Terreur à Ténérife

BÊTA PUBLIQUE

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Il se saisit de son verre et le lui tendit, elle en but une large rasade, Ha-rold arrangea le fin tissu de sa brassière de façon à ce qu'elle exhibe maintenant ses deux nichons, non seulement pour nous, mais aussi la foule des noirs qui se pressait autour de notre table, beaucoup d'entre eux préféraient nous regarder plutôt que de mater les couples sur la piste de danse.

Je ne savais pas comment nous allions nous tirer de ce guêpier et j'étais affolé.

Bien sur j'aimais voir Jenny allumer ses voisins, j'aurai même admis, dans mon fort intérieur, qu'elle ait des rapports sexuels avec un autre que moi tandis que je les regarderais fou d'excitation, mais actuellement nous avions perdu tout contrôle de la situation, et personne ne viendrait à notre aide.

Ils m'apparaissaient maintenant bien plus menaçants, d'autant plus qu'ils parlaient de nous en usant d'une langue que nous ne comprenions pas.

Nous savions qu'ils parlaient de nous, et plus spécialement de Jenny, mais nous n'avions aucune idée de ce qu'ils disaient et c'était follement angoissant.

Je regardais Harold tendre la main et jouer avec les mamelons de Jenny les amenant à se raidir, les étirant machinalement.

Et elle ne pouvait que rester passive lui permettant d'user de ses appât à sa guise.

Harold et ses deux amis discouraient de plus belle, puis il vidèrent leurs verres et se levèrent brusquement.

Pendant une seconde je pensais que notre épreuve se terminait, qu'ils partaient en nous abandonnant à notre sort! .....

Mais ce n'était pas terminé..

Harold fit relever Jenny et les nichons à l'air il l'entraîna vers la porte.

Un des colosses m'encadrant de chaque coté je dus les suivre. Je pou-vais voir Harold guidant ma femme sa grosse patte posée sur ses fes-ses. Sa main était glissée sous sa jupe qui était bouchonnée autour de sa taille alors que nous sortions de la boite.

Je tentais de leur dire que nous devions les quitter en m'interposant en-tre Jenny et Harold, mais j'étais tout autant sous leur contrôle que Jenny.

Nous marchions lentement vers le parking, nous nous sommes rassem-blés autour d'une camionnette.

Harold avait pris Jenny dans ses bras, il la serrait contre lui tout en lui roulant des patins passionnés tandis que ses mains inventoriaient ses charmes à son gré.

Elle avait lutté quelques secondes, mais, sachant que c'était en vain elle s'était résignée à le laisser faire.

Tandis qu'il l'embrassait, il posa sa main dans son cou et il dégrafa le nœud qui retenait sa brassière.

De toute façon, ses nibards étaient à l'air depuis un bon moment mais cela nous mettait mal à l'aise bien que cela plut énormément aux com-parses d'Harold.

Il devenait de plus en plus évident que Jenny allait se faire violer cette nuit même, et je réalisais que je n'avais aucune chance de l'empêcher quoi que je fasse.

J'aurai eu une chance minime si seulement quelqu'un pouvait nous voir nous débattre contre nos agresseurs, ils auraient pu venir à notre aide ou appeler la police.

Je ne croyais pas vraiment que cela puisse arriver, et je savais qu'une fois dans la camionnette nous n'aurions plus aucune chance de leur échapper.

Je me ruais sur Harold, mais je n'eus même pas le temps de l'approcher vraiment. Les deux salopards qui m'encadraient m'empoignèrent, l'un d'eux me tint tandis que l'autre me frappait à l'estomac, si fort que j'en eus le souffle coupé.

Je tombais à genoux en dégueulant, puis j'haletais douloureusement pendant quelques minutes.

Lorsque je repris mes esprits je me roulais en boule, mais ils m'empoi-gnèrent, me remirent sur pied et l'un d'entre eux me dit :

- "As-tu compris la leçon, ou bien doit-on te ligoter? ....."

Je vis que Jenny me regardait en pleurant.

Harold la tenait fermement, apparemment elle avait essayé de venir à ma rescousse et il l'en avait empêché.

Je jetais à Jenny un regard plein d'angoisse, mais nous savions tous deux que ne pouvions rien faire.

Je leur dis que je me comporterais docilement, et ils me lâchèrent.

Je me tenais debout, frottant mon estomac douloureux alors qu'Harold reprenait Jenny entre ses bras.

Nous nous trouvions dans un grand parking, un grand nombre de gens allaient et venaient à coté de nous.

Parfois ils s'immobilisaient regardant un moment Jenny à demi-nue, d'autres se contentaient de hurler des encouragements à Harold et ses complices.

Je ne comprenais pas leurs mots, mais le ton suffisait à ce qu'on com-prenne le sens de leurs encouragements.

Finalement Harold enleva les derniers vêtements de Jenny, puis il ouvrit la porte du van et poussa jenny à l'intérieur.

Harold s'assit sur un des sièges au centre de la camionnette et jeta les clefs à l'un de ses deux comparses.

Je fus poussé sur le siège passager avant. Le troisième noir s'assit à co-té d'Harold alors que Jenny dut s'agenouiller sur le sol couvert de mo-quette.

Alors que le van démarrait lentement pour sortir du parking, Harold sortit son épaisse queue de son pantalon et Jenny entreprit de le sucer alors que nous reprenions le chemin bordé de détritus.

Je le savais parce que chaque fois que j'essayais de fermer les yeux, ou de détourner mon regard du spectacle que m'offraient Jenny et Harold à l'arrière du van, l'homme assis derrière moi me frappait violemment der-rière la tête.

Le chauffeur matait le spectacle à l'arrière dans le rétroviseur tout en empruntant de petites routes étroites.

Je fus forcé de voir Harold se vider les couilles dans la bouche de ma malheureuse femme.

Elle s'étrangla, gargouilla et lutta pour avaler de larges doses de sa chaude semence, puis elle s'assit et recueillit de la pointe de la langue les quelques filets qui s'étaient étalés sur son menton.

Elle ramassa du doigt les reliefs qui s'écoulaient dans son cou et les lé-cha c'est alors que l'homme assit à coté d'Harold se redressa, saisit la chevelure de Jenny et l'attira entre ses cuisses.

Je ne l'avais pas vu sortir sa bite de son pantalon, mais il se tenait prêt, ventre tendu en avant, elle ne lui résista pas alors qu'il pressait son vi-sage contre sa bite érigée.

Elle ouvrit la bouche, l'emboucha et se mit à le sucer tout de go.

Cet homme ne se montrait pas aussi doux et patient qu'Harold l'avait été et Jenny en voyait de dures.

Comme elle se démenait pour le satisfaire cet homme avec sa bouche, Harold se posta à genoux dans son dos, et écarta ses cuisses en grand.

Il caressa quelques instants sa chatoune puis aligna sa bite sur l'entrée de sa grotte et la grosse bite noire fora son trou dans sa foufoune alors qu'elle continuait à sucer son suborneur de tête.

Le chevaucheur de tête ne put se contrôler bien longtemps et remplit ra-pidement la bouche de Jenny de son foutre crémeux. Mais il ne se retira pas pour autant.

Il lui laissa sa bite en bouche tandis qu'Harold lui martelait la foufoune, c'était insoutenable de la voir sans défense, violées par deux colosses noirs qui discutaient entre eux à son sujet et riaient de sa déconfiture.

Le chauffeur ralentit et se gara face à une petite maison dans un quartier populeux de la ville.

Nous regardions tous Harold continuer à baiser Jenny par derrière jus-qu'à ce qu'il se tétanise, agrippe ses hanches et se vide dans sa chatte non protégée.

Il resta en place pendant presque une minute avant d'extirper sa bite de sa chatoune, puis il lui saisit les cheveux et la disposa de façon à ce qu'elle puisse lui nettoyer la queue.

Elle tenta encore de lui résister le repoussant à de ses deux mains po-sées sur son ventre, mais il dit quelque chose à ses acolytes, l'un d'eux se redressa et me frappa violemment.

Jenny comprit le message et cessa de lui résister, embouchant la bite d'Harold pour la nettoyer à fond.

Les deux hommes dans le fond du van rangèrent leurs mentules dans leurs pantalons et sortirent du van, le chauffeur se releva, gagna l'arrière du véhicule et s'assit face à Jenny.

Il sortit son chibre, Jenny se posta face à sa bite frémissante sans même attendre qu'on le lui ordonne.

Elle referma ses lèvres sur le braquemart déployé et alors que la porte de la camionnette était grande ouverte, à la vue des passants elle fit de son mieux pour le sucer correctement.

Alors qu'elle le suçait avec ardeur, il tendit la main et lui malaxa rude-ment les nichons, étirant douloureusement ses mamelons, il rit et parla avec ses copains jusqu'à l'instant où il s'assit bien au fond du siège fer-ma les yeux et se vida à gros bouillon dans sa bouche asservie.

Jenny déglutit et avala l'épaisse purée puis elle lécha son méat lapant les dernières gouttes qui en suintaient.

Elle se rassit et il sortit du van remontant son pantalon à sa taille, les promeneurs passaient, ralentissaient, parfois même s'arrêtaient, regar-daient attentivement Jenny et reprenaient leurs routes.

Ils nous poussèrent hors du van et, au lieu de nous emmener dans la maison devant laquelle la camionnette était garée, ils nous firent passer le coin de la rue pour gagner une petite maison qui avait été convertie en un petit bar de voisinage avec une terrasse.

Toutes les conversations cessèrent alors que nous nous dirigions vers la grille, Harold et ses amis s'assirent dans le petit espace clôturé.

Il y avait environ deux douzaines de tables, presque toutes occupées, tous les consommateurs se turent et nous fixèrent Jenny et moi avec des yeux ronds comme des boules de billard alors que nous nous tenions de chaque coté d'Harold.

Je fuyais leurs regards, mais je jetais un coup d'œil circulaire et consta-tais qu'il y avait une demi-douzaine de couples discutant et buvant mais la plupart des tables étaient occupées par des clients mâles.

Après quelques secondes, quelques consommateurs saluèrent Harold et ses amis et les conversations reprirent

Ils semblaient tous parler le même dialecte dont Jenny et moi-même ne comprenions pas un mot.

Un serveur s'approcha de notre table, Harold et ses deux complices commandèrent alors que l'homme gardait les yeux rivés sur Jenny.

Dès qu'il nous quitta, un homme assis à une table proche se leva et nous rejoignit, il discuta un bon moment avec Harold et ses potes.

Ils explosèrent de rire et l'homme s'approcha de Jenny et posa ses mains sur ses nibards, il demanda lourdement en anglais :

- "J'espère que vous appréciez vos vacances? ......"

Tout le monde trouva cela hilarant. Jenny et moi nous étions figés, humi-liés alors que l'homme retournait à sa table.

Le serveur revint avec des consommations pour les trois hommes, ils la sirotèrent et discutèrent entre eux les yeux braqués sur Jenny, de temps à autre ils caressaient machinalement ses appâts.

On resta une bonne heure à cet endroit, de temps à autre des hommes se levaient et venaient inventorier les charmes de Jenny tout en discu-tant avec Harold et ses amis.

Personne ne semblait avoir pitié de nous, même les femmes virent plai-santer avec Harold mais elles se gardèrent de toutes caresses indiscrè-tes.

Lorsque Harold et ses deux comparses eurent fini leurs boissons, ils se levèrent et gagnèrent dans la maisonnette pour payer leurs consomma-tions.

Harold tendit au serveur qui, je pense, devait être le propriétaire des lieux, une paire de billets de banque, puis il poussa Jenny sur ses ge-noux face à sa braguette.

Le propriétaire descendit son pantalon sur ses genoux et Jenny le suça consciencieusement dans l'encadrement de porte.

La foule fit de nombreuses remarques lorsque nous sommes partis, il n'était nul besoin de comprendre leur langage pour comprendre la teneur de leurs commentaires! ....

Jenny semblait choquée, égarée.

Je n'avais pas eu une seule chance de lui parler depuis qu'Harold s'était imposé comme notre maître.

Je n'avais pas encore bien compris comment il s'y était pris, il ne nous avait pas menacés ni drogués, ni même abusés physiquement jusqu'à cet instant où nous avions quitté le parking de la boite de nuit.

Mais Jenny et moi comprenions qu'il nous dominait totalement et que nous n'avions aucun autre choix que de lui obéir aveuglément.

28 novembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
vraiment

dommage tu traduis maintenant seulement des histoires avec brutalite et sans finesse.

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