Terreur à Ténérife Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Elles faisaient cela uniquement pour satisfaire les appétits lubriques d'une bande de noirs qui contrôlaient maintenant leur vie.

Les spectateurs discutèrent pendant un bon moment, mais bientôt ils vinrent séparer les deux femmes et le firent se mettre à quatre pattes cote à cote et ils les prirent deux par deux.

Je remarquais qu'ils les baisaient dans un seul office pendant plusieurs minutes avant de commuter leurs positions.

Avant de gicler, ils avaient tous visité leurs trous au moins une fois.

Lorsque l'un d'eux voulait jouir, il jutait dans la bouche d'une des femmes, lorsqu'ils eurent tous satisfait leurs appétits de lucre, toutes les bites étaient nettoyées.

Leurs chatounes avaient été copieusement utilisées mais était propres, indemne de tout sperme.

On m'ordonna de cesser de filmer, les spectateurs s'assirent en cercle le temps de vider un verre en discutant le bout de gras dans leur langue africaine qui avait empoisonné nos vacances lorsque nous étions le sujet de leurs conversations.

Ils parlaient de nous bien sur, ils ne cessaient pas de nous jeter des coups d'œil appréciateurs.

Après un long moment ils se rhabillèrent et nous quittèrent nous laissant en compagnie de monsieur Eng et monsieur Smith.

Ils discutèrent ensemble un bon moment encore puis monsieur Eng se tourna vers nous et précisa :

- "Vous m'appartenez tous deux désormais... Vous m'appartiendrez jusqu'à ce que je me lasse de vous et que je vous remplace..... Vous devez seulement vous rappeler que vous agirez désormais selon mes ordres... Mes ordres ou les ordres d'une des onze personnes qui se trouvaient avec nous ce soir! ...."

Il se tourna vers moi et ajouta :

- "Ta tâche principale sera de toujours garder cette caméra avec vous et d'apprendre à vous en servir comme un expert et de filmer toutes les copulations de Jenny avec mes amis......"

- "A partir de ce jour des gens viendront vous rendre visite dans votre pavillon, de jour comme de nuit, tu devras t'assurer que votre porte sera toujours ouverte lorsque vous serez chez vous! ....."

- "Lorsqu'un ou plusieurs visiteurs viendront chez vous, vous devrez sourire et vous soumettre à tous leurs désirs! ....."

- "On vous donnera un planning qui précisera les moments ou vous pourrez vous absenter..... Il vous dira quand vous pourrez faire vos courses ou visiter des amis, il précisera aussi quand vous devrez vous rendre dans les deux clubs ou Jenny travaillera la nuit! ....."

- "Si quelqu'un venait à venir chez vous et que vous ne soyez pas là, alors que vous seriez supposé y être, vous serez sévèrement puni..... j'espère bien que vous éviterez d'être punis! ....."

Il se tourna vers "Chienne" et lui enjoignit :

- "Je pense qu'ils ne voudraient pas être punis comme tu l'as été b'est-ce pas "Chienne»....."

"Chienne" se tenait à coté de nous tête basse, elle répondit rapidement :

- "Non maître! ..."

- "As-tu déjà été punie "Chienne"...." la coupa-t-il alors.

- "Oui monsieur, c'était horrible monsieur! ..." répondit-elle aussi instantanément que sincèrement.

- "Quelle punition as-tu subie "Chienne"...." lui demanda-t-il de préciser.

Il était évident qu'il se réjouissait de la faire trembler de honte et de peur.

Il prenait plaisir à la voir aussi gênée, en devant rapporter un événement aussi néfaste de sa vie.

- "Je fus violée et partouzée par une bandes de brutes noires sous les yeux de la petite fille alors que mon mari enregistrait la séance! ......" répondit misérablement "Chienne".

Le son horrifié de sa voix suffit à nous arracher des larmes de pitié.

- "Si tu nous déçois à nouveau, quelle sera ta punition Chienne? ..." ajouta monsieur Eng impitoyable.

- "La prochaine fois, c'est ma petite fille qu'ils violeront..." nous confia-t-elle la voix pleine de terreur.

Sans aucun doute elle savait qu'ils n"hésiteraient pas à le faire.

Elle était visiblement déterminée à ce que cela n'arrive jamais.

Il n'y avait rien que cette pauvre femme ne ferait pour épargner ce triste sort à sa fille.

Monsieur Eng revint à nous et nous dit :

- "Je sais que vous n'avez pas d'enfants, mais vous avez tous deux des sœurs qui pourraient bien subir le poids de votre punition encas de révolte! ..... Et bien sur il y a les ravages, que provoqueraient dans votre vie, la diffusion de ces photos et de ces films! ......"

Puis monsieur Eng fit le point.

- "Vous aller vivre selon de nouvelles règles dorénavant! ...."

- "Jenny à partir de ce jour vous ne porterez plus que des robes très courtes, des minijupes et des corsages minimums! ..... Vous ne porterez plus jamais de collants ou de sous-vêtements à moins qu'on ne vous l'ordonne! .... Ni caleçons, ni shorts! ....."

- "Quand vous serez chez vous vous demeurerez entièrement nue, au cas quelqu'un viendrait vous voir! ...."

- "En outre....." ajouta-t-il suavement "Vous avez été exposée à suffisamment de personnes ayant le même accent que moi pour les reconnaître désormais! ..... Donc dorénavant si quelqu'un parlant avec mon accent vous ordonne de faire quelque chose, quoi que ce soit, où que ce soit, vous devrez le faire sans poser aucune question! ...."

Il regardait Jenny attentivement alors qu'il nous parlait, visiblement il était ravi de voir son visage afficher une folle expression de détresse.

Il poursuivit :

- "Je vois que tout cela vous inquiète, celà m'excite follement! .... Viens ici Jenny et fais-moi une pipe tandis que je continue à vous dicter mes instructions! ......."

Jenny se laissa tomber à genoux entre ses cuisses et se mit à lui sucer la bite tout de go.

Nous étions tous deux si intimidés que l'on n'osait refuser aucun ordre.

Il nous sourit alors qu'elle entreprenait de le sucer consciencieusement et il continua à nous dicter notre nouveau comportement.

- "Mon enquêteur m'a informé que vous avez été très rude avec votre propriétaire...... Je suis sur qu'il s'agit là d'un malentendu et que cela n'a rien à voir avec son origine indienne! ...."

- "Je crois que vous devriez vous excuser auprès de lui..... La prochaine fois que le verrez, invitez le dans votre pavillon et demandez-lui clairement d'excuser votre comportement... Je pense que vous voyez ce que je veux dire! ....."

Il vit la crainte se refléter dans nos yeux, c'était justement ce qu'il souhaitait.

Il leva la tête vers moi et me rappela :

- "Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer sa performance! ..... Si quelqu'un proteste, évidemment vous arrêtez, mais je veux voir le maximum de cassettes montrant comment les gens usent et abusent de ses charmes....."

- "En outre vous devrez l'amener à cette adresse le vendredi soir... " et il me tendit une feuille "et à celle là le mardi soir! ...."

- "Bien entendu... " poursuivit-il "si quelqu'un vous ordonne de l'amener quelque part pendant la semaine vous l'y conduirez là et emporterez la caméra."

Monsieur Eng demeurait impassible, seule sa respiration était anormalement rapide, assis confortablement, il guidait les mouvements de la tête de Jenny la faisant accélérer pour hâter son orgasme.

Une fois qu'il eut éjaculé au fin fond de sa gorge, elle avala servilement son foutre, il lui intima alors de demeurer à genoux entre ses cuisses, bite en bouche.

Une fois qu'il eut bien repris sa respiration, il me jeta un oeil contrarié et commenta :

- "Normalement je devrai faire violer une fille de vos familles pour m'avoir désobéi! .... Mais je suppose que tout simplement mes consignes n'étaient pas assez claires! ...."

Je le regardais fixement cherchant ce que j'avais fait de mal.

Il vit ma confusion, me regarda avec dégoût et ajouta :

- "Tu parais pas être une lumière mon gars! ..... Je me rends compte que les femelles de ta famille seront en grand danger le temps que tu t'entres mes consignes dans ton crane épais! ....."

- "Je vais te les répéter à nouveau..... C'est une chose que je n'aime pas faire! ..... Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer intégralement l'action! ..... Quels sont les mots que tu ne comprends pas? ...."

- "Je suis désolé monsieur..." parvins-je à balbutier "Mais je n'avais pas compris que cela s'appliquait ici et maintenant! ...."

Il secoua sa tête comme s'il parlementait avec un idiot et repoussa finalement Jenny en arrière.

Il se releva et me tendit un sac avec les accessoires et les batteries pour la caméra, les DVD et les cartes.

Puis il choisit un bout de tissu posé sur une table basse et enjoignit à Jenny de l'enfiler.

Jenny se leva et le tint devant elle.

C'était un minuscule fourreau transparent, j'hésitais à l'appeler une robe.

Cela ressemblait plus à une micro toge achetée dans un sex-shop, elle l'enfila docilement.

Il ne tenait fermé que par un bouton à la taille, ses miches étaient largement dévoilées, on distinguait clairement la moitié de ses aréoles jusqu'au mamelon.

En fait ses nibards étaient couverts tant qu'elle restait immobile, cela ne cachait par ailleurs qu'à moitié sa foufoune dénudée, du moins tant qu'elle ne marchait pas! .....

Il poursuivit

- "C'est la tenue que tu porteras pour te rendre à ces deux adresses, et partout ailleurs tu pourrais être envoyée, sauf contre ordre...... Porte les ce soir chez toi..... Cela te permettra de t'accoutumer à cette tenue... "

Puis il se tourna vers l'esclave de monsieur Smith et lui intima :

- "Chienne, fais les sortir! ..."

Je saisis les vêtements que Jenny portait en arrivant et on se pressa de suivre "Chienne" qui nous emmenait vers la porte.

On n'échangea pas un mot en nous rendant à la voiture.

Je remarquais alors que nous marchions que cette micro toge que Jenny portait était plus faite pour attirer l'attention car cela affichait ses charmes plus que cela ne les dissimulait.

A chaque pas elle exposait une bonne partie de ses appâts.

Nous nous sommes empressés de nous asseoir sur les sièges de la voiture et on demeura là immobiles un long moment, incapables d'émettre un mot.

Je me sentais exactement comme si je venais d'être roué de coups alors que je n'avais été que le témoin des outrages infligés à ma pauvre Jenny.

Elle devait se sentir totalement désespérée.

Je démarrais la voiture et nous rentrâmes à la maison hébétés.

Je me garais aussi presque possible de notre pavillon et on attendit que plus personne ne se trouve dans la rue.

On se débrouilla pour regagner notre maison sans être vue de qui que ce soit, j'enlaçais tendrement Jenny alors qu'elle fondait en larmes.

Nous restâmes ainsi enlacés dans l'entrée pendant un long moment.

Lorsque finalement Jenny parvint à se calmer, je l'aidais à s'extraire de son minuscule fourreau et je la menais à notre lit.

Une fois qu'elle fut assise sur le lit je gagnais la cuisine pour nous ramener à tous deux un verre d'alcool.

Je m'assis alors à coté d'elle et la serrais dans mes bras.

On n'avait rien à se dire. Nous connaissions l'avenir qui nous attendait! .....

Si nous refusions quoi que ce soit une de nos sœurs prendrait notre place ou plutôt endureraient les mêmes épreuves à notre place.

Nous sommes restés assis, tendrement enlacés, pendant une bonne demi-heure Jenny jeta soudain un oeil sur ma montre et se releva vivement.

Je la regardais avec incompréhension, elle me dit alors :

- "Je dois trier mes vêtements pour sortir ce que je peux porter dorénavant! ...."

Je me levais et lui demandais :

- "Veux-tu un autre verre? ....."

Il se faisait tard et nous devions travailler demain, après avoir réfléchi quelques minutes elle hocha affirmativement la tête.

Je nous versais deux autres verres et la rejoignit dans notre chambre.

Elle avait les yeux rivés sur les toilettes.

Elle se souvint brusquement qu'elle avait été baisée par une douzaine d'hommes dans la soirée et qu'elle avait grand besoin de se doucher.

Elle gagna la salle de bain et prit une douche rapide avant de me rejoindre dans notre chambre.

Postée devant sa commode, elle réfléchissait se remémorent les fringues qu'elle devait choisir de mettre.

Elle n'avait pas une garde robe très fournie, les fringues qu'elle possédait étaient pour la plupart appropriée à son travail.

Mais maintenant elle ne devait plus s'habiller de façon appropriée à son boulot.

Elle avait aussi les vêtements qu'elle avait achetés à Ténérife et quelques autres qu'elle avait achetés pour mettre lorsqu'elle était d'humeur câline, et même parfois un peu salope, le plus souvent pour me plaire.

Elle mit de coté trois robes courtes mais portables au boulot, elle allait attirer l'attention notablement lorsqu'elle travaillerait avec de jeunes gens, mais elle n'avait pas le choix en fait.Elle mit aussi de coté deux mini-jupes et une paire de brassières, elle les avait déjà portés sans soutien-gorge pour me faire plaisir, ils étaient révélateurs mais pas transparents comme certains qu'elle possédait par ailleurs.

Elle fit un peu de place dans sa commode pour ranger ces effets et y suspendit le mini fourreau transparent qu'elle devrait porter dans les deux clubs qu'elle fréquenterait bientôt sur ordre de monsieur Eng, puis elle me rejoignit dans notre lit.

Je la tenais étroitement serrée contre moi, mais elle était très tendue, et nous sommes restés tous deux éveillées dans notre lit pendant longtemps.

Nous avons pris nos douches au matin et Jenny enfila une des tenues qu'elle avait sélectionnée.

Elle était courte et très sexy, totalement déplacée pour son boulot.

Nous ne savions pas ce qui se passerait si elle se voyait renvoyée à la maison.

La journée dura longtemps, interminablement, je ne parvenais qu'à me concentrer que sur les tâches routinières.

Je ne cessais de me rappeler la nuit dernière et combien cette nuit avait été terrible pour Jenny qui s'était fait violer par tous ces hommes.

J'étais tout autant écrasé de culpabilité parce que je devais admettre au fond de moi-même que la regarder se faire violer m'avait extrêmement excité.

Je me rappelais aussi la copulation de Jenny avec cette jeune femme surnommée "Chienne", je ne pouvais m'empêcher de bander en y repensant.

J'espérais que Jenny ne saurait jamais rien de cette coupable excitation que je prenais à la voir posséder par d'autres hommes ou de la voir s'accoupler avec une autre femelle.

Le soir je rentrais avant elle à la maison, elle arriva dans un état d'extrême nervosité et je vis que notre propriétaire indien lui emboîtait le pas.

Elle affichait un pauvre sourire en se retournant vers le proprio avant de refermer la porte dans son dos.

Je vis sa déception en constatant ma présence dans la maison, mais elle disparut instantanément lorsque Jenny se posta face à lui et commença à remonter sa robe.

Elle prit une profonde respiration et elle commença à déboutonner le devant de sa robe en lui disant :

- "Je crois que nous sommes partis d'un mauvais pied, je serai heureuse de me faire pardonner! ....."

Alors que Jenny enlevait sa robe, je me rappelais soudain ma tâche et je sortais précipitamment la caméra de son sac posé au sol à coté de ma chaise et je me mis à filmer la scène aussi discrètement que possible.

Visiblement, ma présence rendait notre proprio nerveux, mais il ne parvenait pas à détacher ses yeux des charmes de Jenny.

Une fois sa robe déboutonnée, elle le fixa dans les yeux et lui demanda :

- "Puis-je faire quelque chose de particulier pour m'excuser de m'être montrée si impolie avec vous la dernière fois? ...."

Il la regardait fixement muet d'émotion.

Jenny fit glisser la robe sur ses épaules et la repoussa sans se préoccuper de l'endroit où elle tombait.

Puis elle tendit la main et prit celle de notre proprio qu'elle attira contre son visage pour embrasser ses doigts avant de la lui placer sur ses nibards.

Il était sidéré, il se tenait devant elle bouche grande ouverte alors qu'elle promenait sa main sur ses somptueux nichons.

Elle laissa tomber sa main le long de son flanc et il continua d'explorer ses charmes de son propre chef.

Alors qu'il palpait ses miches elle posa la main sur l'énorme bosse déformant le devant de son pantalon.

Il flancha sous sa caresse et grogna comme s'il allait gicler dans son caleçon si jenny n'y prenait pas garde.

Elle lui sourit vicieusement et se laissa tomber à genoux pour déboucler sa ceinture.

Elle roula son pantalon sur ses genoux en lui demandant :

- "Aimeriez vous que je vous taille une petite pipe? ...."

Il hocha énergiquement la tête en signe d'acquiescement, et sa bite, plutôt modeste jaillit à l'air libre.

Elle l'embrassa et la lécha un instant avant de l'accueillir dans sa bouche la caressant sur toute sa longueur de ses lèvres embrasées, du gland aux couilles incluse.

Il flageola sur ses jambes, lui saisit la tête et se mit à grogner sourdement.

Je compris qu'il lui jouissait en pleine bouche.

Mais sa petite bite restait tendue et elle continua à le sucer avec application, cela ne prit pas beaucoup plus de temps cette seconde fois, à peine deux ou trois minutes.

Mais cette fois il cria dans sa langue originelle, aussi n'ai-je pas compris ce qu'il grommelait en lui emplissant la bouche.

Puis il remonta son caleçon et son pantalon, reboucla sa ceinture alors qu'elle avalait docilement sa semence, Jenny lui demanda alors :

- "Suis-je pardonnée? ..... Cela vous a-t-il plu? ...."

Il sourit et dans son anglais teinté d'un lourd accent indien il répondit :

- "Ce n'est qu'un début, mais la prochaine fois je voudrai profiter un peu pus largement de vos charmes! ...."

Et tandis qu'il parlait sa main bougea et glissa promptement dans le fentine de Jenny, je fus fort surpris de constater qu'elle était trempée.

Jenny répliqua alors :

- "Quoi que vous vouliez, je le ferai pour vous faire plaisir! ...."

Sur ces mots le proprio nous quitta et Jenny se rua dans la salle de bain et brossa ses dents pendant un long moment.

Lorsqu'elle revint vers moi, je préparais le souper.

Je lui avais servi un apéritif, elle s'assit à table et le sirota avec reconnaissance.

Je lui demandais alors comment s'était passée sa journée de travail.

Elle me répondit:

- "Bordel c'était extrêmement oppressant... Dès que je j'arrivais au boulot, mon superviseur me fit appeler dans son bureau et me questionna au sujet de mon changement de tenue......"

- "Je tentais alors de le convaincre que je voulais paraître plus féminine en espérant que cela pousserait les jeunes que j'avais en charge à se comporter en gentlemen avec moi....."

- "Je ne pense pas qu'il m'ait cru, mais il s'abstint de me renvoyer chez moi pour enfiler un pantalon et un gilet... "

- "Mais mes vrais ennuis commencèrent bien plus tard lorsque je me suis retrouvée en session de conseil avec un de mes jeunes voyous... "

- "Je tentais de l'aider à acquérir des habitudes de travail lorsqu'il se leva soudain me contourna et passa la main sous ma robe....."

- "Deux choses me frappèrent immédiatement : premièrement je me souvins que ce jeune homme était un orphelin nigérian et deuxièmement je compris c'est qu'il avait du apprendre ce que j'étais devenue..... Indubitablement il savait! ...."

- "Il savait qu'il pouvait faire tout ce qu'il voulait avec moi! ....."

- « Il se mit à me triturer les miches d'une main et de l'autre il extirpa une grosse mentule noire de son pantalon et se fit sucer dans mon bureau! ..... »

Une fois qu'il se fut vidé les couilles dans ma gorge, il me sourit et éclata de rire.

Il me dit alors que les choses seraient forts différentes dorénavant! .....

Puis il fit tourner ma chaise pour que je me retrouve face à lui troussa ma robe sur mes reins et glissa en force ses mains entre mes cuisses ajoutant :

- "Demain je goûterais à ta petite chatoune Jenny! ...."

- "Sur ces mots il planta deux de ses doigts réunis dans mon intimité et me doigta pendant de longues minutes avant de m'abandonner....."

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