Mascarade : 4 Cadeaux Mystérieux

BÊTA PUBLIQUE

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Je reste sagement au garde-à-vous, menotté. Tu enlèves sensuellement tes longs gants noirs. Puis tu te remplies ta coupe à nouveau en me dévisageant sournoisement.

Tu portes la coupe à mes lèvres. J'essaie d'en boire, mais plusieurs gouttes coulent sur mon torse.

Tu liches une goutte près de mon mamelon. Tu glisses ton doigt sur mon torse pour ramasser les autres gouttes.

- Tu n'es même pas capable de boire sans faire un dégât. Tu es un salaud en plus d'être un pervers!

Tu fais une moue faussement contrariée. Tu portes ton doigt à quelques centimètres de ma bouche. J'ouvre la bouche.

- Commence seulement avec ta langue!

Je tire la langue et liche l'extrémité de ton doigt recouvert de vin. Tu trempes ton index dans la coupe et tu recommences le même manège plusieurs fois.

Tu augmentes la difficulté : ton autre main tire la laisse vers l'arrière tandis que je sors la langue au maximum. Je sens la pression du collier contre mon cou.

Mon souffle est coupé, mais j'essaye encore plus fort. J'y suis presque, il me manque seulement un centimètre!

Quand je pense réussir, tu retires ton doigt juste assez pour être hors de ma portée.

Tu relâche la pression sur la chaîne et je reprends mon souffle.

- Je suis convaincue que tu peux faire mieux!

Tu ouvres le coffret avec la troisième clé. À ma surprise, tu en ressors un gode-ceinture en cuir noir. Il est orné d'un gros godemiché rouge à la taille impressionnante.

Tu m'as déjà pris plusieurs fois avec un gode, mais jamais avec un engin aussi imposant. Je suis un peu anxieux, mais je te fais entièrement confiance : tu sais comment préparer mes fesses pour accueillir un godemiché d'une telle taille.

- Met toi à genou.

J'ai juste le temps de t'obéir que tu as déjà mis le gode-ceinture bien centré à ta taille.

Je prends une seconde pour t'admirer. Tu es la définition même d'une Déesse sexuelle : un physique de rêve accentué d'un bustier rouge et noir, de souliers à talon et d'un énorme gode-ceinture.

Tu me souris en voyant l'effet que tu me fais. Tu me dis avec ta voix douce :

- Maintenant ouvre la bouche et laisse-moi faire.

J'obtempère rapidement. Je sens un, puis deux doigts pénétrer dans ma bouche.

Tu commences doucement, tu explores presque à tâtons ma bouche. Puis tes doigts deviennent plus aventureux. Tu les rentres plus profond et je dois refouler le réflexe de toux.

Tu durcis tes doigts et tu recommences avec plus de pression. Tu me violes littéralement la bouche et ça semble t'exciter.

- Allez, si tu n'es pas capable de licher convenablement, montre-moi que tu es au moins capable de sucer adéquatement!

Je referme ma bouche sur tes deux doigts et je commence à les sucer. Je m'arrange pour que tu sentes seulement mes lèvres et ma langue contre eux.

On a déjà fait des préliminaires où je te suçais un ou même deux doigts, mais ça c'est beaucoup plus pervers.

Tu retires tes doigts. Tu déposes une seule goutte de vin sur l'extrémité de ton gode.

J'hésite, c'est quelque chose qu'on n'a jamais fait auparavant.

Tu tires sur la chaîne pour m'encourager ou simplement parce que tu deviens impatiente.

Je liche avec une certaine réticence le vin. La texture artificielle du gode n'a cependant rien de désagréable.

Tu remets quelques gouttes tout le long de ta verge improvisé.

- Vas-y doucement. Je veux que tu savoures chaque goutte que je t'offre. Et si tu continues de bien m'obéir, je te promets le plus gros orgasme anal que tu n'as jamais eu.

Ma langue fait de long va-et-vient le long de ton engin. Même lorsqu'il ne reste absolument aucune trace du vin, tu me fais continuer un peu.

Puis tu remets quelques gouttes de vin sur ton gode et je recommence. Tu glisses ta main dans mes cheveux et tu me caresses lascivement.

Même si je ne suis pas directement sur ta chatte, je sens l'odeur de ton sexe. Tu sembles particulièrement excité par le spectacle que je te donne, à genou à m'occuper de ton gode.

Tu mets ta deuxième main derrière ma tête et tu me guides délicatement vers l'extrémité de ton phallus.

J'ouvre la bouche et je commence à te sucer.

Ton gode est beaucoup plus gros que tes deux doigts et ma bouche a initialement un peu de difficulté à accommoder ton objet. Je n'ai aucune expérience dans ce domaine et tu le sais très bien.

Tu ne mets pas trop de pression derrière ma tête et tu me laisses m'habituer.

Puis quand je commence à sucer ton gode plus profondément, tu maintiens une pression derrière ma tête. Tu continues ainsi jusqu'à ce que je te fasse une fellation à gorge profonde.

C'est vulgaire et tabou ce qu'on fait, mais j'aime ça autant que toi.

Tu relâches finalement la pression et je peux enfin prendre de grandes respirations par la bouche.

Tu me relèves et tu m'enjoins de te suivre jusqu'à la balustrade. Tu retires mes sous-vêtements de cuir.

Tu t'installes derrière moi. Je sens ton gode caresser mes fesses. Je m'attends à ce que tu m'encules à l'instant, mais ce n'est pas dans tes plans immédiats.

Tu attires mon regard au deuxième étage. Il y au moins une dizaine de loges similaires à la nôtre qui surplombe la scène principale.

Certaines semblent un peu plus grandes et il y a plusieurs convives dans ces pièces.

La majorité des balcons n'est éclairée que par le reflet du chandelier en cristal de la grande salle de spectacle. D'autres sont illuminés par quelques chandeliers. Au fond de ces salles privées, il serait possible d'avoir des ébats sans que les autres puissent voir grand-chose.

Certains couples se tiennent près de la balustrade et sont bien visibles.

Dans la loge d'à côté, on aperçoit la blonde avec la poitrine impressionnante que l'on avait vu au début de la soirée. Elle s'est débarrassée de ses marguerites. Son homme-esclave est dans une position similaire à la mienne, les deux mains sur le rebord de la balustrade. Il est par contre beaucoup plus penché vers l'avant et la blonde est directement derrière lui.

Je me rends compte qu'elle porte elle aussi un gode-ceinture. Ils ont dépassé la phase des préliminaires : elle le pénètre langoureusement avec son gros godemichet. L'homme fixe le spectacle érotique qui se déroule sous ses yeux tandis qu'elle augmente la vitesse à laquelle elle le défonce.

J'envie le gars : mes fesses sont dilatées au maximum, mais tu refuses encore de me pénétrer. Je fais des mouvements de va-et-vient avec mon bassin contre ton gros gode, mais rien n'y fait. Tu ne fais que frôler mon anus avec ton sexe de plastique.

Une image particulièrement perverse me traverse l'esprit : est-ce que toutes les femmes dans les loges sont munies d'un godemiché? Est-ce que tous les hommes au deuxième étage se font sodomiser jusqu'à l'orgasme anal?

- Allez, il me reste un dernier cadeau pour toi!

Quatrième cadeau

Tu termines la coupe de vin et on redescend au premier étage. Tu empruntes un nouveau corridor et je suis complètement désorienté. C'est une section où nous n'avons pas l'habitude d'aller. Tu me guides dans une antichambre encore plus exiguë qu'au deuxième étage. Nous devons être proches de la scène principale, car on entend très bien les bruits du fouet suivi d'applaudissement marqués de la foule. La pièce est très sombre et la seule lumière vient de la grande salle adjacente.

Une jolie femme noire est déjà dans la pièce. Plutôt grande, elle arrive presque à ma hauteur. Son corps musclé contraste avantageusement avec son masque blanc.

Elle porte elle aussi un gode-ceinture avec un harnais tout blanc.

Elle te regarde avec un sourire complice. Je suis un peu inquiet. Déjà que ton gode est plus gros que nos dildos habituels, le sien est encore plus massif!

Tu me repousses un peu plus à l'intérieur de l'antichambre. Mon corps est pratiquement contre celui de l'étrangère. Avec son corps athlétique et sa peau foncée, elle a l'allure d'une amazone.

Telle une panthère qui s'amuse avec sa proie, elle griffe mon torse avec ses ongles longs. Mes mains sont toujours liées derrière mon dos. Je m'attends à ce que tu interviennes, mais non.

La beauté noire commence à frotter lascivement son gode contre ma queue.

J'entends le bruit maintenant familier d'un coffret qui s'ouvre. Le dernier cadeau consiste en un bâillon-boule complètement noir.

- Tu peux maintenant crier ou hurler autant que tu le veux.

Tu me glisses le bâillon dans la bouche. Tu l'attaches bien serré. Puis je sens une coulée de lubrifiant entre mes fesses.

À ma surprise, tu me fais sortir prestement de l'antichambre par une petite porte en arrière.

Nous arrivons directement sur la grande scène! Celle-ci est vide, le couple précédant ayant terminé leur prestation.

J'hésite un peu, mais tu me tires par la laisse vers le centre de la scène. Difficile de savoir combien de personnes nous regardent. Il y a au moins une dizaine de spectateurs au rez-de-chaussée. Je devine qu'il doit y en avoir au moins autant en haut dans les balcons.

Je tente de contrôler ma respiration, car je ressens plus d'anxiété que d'excitation à ce moment précis.

Tu défais la chaîne qui relie mes deux poignets.

- À quatre pattes!

Tu m'ordonnes avec une voix ferme, tout en contrôle. Malgré mon malaise, mon conditionnement et ma dévotion pour toi sont beaucoup plus forts. Je t'obéis sans attendre.

À l'hauteur de la scène, je remarque plusieurs anneaux de métal qui sont intégrés au plancher de la scène. Tu glisses la chaîne entre un anneau et tu rattaches les menottes.

Tu te déplaces avec prestance sur scène et tu fais un tour complet autour de moi, comme pour bien m'exhibé à la foule. Je suis à quatre pattes sur scène, sans aucune possibilité de me relever, complètement nu, sauf pour un masque qui me parait trop petit à ce moment.

J'entends le bruit de tes talons tandis que tu te positionnes lentement derrière moi. Je retiens mon souffle. J'ai l'impression que la majorité des convives font de même.

Puis tu me pénètres lentement, mais profondément. Dès la cinquième pénétration, tu enfonces le gode complètement dans mes fesses. Je laisse échapper un cri de surprise au travers du bâillon.

Puis tu saisis mes hanches, tu enfonces tes ongles à chaque pénétration. Tu accélères le rythme et tu continues d'y aller toujours aussi profondément.

Je mords pratiquement dans le bâillon tellement que c'est intense.

Ma prostate est en feu et mes couilles sont prêtes à exploser. Plusieurs gouttes de pré-sperme tombent sur la scène.

Je n'ai jamais orgasmé sans stimulation directe de ma verge, mais là c'est trop. Tu as passé les dernières heures à m'aguicher, à m'amener près de l'orgasme à plusieurs reprises.

Je pense à tous ces couples qui nous regardent avec envie et qui mouillent sans vergogne. Je pense à la blonde plantureuse du balcon qui est probablement toujours en train d'enculer son partenaire.

Puis la seule chose à laquelle je pense c'est ton immense gode qui me défonce. Je balance mes hanches contre toi pour augmenter la pénétration. Mes fesses se contractent contre ton engin.

Ma vision devient brouillée, j'ai l'impression de respirer aussi vite que mon cœur bat.

Et j'orgasme comme jamais. Je hurle au travers du bâillon. Mon sperme gicle partout. Tu continues la pénétration, mais plus doucement et j'éjacule pendant au moins dix secondes.

Il y a une longue traînée blanche sur la scène, mais la majorité du sperme a revolé sur mon torse reluisant.

Après quelques minutes, je reprends enfin mon souffle. Mes jambes tremblent un peu. À ma grande surprise, je suis toujours attaché directement sur la scène.

Tu me caresses tranquillement le dos. Puis tu me susurres à l'oreille :

- Je t'avais averti que ça serait une soirée bien spéciale. Voici maintenant ton vrai cadeau...

Tu regardes vers l'arrière et je suis ton regard vers la petite porte de l'antichambre. On aperçoit la beauté noire s'avancer langoureusement sur scène. Elle astique lentement son gode gigantesque avec une couche de lubrifiant.

Sa démarche sensuelle me rappelle mon image précédente : celle d'une panthère qui s'avance sournoisement vers sa proie. Elle reluque mon cul complètement vulnérable et elle prend position derrière moi.

Tu me donnes un dernier regard complice avant de me laisser à sa merci...

* * * * *

J'ai passé de nombreuses heures à écrire cette histoire, donc si vous avez aimé ou que vous avez des commentaires constructifs, n'hésitez pas à laisser un commentaire. Merci!

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