Par Amour

Elle hocha la tête sans me regarder, je la laissais avachie sur le lit et re-tournais chez moi.

CHAPITRE 4 : Les nouvelles règles.

Elle n'avait pas d'autre choix que de se plier aux nouvelles règles.

Quelques semaines plus tard son mari retrouva du boulot.

Elle me supplia de mettre fin à notre arrangement, mais bien évidem-ment je n'en avais aucune envie.

Elle perdit une bonne partie de son entrain initial dans un premier temps, elle était brisée mentalement et physiquement.

Elle dut apprendre à me penser un nouveau type de plaisir, a moins que je ne la prévienne que j'allais lui jouir en pleine bouche, elle devait rouler sur le flanc ou le dos et m'ouvrir en grand son entre fesses.

Souvent, avant de venir elle se beurrait le trou du cul de vaseline elle supportait mieux d'être prise par la porte dérobée lorsqu'elle était bien lubrifiée.

J'aimais la renvoyer à son mari le cul gorgé de mon foutre, je me de-mande bien s'il l'a jamais remarqué, s'il avait idée de la raison pour la-quelle ses appétits sexuels avaient diminué.

Je profitais pleinement de ses charmes me remboursant de chaque franc que j'avais investi dans notre petit marché, son humiliation, son déshon-neur ajoutait encore du sel à mon plaisir.

Depuis que son mari avait un nouveau boulot j'avais diminué le montant de a rente et ne la payait plus que 500$ par mois au lieu de ses 2.500 initialement prévus.

C'était bien assez pour qu'elle s'achète des tenues et de la lingerie affrio-lante pour m'exciter. Je déchirais assez souvent ses vêtements dans ma hâte de la posséder.

Son petit trou avait enduré quelques possessions extrêmement brutales.

Par la suite elle m'accueillait en se contentant de grogner lorsque je lui faisais mal, et surtout lorsqu'elle sentait que je venais de lui remplir le cul de foutre.

Je lui broutais la chatte avec passion, la faisant jouir à chaque fois sous mes coups de langue, nous faisions des 69 déchaînés orgasmant bien souvent au même instant.

L'apothéose eut lieu ce jour où elle vint me rejoindre l'après midi de son anniversaire de mariage, je la baisais âprement dans chacun de ses trous avant de la renvoyer chez elle fêter l'anniversaire de son mariage avec son petit mari.

Elle se rendit dans un restaurant pour dîner avec son mari, je m'assis à quelques pas les observant avec attention.

Puis ils rendirent au cinéma et ils rentrèrent chez eux où sans aucun doute, selon mes ordres elle devait se faire lécher son trou du cul fraî-chement baisé avant de se l'envoyer en chatte, alors qu'elle lui assurait qu'il était le grand et seul amour de sa vie, le seul homme à profiter de ses charmes.

Ma femme est guérie maintenant et je me les suis parfois faite toutes les deux dans la journée, je me demande si je vais la laisser Hélène repren-dre sa vie de petite bourgeoise serrée du trou du cul, me contentant de l'appeler pour la baiser à couilles rabattues pendant les vacances.

Pour l'instant je décidais de continuer notre "liaison", on verrait bien ce qu'il adviendrait par la suite.

Nonobstant les preuves de son infidélité, de sa duplicité que j'avais accumulée, elle n'avait guère d'autre choix que de se soumettre à mes volontés bien longtemps après la fin prévue de notre marché.

25/05/2007

histoire de Jon Maddux (BDSM Library)

traduite avec l'accord de l'auteur par Coulybaca