Dérapages. 04

- Les filles, j'ai quelques trucs à faire. Je vais vous laisser seule. Il y a des caméras ici, alors vous ne pourrez pas m'escroquer. Je regarderais les bandes ensuite, et si vous désobéissez, je vous punirez très sévèrement. Si l'une de vous deux doit y laisser la vie, cela ne me gênera pas.

Je regarde les deux femmes, elles sont terrorisée.

- Carla, tu vas te coucher sur le dos, cuisses écartées. Manon tu baiseras ta mère. Interdiction de vous séparer ou de ralentir le rythme sans que je vous le dise. Allez-y.

Je suis estomaqué. Aucune des deux femmes ne dis rien. Elle se contente de prendre position. Carla crie quand sa fille la pénètre et se met à la violer, mais il n'y a aucun gestes de rébellion. Je monte au rez-de-chaussée. Je prends mon téléphone, tout en regardant sur mon ordinateur portable ce qu'il se passe en bas. J'ai quatre coups de fil important à passer. Ma conversation avec ma fille est assez longue. Je lui dis que l'on va venir s'installer sur Paris, d'ici trois mois maximum. Comme elle n'a pas encore trouvée ses locaux professionnels, je lui dis d'en prendre un avec deux étages de plus, pour la société de Carla. Ma fille est folle de joie.

Mon second coup de fil est pour Hervé, celui qui fait office d'adjoint de Carla dans son entreprise. Je lui dis que ma femme est malade, qu'elle ne viendra pas bosser pendant quelques jours. Si par politesse, il prend de ses nouvelles, je comprends au ton de sa voix, qu'il est plutôt soulagé de son absence. C'est vrai que ma chérie est un vrai dragon sans pitié au travaille. Je lui dis également, que je passerais le lendemain, ma compagne m'ayant chargé de vérifier le bon fonctionnement de l'entreprise.

Mon avant-dernier coup de fil est pour Paul. Il est sur Paris pour encore quelques jours. Je lui dis de passer me voir dés qu'il redescend. Il veut savoir pourquoi, mais je lui dis que c'est une surprise. Ensuite j'appelle Radiu, pour savoir si il peut m'amener des pilules. Il me répond qu'il passera le lendemain soir, il vient de recevoir un gros stock. Je lui parle de mon départ sur Paris. Pour les pilules, il n'y aura aucun problème, il m'en fera livrer sur commande chaque fois que j'en aurais besoin.

Une fois tout mes coups de fils fini, je redescend voir mes deux chiennasse. Manon défonce toujours la chatte de sa mère. Je leurs fais changer la position. Manon violera sa génitrice en levrette. Comme cela, je pourrais, au choix, enculer Manon ou me faire sucer par Carla. Je prends une pilule. On baise toute la journée, je me vide alternativement dans l'une, puis dans l'autre. Quand le soir arrive, mes deux vide-couilles sont épuisée. Mais j'ai encore un beau programme pour elle. La suite de la nuit risque d'être longue, très longue.