Lucie fête ses 38 ans

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Une femme mariée est emportée par le désir.
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Cette histoire décrit la relation d'une femme mariée avec son maitre noir et qui entraine sa famille avec elle, Hé oui le mari est cocufié et transformé en soumis pour plaire au maitre. Si vous détestez ce genre d'histoire, de grâce lisez en une autre, Vous éviterez de vous torturer inutilement et de venir cracher votre fiel après.

Lucie fête ses 38 ans

Lucie était assise à son bureau se demandant ce qu'elle pourrait faire de spécial pour la fin de semaine, Marc son marie avait prit l'avion le matin même pour une voyage de pêche d'une semaine. Sa fille Émilie était en voyage au Maroc avec un groupe d'écoliers ce qui signifiait qu'elle serait seule quelques jours. Elle venait d'avoir 38 ans et une remise en question se profilait à l'horizon. Les relations avec Marc étaient de plus en plus espacées, elle l'avait connu à l'école et avait tout de suite aimé son coté gamin, coté qu'il avait encore aujourd'hui. C'est 110lb ne l'avait pas en pêché de la mettre enceinte alors qu'elle n'avait que 21 ans. Il est inutile de vous parler de sa jeunesse qui avait été sacrifiée en élevant un enfant avec un homme immature. Maintenant leur vie de couple était rendu monotone, le sexe décevant et quand elle s'en plaignait, Marc ne réagissait même pas.

Ces derniers temps ses besoins négligés venaient envahir ses nuits. Lucie perdu dans ses pensées fit un saut quand son patron Mr. Wilson lui tapa sur l'épaule et lui indiqua qu'il était l'heure de rentrer chez elle. Le sort en était jeté, elle passerait à la régie prendre deux bonnes bouteilles de vin et se terrerait chez elle pour la fin de semaine. La journée avait été crevante et elle aurait bien aimé sauter dans la piscine mais cette dernière était en panne temporairement.

Elle prit une douche rapide se glissa dans une nuisette pour regarder un film. La chaleur était accablante, mais les fenêtres entre-ouvertes permettaient une brise rafraichissante. Soudain Lucie entendit des murmures venant de l'extérieur. Curieuse, elle s'approcha de la fenêtre et constata que le voisin était en pleine baise avec une jeune fille de l'âge de sa fille. Cet adonis noir, de 6'8'' 275lbs environ semblait pourfendre la petite chatte de cette fille. Le crescendo de ses lamentations semblait témoigner de l'immense orgasme qui la terrassait. Lucie frissonna au grognement du noir, quand il contracta ses fesses et qu'elle vit la poussée finale, Lucie serra les cuisses, sa main pressa son clitoris pendant qu'elle regardait le surplus de sperme couler de la chatte en convulsion.

Lucie l'avait regardé délester ses grosses couilles pendant plus d'une minute et demie, Marc ne mettait qu'une quinzaine de secondes à se vider. Elle se demandait quel sensation sa chatte pourrait éprouver à sentir une tel quantité de sperme chaud lui badigeonner l'intérieur. Elle ne pu retenir un murmure quand elle jouit à cette pensée. Bill se retourna pour connaître l'origine de ce phonème si doux à son oreille. Lucie pu entrevoir l'immense queue noire enduit de sperme et de cyprine, elle tenta bien de s'éloigné de la fenêtre mais elle craignait que son voisin ait eu le temps de l'apercevoir.

Bill tout souriant continua sa besogne ayant retrouvé sa vigueur à la pensée que cette petite blonde qu'était sa voisine ait pu apercevoir l'outil qui lui servait à faire de ces femmes blanches des chiennes soumises. Lucie avait entrevu le serpent, elle n'avait pas sentit de morsure mais les effets se feraient sentir quand même, ce n'était qu'une question de temps, le venin ferait son œuvre pendant la nuit. Effectivement Lucie passa une nuit troublée, au petit matin quand elle se réveilla, elle constata que sa chatte était gonflée et échauffée, une mouille s'en échappait et elle avait souillée sa nuisette, son anus se resserrait sans raison. Elle glissa ses doigts dans sa moule et se soulagea de cette faim qui l'avait envahit au cours de la nuit.

Lucie se leva tardivement et constata que la journée serait encore une fois écrasante, elle maudissait le réparateur de piscine qui ne pouvait venir avant deux semaines car il était en vacance. Lucie enfila un bikini pour être mesure de supporter la chaleur déjà omniprésente. Passant devant le miroir, elle aperçut l'image qu'elle reflétait, elle avait toujours été fière de son corps, ses seins 34b allait bien avec sa petite stature 5'3'', elle avait maintenue son poids à 118lb malgré une grossesse et son cul bien rond invitait régulièrement le regard des hommes et même parfois celui des femmes.

Lucie rougit quand elle sortit dehors et aperçut son voisin. Discrètement Bill la salua et continua l'entretien de sa piscine. Pour lui rien ne pressait son venin coulait maintenant dans les veines de cette innocente femme marié et avant la fin de la journée elle mouillerait du désir d'être sa chienne. Il avait vu le mari quitter avec ses accessoires de pêche, il avait donc tout le temps pour lui offrir son hameçon, le temps était propice pour une bonne pêche. Ah! Comme le plaisir allait être grand quand elle se trémousserait au bout de sa canne.

Lucie ne se doutait aucunement du sort qu'il lui était destiné. Soudain elle entendit un splash, en regardant par dessus la clôture elle constata que son voisin se rafraichissait dans l'eau. Les convenances lui interdisaient de s'inviter mais ce n'était pas l'envie qui manquait. Bill avait remarqué qu'elle portait un bikini et se demandait pourquoi elle n'avait pas encore profité de sa piscine. Quand il voulu aller se chercher une bière dans la maison leurs regards se croisèrent. Bill : « Hé! Blondinette tu ne profites pas de l'eau une pareille chaleur. » Lucie sourit, seul son père l'appelait blondinette puis lui dit : « Non ma piscine est en panne -- dommage mais si la chaleur devient trop intense, sautez la clôture et venez vous foutre à l'eau.»

Le jeu de mot n'échappa pas à Lucie et aussitôt sa chatte se contracta au souvenir de ce qu'elle avait vu la veille. La perche avait été tendu et au bout d'un moment comme prévue elle demanda : « Puis-je profiter de votre largesse? » Elle aurait voulu reformuler la demande voyant le qui propos des mots employés. Bill : « Venez ce sera un plaisir pour les deux.» Bill aimait bien les mots à double sens, il savait bien que le trouble jaillirait dans la tête de cette future salope. Au moment d'entrer dans la cour, elle s'accrocha sur la cloture et déchira son bikini.

Lucie : « Désolé mais ce sera pour un autre jour, je viens de déchirer mon maillot et dois aller me changer -- Vas en mettre un autre et reviens -- je n'en ai pas d'autre -- attends j'ai une solution. »

Lucie regarda son voisin entrer dans la maison, quand il revint il lui remit un petit bikini blanc. Bill : « Je crois qu'il devrait vous aller, en passant je me nomme Bill -- Moi Lucie, où puis-je me changer? -- Allez à l'intérieur vous allez voir la chambre de bain. » Lucie remarqua en entrant une odeur de sexe assez prononcé qui lui monta aux narines, sur un mur une peinture représentant une femme attachée et penchée sur une table, elle avait eut le cul marqué par ce qui semblait avoir été fait par un fouet ou une canne, sur le mur de la chambre, une femme blanche à genoux les bras attachés dans le dos gobait un phallus noir. Bien qu'il fût un peu grand, Lucie enfila le bikini et sortit de la maison troublée par les images qu'elle avait entrevue.

Bill l'invita à sauter dans la piscine le temps qu'il allait chercher des rafraichissements. La chaleur l'incita à obtempérer. Bill revint quelques minutes plus tard et lui tendit un verre juste avant de se glisser à son tour dans l'eau. Lucie n'avait pu s'empêcher de fixer l'énorme bosse qui déformait le maillot de Bill. Évidemment il avait prit son temps pour entrer dans l'eau qu'elle est pu se faire une bonne idée sur l'organe qu'elle avait vu la veille. Quand Bill s'assit sur le bord de la piscine Lucie fût fascinée, le speedo de Bill était pratiquement transparent, sa queue avait prit de l'ampleur et Lucie pouvait voir la grosse veine qui l'irriguait, ça n'avait rien avoir avec ce qu'elle avait connu avec son mari. L'excitation la gagna et bientôt ses mamelons voulaient percer le mini bikini. Le rouge lui monta aux joues quand elle vit qu'il était lui aussi transparent et que Bill avait maintenant ses yeux rivés sur son anatomie.

La boisson faisait son effet, le trouble la gagnait insidieusement. Les yeux fixés sur le mandrin de Bill elle se laissa faire quand il la glissa hors de l'eau et la prit dans ses bras. Bill : « Je vais te mettre un peu de crème, ça ne te fera pas de tort avec ce soleil. -- Non Bill je ne peux pas te laisser faire ça, je suis mariée» Quand il l'étendit sur le matelas soufflé, elle pu sentir la dureté et la chaleur de son organe. Quand elle finalement elle laissa Bill étendre la crème qui à son insu n'avait rien de solaire sur son corps Lucie venait de s'immoler. Entre les mains de Bill bientôt elle ne serait plus qu'un brasier, la crème ayant été créée à cet effet. Le dos ayant été fait Bill glissa lentement ses doigts sur les fesses rebondies. Quand il entendit un murmure de Lucie, avec habileté il glissa progressivement ses doigts sous la mince soierie. Voyant les fesses remonter au devant de ses caresses Bill déplaça un doigt vers le sillon offert. Lucie s'avait bien qu'elle n'aurait pas du laisser les choses aller si loin mais l'abandon avait priorité maintenant.

Bill avait échancré le bikini et à présent la chatte gluante lui était accessible. Graduellement il introduit un doigt puis deux puis un troisième dans son trou visqueux. Bill : « C'est ça salope ouvres toi bien pour ton maître. » Lucie frissonna en attendant le mot maître et sa chatte produit un surplus de cyprine. Il n'y avait plus aucun retour en arrière possible pour cette salope. Bill agrippa Lucie par les cheveux et guida sa bouche sur sa bite. Devant sa réticence Bill retira le bas du bikini et lui administra une bonne claque sur le cul. Lucie lâcha un cri, quand elle sentit le bras de Bill se relever de nouveau elle changea d'attitude et glissa sa bouche sur le gland qui à présent sortait du mince speedo. Bill : « C'est ça chienne prépare ton maître si tu veux être baisée comme tu ne l'as jamais été. »

Redoublant d'ardeur sur la perspective qui s'offrait à elle, Lucie baissa l'étoffe pour se donner un accès complet à la queue et aux couilles. Bill la retourna sur le dos pour être en position de 69 et lui donner la riposte. Lucie n'avait jamais connue ce besoin de débauche qui la faisait vibrer en ce moment. Sa conscience était au repos et ses limites étaient ceux que Bill lui imposait. Marc avait eu tord de la priver de sexe et de la laisser seul. Elle se donnait, se soumettait au sexe animal avec joie. Quand elle fût prête Bill se déplaça entre ses cuisses, laissant sa queue glisser entre ses lèvres pour caresser son clitoris. Lucie basculait son bassin cherchant la pénétration mais Bill attendait qu'elle supplie. Lucie au bout d'un moment se rendit : « S.V.P. pénètre moi, je veux sentir ta grosse queue en moi, défonce moi la chatte. »

Bill changea son angle d'attaque et positionna son gland dans l'ouverture poisseuse, le gland avait franchit le seuil mais son membre était trop gros pour se glisser dans une chatte aussi petite. Bill : « Détends toi salope car tu ne partiras pas d'ici sans m'avoir accueillit au complet. » Bill faisait des petits mouvements et tranquillement le monstre s'introduisait en elle. « Houuuu Hohohohohouuuuuuu » le gland venait de buter sur le col. Bill : « Maintenant tu vas être baisée. »

Bill la labourait sans merci, Lucie : «Nooooooonnnnnnnnnnnnnnnnn Ouuuaille!» Mais tranquillement les lamentations de Lucie changèrent passant du « Ayeeeee au hahahahaha. »

Le corps de Lucie s'éveillait à des sensations inconnus. Lucie : «Ooooooooohhhhhhh Hoooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii Hiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeee huuuuuuummmmmmm ooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiii au fooooooonnnnnnnd Jeeeee viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeennns Oh houuuuu Ooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Eeeeeeeeecoooooooooorrrrrreeee Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa » Lucie n'avait jamais connu une telle extase. « Comment vais-je faire pour me passer de toi maintenant? -- Tu n'auras pas à le faire, à partir de maintenant tu es ma chienne, tu viens quand je t'appelle - oui maître mais mon mari, il n'acceptera pas ça -- on va s'occuper de ton mari le moment venu pour l'instant tu m'obéis alors nettoie toute cette mouille que tu as mis sur ma bite. »

Lucie se laissa glisser et entama une fellation comme elle n'en n'avait jamais fait a son mari, pour la première fois de sa vie elle voulait aller jusqu'au bout et avaler. Bill n'avait pas prévue qu'il en soit autrement. Maintenant qu'il avait reprit sa rigidité, elle caressait ses couilles. Quand Bill posa sa main derrière sa tête, elle comprit que le moment était venu. Elle redoubla d'ardeur et bientôt un flot de sperme lui remplissait la gueule. Elle du avaler le tout pour ne pas s'étouffer. Après une petite pause Lucie dit : « Maître! Je dois rentrer à la maison, Marc va surement m'appeler -- Oui je pense que nous sommes mieux d'aller dormir chez toi. » Lucie n'avait pas pressentie de l'amener dans le lit conjugal mais en même temps sa chatte en redemandait et c'est elle qui menait présentement.

Les amants baisait dans le lit conjugal depuis une demi heure, Bill était enfoncé jusqu'aux couilles dans sa nouvelle chienne quand driiiiiinnnnnnng driiiiiinnnnnng . « Hello! - Ha c'est toi? -- Oui, qui pensais-tu que c'était? -- Désolé, j'étais couché je n'attendais plus ton appel, comment va la pêche? -- Bien mais ça devrait aller mieux demain. » Bill redoubla ses coups de boutoir faisant se lamenter Lucie. « Chérie, que se passe t-il tu n'es pas seul? Mais oui qu'est que tu t'imagines. » Quand Bill lui enfonça un doigt dans le cul, Lucie partit dans un orgasme incroyable. « Hoooooo hooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii - Qui est avec toi, dis moi la vérité qu'est-ce qui se passe? »

Un long silence fournit la réponse à Marc « Répond moi S.V.P. -- Je suis navrée mais oui j'ai quelqu'un avec moi, ça fait des mois que tu ne me touches plus alors quand il a commencé à me séduire, je n'ai pas pu résister -- Qui ça il? -- Notre voisin -- Ce gros porc noir. Ne parle pas comme ça Marc tu es le seul responsable de se qui arrive. -- Passes moi ce trou du cul. » Bill prit le téléphone : « Alors qu'est-ce que je peux faire pour toi minus? -- Décolles de chez moi et laisses ma femme tranquille chien sale. -- Écoutes moi bien mauviette, ta femme à ma queue bien au fond d'elle et sa chatte est remplit de mon sperme parce que maintenant les choses ont changés ici, cette semaine, je vais profiter que tu sois loin pour la faire marquer comme ma propriété et lui faire percer les tétons et le clitoris. » Lucie frissonna aux dernières paroles de son maître. « Quand tu vas revenir je vais te montrer qui commende dans cette maison à présent. -- Passes moi ma femme. » Sans plus attendre Bill raccrocha le téléphone. Il y eu quelques driiiiiinnnnnnng driiiiiinnnnnng mais tous demeurèrent sans réponse.

Marc était hors de lui, l'avion ne viendrait les reprendre que dans 6 jours, autant de jours à imaginer tout un tas de scénarios. Lucie fondait dans les bras de son amant, une telle autorité la faisait craquer. Bill se réjouissait d'avoir une semaine pour la mettre à sa main avant l'arrivé du mari cocu. Lucie elle, entrevoyait une semaine de débauche et de plaisirs. Bill combla toutes ses attentes, si bien que le vendredi pour pouvoir être baisé par son maître elle acceptait qu'il soit le chef dans la maison, le plus difficile avait été d'accepter que Bill prenne en charge sa fille Émilie, sa soumission était totale.

De retour de voyage, Marc entra en trompe dans sa maison bien décidé à reprendre ses droits et mettre Bill à la porte de chez lui. Ce fût un véritable choc quand Bill lui administra une retentissante claque au visage, quand il reprit conscience, il était lié à la table du salon, ses vêtements étaient étalés parterre sa culote dans la gueule. Bill : « Tu vois mauviette, vaut mieux mettre les choses au clair tout de suite, je suis le maître ici et quand j'en aurai finis avec toi tu l'auras compris. » Marc regarda Lucie retirer la ceinture de Bill avant de la lui remettre, l'horreur se lit dans ses yeux.

Lorsque le premier slashhhhhh résonna Marc se tordit sous le coup mais que pouvait-il faire attacher comme il était. Lorsque Lucie vit la ceinture s'abattre de nouveau sur le cul de Marc une étrange chaleur s'empara de sa chatte et réalisa qu'elle mouillait sa culotte soudain un troisième coup retentit slashhhhhh puis un quatrième ses yeux étaient fixés sur le cul de son mari, le voir rougir comme ça sous ses yeux accentua son excitation.

Elle n'avait jamais été troublée à ce point, la punition se continua et Marc commença à supplier. Bill décida de pousser son humiliation un peu plus loin. « Déshabilles toi salope. » Lucie obéit aussitôt. Marc pu voir ses tétons et clitoris percés et la mention sur sa chatte (Chienne à Maître Bill). « Tu vas adoucir ses tourments, enfile lui ta culote. Marc sentit qu'elle lui glissait le long des jambes, quand il sentit sa queue recouverte de l'humidité de la culote, il eut une légère contraction. Lucie exerça une pression sur la queue pour le tourmenter un peu plus. Bill empoigna Lucie par les cheveux et la plaça devant les yeux de son mari. J'aime bien son petit cul, lentement Bill posa son gland sur l'œillet de Lucie, impitoyablement l'intrusion eut lieu et après 5 poussées et quelques lamentations le cul était conquit et le rythme augmenta, la douleur se transforma et Lucie commença à émettre des cris de jouissances « Hoooooooo! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii jeeeeeeeeeeeeee vieeeeeeens ho mon dieu ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii plus fort Maître défonce ta salope ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je viens encore ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Hummmmmmmmmmmmmmm oui oui oui au fond défoncé moi Maître. Ayeeeeeeeee ohhhhhhhhhh Oufffff. »

Marc était en larmes, jamais sa femme ne lui avait autorisé l'accès à cette partie de son corps. Bill lui remplit le cul de sperme puis présenta son membre à Marc qui tourna la tête pour éviter le contact. Bill : « Je vois tu as besoin encore d'un peu d'incitation, pas de problème, tu vas y arriver tôt ou tard. Sois courageux mon petit Marc, une leçon n'est jamais facile, il n'entendit qu'un bruit Swishhhhhhhhhhhhhhhhhhh la douleur s'imprégna dans la chair de ses fesses sur toute la largeur produisant une ligne bleu.

Haaaaaayyyyyyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee. » Son cri ne calma pas la douleur. SWishhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh une douleur similaire à la première obligea Marc à se tordre, shlapppp. « Aaayyyeeeeeee » Shlaaaaapppppp « Noouuunnnnnn » Shlappppppp. Swishhhhhhhhhhhh, swishhhhhhhhhhhhhhhh, « Aayyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeee, outttttttccccccccchhh. Ashhhéééé channnnn peeeee shuuuuu -- Quoi petite chienne? Hennnnnn ééééé ashhhhhhhhéééééééééééé. » Bill lui retira la culotte de la gueule.

Bill : « Tu as de quoi à dire minus? - Assez j'en ai assez! S.V.P. -- Bon tu es prêt à reconnaître que je suis le maître maintenant? -- Oui -- Oui qui! -- Oui maître. - Tu as oublié l'anniversaire de ta femme alors je crois que tu lui dois un présent. Alors salope dis lui ce qui te ferait plaisir. » Lucie s'approcha de Marc, lui caressa le visage, glissa ses doigts dans sa gueule qu'elle ouvrit. D'une main elle guida la queue noire entre les lèvres de Marc. Lucie : « Montre moi ton amour, accepte l'offrande de notre maître, montre lui ta soumission, laisse moi te voir prendre ta première gorgée de son sperme. C'est la première fois qui est la plus difficile mais quand il versera sa sève gluante dans ta bouche, que tu plongeras ta langue de dans pour le goûter, que tu vivras le plaisir de le sentir glisser le long de ta gorge, alors tu connaîtras le bonheur d'être soumis. »

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