La Gobeuse

BÊTA PUBLIQUE

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Je me demandais quand allait diminuer la quantité d'hommes qui me demandait des repas-baise, d'après mes estimations au doigt mouillé ce ne serait pas au mieux avant trois mois. Trois très longs mois. J'aurais voulu pouvoir prendre un repas avec Reika et déguster une soupe aux nouilles plutôt qu'une bite d'homme dans la bouche.

*****

La semaine suivante, Reika m'informa que dorénavant les jeudis soir seraient réservés pour les sorties avec l'équipe. Je frissonnais ; je ne voulais vraiment plus avoir à boire du sperme. Toutefois, on m'accorda comme concession l'autorisation de décliner toutes les invitations pour déjeuner ces jours-là. (Eh oui - je pus aller prendre ma soupe aux nouilles).

C'était le même groupe que je retrouvais ce jeudi, pour aller au même club. La nourriture était différente mais bonne et, comme la dernière fois les femmes n'en mangèrent que très peu. Nous étions surtout là à faire potiche et à bavarder pendant que les hommes mangeaient et buvaient à satiété. Puis Monsieur Takashita donna le signal. J'avais craint que les événements de la semaine précédente se reproduisent, et je redoutais ce moment. Mais ils avaient visiblement dû se mettre d'accord sur une variation. Chaque assistante glissa au sol et débraguetta le pantalon de leur patron, puis elles commencèrent à lui donner une lente branlette. Je m'assis, regardais et attendais. Alors, sur un signe de la main de mon patron, une des serveuses me mit un verre neuf dans les mains. Je comprenais soudain ce qu'ils voulaient que je fasse : je devais sucer la bite des directeurs et remplir le verre.

« S'il vous plaît, Takashita-sama, » suppliais-je. « Je ne veux pas. Je vous en prie, ne me faites pas faire ça. S'il vous plaît...

— Suzichan, tu dois le faire, » répondit-il fermement mais gentiment. « Ce sera positif pour toi. »

Positif pour moi? Je ne savais pas s'il faisait référence à mon évaluation, qui aurait lieu lundi ou à autre chose. Je ne voyais vraiment pas ce que cela pouvait avoir de positif pour moi, si ce n'est pour améliorer mes talents de suceuse de bite. Je n'avais pas le choix, si je résistais plus longtemps, je lui ferais perdre la face et il se mettrait en colère contre moi. Je m'abaissais en face de Monsieur Minamoro et pris sa queue dressée des mains de sa secrétaire.

Je suçais. Ne voulant pas que ça dure longtemps je fis de mon mieux. Et, ce qui me rebaissait encore plus était que je pouvais l'entendre dire aux autres que je faisais un excellent travail. Quand je sentis qu'il allait jouir, j'apportais le verre et le soulevais pour diriger son chibre dessus afin qu'il éjacule giclée après giclée de sperme frais dedans. Puis, je m'occupais de l'homme suivant, puis du suivant... à chaque fois je prenais la queue des mains de l'assistante avant de lui faire une fellation. J'étais fatiguée et je voulais en finir. Le quatrième homme me surprit en jouissant presque immédiatement après que je la lui prenne en bouche. Je n'eus même pas le temps de me servir du verre que je me retrouvais la bouche pleine de foutre. J'allais avaler quand j'entendis mon patron dire :

« Recrache dans le verre, Suzichan. »

Les voir tous m'observer en train de recracher le mélange de sperme et de salive dans le verre avait quelque chose d'encore plus dégoûtant. Puis ce fut le cinquième et après lui, mon patron. Je pris sa grosse bite des délicates mains de Reika et il me parla à nouveau :

« Demande-moi la permission, Suzichan. »

Je m'étouffais ; il voulait vraiment m'humilier complètement. « S'il vous plaît... Takashita-sama, puis-je avoir l'honneur de sucer votre pénis?

— Oui, Suzichan, tu peux, mais ne gâches pas une goutte. »

Sa bite était épaisse, sans doute la plus grosse que j'ai pu avoir dans la bouche. Quand il jouit, ce fut puissant, mais c'est vrai qu'il avait dû se retenir un long moment. Ses giclées rejoignirent les cinq précédentes. Je m'agenouillais devant lui en tenant le verre.

« Assis-toi au milieu et gobe ton lait, Suzichan. Fais-nous un bon gokkun, » ordonna-t-il.

Je fis comme il demandait. Sous leur regard, je m'assis au milieu du cercle qu'ils formaient. Je voulais en finir et décidais que cela irait plus vite si j'avalais le tout d'un trait. Ce fut une erreur. Je déversais le contenu complet du verre dans ma bouche. Et me retrouvais la bouche pleine du sperme gluant de six hommes. C'était si épouvantablement dégoûtant que je ne pouvais pas avaler. Je restais assise, la bouche pleine et les joues gonflées de foutre. Je ne savais pas si j'avais droit de recracher dans le verre. Une des assistantes se mit à rire doucement, je ne pouvais pas dire laquelle, j'avais hermétiquement fermé les yeux.

Finalement, après ce qui me semble une éternité, je parvins à reprendre mon sang-froid et à avaler. L'énorme masse chaude et grasse coula dans ma gorge. Par réflexe, j'avalais encore et encore essayant de faire passer le goût. Puis, j'éclatais en sanglots et ils se mirent à applaudir. Je voulais m'enfoncer sous le sol. Reika m'apporta une coupe de saké.

« S'il te plaît, demande à Takashita-sama que je ne refasse jamais ça. » lui chuchotais-je humblement. Je voulais désespérément qu'on me libère de mes fonctions.

*****

Lundi, M. Takashita livra son évaluation trimestrielle. Elle était excellente : mes analyses étaient brillantes, et avaient permis à la salle de trading d'atteindre des performances supérieures. Je m'étais aussi montrée enthousiaste et avais fait preuve d'esprit d'équipe. Ma notation me mettait dans le top des directeurs de mon niveau et m'assurait une promotion pour la fin de l'année. Et pour obtenir ça, je m'étais prostituée et leur avais donné de quoi me faire chanter. Je doutais que ça en veille la peine.

Mais dans la soirée, pour célébrer cette réussite, je sortis avec les femmes du département pour faire la fête. On se mit toutes un peu pompette et on jacassait comme des pies. Natsuki, la plus vieille des assistantes semblait vraiment contente pour moi. Peut-être qu'en abandonnant toute fierté et résistance j'étais devenue une membre de l'équipe. J'aurais voulu demander à ces femmes ce qu'elles pensaient de moi, mais ça aurait cassé l'ambiance et de toute façon, je n'aurais pas obtenu de réponse claire.

D'une manière assez subtile, j'avais aussi perdu mon rang dans l'appartement. Reika prenait maintenant toutes les décisions. Elle choisissait ce qu'on mangerait, où nous ferions nos courses. Elle sortait les vêtements que je porterais ; ce n'était pas tant qu'elle choisisse quelque chose de franchement différent de ce que j'aurais mis, mais c'était elle qui faisait tous les choix, jusqu'aux dessous. Une des choses qu'elle me fit mettre était des bas qui se tenaient tout seuls et n'avaient pas besoin de porte-jarretelle. Je ne discutais pas, j'avais perdu la volonté de me battre. Tous mes efforts se concentraient sur un seul objectif : survivre.

Ce jeudi, nous sommes tous allés au même club. Après dîner, j'attendis les instructions de M. Takashita, soumise et les yeux baissés.

« Suzichan, retire tes vêtements s'il te plaît. Tu peux garder les chaussures et les bas que Mademoiselle Kano me dit que tu portes. Rien d'autre s'il te plaît. »

Pendant quelques secondes je ne pus bouger. Sûrement pas en face de tout ce monde. C'est vrai que deux des directeurs m'avaient déjà amené à "L'abricot mûr" au déjeuner, mais ils avaient alors été eux aussi nus. Là, ils voulaient que je sois à poil dans une salle rempli d'une douzaine de collègues habillés, ainsi que les serveuses. C'était trop demander.

Monsieur Takashita fit un geste et les deux serveuses vinrent gentiment m'aider à me lever. Elles me déshabillèrent de mon costume de femme d'affaires et de mon chemisier, les pliant soigneusement pour plus tard. Mon soutien-gorge et mon string ficelle suivirent. Je compris alors pourquoi Reika avait choisi ce vêtement ridicule pour aujourd'hui : c'était un minuscule triangle de tissu qui ne couvrait même pas toute ma toison noire, et la ficelle n'arrêtait pas de me rentrer dans la fente.

« Suzichan, fais le tour de la pièce qu'on puisse t'admirer. »

Déconfite, j'obéis les regardant me mater mes seins nus, ma chatte et mes fesses. J'avais le visage aussi rouge qu'une femme pouvait avoir.

« Tu vas commencer à sucer maintenant, guujin. » Une serveuse me pressa un verre dans les mains. « Tu demanderas à chacun de tes camarades directeurs la permission d'abord, et tu te déplaceras à quatre pattes, pas debout. »

J'éclatais en sanglots, et me déplaçant comme un animal, j'allais jusqu'au premier. « Minamoro-sama, puis-je sucer votre pénis? »

Une fois encore, je fis le tour de la pièce, suçant mes collègues et les vidant de leur sperme dans le verre. Une fois encore je m'agenouillais au centre de la salle et avalais la semence en une série de petites gorgées. Mais cette fois, on me demanda de rester nue après le spectacle, alors que tout le monde bavardait, discutant surtout de mon corps. Je ne fus autorisé à me rhabiller qu'en fin de soirée, quand Reika me ramena à la maison.

*****

Lundi, Reika sortit mes vêtements de travail : Chemisier, jupe, une veste ainsi que des bas autofixants.

« Reika, qu'est-ce que tu veux que je mette comme culotte et soutif? la questionnais-je depuis l'autre chambre.

— Ne t'inquiète pas pour ça, me cria-t-elle en retour. Je les emporte dans mon sac à main, tu pourras les mettre au travail.

— Mais... mais pourquoi? demandais-je, bien je connaissais déjà la réponse à la question.

— Pour que tu puisses en faire plus avec ton admirateur. Ça sera drôle! Et, pense à appliquer de ce lubrifiant que tu trimballes partout dans ton derrière. »

La journée fut infernale. Reika était pressée contre de moi, de face. Je pouvais sentir ses tout petits seins dans leur soutien-gorge s'écraser contre les miens sans protection. Elle n'arrêtait pas de pouffer de la situation dans laquelle je me trouvais et me chuchotait des "vilaines filles" à l'oreille. Pendant ce temps, mon agresseur avait poussé un, puis deux, puis trois doigts dans mon fion lubrifié pendant que je le branlais. Mais au moins Reika tint sa promesse et me donna mes sous-vêtements dès que l'on fut arrivée au bureau. Je suppose qu'une directrice américaine avec les seins gigotant sous son chemisier ferait mauvais genre.

A suivre...

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7 Commentaires
VictorlepieuxVictorlepieuxil y a plus de 6 ansAuteur

Le japon… Le pays de la perversion. On est visiblement nombreux à aimer ce pays pour ça :)

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Il y aura deux suite, j’ai divisé l’histoire en 3 grandes parties, une chaque semaine.

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Quant à se faire tripoter dans le métro, je suis sûr que si ta femme aime ça, elle n’a pas besoin d’aller jusqu’au Japon pour trouver des volontaires…

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Concernant les textes suivants, c’était quasiment le dernier texte que je voulais vraiment traduire, (il y en avait bien un autre, mais à mesure que je le traduis je le trouve moins bon que je pensais…) donc je repars plus vers mes propres histoires… Mais j’avance à une allure d’escargot, j’ai plus ou moins fini le prochain chapitre des « amies comme ça », mais je préfère avoir plusieurs chapitres d’avance avant de le publier. Quant à la Lancenoir, je change énormément d’avis quant au déroulement de l’histoire et ça n’avance donc pas beaucoup. Il y a des chances que pour mon prochain texte soit plus un one-shot sur un sujet qui me branche bien à un moment donné.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Histoire excellente

Merci pour l'histoire.

AssguardAssguardil y a plus de 6 ans
Très bon !

Très intéressante cette histoire, on sent le piège se refermer mais sans aller trop vite, ni même trop lentement. Un très bon rythme en somme. Vivement la suite...

Sinon en dehors de cette histoire, Victor, on te voit faire beaucoup de traductions d'histoires ces derniers temps, qui sont toutes très bonnes soit dit en passant, mais je dois avouer que la patte Victorlepieux me manque ! As-tu prévu de continuer tes anciens textes (notamment Avec des amies... et Le lancenoire) ?

trouchardtrouchardil y a plus de 6 ans
Et oui...

Encore une très bonne histoire. Merci :)

elkoelkoil y a plus de 6 ans

fan des films porno japonais je suis comblé !!

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