Rubans

BÊTA PUBLIQUE

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Un commentaire étonnant, m'étais-je dite alors, mais avec le temps je me mise à apprécier ce qu'il impliquait ; le fait qu'il trouvait en moi ce que d'autres cherchaient au coin de rues sombres. Étrangement, la remarque avait renforcé notre intimité, et je n'en voulais que plus lui faire plaisir.

L'amour change le sexe. Mes partenaires précédents n'avait pas eu une grande importance pour moi et je ne m'étais pas souciée qu'ils puissent me quitter, mais tout était différent avec lui. Je l'aimais, et je voulais qu'il reste avec moi pour toujours ; aussi mes mains prenaient leur travail bien plus à coeur.

J'aimais bien le corps de Marcel. Je ne sais pas pourquoi, mais j'aimais le fait qu'il ne soit pas circoncis, la taille de son sexe ou la puissance de ses coups de boutoir me coupant le souffle. J'adorais cette impression d'être complète quand il me pénétrait. Il me perçait, et au sommet de notre passion, explorait ma bouche de sa langue, mon cul de son doigt et ma chatte de son pénis.

Je le regardais, savonnant mes mains. Ses yeux à demi voilés se fixèrent sur les miens alors que j'appliquais la mousse sur son scrotum. «Tu veux que je joue avec?», demandai-je en approchant de son pénis glissant. C'était une question de rhétorique, évidemment. C'était un petit exercice que je m'étais mise à adorer, tant son déroulement l'approchait presque toujours de l'éjaculation.

Mettant doucement mes mains sous ses bourses, je continuais d'un ton plein d'ironie. «Je veux être sûre que mes jouets favoris sont bien propres, tu comprends.»

Je manipulais gentiment ses testicules, les tirant précautionneusement vers le bas afin de lui procurer du plaisir en étirant son scrotum. Je les massais l'une après l'autre, savourant l'air de plaisir que j'adorais voir sur son visage. Il râla de plaisir en ramenant sa tête en arrière. C'était le signal que je devais continuer.

Naturellement, il savait ce qui était en train de se passer, mais j'ajoutai néanmoins une petite surprise ; après avoir tâtonné un peu, je glissai gentiment un doigt dans son cul invitant.

Il sursauta vers l'avant, surpris par l'invasion inattendue de la source de son plaisir. Ça faisait longtemps... Vilaine femme, me dis-je. Malgré sa réaction, il n'essaya pourtant pas de me repousser ; étant arrivée jusqu'ici sans encombre, je décidai de m'enfoncer plus profondément.

Comme beaucoup d'hommes, Marcel trouvait qu'être pénétré était une sensation extraordinaire. Probablement à cause du toucher féminin, me dis-je en y prenant plus de plaisir que je l'aurais dû.

Il ne fallut pas longtemps pour trouver le petit fauteur de trouble. Je le massai du bout du doigt, faisant pointer son pénis complètement durci vers mon moi. Je reportais mon attention sur ce dernier à l'aide de mes mains savonneuses.

«Tu aimes, chéri? Tu aimes quand je te touche comme ça?»

Il se tortilla légèrement, mais me signifia que oui. Je continuais à masser ses testicules, les sentant grossir dans mes mains. Je le sentis se détendre alors que je retirai mon doigt et commençai à le rincer entièrement.

«Voilà, tout propre. Il est temps... Lui signalai-je après avoir terminé.

— Enfin», murmura-t-il. Je lui lançai un grand sourire.

Toujours à genoux, et sans le lâcher des yeux, je passai ma main derrière ma tête pour défaire un des noeuds noir, laissant mes cheveux tomber sur mes épaules. Je passai le tissu doux dans ma bouche, l'humidifiant d'un bout à l'autre.

Prenant une testicule dans ma main, j'enveloppai le ruban noir et humide autour de sa base.

«Comment te sens-tu, très cher? Demandai-je.

— Tu sais bien que... J'adore ça, Alanna, répondit-il sur un ton de légère impatience.

— Hmmm... J'aime cette réponse. Elle est bien. Dis-moi, tu en as deux des comme ça, n'est-ce-pas?»

Je défis le deuxième noeud et l'humidifiai, puis j'en entourai l'autre testicule, l'éloignant de l'autre.

Prenant un troisième ruban ainsi qu'un crayon non taillé que j'avais placé près de la baignoire avant le début de notre petit jeu, j'en fis plusieurs tours autour de son membre, juste autour de ses testicule, insérant le crayon entre les couches de tissu pour faire un tourniquet improvisé. Je serrai le tout doucement, bloquant le point de rencontre entre le sperme et la semence et le faisant tressaillir.

«Veux-tu que je te suce la bite, Marcel?», demandai-je maintenant que les trois bandes de tissus étaient en place. C'était plus une déclaration qu'une question : nous savions bien tout deux que toute réponse était ici superflue.

Il prit son pénis érigé et ramena son prépuce en arrière avant de le mettre dans ma bouche invitante.

Je le suçais lentement au début, recueillant une goutte de pré-sperme avant de l'étaler sur mes lèvres. Tout en accélérant le rythme, je tournai doucement le crayon situé sous ses bourses, serrant l'étreinte du ruban. Sa confiance en moi est si grande, me disais-je à chaque fois que j'atteignais ce stade.

Il encourageait amoureusement mes attentions en tenant ma tête fermement dans ses mains.

À aucun moment m'arrêtais-je, pas même pour un instant, pas même alors que sa bite était enfoncée profondément dans ma gorge, ma bouche et ma langue agissant de concert pour qu'il me donne ce que je voulais le plus : le goûter, et contrôler sa délivrance.

Les minutes passèrent pendant que ma tête montait et descendait sur son érection. J'étais impitoyable, ralentissant par moments, accélérant par d'autres, ne m'arrêtant qu'une fois, pour plonger mon regard dans ses yeux et demander : «dis moi que tu aimes quand je suce ta bite mon chéri! Dis moi!

— J'adore», grogna-t-il, incapable d'embellir plus son propos.

Sentant qu'il était proche de la fin, j'intensifiais mon effort, serrant le tourniquet improvisé, étranglant ses testicules. Seuls ses suppliques m'auraient fait lâcher prise. Je continuais à le sucer, plus fort, plus profondément, jusqu'au moment où enfin il s'écria «Vas-y Alanna, prend tout!»

C'était exactement ce que je j'avais attendu, et à ce moment précis je défis le tourniquet, libérant son scrotum devenu écarlate sous l'effet de la tension. Il explosa dans ma bouche, envoyant d'épais jets de sperme au plus profond de ma gorge, m'inondant de sa chaleur poisseuse.

Son sperme était chaud. Sa consistance sans égale, son goût sans comparaison. L'aphrodisiaque ultime dont je ne pouvais me lasser.

Tenant fermement ma tête dans ses mains, il remplit ma bouche de sa semence que je refusais d'avaler.

Mon menton était maintenant couvert d'un mélange de salive et de sperme, et tout en maintenant son pénis en place, je défis le premier noeud, libérant une de ses testicules avant de me remettre à le sucer lentement. Je défis le second noeud, et ses testicules se rétractèrent lentement vers leur foyer.

Il était à moi maintenant, et je continuais à sucer, le tenant captif pendant que sa bite macérait dans son propre sperme. Et pourtant je me retenais de tout avaler tant qu'il restait encore une goutte dans l'engin.

Une fois l'avoir senti se relâcher et après que la semence restante soit sortie, je le libérai. Ses yeux restèrent fermés pendant que je massais ses testicules, une dans chaque main. Lentement mais sûrement, il remonta à la surface.

«Pauvre chéri, dis-je. Si brave devant un tel supplice.»

Son regard, voilé par l'expérience passée, s'éclaircit graduellement. C'est dans cet instant d'affection et d'abandon que je regardai dans le miroir de ses yeux et que je vis ce qui se passe sur le visage d'un homme en cet instant ; cet aperçu fugace, comme si un météore traversait les cieux, est propre au moment où il éjacule dans la bouche d'une femme.

J'enlevai les trois rubans qui flottaient maintenant à la surface de l'eau, et je les mis en boule, essuyant mon menton couvert de sperme avec le tissu. Puis je me levai pour me tenir face à lui.

Dans un geste signifiant ma dévotion pour lui, je posai mon pied sur le bord de la baignoire. Je séparai mes grandes lèvres gonflées de mes doigts, insérant le ballot dans mon être. Puis, profitant de son attention la plus totale, j'avalai tout d'une traite. Son sourire s'étalait jusqu'aux oreilles.

Après un long baiser, et tout en fixant nos formes entremêlées dans le miroir couvert de buée

«On va dire, Marcel, que je te donne... Disons... 10 minutes pour rétablir ce grand garçon... Lui murmurai-je à l'oreille après un long baiser.

— Après ça, tu pourras récupérer tes fidèles rubans. Joyeux anniversaire mon chéri.»

Fin.

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