Dérapages. 03

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L'enfer continue pour Manon. Carla arrive.
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Partie 3 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2017
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L'histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d'être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n'aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d'aller au restaurant, commander un gratin d'aubergine, alors que vous détestez l'aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C'est moi, j'ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l'occasion d'une dispute, j'ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu'elle ne porte plainte, j'ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C'est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l'ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C'est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu'elle produit avec ses fonds propre. Je l'aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l'amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C'est ma fille. C'est une magnifique brune. Actuellement elle est en vacances chez sa mère pour trois semaines. Sa mère vit au Brésil avec son nouvel époux.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C'est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu'il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

A sept heures, je suis réveillé par Manon. Comme tout les matins maintenant, elle me réveille en me suçant. Le meilleur des réveils. Je lui dis d'accélérer, ce matin, ma fille Jess arrive avec sa copine. En bonne esclave, Manon m'obéit. Je crache mon sperme dans sa bouche. Elle avale tout. Puis elle serre ses lèvre contre mon sexe. Rendant sa cavité buccale complètement hermétique. Je me met alors à uriner, Manon avalant toute ma pisse comme je l'oblige à faire. Elle ne râle pas, mais sa grimace de dégoût me prouve que c'est un enfer à vivre pour elle. Ma belle-fille avale tout, n'en laissant pas échapper une goutte. Cette petite conne est vraiment devenu ma pute. J'en ai eus la preuve il y a trois jours de cela. Je joue aussi sur la souffrance psychique de Manon. A chacun de mes viols je lui dit que c'est de la faute de sa mère. Que si elle avait couchée avec moi normalement, rien de tout cela ne serait arrivé. A force de le lui répéter, j'espère que ça va lui rentrer dans la tête, qu'elle va y croire.

Ce jour-là, j'ai décidé de tester Manon. Pour cela, on est allé au grand centre commercial du coin : Direction huit mille. Je l'ai fait se vêtir en bonne petite salope. Un chemisier blanc, transparent, sans soutien-gorge. Une mini-jupe laissant voir aussi bien le bas de ses fesses que celui de sa chatte. Sans aucune culotte bien sûr. On a fait le tour du centre commercial. Tout les regards masculins se retournant avec envie, sur son passage. J'ai par contre remarqué, un homme dans la soixantaine qui nous file. Les yeux fixé sur le cul en parti dévoilé de Manon. Je vais voir si je me trompe ou pas. Je dis à ma belle-fille que l'on va aller boire un verre. On se pose dans un café en terrasse. On est les seuls clients. Le serveur prend notre commande. Quand il nous emmène nos sodas, le gars qui nous file, s'assoit en face de nous. Pile en face Manon. Je comprend que là où il se trouve, il a une vue plongeante sur ma soumise. Mais surtout sur son abricot.

- Écarte un peu les cuisses.

Honteuse, mais obéissante ma petite Manon obéit. Je vois que mon suiveur manque s'étranglait. Je me lève et m'approche de lui. Il me regarde ahuri.

- Elle te plaît?

- Qui ça?

- Allons, joue pas à ce petit jeu. Je t'ai vu nous suivre, t'asseoir en face de la petite pour la mater.

- Mais non, je vous jure!

- Allons, dis-moi la vérité. Je ne te ferais pas de scandale.

L'homme semble réfléchir. Il se dit finalement qu'il n'a rien à perdre. Après tout on est en public.

- Oui, elle me plaît vraiment.

- C'est ton jour de chance. Je vais me rasseoir à côté d'elle, attend deux minutes et rejoins-nous. Tu ne le regrettera pas.

Je vais me rasseoir près de Manon qui me regarde interrogative. Je ne dis rien. Elle reprend sa position de petit moineau fragile, en baissant les yeux. Deux minutes plus tard, le gars vient s'asseoir.

- Bonjour.

Je le regarde en souriant, et lui répond.

- Bonjour. Donc, si j'ai bien compris la petite pute à côté de moi vous plaît?

- Oui, bien sur.

- Dans quel but?

L'homme réfléchis, hésitant quand à la réponse à donner. Manon est mal à l'aise, mais ne bronche pas, après tout je suis le maître.

- Ben je ne sais pas. Cela dépend de ce qu'elle acceptera.

- Elle n'a pas son mot à dire. Elle fait ce que je dis! Si j'ai envie qu'elle aille baiser avec vous dans les chiottes, elle ira. Pas vrai Manon?

- Oui maître.

J'ai oublié de vous dire, depuis le lendemain de notre fête avec Paul, j'ai obligé ma belle-fille à m'appeler maître. Ce qu'elle s'est empressée de faire.

- Maître?

- Oui, cette chienne est mon esclave personnel. Alors, que voudriez-vous faire avec elle?

-Ben si c'est possible, coucher avec elle.

Manon sursaute à ces mots, mais ne dit rien.

- Bien. Combien voudriez-vous mettre?

- J'ai cent euros sur moi, je pourrais en mettre cinq fois plus si vous me faîtes crédit.

- Payez nos consommations et cela ira. Il y en a pour huit euros. Dix avec le pourboire.

- Quoi? Si peu?

- C'est déjà trop pour elle. Je ne sais pas si elle vous plaire. Elle est encore en face de dressage, je ne voudrais pas vous arnaquer en vous louant une petite truie pas encore baisable. C'est une putain, mais une mauvaise putain.

Manon est humiliée par mes mots, mais ne dit toujours rien. L'homme manque s'étrangler. Il fait signe au serveur, sort dix euros de son portefeuille, il lui dit de garder la monnaie. Je souris.

- Parfait, aller aux chiottes avec elle, ma petite chienne fera ce que vous voulez.

- Pour combien de temps?

- Le temps qu'il vous faudra pour bien jouir de ses atouts de femelle. Vous l'avez grassement payé, alors profitez-en bien. Par contre interdiction pour elle de se nettoyer.

L'homme est surpris de ma dernière parole, mais il ne dit rien, se contentant de se lever, aussitôt imité par ma belle-fille. Je les regardent s'éloigner. Une fois hors de vue, je sors mon téléphone pour me plonger dans un jeu vidéo.

Manon et son client se sont dirigé vers les chiottes trois étages plus haut. Bien entendu, n'étant pas là, je ne peux vous raconter ce qu'il c'est passé, seulement d'après les dires de Manon. Ils sont allez devant les WC. Le centre étant désert, il n'y a pas grand monde, pour ne pas dire personne. Le gars est quand même aller voir dans les WC hommes. Il a ensuite fais signe à Manon d'entrer. Ils se sont mis dans le toilettes handicapés, beaucoup plus spacieuse.

- Je me déshabille?

- Oui, j'aimerais te voir nue, quoique tes vêtements ne cachent pas grand chose.

Malgré la situation dégradante dans laquelle elle se trouve, Manon obéit à l'homme. Elle enlève ses habits, qu'elle laisse tomber au sol. Lui dévoilant son superbe corps. La jeune fille s'agenouille ensuite devant lui, lui défait la ceinture, fait descendre le pantalon. Elle approche son visage, attrape le caleçon de l'homme avec les dents. Elle le fait descendre. L'homme a un sexe de taille moyenne, dans les dix-huit centimètres. Rien avoir avec le mien. Manon l'avale, y mettant toute sa science de la pipe. Elle enserre le pieu de ses lèvres de velours, caresse l'engin de sa langue. En regardant l'homme dans les yeux, elle commence à faire aller-et-venir sa tête le long du pieu masculin. L'enfonçant petit à petit dans sa gorge. Rapidement l'homme ne tarde pas à jouir. Commençant dans la bouche de Manon, avant de finir sur son joli visage. Une fois qu'il eut fini, elle enfourne de nouveau la bite, la nettoie, ne la laissant ressortir, seulement quand plus aucune trace de sperme ou de sperme ne l'orne. L'homme est encore bandé. Manon se redresse, elle tend sa croupe vers le gars.

- Vous pouvez m'enculer à nu. Je suis propre de l'anus, de toutes les façons je vous nettoie le sexe avec ma bouche. Sinon, si vous préférez ma chatte, ce sera avec une capote. J'en ai dans mon sac. Je boirais votre jus d'homme qui se trouvera dans le préservatif et je vous nettoierez la bite avec ma bouche.

- Joli menu. Je vais prendre la sodomie à nu.

- Bien. Je risque de pleurer pendant l'enculage, car je déteste cela. Mais ne vous arrêtez-pas, c'est un détail.

Manon relève un peu sa croupe pour offrir son anus à son client. L'homme s'approche de Manon, insère son pieu entre les fesses serrée de la belle. L'anus s'ouvre facilement, le gobant en entier. Manon geint de douleur, contractant toujours autant son anus, rendant la sodomie encore plus douloureuse pour elle. La jeune fille se mord les lèvres pour ne pas crier. Des larmes coulent sur ses joues. Néanmoins elle resserre les fesses pour que son conduit soit le plus étroit possible pour son enculeur. La douleur est énorme, mais Manon, maintenant habitué à cette dernière, se contente de subir la bite du mâle.

Le fourreau est tellement délicieux, que l'homme ne tarde pas à secouer de plus en plus fort la magnifique jeune fille. Manon grogne quand il se vide dans ses entrailles. Mais dès qu'il ressort de son corps, elle s'agenouille, gobe le sexe de l'homme et le nettoie de sa langue.

- Si vous voulez, j'ai des pilules pour que vous rebandiez. Vous pourrez me baiser de nouveau comme cela. Je vous rassure c'est que du naturel, aucun produit chimique.

- Je veux bien, mais plutôt chez moi alors.

- Pour ça, il faut demander à mon beau-père.

- D'accord, allons-y.

L'homme ne dit rien quand elle lui dit que je suis son beau-père. Ensuite Manon se rhabille, sans essuyer le sperme séché sur son visage, ni celui qui coule de ses fesses. Humiliée, elle sort des toilettes avec le gars. Manon sent qu'on la regarde. Ce n'est pas tout les jours que les gens voient une jeune fille avec du sperme séché sur le visage et entre les cuisses. Heureusement, il y a peu de clients, la plupart sont âgés, aucun ne pense à de la semence masculine. Moi, je souris en voyant le couple arriver, surtout vu l'état Manon. Ils s'assoient, ma belle-fille ne dit rien, se contentant de baisser les yeux et la tête. Honteuse et humiliée.

- Elle à été bien?

- Géniale. Une vraie artiste du cul.

Je caresse la cuisse de Manon qui sursaute.

- C'est bien, tu es une bonne pute.

L'homme reprend.

- Elle m'a parlée d'une pilule que fait bander.

- Intéressé?

- Si je peux m'en servir avec elle, oui.

- Certainement. Elle est faîtes pour ça. Ce n'est pas une humaine, juste un objet sexuel, fait pour le plaisir des hommes.

- Parfait, combien?

- Il y a deux tarifs. Seul avec elle, c'est vingt euros la nuit. Si je participe, c'est gratos.

- Vous participez?

- Oui, on la baise à deux.

Manon trésaille en entendant mes mots, se souvenant de sa nuit douloureuse avec Paul et moi. Mais bien entendu, elle ne dit rien. Cette fameuse nuit en a fait la parfaite petite esclave. Soumise, endurant tout les caprices de son maître. Douloureux ou non.

- A deux, c'est à dire l'un après l'autre?

- Non, ensemble.

- Elle fait ça? Parce que elle est vraiment très étroite.

- Ses orifices sont souple. Alors?

- Ben je suis d'accord pour me la faire avec vous. A deux cela peut être sympa.

Je peux vous dire, que pour être sympa, ce fut sympa. Même si cela ne le fut vraiment pas pour ma douce Manon. On l'a baisée tout la nuit. A deux la plupart du temps, la faisant crier et supplier. Mais jamais elle ne s'est débattue. Puis après que je fut parti dormir dans le canapé, l'homme ne je ne connais toujours par le prénom, c'est amusé seul avec elle. Histoire de l'humiliée encore plus, on est rentré chez nous sans qu'elle puisse se laver. J'ai juste mis deux serviettes sur son siège, pour qu'elle ne le souille pas avec tout le sperme qui s'écoule d'elle. Bien entendu, j'ai été le seul à la prendre dans la chatte sans capote. C'était la première fois que j'ai fais faire la pute à Manon. Ce fut une réussite totale. Je pense que ce ne sera pas la dernière.

Après avoir bu mon urine, Manon se redresse. Elle me regarde, le regard résigné.

- Vous avez encore besoin de moi, maître?

- Non, tu es dégueu, va te laver les dents et prendre une douche. Tu pue la pisse et le sperme.

Sans un mot, Manon se lève. Je mate avec envie son petit cul parfait. Je décide d'attendre un peu et d'aller l'enculer sous la douche. Il ne faut pas que j'oublie que Jess passe ce matin, avec sa petite amie. J'attends dix minutes avant d'aller dans la salle d'eau. Quand elle me voit rentrer, ma belle-fille, s'appuie contre le mur, offerte à ma bite. Je ne me fais pas prier, je la rejoint, me colle à elle, et l'encule d'un seul coup, la faisant crier. J'ai jouis une fois dans son cul, avant de lui défoncer le vagin, il ne faudrait pas que j'oublie de la mettre enceinte. Une fois que j'ai fini de la prendre, Manon reste de longues minutes, agenouillée sous la douche, en pleures. Je n'oublie pas d'en rajouter sur la faute de sa mère dans les souffrances de Manon.

Je suis allé ensuite m'habiller. Je me suis vêtu classe, après tout j'allais accueillir la première petit amie que ma fille me présente. Un jeans de marque, et une chemise blanche. Que je met par dessus le jeans. J'ai aussi préparé les vêtements de Manon. Une robe courte et décolletée, sexy mais pas pute. Quand elle est rentrée dans sa chambre, elle m'a regardée surprise de ma présence.

- Je ne pensé pas que tu arriverais si vite.

Je regarde l'heure.

- On a un peu de temps, viens me sucer.

Sans rien dire, Manon est venu me faire sa fellation. Mais je n'ai pas jouis dans sa bouche, je l'ai fini debout, au milieu de la pièce, lui défonçant le vagin. Une fois que j'ai eus juté dans sa chatte, je l'ai essuyée avec le petit string que je lui ai préparé. Ensuite je l'ai regardée s'habiller, puis se maquiller. Putain ce qu'elle est belle. A peine maquillée, ses yeux ressortent magnifiquement. Son rouge à lèvres vif rend sa bouche encore plus pulpeuse. La robe met en valeur ses seins, la cambrures de ses reins. Si je m'écoute, je la prends comme ça, sauvagement par derrière. Mais bon, je n'ai pas le temps, ma fille ne va pas tarder, je me rattraperais après.

- Allez, Manon, on descends.

Ma belle-fille va pour passer devant, mais je la retiens par le bras. Je la colle à moi, tout en lui roulant une galoche. Surprise, elle hésite avant de répondre à mon baiser. Elle est humiliée d'être aussi coopérative, mais elle n'a pas le choix.

Quand le taxi rentre dans la grande allée de ma villa, je suis dans le salon, en train de boire un café avec Manon. Il est neuf heures pile. Quand j'entends le taxi repartir, j'ouvre la porte. Là je reste figé. Les paroles de Paul me revenant sans cesse en tête. Je les chassent immédiatement, me concentrant sur Jess et sa petite amie, Anne. C'est incroyable, ce sont deux déesses qui arrivent. J'ai d'abord du mal à reconnaître Jessica, ma propre fille. Quand à sa copine, j'ai du mal à ne pas rester bouche-ouverte devant son charisme, il émane d'elle une puissant sensualité. Il me semble que je suis arrivé au paradis, tant les deux anges que je voient sont magnifique. Tout d'abord, ma fille, je la vois pour la première fois habillée aussi classe et sexy. Elle porte un tailleur, qui lui arrive à mi-cuisses, ainsi qu'une chemise blanche. Je n'ai jamais prêter attention à ma fille. Enfin je veux dire que je l'ai fais seulement comme un père, jamais comme un homme. Mais putain ce qu'elle est canon. Sa copine porte une petite robe d'été. C'est une magnifique rousse, à la peau de porcelaine, aux yeux bleus. Elle est pulpeuse, quelques kilos en trop, mais que la rende putain de bandante. Des seins lourds, un cul qui va avec, un peu large, mais qui donne vraiment envie de la sodomiser. Je bande illico-presto, heureusement que ma chemise est longue, cachant le gonflement de mon pénis. Je fais la bise à Anne, j'enlace ma fille. Ses gros seins ferme, achève de me faire bander comme un fou quand ils appuient contre mon torse.

- Papa, je te présente Anne, l'amour de ma vie.

- Enchanté Anne.

La jeune femme me fait un sourire radieux qui me fait fondre.

- Jess, ta copine est magnifique. Je te garantis que je la trouve plus belle que tout les mecs que tu auraient put me présenter!

Les deux filles rigolent de ma blague. Jess me regarde.

- Tu es seul?

Non, mais ta belle-mère est à Londres.

- Je sais. Tu me l'as dis. Je voulais parler de Manon.

- Elle boit un café dans le salon. Elle va pas trop bien, une déception amoureuse.

- Merde, la pauvre.

- Ne lui en parlez-pas, c'est récent.

On entre dans la villa, on va rejoindre Manon, qui fait un sourire triste à Jess et Anne. Aucune des deux ne lui dit quoique ce soit sur sa supposée rupture. J'en ai appris un peu plus sur les contrats de ma fille. Elle allait devenir riche, très riche. Elle rentrerait même dans le classement des 100 femmes les plus riche d'Europe. Il faut dire que sa création informatique, en fait la forteresse la plus inviolable du monde. Le fort Knox du monde informatique. Sans parler de son contrat pour la refonte de l'image de la célèbre banque de son beau-père. Jess s'assoit avec Anne sur le canapé, où j'ai violé tant de fois ma douce et tendre Manon. Manon et moi, nous asseyons chacun dans un des fauteuils se trouvant en face. Je manque m'étranglais, j'ai une vue plongeant sur la petite culotte rose de Anne. Je dois me forcer à détourner le regard. On discute longuement. Finalement Anne ne part terminer sa scolarité que dans six mois. Je promets à Jess de discuter avec Carla pour notre installation à Paris. Je lui promet aussi, de prendre au minimum une résidence secondaire dans la capitale. D'y rester au moins pendant l'absence de Anne pour ses études. Ainsi Jess ne restera pas seule. J'ai jeté discrètement de nombreux coup d'œil sur Anne, surtout sur sa culotte. Nous avons ensuite déjeuné, avant que les deux filles ne repartent. Le taxi est à peine reparti, que je me jette sur Manon. Je la plaque sur la table, je lui écarte la ficelle de son string, je l'encule directement. Après avoir jouis dans son cul, je lui prend la chatte deux fois. Le tout sans avoir eus recourt aux pilules données par Radiu. Je l'ai violée tellement sauvagement, que ma belle-fille n'a cessé de crier et pleurer tout le long de nos rapports.

Je me gave de pilule, passe mon temps à enculer ou baiser Manon. Sans oublier sa bouche bien sûr. Je l'ai offert à d'autres hommes trouvés dans des bars. Aucun n'a refusé de la prendre. Comment pourrait-on dire non à un tel canon. A chaque viol, à chaque prostitution, à chaque humiliation je n'oublie pas de lui dire que tout est de la faute de sa mère, que sans ma frustration, rien de tout ce qu'elle endure ne serait arrivé. Je l'ai obligée à laisser pousser les poils de sa chatte. Bien sûr elle doit entretenir sa touffe. Un magnifique duvet de poils blonds et fin orne son bas-ventre. Comme sa mère, Manon est une vrai blonde. Quatre jours après le départ de Jess, Manon à eut ses règles. J'ai continué à la baisé dans le vagin malgré tout. Je peux vous dire que ma Manon a détestée me sucer avec son sang sur ma bite. Surtout que cette conne à des règles assez abondante. Mais rapidement, elle regrettera ce moment. Paul est venu directement à son retour. On a profité de Manon comme des fous. Ma belle-fille passe son temps à se faire baiser par moi, Paul ou d'autres hommes. Étonnamment, elle reste aussi étroite du vagin comme du rectum. Il y a un autre changement. A force de se faire violer, ma belle-fille mouille quand je la baise. Son corps se lubrifiant pour faciliter nos rapports forcés. Comme si les multiples pénétrations n'avait aucun effet sur l'étroitesse de ses orifices femelles, ma belle putain me serre autant la bite de ses orifices. Puis un matin, Manon me réveille comme à son habitude en me suçant, avant de boire mon urine directement à la source. Mais bizarrement, ce matin là, elle pleure en me suçant, comme en avalant mon urine. Ce qu'elle ne fait plus depuis plusieurs jours. Après ma douche, je descend. Manon pleure, assise à la table du salon. Se tenant la tête dans ses mains. Je l'interroge, légèrement inquiet.