Dérapages. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Carla hurle :

- Manon! Léo! Arrêtez! Vous êtes fou!

Sans lui répondre, je met ma bite entre ses fesses fermes. Sa fille se met à lui taper le cul, fort, très fort.

- Tu va voir maman, ce que sont les joies de la fessée et de la sodomie. Comme je les aient connu avec Léo.

- Non! Léo! Léo! Pas ça, pitié, pas ça!

Ma compagne a une phobie de la sodomie. Pourtant tout au long de notre relation, je n'ai jamais tenté de la prendre par là. Mais j'ai trop envie de son cul, je vais en faire ma putain, comme sa chienne de fille. Je lui écarte ses jolies fesses, je commence à forcer comme un malade. Carla hurle, tente de se soustraire, mais Manon l'en empêche. Son anus est au moins aussi étroit que celui de Manon lors de son dépucelage, pour ne pas dire encore plus étroit. Je manque éjaculer rien qu'à l'idée de tout ce que je prévois de faire à Carla. J'ai beau forcer comme un malade, rien n'y fait, ma bite ne veut pas rentrer. Je refuse de mettre de la vaseline, je veux l'enculer à sec, que cette putain ressente tout de sa première sodomie. Manon me regarde, les yeux emplis de haine.

- Tu as du mal à enculer cette chienne, laisse moi te sucer, tu verras, avec la bite pleine de bave ça rentrera mieux. Comme pour moi!

Décidément, Manon m'étonne. Je pose ma bite sur la fesse droite de Clara.

- Fais-toi plaisir!

Ma belle-fille se penche en avant, elle ouvre la bouche. J'y enfonce ma bite, qu'elle s'empresse de mouiller de salive. Au bout de quelques secondes elle retire sa bouche de mon pieu.

- Vas-y, cela sera largement suffisant pour que ça rentre!

Manon a fait du bon boulot, ma bite est bien lubrifiée, mais juste ce qu'il faut pour faciliter la pénétration, vraiment pas assez pour diminuer la souffrance, qui se profile, de Carla. Ma compagne n'a pas cessé de supplier, mais ni Manon, ni moi, n'avons répondu à ses supplique. Pour tout dire, on ne les a même pas écoutés. Je remet donc mon mandrin entre les fesses merveilleuse de Carla. A ce moment précis, je n'ai plus aucun sentiments pour elle. Carla n'est plus humaine, juste un morceau de chair destiné à me donner du plaisir. Un plaisir qui veux dire de la douleur pour elle. Je me remets donc à forcer pour la pénétrer. La salive fait son office, mon gland entre dans le trou du cul de ma belle. Accompagné d'un hurlement atroce de sa part, ainsi que d'une ruade qui manque désarçonné Manon. Je viens d'inventer le rodéo sexuel. Un second coup de reins, suivit d'un troisième achève de faire pénétrer en entier dans l'orifice vierge. Mon ventre se trouve contre ses fesses, mes couilles contre l'entrée de sa vulve. Je vous le confirme, les entrailles de ma compagne sont encore plus étroites que celles de Manon. Cela doit-être un tic de famille, car la mère contracte autant son intérieur que la fille. Carla agonise hurlant de douleur, suppliant. Tout son corps ne se résume plus qu'à son petit trou, tant la douleur qui émane de lui est puissante, violente, vrillante. Je viens de lui dépuceler l'anus de la plus terrible des façons. Je reste quelques secondes immobile dans le corps de ma victime. Corps qui est secoué de spasme sous l'effet de la souffrance.

- Sors, Léo, par pitié, sors!

- Non.

- Je ferais ce que tu veux. Je te le jure, je ferais tout ce que tu veux. Je ne te refuserais plus rien, je te le promet!

- Trop tard!

- Non! Non! Je t'aime encore, tu pourras me baiser tout les jours. Mais arrête, par pitié, arrête, tu vas me tuer!

- C'est vrai?

- Juré! Tu pourras même me baiser plusieurs fois par jour! Si tu arrête de m'enculer, je serais la meilleur femme que l'on puisse rêver! Tu pourras même continuer à coucher avec Manon!

L'offre est tentante, j'ai rêvé qu'elle me dise cela tellement souvent! Sauf en ce qui concerne Manon, je n'ai jamais fantasmé sur elle avant que je ne la dépucelle.

- Tu me le jure vraiment Carla?

- Oui, je te le jure sur tout ce que j'ai.

- D'accord, on va essayer. Mais au premier refus, je t'encule de nouveau!

- Ce que tu veux! Tout ce que tu veux, mais sors, par pitié, sors.

Je commence alors à me retirer lentement, faisant ressortir ma bite de l'anus de Carla, la tenant par les hanches.

- Merci, vraiment merci Léo.

J'ai fait un tiers du chemin, j'y vais vraiment doucement. Je vois que ma bite est tachée du sang de son dépucelage anal, ainsi que de tache marron, plus suspecte. J'en suis maintenant à la moitié du chemin. Carla, toujours en larmes, me remercie encore.

- Tu verras, j'accepterais chacune de tes pénétrations si elles sont vaginale ou buccale.

Les deux tiers de mon engin trop gros, trop long, trop large pour le conduit, sont dehors.

- Je serais la compagne que tu as toujours rêvée. On oublieras tout ça! Je te promets, tu ne regrettera pas! Je t'aime tellement.

Seul mon gland est encore en elle.

- Merci, je ne pourrais jamais te remercier assez de ton beau geste.

Il ne reste plus que la moitié de mon gland dans le sphincter défoncé. Encore un petit effort et ce sera fini. Je serre un peu plus ses hanches.

D'un violent coups de reins, je me propulse en avant, m'enfonçant de nouveau en elle de toute ma longueur. Son hurlement est à la hauteur de sa souffrance, de ses espoirs déçus.

- C'est vraiment trop tard Carla. Fallait-y penser avant, maintenant je vais aller au bout!

- Non, Léo, pitié, je...

La fin de sa phrase se termine dans un nouvel hurlement. Un hurlement glaçant. Que la plupart des hommes trouverait horrible, mais qui résonne en moi comme la plus merveilleuse des musiques. Je deviens fou de lubricité. Je me mets à la violer comme un soudard, lui donnant les coups de reins les plus puissant possible. Je ne suis plus humains, je ne suis plus qu'une bite qui veut jouir le plus longtemps possible de ce conduit serré, soyeux, accueillant. Je ne suis plus qu'une bête sauvage qui veut faire le plus de mal possible à sa proie, la broyer, la détruire, la défoncer. Le goût du sang plein la tête, je me venge la plus méchamment possible, des années de frustration que m'a fait vivre Carla. Je la défonce, la massacre, la détruit, de mon pieu devenu arme de destruction anal. Quand je jouis en elle, mon orgasme est tellement puissant, fulgurant, béatifiant, que je manque m'évanouir. Je viens de violer la femme avec qui je vie depuis quinze ans. Je suis un monstre, un violeur, mais j'adore tellement ça!

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
2 soumises

Léo passe finalement assez facilement d'une à deux soumises.

Que de belles perspectives avec ces deux femmes. Et probablement il engrossera aussi sa femme

Rudy

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