Dérapages. 03

BÊTA PUBLIQUE

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- Il t'arrive quoi?

- J'ai du retard dans mes règles.

- Beaucoup?

- Une semaine.

- Bon, on va faire le test.

- Si il est positif, je fais quoi?

- Je te l'ai déjà dit, tu le gardes.

Manon pleure de plus belle.

- S'il-te-plaît, ne me force pas à avoir un enfant de toi.

- Pourtant je le fais. Tu refuses?

Manon se crispe à mes paroles. Elle sait que la punition risque d'être terrible pour elle. La terreur que je lui inspire, l'emporte sur le dégoût profond de porter un enfant de moi.

- Non, non, je ne refuses pas.

- Bien, je préfère cela. On va aller acheter un test de grossesse à la pharmacie.

J'ai appeler le VTC qui m'a emmener en ville quand j'ai pris les pilules à Radiu. C'est Manon qui est allé chercher les tests, moi je suis resté dans la voiture. Ensuite nous sommes rentrer à la maison. Ma belle-fille à offert un joli pourboire au chauffeur, une splendide fellation. Je lui ai fait prendre deux tests de grossesse. Manon à fait le premier qui c'est révélé positif. Elle est humiliée que je l'oblige à le faire devant moi, elle n'aime pas que je la regarde uriner. Pourtant elle boit ma pisse, allez comprendre les femmes. Ensuite, entre deux baises, elle est allée faire le second, qui lui aussi c'est révélé positif. C'est confirmé, ma belle-fille est enceinte. Je lui ai fais immédiatement prendre rendez-vous chez un gynéco, je veux que sa grossesse se passe le mieux possible. Carla va être grand-mère. Je regarde Manon l'air grave.

- Tu vois ma douce putain, sans ce que ta connasse de mère m'a fait, rien ne serait arrivé. Enfin, je dois plutôt dire à cause de ce qu'elle ne m'a pas fait. Si elle avait fait son devoir conjugal, tu ne serait pas enceinte, tu vivrais ta vie de jeune fille, heureuse comme tu l'étais avant.

- Je sais, maître.

La réponse de Manon me remplit de joie. Mon acharnement à marché.

Le temps passe, Carla arrive demain. Manon est maintenant une bonne chienne. Paul à enfin put jouir dans sa chatte. Je continue à lui faire mettre la capote avec les inconnus. Je ne voudrais pas que mon petit jouet tombe malade. J'ai bien expliqué à Manon comment elle devait se comporter quand sa mère serait là. A coups de gifles, j'ai voulu lui faire rentrer mes consignes bien au fond de son cerveau. Pour la baiser, je la prendrais pendant que sa mère sera au taf, ou bien dès que possible quand nous serons tout les trois à la maison. J'ai finalement repoussé d'un an ma rentré comme prof, quand à Manon, je l'ai retirée de l'école. Je la veux totalement à ma disposition. J'ai rangé les capotes et les ustensiles que j'ai acheté au sex-shop au sous-sol. Le sous-sol court sous toute la maison, j'ai profité des trois mois sans Carla pour l'aménager un peu plus à mon goût.

Carla arrive enfin. Elle a mit une petite jupe, assez courte. Un petit top bien tendu par son imposante poitrine. Quatre-vingt-dix C, une paire de sein merveilleuse. Ma compagne a maigri, ce qui renforce encore sa beauté. Malgré ses trente-neuf ans, Carla est somptueuse. Dans l'aéroport elle fait de l'ombre à toutes les femmes. Jeune ou moins jeune. On s'embrasse longuement.

- Je suis heureuse de te revoir, mon amour.

- Moi aussi mon cœur. Tu as fais bon voyage?

- Parfait, après c'est court comme vol. Manon n'est pas avec toi?

- Non, elle t'attend à la maison. Ta fille est victime d'un chagrin d'amour. Mais elle est impatiente de te voir.

- OK, je vois.

- Ton film c'est bien passé?

- Super, on est en route pour les oscars, les césars, et un grand succès commercial.

- Excellent ça.

Tout en parlant on se dirige vers ma voiture, qui est garée au parking.

On monte dans mon véhicule, sa jupe remonte, j'ai une vue plongeante sur sa petite culotte noire. Je lui caresse la cuisse, lui roule une pelle. Je lui murmure à l'oreille :

- J'ai envie de toi.

- Ce soir, ça va être compliqué, je n'ai plus de pilules, et je suis dans ma meilleure période d'ovulation.

- Mince, ça fait trois mois que je n'ai rien fait.

- Je sais mon chérie.

Carla me caresse la joue, me fait son sourire qui me fait tant craquer.

- Pourquoi tu n'as pas fais faire une ordonnance pour ta pilule?

- Tu sais que je déteste aller chez un gynéco que je ne connais pas. Il était hors-de-question que j'aille en voir un à Londres. Si je n'en ai pas pris d'avance, c'est que je n'en avais pas besoin. Je ne partais pas à Londres pour me faire sauter.

- J'espère.

- Mais si tu veux, je peux te sucer. Pendant que tu conduis, comme quand on étais jeune.

En effet, jeune Carla me suçait souvent. Je pensais alors que c'était parce que elle aimait ça. En fait, elle me savait crevé avec l'entraînement militaire. Je ne pouvais que rarement repartir pour un second round. En me faisant me vider dans sa bouche, elle s'évitait ainsi de devoir me donner sa chatte. Moi ça m'allait très bien.

- Super idée ça. Je sors de la place, et en route!

Alors que je manœuvre, ma compagne sort un paquet de kleenex de son sac à mains.

On est à peine sortit du parking, que Carla s'est penchée sur moi, m'a déboutonné le jeans. Elle a sortit mon pieu, qu'elle s'est empressée de mettre dans sa bouche. Ma compagne est une merveilleuse suceuse. Même Manon, qui est pourtant très douée, n'arrive pas à sa hauteur. Dommage que je ne puisse pas demander l'aide de la mère pour former la fille. Je conduis difficilement, pas évident de le faire quand on vous fait une fellation. Je n'arrive plus à conduire, il faut que je me gare. On est sur la nationale, je décide de prendre une bifurcation, je me gare dans un coin tranquille. Je caresse le crâne de Carla d'une main, tandis que de l'autre, je lui soulève le top. Je dénude ses seins, je me mets à les masser. Le plaisir monte rapidement.

- Je vais jouir.

Elle grommelle son assentiment sans cesser de me sucer. Dix secondes plus tard, j'éclate dans la bouche de ma compagne. Une fois que j'ai fini, Carla remonte sa tête. Elle prend un Kleenex et crache mon sperme dedans. Elle m'en tend un pour que j'essuie mon sexe. Décidément, elle est moins bien dressée que sa fille.

J'ai repris ma route, on discute avec ma compagne.

- A partir de demain, je vais bosser pas mal, encore plus qu'avant.

- Pour ton film?

- Non, il est en post-production, Hervé s'en occupe.

Hervé est un peu l'homme de confiance de Carla. Tant est, qu'elle est confiance en quelqu'un dans le travail. Si ma femme est drôle, sensible, douce dans sa vie privé, c'est une véritable harpie dans le taf. Tout ses employés la craigne et la déteste. Heureusement qu'elle les paient bien.

- Non, je vais doubler le nombre de mes contrats. Même si il n'est pas sorti, le film à fait du bruit dans le milieu. J'ai déjà cinq demande de financement pour des films à moyen et gros budget. Donc de quatre films produits en moyenne en même temps, je vais passer à dix.

- C'est super ça. Tu vas donc devoir embaucher.

- Tu parles, c'est des branleurs, ils vont vraiment se mettre à bosser. J'ai près de vingt collaborateurs, mais aucun qui tienne la route.

C'est la seule part de ma femme qui m'énerve vraiment. Son comportement avec ses collaborateurs. On s'est souvent pris la tête là-dessus. J'ai beau lui dire que l'esclavage est abolit, elle s'en fout.

- Il va falloir que je trouve aussi des bureaux. Puis ici, on est loin de Paris, il va sûrement falloir que j'ouvre une succursale là-bas. Par contre là oui, je vais devoir vraiment embaucher.

- C'est une coïncidence de fou. Jess est passée, elle a signée deux gros contrats. Elle installe sa société à Paris. Elle m'a proposée que nous nous installions là-bas nous aussi.

- L'idée est géniale, on pourrait même louer des bureaux plus grand pour que nos deux sociétés s'installent!

- Super ça. Tu devrais l'appeler.

- Il y a juste un problème...

- Lequel?

- Manon, est-ce-qu'elle va vouloir partir sur Paris. Je ne laisserais pas ma fille seule ici!

J'ai eus envie de lui dire que sa petite putain ferais ce que je lui dirais. Mais je me suis abstenu.

- Ben, j'ai prévu d'acheter au moins une résidence secondaire sur Paris. Manon étais là, quand j'en ai discuté avec Jess, ta fille a été emballée par l'idée. Elle m'a même demandée de ne partir que pendant les vacances scolaires, pour qu'elle puisse venir avec nous.

- Super nouvelle ça! En cas on peux tous en discuter ce soir?

- Oui, c'est d'accord.

On a continué à parler de divers sujets pendant le reste du trajet. A aucun moment je ne lui ais dis que Manon a arrêtée l'école, encore moins qu'elle est enceinte. Bien entendue on ne dira pas à Carla que c'est moi le père.

Quand on est arrivés, Manon s'est jetée dans les bras de sa mère. Elle était en bikini. Comme avant que je la viole, elle passait ses journées à la piscine de la maison, je n'ai pas voulu qu'elle change ses habitudes. Il ne faut pas que sa mère se doute de la moindre des choses. En bonne petite esclave, Manon m'a obéit. Mais cela a été plus fort qu'elle. Manon à serrée sa mère dans ses bras, elle s'est mise à pleurer.

- Pourquoi tu pleures ma chérie?

- Tu m'as tellement manquée maman.

- C'est gentil, mais tu étais avec Léo. Ça ne c'est pas bien passé vous deux?

- Si, il a été super. Mais ce n'est pas pareil que toi.

Manon est une bonne actrice, même moi j'y croirais presque.

- C'est gentil.

Carla se recule pour regarder sa fille.

- Tu n'as pas un peu grossis toi?

Si elle est enceinte de presque trois mois, cela ne ce voit pas encore.

- La bouffe de Léo, tu connais maman.

- Oui, c'est vrai. Bon, je vais aller prendre une douche, j'en rêve.

Carla va pour sortir du salon, quand elle s'arrête.

- Au fait, Léo t'a laissée sortir le samedi de mon départ?

- Non, maman, il me l'a interdit.

Carla pouffe.

- C'est ballot, j'ai oubliée de vous dire que je levais la punition en raison de mon départ.

Sur ces mots, Carla monte pour prendre sa douche. Manon s'est raidit, elle se met à pleure encore plus fort. Tout deux nous savons, que si la punition avait été levée, on ne se serait pas engueuler. Et donc, je ne l'aurais jamais violée.

Dès que j'ai entendu la douche couler, j'ai plié en deux Manon sur la table. Je lui ai baissée le bas de son bikini, lui violant immédiatement la chatte. J'ai jouis rapidement. Manon à remit sa culotte et m'a sucée pour me nettoyer. Avant que ma compagne ne finisse sa douche, j'éjacule dans la bouche de Manon.

- Tu vas aller te baigner dans la piscine, je ne veux pas que ta mère voit la tache de sperme qui salit ton maillot-de-bain.

- D'accord.

- Une dernière chose, quand ta mère te parleras de monter s'installer à Paris, joue la fille enthousiaste. Pour l'instant tu ne lui dis pas que tu arrête l'université ou que tu es enceinte, chaque chose en son temps.

- D'accord Léo, c'est toi qui décide. C'est toi mon maître.

Ma belle-fille est partie à la piscine. Tandis que pour la première fois depuis le départ de Carla, je suis allé préparer le déjeuner.

Carla à été heureuse que sa fille soit si enthousiasme à l'idée de vivre sur Paris. Peu importe qu'elle ne connaisse personne, qu'elle change d'université ou qu'elle perde de vue ses amies. On parlais quand même de partir sur Paris. Manon mérite un oscar pour sa prestation. L'après-midi, Carla est partie faire des courses en ville. Moi, je l'ai passé à enculer et baiser Manon. Je me suis amusé à la faire jouir deux fois en la baisant dans la chatte. Comme à chaque fois, elle a très mal vécu ses orgasmes. Cette conne a besoin de se sentir violer pour que nos coïts soit psychologiquement plus facile. Pour elle, si elle jouit, c'est qu'elle coopère. Moi, j'adore ça, la détruire psychologiquement est au moins aussi bon que de le faire physiquement. Quand Carla est revenue, je regardé un film à la TV, assis sur le canapé. Tandis que Manon, juste à côté de moi, lit un magasine. Jamais Carla n'a imaginé que dix minutes avant, je jouissais dans le cul de sa fille.

C'est Manon qui est allé prendre sa douche ensuite. Cela m'a fait bizarre de la voir habillée quand elle est redescendu. Je me suis habitué à la voir nue. Pourtant elle n'est pas beaucoup vêtu. Un mini-short en jeans, un Marcel blanc, décolleté, sans rien en dessous. Pour le dîner, j'ai fais des lasagnes. Le soir, on mate un film, tous assis sur le canapé. Carla est crevée par sa journée, elle va se coucher au milieu du film. A la fin du film, je me fais sucer par Manon. Je l'aurais bien enculer ou baiser, mais je préfère ne pas trop prendre de risque quand sa mère est là. Une fois vidé dans la gorge de Manon, je vais rejoindre Carla, tandis que ma belle-fille va se coucher. J'entre dans la chambre. Carla dort sur les draps. C'est vrai que cette nuit d'été est chaude. Ma compagne est nue, elle est sur le dos. Elle à les jambe légèrement écartées. Je la mate. Ses gros seins, en poire, encore très ferme pour son âge. Sa chatte, parfaitement épilée, où ne coure qu'un fin duvet de poils blonds, taillé façon ticket de métro. Je bande, j'ai envie d'elle. Même si je sais qu'elle ne voudra pas, ni que je la baise, ni me sucer. Cela ne sert à rien de la réveiller. Je me couche doucement dans le lit, sans réveiller ma compagne. J'éteins la lumière, et essaie de dormir. Mais rien n'y fait, j'ai envie de baiser. Ma bite est maintenant habituée à baiser continuellement. J'hésite à aller rejoindre Manon, mais les paroles de Paul reviennent me hanter. Je ne vais pas prendre le risque de me faire surprendre pas Carla. Elle risque de me chercher si elle se réveille et ne me trouve pas dans le lit. J'hésite à violer Carla, la réveiller et la baiser, consentante ou pas. J'allais allumer la lumière pour passer à l'action, quand l'idée de génie me vient. Je me recouche, je m'endors rapidement en bandant.

Manon est à quatre pattes sur le canapé. Je la baise en levrette. J'ai déjà jouis trois fois en elle, dans la même position. Cela fait une bonne heure que je la défonce. Je n'y mets aucune tendresse. Ma belle-fille se laisse faire, se contentant de haleter au rythme de mes coups de reins. Son corps réagit maintenant à chaque pénétration. Manon mouille un peu à chaque viol. Pas de désir, non, juste la réaction de son corps pour éviter la douleur beaucoup trop forte d'un viol de la vulve à sec. Je me retiens de jouir une nouvelle fois dans la cavité soyeuse et étroite.

- Manon! Léo! Qu'est-ce-que vous faîtes?

La voix de Carla me fait réagir immédiatement, je jouis en grognant dans le vagin de Manon. Ma belle-fille se désempale de moi d'un seul coup. Elle se relève, se cache les seins et le sexe avec les mains. Mais elle ne peut empêcher mon sperme de s'écouler d'elle, lui inondant l'intérieur des cuisses, coulant le long de ses jambes, avant de faire une petite flaque sur le sol.

- Maman?

Je me lève à mon tour. Je me cache la bite avec mes deux mains. Carla nous regarde, bouche grande ouverte, yeux écarquillés de stupeur. Puis les larmes commencent à couler sur les joues de ma compagne. Elle recule pour s'appuyer à la table du salon. Elle est splendide comme cela. Légèrement maquillée, une robe d'été noir, courte et sexy. Avec un décolleté somptueux.

- Léo, que tu me trompes, je pourrais comprendre... Mais... mais avec ma fille.

- Je ne dis rien, je baisse les yeux honteux. Manon pleure aussi. La jeune fille s'approche de sa mère.

- Maman, ce n'est pas ce que tu crois.

- Ce n'est pas ce que je crois? Comment tu oses? Tu avais le vagin douloureux, alors l'homme que j'aime t'as soignée avec sa bite? Prends-moi pour une conne.

Manon ne dis rien.

- Comment tu peux me faire cela? Tu la connais depuis bébé? Tu lui as tout appris, et maintenant tu la baise?

Je ne dis rien. Manon fait un pas. Elle pose une main sur le bras de sa mère.

- Ne me touche pas, sale putain! Voleuse d'hommes! Tu n'es plus ma fille!

Pour clore sa tirade, elle gifle violemment sa fille. Un aller-retour bien violent, qui laisse une marque rouge sur chaque joue de Manon. La jeunette reprends, elle est en larmes, rouge de tristesse, elle parle tout en sanglotant.

- Maman... Il... Il me viole...

Carla reprend son air stupéfait. Elle ouvre grand la bouche, mais seul un murmure en sort.

- Quoi?

- Il me force à coucher avec lui. Par devant, par derrière, dans la bouche, seul ou avec d'autres hommes...

- Mon dieu...

- Il me force... à faire des trucs avec des inconnus... A boire son urine... Il... Il urine directement dans ma bouche, je dois tout avaler sinon il me bat..

Carla prends sa fille dans ses bras, la serre contre elle. Je parais ne pas exister. J'avance un peu vers les deux femmes.

- J'ai mal, maman, j'ai si mal...

Carla ne sait pas quoi dire.

- Depuis quand ça dure?

- Le premier jour de ton départ.

- Quoi... Comment c'est arrivé?

- Je voulais sortir... Il ne voulait pas... Tu m'avais punis... Je l'ai giflé... Il m'a violée...

- Mon dieu, c'est de ma faute. Si j'avais pensée à dire que ta punition était levée, rien ne serais arrivée.

- Je ne sais pas... Il est aussi frustré de ne pas coucher avec toi autant qu'il en a envie.

- Merde.

- C'est de ta faute maman, rien que de ta faute.

- Ne dis pas ça ma puce.

- Il y a pire...

- Quoi? Comment?

- Je... Je suis... enceinte... de lui...

Carla se tourne vers moi, elle a le visage déformé par la haine. Elle me hurle dessus.

- Je vais porté plainte! Tu vas aller en taule! Tu vas payer pour ce que tu as fais!

- Non, maman, tu ne porteras pas plainte.

- Pourquoi? Tu ne veux pas? Il faut pour que tu puisse te reconstruire. Si tu ne peux pas te venger, la justice peux le faire.

- Non, je veux me venger maman.

- Alors porte plainte.

- Tu ne comprends pas, je veux me venger, mais du vrai coupable.

Carla regarde sa fille interloquée.

- Quoi, il y a un autre type?

- Non maman. Je te l'ai dis, tout est de ta faute. Sans toi rien ne serais arrivé. Si tu n'avais pas oublié de lever ma punition, rien ne serais arrivé. Si tu avais baisé normalement avec Léo, je n'aurais pas été violée par lui, juste pour baiser à ta place!

- Quoi, mais tu ne peux pas dire ça!

Il y a vraiment de la haine dans les yeux de Manon. Le syndrome de Stockholm à marché à fond. C'est moi qui la viole, la torture, lui fait mal, mais le coupable ce n'est pas moi, c'est sa mère. Même si je la détruis, Manon a prit fait et cause pour moi.

- Si je peux, maman. Il est temps que tu paies!

Carla ne comprend rien à ce que lui reproche sa fille. J'ai juste besoin de faire un signe de tête à Manon pour que tout dérape pour Clara. Manon reprend parfaitement la prise que je lui ai appris. Elle attrape le poignet de sa mère, lui fait une clé de bras. Clara se retrouve plaquée sur la table du salon. Manon, folle de rage, envers sa mère, qu'elle juge coupable de tout ses maux, lui maintient les poignets dans le dos d'une seule main.

- Manon, tu fais quoi? Tu fais quoi?

Carla panique. Panique qui augmente, quand sa fille remonte la jupe de sa propre mère. Dévoilant ses fesses magistrale, ainsi que sa petite culotte. Haineuse, Manon hurle :

- Venge-moi Léo, venge-moi!

Personnellement je suis content de cette situation créé de toutes pièces. Tout était prévu, jusque à l'arrivée de ma compagne pendait que je copulais avec Manon. Bien sur, j'ai donné une drogue psychotrope à Manon pour accentuer son obéissance. L'heure de ma vengeance à sonner, il est temps de profiter de la situation.

Carla à beau se débattre, Manon la tient fermement. La haine de ma belle-fille contre sa mère est telle que sa force est décuplé. Je me déshabille, je m'approche de Carla. Manon s'assoit sur le dos sa mère, face à moi. De cette façon Carla ne peut vraiment pas bougé. Avec ses genoux, Manon maintient les bras de sa mère contre le corps de sa génitrice. C'est ma belle-fille qui lui baisse la culotte.

- Encules-là Léo. Venge-moi! Tu me violes et me détruit à cause d'elle, fais lui pareil!