Omar - La Traite des Blanches 02

BÊTA PUBLIQUE

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Abdul vit une peur panique s'afficher sur son visage à sa vue, il savait très bien qu'elle était terrifiée à sa vue.

Bien plus grand que les autres membres de l'équipage, pesant 40 kgs de plus qu'eux, Abdul était visiblement capable de l'écraser comme une punaise s'il le voulait. Elle savait qu'elle serait incapable de respirer s'il s'allongeait de tout son poids sur elle, elle risquait de mourir étouffée.

Mais en fait Abdul était un gentil géant, et il ne voulait en aucun ca faire mal à cette ravissante petite américaine.

En voyant s'approcher ce géant, Katie craignit qu'il ne la maltraite tout comme tous ces autres qui avaient voulu démontrer leur pouvoir sur elle tout en satisfaisant leurs appétits lubriques.

A sa grande surprise elle l'entendit lui préciser d'une voix douce :

- "N'aie pas peur ma jolie petite dame, Abdul ne veut pas te faire de mal!.... Abdul ne va pas t'écraser!..... regard, Abdul s'étend sur le lit pour ne pas blesser jolie petite madame!....."

Avalant sa salive, craignant que ce géant ne change d'avis si elle ne lui complaisait pas, bien que l'idée d'avoir des rapports sexuels avec lui la terrifia, elle tendit la main empoignant la bite de cheval qui trônait entre ses cuisses.

Le géant noir lui semblait sincère en dépit du fait qu'il était là pour la baiser, Katie se sentit si soulagée par son petit discours qu'elle voulut l'en remercier de la seule façon qu'elle le pouvait.

Elle avait appris au cours de ces derniers jours était que tous ces étran-gers prenaient un plaisir énorme à dégrader une jeune américaine en lui fourrant leur bite dans la bouche et en la prenant de toutes les manières imaginables.

Des Japonais, des Chinois, des Philippins, des Coréens, des Brésiliens, des Ethiopiens, des Grecs, des Nigériens, des Turcs, des Mexicains, et encore bien d'autres étrangers lui avaient demandé de les sucer et d'avaler la fumée.

Elle tremblait encore au souvenir d'un de ces hommes baragouinant un mauvais d'anglais qui lui avait dit :

- "Allez ma jolie petite dame ..... Suce ...... Suce ma bite ... Salope!...."

-

Elle ne parvenait pas à faire le tour de son épaisse hampe avec ses doigts, il grogna tout de suite lorsqu'elle entreprit de le branler conscien-cieusement.

Puis le regardant droit dans les yeux elle tendit la pointe de sa langue et la promena sur sa hampe brandie.

- "Oh ma petite chérie ...... Ohhhhhhhhhhhh ...... " jamais une aussi jo-lie jeune femme n'avait cherché à lui plaire auparavant.

Le géant haletait alors qu'elle promenait une langue experte sur sa virilité titillant son méat à chaque passage.

Elle ouvrit la bouche en grand, elle ne parvint pas à enfourner le cham-pignon écarlate, ses dents frottaient contre la tendre peau de son gland.

Le branlant à nouveau elle remonta à sa taille et empoigna sa grosse bite pour la promener dans sa foufoune ruisselante.

A cet instant elle était heureuse d'avoir la chatte pleine de la semence des nombreux prédécesseurs d'Abdul, elle utilisa l'épaisse purée comme lubrifiant pour faciliter la pénétration de sa colonne de chaire dans sa chatte qui bien qu'élargie n'avait encore jamais été visitée par une bite de cette taille.

Elle enfourcha le colosse cherchant à s'adapter à sa conformation en lui faisant explorer sa foufoune, c'est alors qu'il la toucha pour la première fois.

Et, il se montra très doux, posant ses deux mains sur ses hanches il la caressa lascivement.

- "Ohhhhhhhhhhh ....Ohhhhhh ..... Ah .... Ahhh ......" haletait Katie cherchant désespérément à s'embrocher sur sa monumentale flam-berge.

Elle le branla à nouveau tout en le promenant au coeur de ses babines ruisselantes, elle était vraiment très contente d'être emplie de foutre.

Bien qu'elle ut déjà mal, déterminée à s'offrir à ce gentil géant, Kati transpirait tant elle faisait d'efforts pour enfourner sa grosse bite dans sa chatte distendue.

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!......" frémit-elle longuement alors qu'elle s'empalit sur l'énormité du géant noir, elle se sentait dis-tendue comme jamais elle ne l'avait été.

Le souffle court, elle restait sans bouger le temps de s'accoutumer à son énorme présence, elle priait pour qu'il ne chercha pas à la fourrer plus profondément pour l'instant.

Quelques minutes plus tard, Katie se releva se laissa retomber sur l'épais chibre, en l'air empalée, en l'air empalée ..... Elle avait maintenant plus de 22cm de bite dans la chatte!

Tendant la main entre leurs deux corps, Katie empoigna sa hampe et réalisa immédiatement que l'épaisseur d'un poing restait au dehors de sa foufoune, elle se releva plus haut, cherchant à s'embrocher plus profon-dément sur son vigoureux pal.

- "Mon Dieu, sa bite mesure un bon 35 centimètres!....." pensait Katie, se demandant si elle pourrait l'absorber en totalité dans sa cramouille distendue au maximum.

Abdul était enchanté, cette adorable américaine prenait grand soin de lui, jamais une ravissante jeune blanche ne s'était véritablement préoccupée de lui donner un maximum de plaisir, il ne savait pas si elle parviendrait à avaler la totalité de sa bite, mais au moins elle aurait essayé.

Tout en lui caressant ses crémeuses cuisses, Abdul ne parvenait pas à croire en sa bonne fortune, habituellement les femmes qu'il fréquentait se montrait horrifiée par la taille de sa monstruosité et se refusait à pren-dre sa bite d'âne dans la moule.

Elle empoignait maintenant ses poignets guidant ses mains sur ses ni-chons, l'invitant à lui triturer les tétons.

La cantharide qui courait dans les veines de Katie lui causait une intense démangeaison dans le bas ventre et les nibards, et elle ne connaissait qu'un moyen d'apaiser ce feu qui la rongeait.

Ce géant doté d'une bite monstrueuse se souciait de ses besoins comme aucun autre homme ne s'en était soucié auparavant.

Alors qu'il lui pinçait âprement les mamelons, comme elle l'invitait à le faire, Katie se mordait les lèvres s'efforçant d'absorber la totalité de son imposante colonne de chair dans la cramouille.

Elle haletait tout en essayant d'accomplir cet exploit :

- "Oh ... Abdul ..... Oh oui ..... Oui ...... Pince les ...... Triture les plus forts!......"

Relevant un de ses pieds au dessus de son torse pour se relever plus haut, elle se laissa à nouveau retomber son imposante énormité.

Puis elle se relevait encore, se laissait tomber encore et encore élargis-sant encore sa foufoune au gré des violents empalements.

Elle tendit sa main droite pour happer les grosses burnes du géant les roulant et les malaxant entre ses doigts habiles.

- "Baise moi ... Baise moi ... Abdul, plus fort ... Encore ..... Encorr-rrrrrreeeeeeeeee!......" pantelait Katie.

A sa grande satisfaction il la saisit alors aux hanches rythmant leur che-vauchée selon ses désirs, la harponnant profondément.

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ...... Ahhh ....... Ouiiiiiiiiiiiiii .... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!....." hurla-t-elle succombant à un orgasme dé-mentiel comme jamais elle n'en avait connu.

- "Ohhhhhhhhh ..... Oui ..... Mon adorable petite chérie ...... Fais moi juter à gros bouillons!....." le gentil géant grommelait son plaisir alors qu'il se mettait à éjaculer des torrents de foutre dans sa chatte em-brasée, jamais personne n'avait aspergé sa chatte d'une telle dose de foutre.

Katie s'effondra sur le corps du colosse recueillant les dernières vibra-tions de la grosse bite toujours plantée en elle.

- "Ohhhhhhhhhhhh ...... " gémit-elle de désappointement lorsqu'il extir-pa sa montruosité de sa chatte distendue comme jamais.

Une chose était certaine, la monstrueuse bite d'Abdul avait définitivement dilaté sa cramouille.

Un peu plus tard, sentant l'épais gland cogner de nouveau à la porte de sa chatte, alors que sa bite reprenait une évidente vigueur, Katie se pen-cha pour empoigner à nouveau sa virilité.

S'agenouillant elle l'attira à lui murmurant :

- "Abdul .... Abdul ....."

Pour toute réponse il s'assit sur le bord du lit, Katie rampa vivement pour se poster face à lui.

A quatre pattes elle guidait maintenant l'épaisse mentule dans on intimi-té, parcourant de bas en haut sa foufoune ruisselante.

- "Oh, oui ..... Oui, Abdul ...... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ....... Baise encorerr-rrrrrreeeeeeeeee!....." haletait-elle alors qu'il la fourrait en levrette.

-

Ravie de s'être fait baiser en levrette par le gentil géant, Katie se servait de ses muscles vaginaux pour le traire littéralement alors qu'il prenait toute les précautions pour ne pas l'écraser de son poids.

La porte métallique s'ouvrit soudain et Omar intervint de la voix :

- "Terminé Abdul!....."

Quelques instants plus tard, le doux géant sorti de la cabine Katie regardait un vieil asiatique efflanqué se déloquer.

Elle vit sur son badge qu'il se nommait N'Guyen et qu'il venait du Viet-nam

- "Allez jolie petite madame suce moi ...... Suce N'guyen!....." il annonçait ce qu'il voulait obtenir de ses services.

Le lendemain droguée jusqu'à l'os, Katie enfila la robe blanche qu'elle avait mis pour le rejoindre, c'était celle qu'elle portait sur les photos qui avaient permis à Juan Sanchez de la sélectionner.

Elle était temporairement transformée en zombie, l'effet de la drogue de-vait s'estomper d'ici une heure, au moment de l'arrivée de Juan Sanchez à l'hacienda. Bientôt le flot puissante cantharide qui courait dans ses veines exacerbant ses envies sexuelles, lui donnant une envie démen-tielle de se faire baiser diminuerait.

Lorsqu'elle reprit pied dans la réalité, Katie se mit à tembler paniquée, se demandant quel enfer s'ouvrait pour elle.

- "Ou suis je?...."

- "Dans quelle ville?...." se demandait-elle affolée jetant un oeil sur les chaînes qui lui entravaient les poignets dans l'obscurité de la cellule ou elle était enfermée mains rivées au mur au dessus de sa tête.

Un son sourd retentit à sa droite, la porte métallique s'ouvrait sur un mexicain pansu affichant un sourire lubrique, elle frémit de peur lorsqu'il annonça :

- "Bienvenue dans l'humble demeure de Juan .... Tu es vraiment ravis-sante ...... Et l'on m'a dit que ton apprentissage avait porté ses fruits ..... Tu sais comment donner du plaisir à un homme avec tes lèvres et ton con charmante madame Sherman!....."

Autorisé à regarder au travers des judas de la salle adjacente, Omar regardait le mexicain ventru s'approcher de l'adorable madame Sherman.

Omar suspectait ce qu'il attendait des charmes de Katie, il avait donné l'ordre aux nombreux membres d'équipage qui avaient possédé son corps de ne pas toucher à son pucelage anal, monsieur Sanchez avait exigé qu'elle lui soit livrée pucelle du trou du cul.

Alors que Sanchez lui caressait ses voluptueuses hanches, Omar voyait les orteils de la jeune femme trembler dans ses chaussures, elle mour-rait d'envie de se dérober à ses caresses salaces.

Omar observait attentivement, la drogue ayant largement diminué ses effets, son besoin de se faire baiser par n'importe quel mâle disparu, Ka-tie sanglotait désespérément dans le donjon.

- "S'il vous plait ....... Nonnnnn ..... Arrêtez ...... Je vous en prie ....." se lamentait-elle misérablement.

Et maintenant sa petite culotte blanche tirebouchonnée sur ses chevilles le mexicain bedonnant se postait dans son dos.

Elle poussa un hurlement de douleur :

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeee ..... Arrêtez ..... Arrêtez ....... Je vous en prieeeeeeeeee .......".

Juan la sodomisait sauvagement, plus il plongeait profondément dans son étroit oeillet jusqu'ici inexploré, plus elle clamait sa douleur.

Lorsque Juan en eut terminé, il abandonna la beauté sodomisée incons-ciente suspendue aux chaînes la clouant par les poignets au mur, des filets de foutre s'écoulaient lentement de son anus béant lui poissant les cuisses, Omar avait rendez-vous avec son acheteur pour projeter de nouvelles affaires.

Il devait percevoir les 35.000 $ prévus pour la fourniture de Katie Sher-man, il avait sur lui 8 nouvelles photos de jeunes femmes qu'il allait proposer à la convoitise de Juan Sanchez enclin à toujours renouveler le standing de ses bordels en offrant des filles plus belles et plus fraîches que ses rivaux.

Il regardait le mexicain faire son choix, observant attentivement les jeu-nes femmes qu'Omar lui proposait, avant de sélectionner deux des beautés sur catalogue.

Regardant à la première photo, Omar commenta :

- "Ah, une belle blonde comme vous les aimez!.... Un excellent choix monsieur Sanchez ...... Toujours à l'entière disposition des clients ..... Cette ravissante blonde s'appelle Alexis Norvill, elle a 26 ans et si je me souviens bien le couple faisait une croisière pour fêter leur se-cond anniversaire de mariage ......" puis jetant un oeil au dos de la photo, il ajouta :

- "C''est une bibliothécaire et elle a un enfant ... Elle respire la pureté ..... Imaginez là ouvrant en grande ses cuisses crémeuses pour vous faire goûter à sa petite chatte blonde!....."

La photo suivante provoqua de nombreux gloussements d'Omar :

- "Une autre somptueuse blonde ...... Encore un remarquable choix ....... L'adorable madame Robin Lansing, 25 ans, elle était en voyage de noce!...... Apparemment très intelligente, elle travaille en tant que biologiste dans un grande boite de recherche en chimique ....... Elle aussi sera très réclamée par votre clientèle qui appréciera gran-dement ses services!......"

Comme un représentant vendant sa collection, Omar disait juste ce qui fallait pour pousser à l'achat.

Le marché conclu, Juan Sanchez le surprit agréablement en invitant sa femme de ménage à de dire à son hôtesse d'enfiler une tenue de soirée et de les rejoindre au salon..

Cinq minutes plus tard, savourant un apéritif avec son hôte, Omar se re-dressa vivement en reconnaissant la sculpturale beauté blonde qu'il lui avait livrée 6 mois plus tôt, la première esclave blanche qu'il lui avait procurée.

Il se rappelait très bien la somptueuse madame Lori Walker, elle était toujours aussi belle, cependant il nota un changement d'expression sur son visage.

Elle ne semblait pas le reconnaître et n'affichait aucune émotion sur son visage lisse alors qu'elle s'approchait de lui.

Omar se rappelait très bien la photo qu'il avait pris d'elle elle était alors vêtue d'une longue robe noire ornée d'une large bande rose à la cein-ture.

Abasourdi et enchanté Omar comprit que la jeune femme était la pour obéir aux ordres de Juan Sanchez :

- "Lori, je te présente mon grand ami Omar, salue le à ta façon!.... Tu peux prendre un cousin pour t'exécuter plus confortablement de ta tâche!....."

Ce disant, il jeta un coussin aux pieds d'Omar, la ravissante blonde s'agenouilla immédiatement sur le coussin et tendit la main pour ouvrir sa braguette.

Elle pêcha sa grosse bite dans son caleçon et l'emboucha immédiate-ment pour le sucer avec une science affirmée.

Renvoyée dans sa chambre après son impeccable performance, il en-tendit monsieur Sanchez lui préciser :

- "Retourne dans ta chambre et mets toi à poil, mon ami ne dispose que de peu de temps, il ne pourra consacrer qu'une petite heure pour goûter à tes charmes avant de retourner à bord......"

Il apprit ensuite de la bouche du proxénète que madame Walker venait de se faire prendre par trois clients fous de ses charmes.

Puis il s'enquit de l'avancée des recherches menées par la justice améri-caine concernant sa disparition, Omar lui assura que l'affaire était classée les autorités ne trouvant aucun indice pouvant les mener sur une piste.

- "Tu as vu comme elle suce bien mon ami ..... Imagine le nombre de mes amis mexicains qui ne s'étaient jamais fait faire une pipe par la bouche d'une somptueuse américaine .... A 50 $ la pipe et une pipe tous les 10 minutes!....." jubilait son hôte ravi des performances de sa ravissante gagneuse.

- "Dernièrement, pendant les vacances de paques, une queue invrai-semblable s'était formée dans la cour devant sa chambre j'avais or-ganisé une fête spéciale pour mes meilleurs clients ..... 30 $ la pipe par la somptueuse madame Walker ..... Deux jours de paie pour les salariés de ce pays ....... Eh bien elle a établi un record ...... La charmante madame Lori Walker a sucé une centaine de bites mexicaines en sept heures ...... Certains sont même passés deux fois!........ 3.000 $ dollars la journée!....... Pas mal non?......"

-

Avant de le quitter, Omar remercia son hôte de lui permettre de goûter à nouveau aux charmes de la fastueuse Lori Walker.

Après 6 mois dans les bordels de monsieur Sanchez, sucer et baiser était devenu une seconde natures pour la jeune beauté américaine.

Elle ne fit aucune objection pour se lettre à quatre pattes et à sa de-mande, elle pointa elle même sa bite sur son petit oeillet ridelé.

- "Un chemin que n'avait jamais emprunté son petit con de mari!..... S'il savait à quel point sa femme est maintenant dévergondée!......" gloussait-il au fond de lui même

Déjà la ravissante jeune femme experte dans les jeux de l'amour adoptait un rythme soutenu une fois sa bite profondément enfouie dans ses entrailles.

Omar suspectait que Julie Armstrong et Katie Sherman devait être aussi performantes maintenant, au su du grand nombre de clients a avoir testés leurs appâts lors de leur retour à Mexico.

FIN DE L'HISTOIRE.

1er juin 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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