Dérapages. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Bandant toujours, je me colle à Clara, je force son anus. Il s'ouvre très difficilement, mais beaucoup moins que pour son dépucelage. Là, c'est des hurlements qui sont étouffés par le bâillon. Manon se remet à pleurer en voyant le viol de sa mère. Clara à l'impression effroyable de chier à l'envers quand ma bite beaucoup trop grosse pénètre son petit trou. Je m'immobilise dans son corps, fier de moi, de ce que je lui fais subir, du martyr que je lui occasionne.

- Truc de dingue Manon. Ta pute de mère contracte encore plus son anus que toi. J'en ai presque mal à la bite tellement c'est étroit.

Manon ne me répond pas, comprenant sans problème la souffrance horrible que doit endurer sa pauvre maman. Pourtant ce n'est que le début des souffrances de Clara, ce que je lui réserve sera pire, bien pire. Pas trop au niveau physique, mais plutôt au niveau psychique, c'est là qu'elle est le plus fragile. Bien entendu, je pourrais la briser beaucoup plus rapidement en utilisant l'extrême violence, mais je ne veux pas, je veux faire durer un peu le plaisir. Mais ces considérations sortent rapidement de mon esprit, je me concentre sur la démolition anale de ma désormais ex-compagne, mais nouvelle vide-couilles. Tout en l'enculant, je lui saisit ses deux tétons. Ils sont petits, alors je les attrapent avec les ongles. Je les lui tirent violemment, avant de les tordre dans tout les sens. A entendre ses cris qui augmente de volume, malgré le bâillon, et surtout les contractions de son anus, je me doute que la douleur devient encore pire pour elle. Seins ou anus, ma proie ne sait pas où elle a le plus mal. Ses bras la tirent méchamment, ses orteils lui font mal. Garder l'équilibre est difficile pour elle, surtout avec la force de mes coups de boutoirs. Continuant mon forfait, je détache sa muselière, qui tombe au sol. Les cris délicieux de Clara emplissent alors la pièce. Manon se bouche les oreilles devant la puissance des hurlements de sa mère. Ces derniers lui font rappeler ceux qu'elle a pousser, la souffrance immonde qu'elle a endurer. Quand j'éjacule dans les reins de ma compagne, je lui mords en même temps l'épaule. Y laissant la marque de mes dents. Je me retire lentement. Son anus reste ouvert, dégoulinant de sperme et de sang. Je regarde ma bite, il y a en plus, dessus, des tâches de merde.

- Je dois te nettoyer?

C'est Manon qui me le demande.

- Non, pas cette fois. Je vais baiser la chatte de pute de ta chienne de mère. J'espère juste que toutes les salissures en provenance de son cul ne vont pas lui provoquer des maladies.

Clara n'a rien le temps de dire, que déjà mon chibre lui défonce le vagin. Ses hurlements reprennent alors, mais moins terrible que pour le cul.

Du sperme s'écoule du vagin et de l'anus de ma compagne, formant une petite flaque sur le sol. Tête baissée, cette dernière sanglote. Il y a de petits anneaux sur le sol, j'y passe dedans les orteils de Clara qui se laisse faire. Elle se retrouve ainsi immobilisé, sur la pointe des orteils, jambes écartées. Je vais sur le mur de droite. Il y a des fouets, des cravaches, des ceintures. Je prends une ceinture en cuir, assez dur. J'espère que ce sera suffisant. Je ne veux pas lui faire trop de dégâts corporel. Pas par une quelconque pitié, non, je veux juste que cette grosse salope de Clara garde au moins quelques temps, son corps encore parfait. Je me mets sur le côté. Il y a un sifflement, suivit d'un cri, quand la ceinture frappe les fesses fermes et douce de ma compagne. Son cri n'est pas terminé, que déjà un second coup la frappe, puis un troisième et un quatrième. Je ne m'arrête pas, frappant de toutes mes forces. Faisant dans un premier temps rougir son cul, y laissant la trace de la ceinture. La douleur est telle, que ma compagne s'urine dessus. Je n'arrête pas, tandis que l'urine lui coule le long des jambes, faisant une marre au sol.

- Manon, vient me sucer, ça me fait trop bander!

J'éprouve un plaisir intense à flageller ma compagne. C'est mon plan, j'espère que ce sera suffisant. Je compte lui infliger d'abord, une torture sexuelle intense, suivit de coups de ceinture. Je vais rajouter à ça une privation de nourriture, d'eau. Pour l'eau je dois faire attention, ne pas y aller trop durement, je veux qu'elle soit pleinement consciente de tout.

Pour l'instant, je continue les coups de ceintures sur les fesses de Carla. Je frappe et frappe, tandis que Manon me suce. Les fesses de ma compagne deviennent d'abord toute rouge. On y voit clairement les marques de la ceinture. Je ne compte pas m'arrêter tant que cette pute sera consciente. De temps en temps, volontairement, je frappe le dos, le ventre. Je ne veux pas encore toucher les seins ou le sexe, ce sera pour plus tard. Ses fesses sont maintenant d'un beau rouge écarlate. Je m'arrête quelques secondes pour jouir dans la bouche de Manon. Une fois fini, j'ordonne à ma belle-fille de se mettre debout à côté de moi.

- Regarde bien ce que je fais à ta mère. Si tu désobéis une seule fois, c'est ça qui t'attend!

Manon ne me répond pas, mais à son regard je vois qu'elle a compris. Clara qui ne hurle plus, reprend dès que la ceinture touche de nouveau ses fesses martyrisées. Je frappe encore longtemps, jusque à ce que ses fesses ne deviennent complètement violette. Une ou deux fine rigole de sang sont aussi apparus, juste des rigoles superficielles. Je m'avance, je me colle à Carla et je l'encule.

Cette fois la douleur est double pour ma magnifique compagne. D'abord il y a la souffrance de la sodomie, que je pratique sur elle, sans aucune douceur, comme à mon habitude maintenant. S'y ajoute ensuite, la douleur lancinantes de mon ventre, qui frappe ses fesses, rendu à vif par mes coups de ceintures.

J'ai passé ma journée à ça. Battre Carla à coups de ceinture, l'enculer et la violer. Pour accélérer grandement son dressage, elle n'a rien bu ou manger aujourd'hui. Une fois que j'en ai fini pour aujourd'hui, j'envoie Manon préparer le repas. Je détache les orteils de Carla, je lui remet sa culotte et son bâillon. Avant de lui attacher de nouveau les orteils et de partir me coucher, j'ai également installer, sur elle, un petit appareil bien sympathique. J'ai placé de petites électrodes, sur ses tétons et son clitoris. Ces électrodes sont reliées à un appareil qui enregistre le sommeil de Carla, ou plutôt son absence de sommeil. Dès qu'elle s'endormira, une décharge se chargera de la réveiller. Rien de bien puissant, juste de quoi l'empêcher de dormir. Je ne suis pas totalement méchant, je ne pense pas avoir besoin de la torturer trop fort pour la briser. Alors tant que ce n'est pas nécessaire, je ne le ferais pas.

J'ai baisé et enculé Manon juste après mangé, mais aussi avant de dormir. Il ne faut pas que cette petite putain pense que parce que sa mère est en dressage, elle va être tranquille. Une fois bien vidé, je me suis endormi. Comme d'habitude, ma petite chienne m'a réveillé le lendemain matin, en me suçant, avant de devoir avaler mon urine. Une fois lavé, et avoir pris notre petit-déjeuné, nous sommes descendus voir Carla. A peine la porte ouverte, on a entendu ma compagne sangloter. Volontairement je n'avais pas éteint la lumière. Quand on est arrivé en bas, j'ai immédiatement vu que Clara s'était souillée. Elle avait uriné et fais la grosse commission dans sa culotte. Je ne sais pas si c'est à cause des décharges qu'elle a reçu, mais le résultat est là, elle n'avait pas pu se retenir.

- Manon, nettoie ta mère.

Ma belle-fille me regarde horrifiée par mes paroles.

- Avec... Avec la langue?

- Mais non, tu es gourde. Va prendre une éponge, une bassine d'eau, du désodorisant et du savon. Pour l'instant, tu obéis, donc je ne t'infligerais pas ça. Mais si tu désobéis, cela pourrait bien arriver .

- D'accord, j'y vais.

Je me suis mis devant Clara. Elle baisse la tête.

- Regarde-moi!

Elle garde la tête baissée. J'enlève les électrodes de ses seins, je lui pince méchamment les tétons. Elle couine de douleur.

- Regarde-moi, j'ai dis.

Clara m'obéis enfin. Je lâche ses seins.

- Tu va avoir mal, très mal. Longtemps, très longtemps.

Ma compagne ouvre de grands yeux terrifié.

- Mais tout cela dépend de toi. Si tu deviens, comme Manon, ma putain, ma chienne, si tu obéis à chacun de mes ordres la douleur disparaîtra. Enfin, celle des tortures. Car la souffrance sexuelle ne cessera jamais.

Je caresse doucement sa joue.

- Tu le diras, le jour où tu sera prête. En attendant, je continue à m'amuser avec toi.

Quand Manon est redescendu, je suis monté prendre un café. Ordonnant à ma belle-fille de me prévenir dès que sa génitrice serait propre. J'ai laissé les clés à Manon, pour qu'elle détache les orteils de sa mère pendant qu'elle la nettoie. Lui ordonnant également de les rattacher une fois son travail fini. Je lui laisse aussi une poire de lavement, enfin que le cul de sa mère soit rutilant.

Vingt minutes plus tard, Manon est remonté.

- Elle est propre.

- Parfait, jette sa culotte, nettoie la bassine, lave le gant et rejoint-moi en bas.

- D'accord.

-J'allais ouvrir la porte du sous-sol, quand Manon m'appelle.

- Tu n'y vas pas un peu fort avec ma mère?

- Pourquoi, tu veux prendre sa place?

- Non, mon dieu, non.

- Bien, alors ne me parle plus de ça. Je sais ce que je fais.

Une fois en bas, j'ai détaché les orteils de Clara. Si j'ai ordonné à Manon de les lui remettre dans les anneaux après qu'elle soit propre, c'est juste pour montre à ma compagne que sa propre fille est totalement sous mon joug. Je me suis déshabillé devant Clara. Sachant ce qui allait se passer, elle m'a regardée horrifiée, couinant derrière son bâillon. J'ai soulevé haut sa jambe, et je lui ai défoncé la chatte. Je l'ai pris comme une bête, la défonçant de mon mandrin. J'étais en train de jouir dans le vagin de ma compagne quand Manon est redescendu. Je l'ai obligé à nettoyer le sperme qui sort de la vulve maternelle avec sa langue. Ce que fit immédiatement Manon. La jeune fille le fait debout, courbée en deux, ce qui me donne des envies. Je me colle à elle, et je sodomise Manon, qui hurle, une nouvelle fois, sa douleur dans la vulve de sa mère, sans cesser de la lécher.

Une nouvelle fois, la fille se relève douée pour le broutage de chatte, rapidement Clara se met à jouir. Envoyant un joli jet de cyprine sur la langue de sa fille. Clara doit être une homo refoulée, ce n'est pas possible autrement. Cela expliquerait pourquoi elle déteste autant le sexe. Cette relation incestueuse orgasmique me fait gicler immédiatement dans l'anus que je visite. Sentant mon sperme envahir ses entrailles, Manon me demande en pleures :

- Je... Je continue avec ma mère, ou je te nettoies?

- Nettoies ma bite.

Alors Manon cesse ses coups de langues, pour s'agenouiller devant moi et avaler mon chibre dur. Tout cela m'a donné une jolie idée pour un peu plus tard. Quand j'ai jouis dans la bouche de ma pauvre belle-fille, je reprends ma ceinture, juste après avoir rattaché les orteils de ma compagne. Dans l'immédiat, c'est le dos de Clara qui va morfler. Comme la veille, je frappe comme un soudard. Clara hurle derrière son bâillon. Quand son dos est bien rouge, je lui libère la bouche. Elle me parle en pleurant comme une folle, dans un souffle.

- Arrête, pitié...

- Tu seras ma pute? Tu feras ce que je veux? Tu baiseras avec qui je veux?

- Non, pas... pas ça... Jamais...

- Alors, je vais continuer.

- Attends, j'ai soif, je n'en peux plus...

- Pas pour l'instant. J'ai mieux à faire avec ton dos.

- Attends... Attends Léo.

Je ne lui réponds pas. Je me contente d'envoyer un coup de ceinture dans le bas de son dos. Clara peut hurler librement maintenant. Manon, horrifiée, en pleures, se bouche les oreilles avec les mains, pour ne pas entendre les hurlements inhumain de sa mère. Bien entendu, cela ne sert à rien.

Comme la veille, j'alterne de temps en temps, en lui frappant les seins et le ventre. Je ne m'arrête seulement quand son dos, comme son cul la veille, est violé et boursouflé. Je vais chercher une bassine vide.

- Manon, pisse dedans.

Ma belle-fille terrifiée à l'idée que je lui fasse pareil qu'à sa mère, s'exécute immédiatement. Une fois qu'elle à fini, c'est moi qui urine dans la bassine. Je rajoute deux bouteille d'eau minérale. Je détache les orteils de Clara, je fais de même pour ses poignets. Ses jambes ne la portant pas, ma compagne s'écroule sur le sol, comme une vieille poupée de chiffon.

- A quatre pattes.

Clara sanglote, mais ne bouge pas. Deux coups de ceintures sur les fesses la font hurler.

- Ne m'oblige pas à te battre, obéis.

Il faudra une dizaine de coups de ceintures sur son dos et son cul, à la peau boursouflée, pour que la putain ce mette difficilement à quatre pattes. Du pieds, je mets la bassine remplis du mélange d'eau et d'urine, juste devant elle.

- Bois, c'est le seul liquide que tu auras de la journée.

Clara me regarde, suppliante.

- Je vais t'enculer, et baiser ta chatte, c'est le temps que tu auras pour laper la bassine.

- Je... je ne comprends... pas...

- C'est simple, quand j'aurais éjaculé dans ton cul, puis dans ta chatte, j'enlèverais la bassine.

- Mais... c'est dégueulasse...

- Oui, mais c'est comme ça.

J'ai gobé une pilule, bien que mon pieu soit déjà dur. Clara n'a pas eut le temps de réagir, que déjà je viole son sphincter. Entre deux hurlements, ma compagne, n'a d'autres choix que de se pencher en avant et de laper l'infâme liquide. C'est difficile pour elle, mes coups de reins lui en font renverser une bonne partie. Pourtant aussi dégueulasse cela soit-il, l'eau lui fait du bien.

Carla n'est arrivée à en boire que le quart, quand, après avoir remplit ses entrailles, j'ai remplis son vagin. Je lui retire la bassine, j'ordonne à Manon de la vider dans l'évier du sous-sol. Une fois que Manon à terminée sa tâche, je fais allongée Carla sur le matelas. Je fais mettre Manon à quatre pattes au-dessus de sa mère. Chatte de la fille à hauteur du visage de la maman. Tête de la fille, à hauteur de la chatte de la mère.

- Manon, je vais te baiser, ta chienne de génitrice regardera ma bite sortir de ta chatte de chienne. Toi, tu lui léchera la chatte. Quand j'aurais éjaculé, tu te baissera sur sa bouche. Elle devra avaler tout mon sperme, et te lécher le vagin.

Aucune des deux n'a la force, ou le courage de me répondre. J'enfile lentement Manon, afin que Carla puisse assister à toute la pénétration du vagin de sa fille par ma bite. Manon geint tout le temps où je la pénètre. Je m'immobilise quand je suis en entier dans le ventre que je profane. Puis je me met à la pistonner comme un soudard. Manon ne mouille pas, son vagin ne se lubrifie pas. Sûrement la honte de se faire prendre devant sa mère qui se trouve au plus près de l'action. Moi je me fou de tout cela. Je prends plaisir à défoncer ce vagin serré.

Je ne tarde pas à jouir dans le ventre de ma belle-fille. Comme d'habitude, grâce aux pilules de Radiu, je déverse un torrent de foutre dans la chatoune de Manon. Je me retire, du sperme dégouline sur le visage de Carla. Manon s'assoit sur sa mère, sa chatte baveuse de mon sperme, sur les lèvres maternelle. Carla sort la bouche, et lèche la vulve de sa fille. Moi, je suis fier de moi. J'ai commencé à bien briser ma compagne. L'avancement de son statut d'esclave est bien entamée.

Contrairement à sa mère, Manon n'apprécie pas. Elle pleure à gros sanglot pendant tout le gouinage maternel. Ma belle-fille n'aura pas l'ombre du plus petit orgasme. Mais je n'ai pas fini, quand sa chatte est propre, je fais remettre Manon à quatre pattes. Cette fois c'est son cul que je viole. Faisant crier Manon tout au long de la pénétration. Avec une horreur accentué par l'orifice forcé, Carla est contrainte d'assister, aux première loge à la sodomie de ma belle-fille. Quand j'ai remplit la jeunette, c'est son cul que Carla doit lécher. Quand je l'estime propre, je fais inverser les rôles. Manon est allongée sur le matelas, Carla à quatre pattes au-dessus d'elle. Je fais avaler une autre gélule pour augmenter sa fertilité à ma compagne. Elle l'avale sans que j'ai besoin de la menacer. Son dressage est donc plus avancé que je ne l'aurais cru. Ensuite je lui fais la même chose qu'à sa fille. D'abord, pour changer l'ordre, j'encule Carla. Ses hurlements sont toujours aussi puissant, elle non plus ne s'habitue pas à la sodomie. Contractant toujours son anus, son conduit anal. Je prie pour que cela dure le plus longtemps possible. Avoir le sentiment de prendre des orifices vierges après tant de viol est un véritable plaisir.

Manon, bien que dégoûtée, nettoiera le cul dégoulinant de sperme de sa mère. Ensuite c'est la chatte de Clara que j'enfile. Je dure longtemps dedans, jouissant deux fois sans ressortir. Je ne fais pas cela par perversité malsaine, juste par envie de me vider. Je veux joindre l'utile à l'agréable en la mettant enceinte le plus vite possible. Quand je me retire, c'est un tsunami de semence qui inonde le visage de Manon. Sa mère s'assoit aussitôt sur le visage de sa fille qui se met tout aussi rapidement à la lécher. Bandant toujours, je me fait sucer pendant ce temps par Carla. A ce moment, je n'ai qu'un seul regret, ne pas avoir agit, beaucoup plus tôt, comme cela avec ma compagne. Durant tout le temps de son gouinage par ma belle-fille, Carla à deux orgasmes. Je connais maintenant leurs secrets. Manon est hyper-sensible du clito, même si elle vit très mal ses orgasmes. Carla, qui les subies tout aussi mal, est elle extrêmement sensible au lesbianisme, et ce, avec sa propre fille. J'ai hâte de voir ce que cela donnera avec une autre femme. Par contre, ma compagne le vie très mal, encore plus que Manon. Il faut dire que c'est sa propre fille qui est forcée de lui donner ces orgasmes.

Quand j'en ai fini pour cette partie, les deux sont inerte, couchée sur le matelas. Je vais chercher un truc dans un tiroir. Je le cache derrière mon dos.

- Manon, viens voir, reste à quatre pattes.

Elle m'obéit, s'approche de moi, en marchant à genoux. Carla n'a pas bougée un cil. Je dis à ma belle-fille de se relever.

- J'ai un cadeau pour toi, tend la main.

Je lui met ce que je cache dans mon dos dans la main qu'elle tend. Quand elle voit ce que c'est, ses yeux s'écarquillent d'horreur, tandis qu'un gémissement sort de sa bouche.

Je viens de lui mettre dans la main un gode ceinture, doté d'un engin de vingt centimètres pour cinq de diamètre.

- Tu vas enculer ta mère.

- Non, Léo, ne me demande pas cela.

- Je ne te le demande pas, je te l'ordonne.

- Pitié...

- Tu préfère que je te fist l'anus?

Manon déglutit difficilement. Elle ou sa mère. Ma belle-fille me répond d'une petite voix.

- D'accord.

- Je n'ai pas entendu.

- D'accord, je vais le faire.

En me disant cela, ses larmes redoublent.

- Bon choix.

Je me dirige vers Carla que je retourne sur le ventre.

- Pitié, Léo, pas encore.

- Je ne vais rien te faire.

- Merci.

Quand sa fille se couche sur elle, Carla tente de se débattre, mais je la maintient au sol. Quand elle sent le membre contre son anus, Carla hurle. Mais rien n'y fait, l'anus que j'ai déjà bien élargit dans la matinée, s'ouvre et avale l'engin de plastique. Très difficilement, mais il l'avale quand même. Clara hurle comme une malade, il faut dire que Manon n'y va pas de main morte. Quelques coups de ceinture lui ont fait comprendre qu'il valait mieux ne pas prendre de gants avec sa mère. J'ai regardé de longue minutes le viol de la maman par la fille. Carla hurle, quoique ce soit moins fort qu'avec moi. Ce joli spectacle me fait bander. Alors je me couche sur Manon, qui encule toujours sa mère, je la sodomise à son tour. Leurs deux hurlements se mêle pour mon plus grand plaisir.

La sodomie de Carla par sa fille, a durée une bonne heure. J'ai sodomisé Manon deux fois, sans la faire cesser d'enculer sa maman. C'est dans la bouche de Carla que je me suis nettoyé le pénis. Soulevant la tête de ma compagne afin qu'elle puisse m'avaler. Maintenant je les fais s'agenouiller.