verras, me souffle une des gardiennes, quand tu viendras ici, ce que je vais te faire subir.

On me passe un masque sur le visage. Je ne vois ni n'entends plus rien, et ma bouche est prise aussi. Je sens qu'on me soulève et qu'on m'attache les pieds tendus en l'air. Les mains au sol, et je reçois des coups de cravache. Je n'entends absolument rien, ni ne vois ce qui se passe, et je ne peux crier. Je ne sens que la douleur, le seul sens qui fonctionne, et même si les coups semblent faibles, c'est la seule information qui arrive au cerveau puisque tout le reste est stoppé. Je hurle mentalement, impossible de faire sortir un son. Je perds la notion du temps, et je me retrouve debout, on retire le masque.

— Ceci est aussi une belle punition, me dit doucement Sonia. Tu n'as aucun sens seul le toucher, et les coups que tu as reçus étaient faibles. Combien de temps es-tu resté ainsi?

— Je ne sais pas, vingt minutes?

— Non, deux minutes. Alors, imagine que tu restes ainsi deux heures pendant lesquelles tu reçois des coups. Cela te paraitra une éternité.

J'ai vraiment peur. Tous ces engins de punition. Une femme vient accrocher une laisse.

— A quatre pattes!

Je suis obligé d'avancer ainsi jusqu'à un coin de la pièce. Il y a une écuelle d'eau et une autre de nourriture impossible à déterminer.

— C'est ici que tu auras ta pitance, me dit Sonia. Si tu es sage, sinon, elle pourra être jetée par terre, tu laperas ce qu'il te faut sur le sol. Le repas se fera tenu en laisse. Tu seras ensuite promené dans la cave. En laisse. Un moment de repos et de relaxation. Ensuite, ta punition reprendra.

Pendant encore des heures, elle me montre tous les engins. J'ai vraiment peur, déjà aujourd'hui, c'était douloureux et humiliant, mais si cela doit être en réalité, je ne tiendrai jamais.

— Combien te temps peut durer une punition? Demandé-je alors qu'on retire toutes les chaines que j'ai sur le corps.

— C'est très variable. Cela peut prendre des mois. Plus si c'est de la récidive. Il n'existe pas d'amnistie, une punition est suivie jusqu'au bout.

— Quels sont les faits qui peuvent me conduire longtemps ici?

— Oh, il y en a beaucoup, par exemple, la masturbation, ou alors très grave, t'enfuir. Enfin, tu ne pourras jamais t'enfuir, mais toute tentative sera très sévèrement punie.

— Je ne veux pas m'enfuir, réponds-je sincère.

— On ne sait jamais. Enfin, tu verras.

Nous remontons dans son bureau.

— Voilà, j'espère que tu as passé une bonne journée.

— Oui Sonia, réponds-je.

— Ne t'en fais pas, je sais que tu es un bon mâle et que tu feras ton possible, mais comme ça tu vois ce qui t'attend.

— Et si je veux partir?

— Tu ne peux pas partir. Tu restes avec nous, tu l'as demandé.

— Oui, mais en voyage par exemple.

— Tu demanderas à ta tutrice. Il te faudra des autorisations de la juge et de la gouverneure. Arno, ta vie change, mais tu verras tu seras très heureux avec nous. Bien, je vois qu'il est déjà tard. Tu peux prendre tes vêtements et t'habiller. N'oublie pas, la prochaine fois que tu viens, tu ne peux plus en porter.

— Oui Sonia.

Elle me prend dans ses bras et m'embrasse sur les lèvres, cela me trouble beaucoup surtout qu'elle m'écrase sur sa poitrine. Je prends mes vêtements laissés sur une chaise, et elle m'accompagne à mon vélo. Sonia et quelques autres femmes en uniforme rient lorsque je tente de mettre mon short. C'est élastique et toutes les formes sont dessinées, je vois mon sexe dressé comprimé dans la matière, comme si c'était une seconde peau. Après avoir mis mes sandales, je mets mon polo tout aussi seyant, qui enfin couvre le sommet de mon sexe non couvert par le short.

— Cela ne sert pas à grand-chose, des vêtements pareils, rigole une femme en uniforme rouge.

Je salue une dernière fois, un peu honteux de mes habits et j'enfourche mon vélo. Rapidement, je m'éloigne du port. Il y a un certain trafic, beaucoup de petites voitures électriques et inaudibles qui vont et viennent au carrefour derrière le commissariat. On me regarde, rien que des femmes géantes, on me regarde comme un extraterrestre. Evidemment, avec une telle tenue!

Je pédale rapidement, parfois une voiture me dépasse en klaxonnant. J'arrive enfin chez moi et descends de mon vélo devant chez Marta, alors, je retire ce que je porte et entre la propriété. Je crois que je fais tout ce qu'il faut, je ne veux pas de punition après ma journée au port, dans la salle de Sonia.

Je range mon vélo dans le garage et rejoins Ayesha sur la terrasse. Tout de suite, je vais lui baiser les pieds.

— C'est très bien, me félicite-t-elle. Tu commences à bien comprendre. Tu as passé une bonne journée?

— Oui Ayesha, excellente.

Je lui narre ma journée en détail, sans omettre le passage dans la prison.

— Tu as été très bien, tu vois, quand tu es nu et que tu respectes les règles, tout va bien.

— Oui Ayesha.

Elle empoigne mon sexe et me tire à elle, pour me coincer entre ses genoux.

— Tu aimais donc bien ta journée?

— Oui, j'ai pu visiter des endroits que je n'avais jamais vus.

— Et le fait d'être nu avec Sonia?

— Oui, j'ai aimé, avoué-je sans m'en rendre vraiment compte. J'aime leurs uniformes, c'est presque aussi bien que ta tenue de cuir noir.

— Effectivement, c'est très sexy pour un garçon comme toi. Je suis contente que tu me l'avoues. C'est très bien, comme cela nous pouvons progresser.

— Progresser dans quoi?

— Dans ton éducation.

— Mais la salle de punition, c'est dur, elle m'a dit que c'était une sorte de présentation, mais en vrai, cela doit être impossible à vivre.

— C'est pour cela que tu dois toujours être sage et obéissant.

— Euh Ayesha, que se passe-t-il dans la grotte? Nous sommes allés, c'était vert et lumineux, et quand je touche la roche, cela devient blanc, uniquement moi.

— Oui, tu es lié à l'île, mon cher Arno, Nathalie ne te l'a jamais dit?

— Non.

— L'île t'appartient. Tout est à ton nom, et les gens qui y vivent y acquièrent un bail emphytéotique. Nous toutes devons payer cela, ou rembourser les précédents locataires.

— Mais je n'ai jamais vu cet argent.

— Il est tenu dans la banque de l'endroit, tu y auras accès dès ta majorité, mais tu dois bien t'imaginer que cela représente beaucoup d'argent. Je ne sais pas combien au juste, Nathalie n'a pas donné ces informations. Et cela comporte de l'argent mais aussi de l'or et d'autre choses de valeur.

— Mais pourquoi vivons-nous ici dans une simple maison alors?

— C'est ce que voulait Nathalie, garder un profil humble. Beaucoup de monde voudrait s'emparer de toi. Car tu es lié à l'île.

— C'est pour cela que vous êtes là?

— Oui, nous voulons le pouvoir de l'île, qui se trouve dans son sous-sol et dont toi seul à l'accès. C'est pour cela que tes parents ont été tués, dès que tu es né, ils devenaient inutiles.

— Alors... tout ce que vous voulez, c'est ce truc de l'île, ce n'est même pas pour moi que tu es là?

Ayesha me prend dans ses bras.

— Mon petit Arno, comme tu te trompes. Je t'aime. Je veux ton bonheur, et tu seras toujours protégé.

— Mais ces traitements alors?

— C'est de la discipline, tu dois obéir à nos lois. Un jour, nous fermerons l'île et nous vivrons entre nous. Nous n'avons pas besoin du pouvoir de l'île, nous devons le garder des autres. Beaucoup le veulent et c'est dangereux.

— Nathalie aussi?

— Elle fait certainement partie d'une faction qui veut le pouvoir. Mais ne t'en fais pas, nous te protégeons. Nous te protégerons toujours. Tu veux toujours vivre avec nous?

— Oui, c'est ce que je désire le plus au monde.

Nathalie serait quelqu'un qui en veut à mes avoirs? Et puis, c'est quoi ces avoirs? Il faut que j'aille à la banque, même si je ne peux rien retirer, je dois pouvoir savoir.

— Regarde, me dit-elle, mes chaussures sont un peu sales, nettoie-les!

Elle me laisse et je vais chercher un tissu à la cuisine.

— Parfait, me dit-elle, j'apprécie que tu t'appliques à me servir. Nous pouvons aller chez Marta maintenant, range le matériel.

Quand je reviens, elle est debout, prête à partir. Elle ouvre la porte et me fait sortir tout nu.

— Ne t'avise pas de dire un mot, m'ordonne-t-elle, tu m'accompagnes tout nu.

— Oui Ayesha, je n'avais pas l'intention de demander des vêtements.

— Pourquoi?

— Parce que je ne dois pas, je dois vivre tout nu sauf si vous voulez que je porte des vêtements.

Elle me prend la main et nous allons sur le trottoir.

— Je te félicite. C'est très bien de réagir ainsi.

Alors que nous allions entrer chez Marta, une voiture silencieuse s'arrête derrière nous. Célia nous appelle.

— Je vois qu'Arno est enfin en tenue adéquate.

— Oui, il fait de son mieux.

— Il ne va plus crier à longueur de journée?

— Non, il était en formation.

— Si cela arrive encore, Sonia et toi ne pourrez plus le protéger, nous irons voir directement la juge.

— Je comprends Célia, et je te remercie. Arno, présente tes excuses à Célia pour l'avoir dérangée.

— Excusez-moi Célia, dis-je en regardant mes pieds.

— Ce n'est pas comme ça que je t'ai appris, dit Ayesha en élevant la voix. A genoux!

Subjugué par son ton et sa taille, je ne peux qu'obéir. Je tombe à genoux devant la voiture.

— Et regarde Célia!

Je lève donc les yeux.

— Célia, je vous prie de bien vouloir excuser mon comportement et le dérangement que je vous ai occasionné.

— C'est bon, répond-elle, mais la prochaine fois, je te fais aller en prison. Tu dois respecter les règles de notre communauté, et crier ainsi est interdit.

— Oui Célia, réponds-je soumis.

— Relève-toi!

Je me mets debout.

— C'est dommage, un beau petit mâle comme toi, et tu te comportes mal. Quand on te voit, on a envie de te prendre dans les bras, et toi, tu joues à l'indiscipliné.

Je n'ose répondre, même en entendant autant d'injustice, c'est mieux de ne rien dire.

— Je vais y aller. Ayesha, tu as beaucoup de patience avec lui, moi je le laisserais à la salle du commissariat pendant quelques années, histoire de lui montrer ce qu'il est.

Elle démarre.

— Ayesha, je crois que Célia est injuste, dis-je alors que nous approchons de la porte de Marta.

— Non, Célia a toujours raison. Ici, les femmes ont toujours raison. Toi, tu es un mâle, si je dis que tu m'as frappée, j'ai d'office raison.

— C'est injuste.

— Non, c'est très juste au contraire, les femmes ont toujours raison. A toi de faire attention, et à toi de ne jamais énerver une femme supérieure.

Marta ouvre la porte. Elle me prend tout de suite dans ses bras.

— Venez. Sarah est arrivée, elle m'a dit, Arno, que tu avais passé la journée tout nu avec Sonia, tu étais nu dans le port, bravo!

Elle me prend dans ses bras.

— Je suis fière de toi.

Marta m'embrasse sur les lèvres. Elle me garde dans ses bras pour aller sur la terrasse où se trouve Sarah.

— Arno est allé dans la grotte, lui annonce Ayesha, Nathalie ne lui a jamais rien dit.

— Cela ne m'étonne pas.

— Peut-être qu'elle me considérait trop jeune, tenté-je.

— Non, Arno, elle aurait pu t'expliquer certaines choses. C'est mieux que tu vives avec nous.

— Oui, je veux Ayesha comme tutrice.

— Tu as raison. Et tu vois, tu as pu aller tout nu au port. Un mâle doit être comme ça, pour montrer sa condition et sa soumission.

— Et si je n'avais pas aimé des femmes comme vous, demandé-je, comment feriez-vous avec moi?

— La question ne se pose pas, cher Arno, dit Sarah, regarde ton sexe, toujours en érection, parce que tu adores les femmes comme nous. Tu ne peux le cacher, et nous adorons un beau petit mâle comme toi.

— Il y a encore sept semaines avant la fin des vacances, me dit Ayesha, sept semaines pour parvenir à vivre comme il faut avec nous.

— Et Nathalie?

— Tu lui signifieras son congé. Nous ferons intervenir la juge si c'est nécessaire, elle a tous les droits sur ce territoire.

— Des droits sur moi aussi?

— Ici, toutes les femmes ont des droits sur toi, mon chéri.

— Même si je suis le propriétaire de tout?

— Cela ne change absolument rien, si tu désobéis, tu es puni, tu peux passer ta vie en prison, tu seras toujours le propriétaire.

Je n'en reviens pas de telles paroles. Marta me laisse aller sur le sol et je vais nager. Dire que c'est dans cette piscine que tout a commencé. Il y a un mois déjà. Je n'ai même plus la date, nous devrions être fin juillet, ou début aout.

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2 Commentaires
Dunn81Dunn81il y a environ 6 ans
-

J'adore mais malheureusement le manque de sexe gache tout pour moi. Elles devrais l'utiliser pour des geste de servitude sexuel ou humiliante. Embrasser les pieds, le cul ect..

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Toujours aussi passionnant et bandant.

Et en plus c'est instructif car je ne connaissais pas le "bail emphytéotique"

Merci j'adore et je rêve de pouvoir vivre comme Arno.

Rudy

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