Lucie fête ses 38 ans

Marc tournoyait sa langue sur le gland, oui il voulait être à aux cotés de sa femme, malgré ce qu'elle avait fait, il aimait sa femme. Il ne comprenait rien à cette décadence qui régnait sur sa femme mais elle allait lui faire découvrir. Bill s'enfonça dans sa gorge. « Beurk! -- Tu vas t'habituer lopette, suffit d'un peu de pratique. » Bill commença à respirer lourdement. « Prépares toi petit, je vais venir. » Marc sentit le gonflement du pénis sur ses lèvres quand la sève montante éclaboussa son palais et sa langue. Lucie : « N'avale pas avant la permission du maître mon chéri, soit un bon garçon.» Bill laissa son sperme macérer un moment dans la bouche du cocu le temps de se vider au complet. Bill : « Tu as mérité ta ration, tu peux avaler maintenant. »

Marc s'exécuta promptement. Lucie : « Tu vois ce n'était pas si difficile que ça, après quelques fois tu vas aimer. -- Bill : Bon il est temps de lui faire signer le contrat, va le chercher salope. » Lucie revint avec le papier et le déposa sur la table pendant que Bill s'était installé derrière Marc et lui badigeonnait l'anus qui curieusement s'ouvrait facilement pensait Bill. Marc était rouge de honte, il savait bien que Bill avait découvert son petit secret, il avait l'habitude de se pénétrer avec un gros dildo acheté en cachette de sa femme. Aussi quand Bill s'introduit en lui le malaise fût de courte duré. Lucie était étonnée et déçue qu'il n'ait pas crié.

Sous un signe de Bill, Lucie libéra Marc de ses liens. Quand Bill se redressa, Marc qui avait la constitution d'un ado fût suspendu au pénis de Bill les pieds dans le vide. Lucie lui attacha les bras derrière son maître, ainsi Marc était enculé et dans l'impossibilité de se séparer de son tourmenteur. Bill s'approcha de la table pour lui permettre de lire le contrat. Marc n'en croyait ses yeux, par cet acte il concédait ses droits sur sa famille à Bill, il serait formé à être une chienne soumise pour le bien être de tous et veillerait à leur besoin financier.

Marc : « Non pas ma femme, ni ma fille, tu n'auras rien, y aucune raison que je signe ça. Bill se pencha un peu permettant à Marc de reposer sur ses pieds, à présent Bill avait la possibilité de basculer son bassin et mouvoir son membre dans le rectum de Marc. Bill : « Ne te débats pas, il est trop tard, dans 10 minutes tu auras signé que tu le veuilles ou non, l'ADN est une signature incontestable, penses y je vais fourrer ta femme et ta fille avec ton accord. » Lucie remarqua la bosse qui se formait dans la culote de Marc. Bill venait de sentir la prostate et accentua ses allés et venus, Marc succombait au traitement et ses mouvements de hanche étaient perceptibles.

Marc pensait en lui même que sa passion anale le rattrapait et allait être sa perte. Lucie caressa le sexe de Marc, lentement elle retira la culote pour masturber son mari. Bill pourfendait Marc qui émettait des : « Ohhhhhhhhhh ouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii au fond. » Lucie : « Oui mon chéri, je vais t'aider à signer laisses toi aller. » Lucie présenta le document à la queue de Marc le branla vigoureusement. Marc : «Hummmmmmmmmmm hoooooooooo ouiiiiiiiiiiiii Ouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii au fonnnnnnd haaaaaaaaaaaaaaa je signeeeeeeeeeeee Hooooo ouuuuuuuiiiiiiiiiiii je signeeeeeeeeeeeeeee. »

Marc déversa sur le contrat une incroyable quantité de sperme. Bill regarda les caméras dissimulées, elles clignotaient toujours. Tout avait été enregistrée sous différents angles, il n'y aurait plus aucun problème avec Marc, sa formation pouvait commencer.

Driiiiiinnnnnnng driiiiiinnnnnng Bill répondit au téléphone : « Hello! -- Hello! C'est Émilie, qui est à l'appareille?- Un ami de tes parents, j'imagine que tu veux parler à ta mère, je te la passe. -- Bonjour ma chérie comment ça va? -- Bien mais c'est qui l'homme qui a répondu au téléphone, papa n'est pas là? - C'est Bill le voisin et ton père est en pleine activité avec. -- Le gros noir, que fait-il chez nous? - C'est un peu compliqué, je t'expliquerai quand tu seras à la maison -- C'est pour ça que je t'appelle, il y a eu un attentat et l'école a décidé de nous ramener chez nous, j'arrive lundi matin. -- Bon on va trouver un moyen pour aller te chercher, je travail et ton père aussi -- je peux aller la chercher. » Répondit Bill.

Lucie : « Ma chérie, Bill va aller te chercher à l'aéroport. -- Ouin! Y semble que je n'ai pas le choix, bye à lundi, - bise ma chérie. - Tu as entendu Marc, mardi je vais prendre soin de ta fille, c'est merveilleux nous allons former une vrai famille, le père, la mère le petit garçon soumis et sa fille » Le lundi matin Bill cueillit Émilie à l'aéroport pour la conduire à la maison. Bill : « Ha! Oui je voulais te dire, il annonce une journée super chaude et comme votre piscine n'est pas encore réparée tu peux venir profiter de la mienne. » Émilie pensait, tu peux toujours attendre vieux vicieux.

Émilie était en nage et en regardant Bill se mouvoir dans sa piscine, elle flancha. Elle revêtit son bikini et sortit dehors à la vue du voisin. Bill : « Alors tu viens? Oui monsieur, j'arrive. » Émilie ne perdit pas de temps à sauter à l'eau. Bill : « Un instant je reviens dans un instant. » Émilie profitait de son bien être quand elle vit Bill revenir avec des rafraîchissements. Finalement il n'était pas si déplaisant le voisin pensa t'elle. Elle fût troublée en voyant l'énorme bosse qui déformait son maillot. Elle connaissait peu le sexe masculin, quelques notions reçus à l'école, elle avait vu son père nu mais son souvenir était beaucoup plus modeste et comme elle était toujours vierge, elle avait vraiment une expérience limitée.

Bill se réjouissait de la voir enfiler sa boisson rehaussé. Sa queue prenait de la raideur quand elle baissait les yeux vers son membre. Émilie sentait un picotement se répandre entre ses cuisses, le même qui la poussait le soir dans sa chambre à se masturber. Pour se changer les idées elle sortit de l'eau. Bill pu admirer son petit cul quand elle jaillit de l'eau. Elle était étendue au soleil depuis 15 minutes quand Bill intervint. « Je vais te mettre un peu de crème avant que tu sois brulée au deuxième degré. -- Merci, c'est gentil à vous. » Pauvre petite agneau, si elle avait su mais quand Bill posa ses doigts sur son corps, son sort était scellé.

Bill savait jouer avec le corps d'une femelle, glissant ses doigts le long des jambes offertes, la respiration d'Émilie augmenta et Bill savait que la crème et la boisson faisaient leurs offices. Un simple murmure fit comprendre à Bill qu'il y avait matière à progression, il se déplaça de manière à avoir la main d'Émilie entre ses jambes, quand il massait son dos, la petite main effleurait son organe. Émilie sentait bien qu'un membre chaud venait s'appuyer dans sa petite main mais intrigué elle laissait faire. Quand Bill descendit ses mains sur le bas du dos, les murmures devinrent plus importantes. Voyant les cuisses s'entrouvrir Bill frappa le grand coup et glissa sa main dans le sillon fessier.

Émilie avait maintenant les sens exacerbés et machinalement elle releva ses fesses quand un doigt fit pression sur son anus. Bill en maître glissa son autre main sous Émilie, l'incérant dans le bikini. Ayant une bonne emprise sur la jeune chatte, il y incéra deux doigts. Émilie ronronnait, deux doigts lui massaient le point G pendant qu'un autre lui forait le cul. Un désir sauvage parcourait son corps, délicatement elle ferma sa main sur le membre de Bill. Émilie délicatement glissa sa main dans le speedo de Bill pour profiter au maximum de sa première queue. Elle fût emportée par un orgasme incroyable. «Hoooooooooooooooooooooooo ouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii huuuuummmmmmm. » Bill venait de pénétrer sa chatte avec un troisième doigt, « Ohhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii c'est bonnnnnnnnn hoooooo je vais faire pipi -- mais non petite sotte, tu vas jouir laisses toi aller - Ouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oui oui au fonnnnnnnddddddd huuuummmm, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii continuéééééééééééééééé, jeeeee viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeennns Oh Ooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Haaaaaaaaaaaaaa Houuu Eeeeeeeeecoooooooooorrrrrreeee Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa.»

Quand Émilie revint à elle, Bill la tourna sur le coté et lui présenta son membre, elle entrouvrit ses petites lèvres et commença à sucer son pieu noir. Bill lui caressait la tête doucement pour l'encourager. « C'est bien petite, je vais faire de toi une grande fille. » Émilie frissonna devant les paroles de Bill, elle augmenta sa succion. « Oui! Bonne fille je vais venir. » Bill se contracta « Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrr Ouuuuuuuiiiiiiii petite salope je viiiiiiiieeeeeeeeeeeens. » Émilie comme une grande avala jusqu'à la dernière goute.

Émilie était déçu, sa chatte avait envie d'être pénétrée mais Bill avait d'autre plan pour sa petite chatte, le moment viendrait. Bill : « Ne t'en fait pas petite, je veux juste faire un évènement spécial quand je vais prendre ta fleur. -- Émilie se blottit dans ses bras, ho oui un moment que je vais me souvenir toute ma vie. - Oui petite, il viendra plutôt que tu crois -- Merci! »

Lucie était rentrée plutôt à la maison pour remplir les exigences de son maître. Quand elle vit entrer Émilie, elle vit la luxure dans ses yeux. Lucie : « Alors ma chérie comment a été ta journée, - bien mais il a fait très chaud, - j'en doute pas, tu es encore toute en sueur, mais Bill a du t'offrir l'usage de sa piscine. » Rougissante, Émilie répondit à sa mère. « Oui maman, il la fait.» Lucie sourie quand elle remarqua un peu de sperme sur ses lèvres de sa fille.

Après le souper Lucie offrit à Émilie de lui faire couler un bon bain. Émilie était bien contente de l'offre, ce ne serait pas un luxe étant donné l'après midi qu'elle avait vécu. Quand il fût prêt Émilie s'y glissa. Elle trouvait ça curieux que sa mère ait laissé de la mousse à raser et un rasoir sur le bord du bain mais l'odeur qui émanait du bain la grisait et au bout d'un moment, l'excitation montant elle étala une quantité de mousse sur sa chatte. Quand elle eut achevée le travail, sa chatte était glabre comme le jour de sa naissance.

Pendant ce temps Lucie avait mené Marc dans la chambre des maitres, l'avait obligé à se déshabiller et revêtir un petit string rose. Il avait bien tenté de refuser mais quand elle lui dit que c'était une exigence de Bill, il obtempéra. Quand ce fût fait elle l'attacha à une chaise près du lit. Émilie se câlinait dans l'eau, sa chatte était en feu et ses doigts vagabondaient dans les plies de sa vulve, appréciant la douceur de son sexe. Le plaisir montait graduellement quand sa mère cogna à la porte et lui somma de venir ouvrir la porte. Émilie : « Mais maman je suis nu, - aucune importance je t'ai déjà vu avant aujourd'hui, ouvre ma chérie. » Frustrée, elle alla ouvrir la porte. Quel ne fût pas sa surprise quand elle vit sa mère rentrer une robe blanche à la main et de la lingerie. Émilie : « C'est quoi tout ça? - Fais-moi confiance ma chérie, sèches toi que je t'habille. -- Mais pourquoi? Ne me pose pas de questions. » Émilie s'essuya puis glissa ses jambes dans les bas soyeux, installa la jarretière et la culotte, puis le bustier en lycra. Quand elle eut mit les talons hauts, Lucie la revêtit de la robe blanche. Émilie : « Pourquoi tout ça maman? -- C'est mon ensemble de mariage je voulais que tu la mettes pour un événement spécial. » Une larme coula sur la joue de Lucie. « Merci maman. -- Il est temps de me suivre. »

Lucie lui tendit un verre à boire, lorsque finit, elle prit la main de sa fille et l'amena à sa chambre. Quand elle ouvrit la porte Émilie aperçu Bill complètement nu, sa chatte se mouilla immédiatement, elle venait de comprendre. Mais le choc vint quand elle vit son père qui suçait Bill. « Ne t'en fais pas ma chérie, ton père ne fait qu'exercer ses nouvelles fonctions et regarde comme il met de la dévotion à préparer Bill pour toi. Bill : « Approche petite. » Émilie rejoignit Bill et colla son visage tout contre la peau de son amant, son nez aspirait les phéromones émises par ce mâle alpha. Marc vit la petite main blanche de sa fille caresser les gros testicules noirs.

Bill embrassa Émilie, leurs langues voyageaient d'une bouche à l'autre pendant que Bill lui retirait ses vêtements devant son père. Cette débauche excitait au plus au point Amélie. Sa culote était imprégnée de sa mouille. Quand elle fût nu Bill la prit dans ses bras et alla l'à déposer sur le lit près de sa mère déjà nue. Quand Bill posa sa bouche sur la chatte imberbe Amélie commença ses litanies. « Hoooooouuuuuuuuuuiiiiiiiii! Haaaaaaaaaaaaaaa! Grrrrrrrrrrrrrr! Haaaaaaaaaaaa Ouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Hummmmmmmmmmmmmmm oui oui oui là plus foooooorrrrrrrrt » Émile coulait comme une fontaine mais c'était préférable pour accueillir la bite de Bill. « Ooooooooooohhhh Oooooooouuuuuuuiiiiiiiiiiiii je te veux en moi » Bill était installé entre ses cuisses, avec une première poussé, Bill appuya sur l'hymen «Ooouuuuuuchhhhhttt noooooonnnnnnnnn doucement ça fait mal, c'est trop gros ayeeeeee Hooooooouuuuuuuuuuu Haaaaaaa Hoooooooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ça pousse dans mon vagin, c'est trop gros haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. »

Lentement le membre entrait, sa chatte se détendait sous la monté du plaisir, « Hoooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiii ooooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C'est booooooooooonnnnnnnnn Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa » Émilie se tordait sous les pénétrations profondes. « Haaaaaaaaaaaaa hooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

je viiiiiiiiiiiiiiiiieeennnneeeeeeennnns Hoooooooooooooooooooo je viiiiiieeeens encooore. » Bill faisait pression sur son point G. «Hooooooouuuuuuuuuu haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Hooouuuuuuuuuiiiiiiii je viiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeens encoooooooooooore, Hooooooo mon dieu, »

Émilie perdit connaissance sous la jouissance, quand elle revint à elle, les mains de Bill et de sa mère lui prodiguaient des caresses. Lucie : « Maintenant tu appartiens à maître Bill comme ton père et moi. » Émile eut un frisson, elle ferma les yeux et tomba endormit, Lucie détacha son mari qui du aller coucher dans le lit de sa fille. Lucie fût baisée pendant la nuit juste à coté de sa fille. Bill avait complété son emprise, maintenant il ne restait plus qu'à féconder ses deux femelles blanches pour le bien de l'ordre nouveau.