Les Jumeaux Croisés 11

BÊTA PUBLIQUE

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Anne-Marie, dépoitraillée jusqu'au nombril, colla ses petits seins durs au dos de Jean pendant que ses hanches épousaient son bassin et accompagnaient le quasi-viol de sa coépouse. Cécile était soulevée de terre à chacun des énormes coups de boutoir que lui assénait son mari et se mit à délirer sous cet assaut dantesque. « PLUS FORT! BAISE-MOI PLUS FORT! DECHIRE-MOI! AAAH, OUI ; COMME CA! OUI! JE VAIS JOUIR! OUI MON AMOUR! JE VIENS!! OOOHH! » Jean resta figé au plus profond d'elle et Anne-Marie devina plus qu'elle ne sentit qu'il jouissait abondamment dans le vagin de sa femme. Elle caressa les bourses de son amant en suivant la raie des fesses, déclenchant de derniers spasmes libérateurs.

Ils restèrent un long moment ainsi jusqu'à ce que la verge mollissant de Jean ne soit expulsée de la vulve exténuée de Cécile avec un « flop » mouillé qui en disait long sur l'état des lieux. Cécile se retourna et Anne-Marie sentit une bouffée d'amour et de désir sauvage la prendre à la gorge en voyant le corps de son amante luisant à la lueur du clair de lune.

Ses beaux seins se soulevaient au rythme de sa respiration saccadée et la jeune femme ne put résister à la tentation de les caresser. Cécile s'empara de sa main et l'embrassa doucement. Puis tournant ses yeux cernés vers elle, lui murmura « Ma pauvre chérie, tu m'as fait jouir et Jean m'a baisé somptueusement mais toi tu n'as rien eu. »

« Je peux attendre mon amour »

« Non, il n'y a pas de raison, je vais te montrer un petit truc pour faire redémarrer notre mâle en cas de panne sèche! » Et se tournant vers Jean, affalé contre la voiture, elle lui dit

« Mon amour, Anne-Marie n'a pas eu son compte et toi tu es complètement vanné. Va te reposer, je vais la reconduire au village pour qu'elle puisse s'envoyer en l'air avec un garçon du coin »

Jean se redressa, comme mû par un ressort.

« Je l'aiderai à choisir un petit jeunot qui peut jouir trois fois de suite .. »

« Non, elle est à moi »

« Oui elle est à toi mais elle a besoin d'une bonne saillie »

« ELLE EST A MOI! »

Stupéfaite, Anne-Marie constata que la verge rabougrie redevenait rapidement aussi dure que de l'acier.

Jean la saisit par la taille et la plaqua contre la carrosserie en relevant sa jupe jusqu'à la taille. Dans le même mouvement, il lui attrapa les jambes , les écarta de part et d'autre de son bassin et les souleva sur ses avant-bras. Anne-Marie s'accrocha à son cou pour ne pas tomber tandis que d'un coup de rein, il la pénétrait en force ou plutôt avec rage. Si la jeune femme avait cru assister à un viol quelques minutes auparavant, ce n'était rien par rapport à la tornade qui lui ravageait maintenant le corps. Jean, presque hors d'haleine, balbutiait des choses comme « Rien qu'à moi! Pas d'autre! A moi! » tout en la défonçant, la clouant sur la portière. Elle ne parvenait même pas à gémir et encore moins à crier tant la violence du coït lui coupait le souffle.

Noyée sous l'avalanche de sensations, elle se soumettait à ce désir animal qui la dominait de la tête aux pieds et ne put résister à un premier orgasme particulièrement violent mais alors que Jean semblait reprendre ses esprits et adoucissait ses va et vient, ils entendirent la voix de Cécile

« C'est bien Jean, maintenant tu peux nous laisser, le petit jeune va continuer à la satisfaire »

« JAMAIS »

Et la machine bestiale se relança à l'assaut. Cette fois, Anne-Marie gémit . « Ooh Jean, c'est si bon! Il n'y a que toi! Baise-moi encore! Fais-moi encore jouir » Les tempes bourdonnantes et un voile rouge dans les yeux, Jean la martelait sans répit, ahanant sous l'effort herculéen mais refusant de faiblir. Surtout avec la petite voix de Cécile qui lui murmurait à l'oreille « Laisse faire le jeune garçon, il saura la faire jouir ». Il ne parvenait plus à parler ; toute sa volonté braquée dans un seul but : faire jouir la jeune femme , SA jeune femme qu'il pistonnait de toute sa puissance.

Malgré son premier orgasme qui en d'autre temps l'aurait largement comblée, Anne-Marie avait été excitée au-delà de tout ce qu'elle avait connu lors de la fête villageoise puis par l'orgasme de son amie et enfin par la copulation effrénée de ses amants. Elle sentit monter en elle une nouvelle vague de jouissance « Jean, je vais venir! Tu vas me faire jouir, moi TA femme, aah, oui mon amour, je suis à toi AAAH »

Elle serra frénétiquement ses jambes autour du bassin de son homme et jouit convulsivement en l'embrassant passionnément. Jean résista encore quelques secondes puis ses genoux fléchirent et il serait tombé par terre si Cécile n'était pas intervenue . Elle aida Anne-Marie, à moitié KO, à se désengager de la bite toujours roide et obligea Jean exténué à s'asseoir sur le coffre de la voiture puis elle tomba à genoux et lui dit « Laissez-moi prendre soin de vous Maître » Elle lui prodigua une fellation grandiose, lui masturbant la verge et caressant les couilles. Anne-Marie avait récupéré et s'approcha pour caresser leur mâle en lui disant « Je suis à toi Jean, tout à toi » . Elle glissa sa main sous sa chemise, déchirant les boutonnières et lui griffa le torse. Il poussa un gémissement presque désespéré et s'enfonça dans la bouche de Cécile pour se vider de l'énorme tension qui l'habitait encore.

Lorsqu'ils entrèrent dans la maison et allumèrent la lumière, Cécile ne put s'empêcher de rire. On aurait dit des rescapés d'un naufrage : Jean n'avait que sa chemise déchirée et Cécile son chemisier en lambeaux. Même Anne-Marie dont les vêtements étaient dans le meilleur état avait la bouse ouverte et sa jupe tirebouchonnée autour de la taille. « Je récupérerai nos fringues demain matin » dit-elle . En attendant, Jean, va te coucher dans la petite chambre, je prendrai la grande avec MaMie pour t'éviter toute tentation. Nous avons la piscine pour nous seuls toute la journée de demain et je compte bien profiter de notre mari ... s'il a récupéré!

Jean s'exécuta , trop vidé pour même songer à prendre une douche et Anne-Marie revint de la cuisine avec deux verres de rouge. « Et si tu m'expliquais ce qui s'est passé avec Jean? Si tu lui parles d'un autre homme, il devient super-étalon? »

« Ce n'est pas le moment le plus glorieux de notre vie de couple mais tu as bien droit de le savoir » Cécile raconta l'épisode de son adultère et de la raclée et du viol que Jean lui avait infligés par la suite. « Et depuis lors, chaque fois que je veux le ... euh... motiver, je n'ai qu'à évoquer ou lui montrer un autre homme et il me saute comme un gorille en rut »

« Mais cela a marché avec moi aussi »

« Et oui, j'ai bien l'impression que mon mari t'a définitivement adopté en tant que Seconde Epouse avec le consentement plein et total de la Première Epouse. Tu es sa propriété maintenant»

« Oh Cécile, » dit la jeune femme, les larmes aux yeux « tu ne te rends pas compte ce que cela signifie pour moi »

« Mais si ma chérie, tu fais partie de nos vies! Cela a été un peu rapide même si cela fait un bout de temps qu'on se connaît mais les dés sont jetés. Pour le meilleur ... et le meilleur! Et maintenant au lit, figure-toi que j'ai encore une petite envie et puis dodo!»

Le dimanche matin, Léa fut réveillée par son GSM qui vibrait sur la table de nuit. Encore à moitié assoupie, elle décrocha sans regarder le nom affiché à l'écran.

« Léa ma chère, je suis confuse, j'ai bien peur de vous réveiller »

« Bonjour Sylvie, oui j'étais encore en train de dormir mais il est déjà tard, ce n'est pas plus mal »

« Je vous présente mes excuses mais je voulais vous inviter avec votre ami pour la journée dans ma propriété. Je vous dis tout de go : il n'y aura que moi et ma dame de compagnie ; nous serons dans l'intimité »

(« Tu veux dire que tu auras MON Lolo dans TON intimité, vieille salope » se dit-elle)

« Caroline a émis le désir de vous rencontrer et si vous acceptez, elle en serait ravie »

« Euh, Loïc est en train d'émerger, je lui pose la question » « Mon lion, cela te dit de passer la journée chez Sylvie. Il n'y aura qu'elle et sa dame de compagnie »

« Pourquoi pas? » dit-il à voix haute tout en imitant le geste de l'addition avec le pouce et l'index

« Ne prenez pas la peine de petit-déjeuner, nous avons largement de quoi nourrir un bataillon . venez tels quels, nous vous attendons.

« D'accord Sylvie, le temps de brosser les dents et de s'habiller et nous arrivons. A tout à l'heure »

« Elle a le feu au cul la vieille! » remarqua Loïc en revenant des toilettes

« Ne sois pas méchant. Elle est gentille et elle n'est pas si mal faite après tout. Surtout quand tu la compares à ses copines »

Ils se hâtèrent de s'habiller de frais et sautèrent dans la voiture. Une demi-heure plus tard, ils arrivaient dans la cour ensoleillée de la propriété.

« Au moins on pourra profiter de la piscine » dit Léa.

Pour la première fois, ce fut la dame de compagnie, Caroline, qui vint ouvrir dans une tenue de gouvernante moulante et ils la détaillèrent avec attention. Elle avait aux alentours de la cinquantaine mais on devinait sans effort qu'elle avait été une beauté dans sa jeunesse et qu'elle se battait pour préserver ses charmes par une activité physique intense. La voyant de près pour la première fois, Loïc s'aperçut qu'elle était presqu'aussi grande que sa sœur. Elle avait aussi de très beaux yeux gris-bleus qui fascinèrent Léa.

« Bonjour Léa, bonjour Loïc, je suis Caroline et je suis ravie de faire -- officiellement -- votre connaissance. Madame d'Arcques, je veux dire Sylvie m'a longuement parlé de vous. Veuillez me suivre, je vous prie. »

Elle les conduisit vers un patio illuminé par une verrière en toiture. Une table bien garnie y était dressée . Sylvie se leva pour les accueillir, vêtue d'une longue robe bleue cobalt qui fit l'admiration de Léa.

« Bonjour Sylvie, cette robe vous va à ravir! »

« Merci ma jeune amie. Même à mon âge, je suis encore sensible aux compliments. Est-ce que vous voulez prendre une douche avant le petit-déjeuner? Le temps que Caroline prépare les expressos et le jus de fruit frais?»

« Volontiers, nous sommes partis en coup de vent comme vous nous l'aviez demandé et une douche nous ferait le plus grand bien »

« Loïc peut prendre la douche de la piscine et Caroline va vous montrer la salle de bains du premier étage »

Léa suivit Caroline au premier et ne put se retenir de siffler en découvrant la plus somptueuse salle de bains qu'il lui ait été donné de voir. Elle était plus grande que le living room des parents et comprenait une gigantesque baignoire qui devait aussi faire office de jacuzzi , une cabine de sauna et une douche à jets multiples. Les murs et le sol étaient recouverts de marbre. Quant aux porte-serviettes, ils devaient être plaqués or ou bien imités.

Caroline lui montra la douche en disant : « faites à votre aise, je reviens avec des serviettes et une robe de bain. »

Léa prit son temps dans la douche à jets, s'amusant à se nettoyer la chatte avec un puissant jet horizontal qui semblait avoir été conçu exprès pour cet office. Elle était à peine sortie de la douche que caroline réapparaissait avec une grande serviette chaude et fantastiquement douce dans laquelle elle enveloppa la jeune fille et une autre plus petite dont elle se servit pour essuyer les cheveux de Léa après l'avoir fait asseoir devant une maquilleuse qui faisait face à un miroir entouré de lampes comme dans les films hollywoodiens.

« Vous permettez?» dit-elle et elle commença à peigner les cheveux de Léa avant de les brosser pour les mettre en forme. Cécile brossait encore de temps en temps les cheveux de sa fille mais la technique de Caroline était tout autre, c'était un brossage beaucoup plus doux voire sensuel qui ne manquait cependant pas d'efficacité ni de talent à voir le volume que prenait sa chevelure.

Lorsqu'elle fut satisfaite du résultat, Caroline lui demanda de se lever, la débarrassa de la première serviette en en prit une autre tout aussi douce et caressante et entreprit de la sécher avec un soin minutieux, s'attardant sous les seins et dans tous les autres plis de son corps et avec encore plus de minutie dans l'entrejambe . Elle réserva un traitement de faveur au pubis glabre qui appréciait particulièrement la douceur du tissu. Si Caroline restait en apparence impassible, Léa nota que ses beaux yeux se rétrécissaient et que son souffle s'accélérait imperceptiblement alors qu'elle s'occupait de son pubis. Elle-même n'était pas insensible à ces attentions qui lui érigeaient les tétons et commençaient à humecter son vagin.

(« Si cette Caroline n'aime pas les femmes, je veux bien manger la serviette » se dit-elle)

Une fois persuadée que la jeune fille était bien sèche (« à l'extérieur » plaisanta Léa en son for intérieur) , Caroline l'aida à enfiler un kimono blanc qu'elle prit grand soin à ajuster au plus près de son corps. Cette fois Léa sentit nettement les mains de la femme lui caresser les seins et le ventre sous prétexte de vérifier les plis du vêtement tandis que son bassin se collait à ses fesses.

(« si elle continue encore cinq minutes, c'est moi qui la viole » se dit la jeune fille)

Mais la séance de pelotage furtif touchait à son terme, faute d'excuse valable et les deux femmes redescendirent vers le patio en passant par la cuisine d'où elles ramenèrent les cafés et le jus de fruit.

En entrant dans la pièce, Léa découvrit Loïc ET Sylvie en kimono, laquelle Sylvie avait les cheveux encore humides et la disparition du maquillage accentuait les pourtours de ses yeux cernés. (« Et voilà pourquoi je devais aller à l'étage, mon Lolo est déjà passé à la casserole. Et comme c'est sa première éjaculation de la journée, elle a dû en prendre plein pot Sylvie! »)

Les deux maîtresses de maison échangèrent un regard et un bref hochement de tête complice avant que tout le monde ne s'asseye à table pour faire honneur au brunch. C'était la première fois que Caroline restait avec eux et Loïc en profita pour essayer d'en savoir plus sur elle.

« Dites-moi Caroline, cela fait longtemps que Sylvie et vous êtes ensemble? »

(« un peu lourdingue le Lolo, elles ne vont pas cracher le morceau si facilement » le morigéna mentalement Léa)

« J'ai commencé à travailler pour Sylvie il y a douze ans » répondit-elle « juste après qu'elle est devenue veuve »

« Et elle est arrivée à temps » ajouta Sylvie, « je me laissais complètement aller à ce moment-là et c'est elle m'a encouragée -- et parfois obligée- à évoluer vers un mode de vie plus sain. C'est aussi elle qui m'a fait installer une petite salle d'entraînement -- il faudra que je vous la montre tantôt- et surtout à l'utiliser quotidiennement. »

« c'est ce qui explique votre corps d'athlète » remarqua Loïc

« Merci pour le compliment très cher mais j'ai commencé trop tard pour avoir un corps d'athlète . Caroline a un corps d'athlète mais elle a fait de la compétition! N'est-ce pas Caro? »

« Championne départementale du 400m crawl et championne régionale du lancement du javelot à mon époque de gloire » répondit Caroline un peu contrite

« Curieuse combinaison » remarqua Léa. Est-ce qu'il y a beaucoup d'athlètes qui font à la fois de la natation et de l'athlétisme en compétition.

« Plus de nos jours, ils sont trop spécialisés mais jadis, on considérait que le crawl était un bon moyen de développer la musculation es épaules et des bras pour le javelot. Et comme je n'étais pas mauvaise en crawl, j'ai mené les deux carrières en parallèle. »

« Mon grand regret, c'est de ne pas avoir connu Caro deux ans plus tôt » reprit Sylvie. « elle ne m'aurait jamais laissé me faire refaire les seins par un chirurgien au lieu de les travailler en salle. »

« Mais ils sont très bien vos seins Sylvie » se rebella Léa.

« Merci ma chérie mais s'ils ont L'AIR bien, le toucher , c'est autre chose , tiens, sens! »

Et elle ouvrit son kimono, prit la main de sa voisine et lui fit palper ses seins nus.

« Ah oui dit Léa, on sent nettement qu'il y a deux zones différentes »

« Loïc est très poli et chevaleresque mais j'ai bien vu qu'il n'aimait pas trop me caresser la poitrine . Désolée très cher. Par contre, Caroline a une poitrine splendide. N'est-ce pas Caro? Si vous la montriez à nos jeunes amis? »

« Voyons Sylvie, nous sommes à table »

« Tant que nous montrons des choses appétissantes, je ne vois pas le problème ... »

Caroline défit les boutons de sa robe noire jusqu'au nombril et écarta les pans, révélant à la surprise des deux jeunes gens qu'elle ne portait pas de soutien. Ses seins étaient évidemment plus petits que ceux de Léa mais néanmoins de bonne taille avec des mamelons et tétons bien proportionnés mais surtout, ils étaient d'une exceptionnelle fermeté.

« Allez-y Léa, comparez » l'encouragea Sylvie

La jeune fille se pencha et saisit le sein droit dans sa main, le soupesa, l'étreignit et caressa même le mamelon. Toute timidité balayée, elle essayait de faire passer un message à cette maîtresse femme « J'ai envie de toi ».

« Malheureusement, jeune Loïc, mon amie Caroline est définitivement portée sur le sexe faible, elle est homosexuelle, lesbienne comme on dit. Donc , pour vous, ce sera regarder mais pas toucher »

« J'aime aussi regarder » répondit Loïc d'une voix un peu rauque.

Léa, captivée par le regard magnétique de la dame de compagnie se leva et la fit se lever également. Elle l'enlaça et l'embrassa sur les lèvres. D'abord chastement puis, ouvrant la bouche, elle enfonça sa langue dans la bouche de l'autre tandis que Caro se collait à elle. La jeune fille s'empara des deux seins et les fit rouler dans la paume de ses mains déclenchant un gémissement chez son aînée qui ouvrit le kimono de sa compagne pour lui faire subir le même traitement.

Devant le spectacle de sa sœur et de Caroline, nues jusqu'à la taille en train de se caresser passionnément, la verge de Loïc émergea de son propre kimono, à la grande satisfaction de Sylvie que leur récente étreinte sous la douche avait mise en appétit.

« Ah.. mon pal préféré » lui murmura-t'elle à l'oreille en le caressant.

Caroline jeta un bref coup d'œil à sa patronne qui hocha à nouveau la tête et elle prit la main de Léa pour l'emmener vers la piscine et les matelas accueillants qu'elle connaissait bien. A la surprise de Loïc, Sylvie ne fit pas mine de les suivre. Un peu décontenancé, il la regarda mais elle devina ses pensées

« Caro est tellement lesbienne qu'elle ne supporte pas de me voir prise par un homme ; elle n'accepte même pas un homme nu et en érection à proximité quand elle fait l'amour. Alors avec ton armement de destruction massive, il vaut mieux que nous gardions nos distances »

« Je n'aime pas laisser ma ... mon amie seule » protesta Loïc

« Nous sommes au 21è siècle » dit Sylvie amusée « distance ne veut pas dire qu'on ne verra rien » Et elle l'entraîna vers le salon où trônait un énorme téléviseur. Elle dit à voix haute « Télévision » puis « canal interne véranda » et le téléviseur montra vue panoramique de la piscine et de ses abords. On y voyait Léa et Caroline en train de s'ôter mutuellement leurs derniers vêtements.

Ils s'assirent dans le canapé pour surveiller l'évolution de la situation.

Léa était à genoux sur un matelas et faisait glisser le slip noir de Caro pour l'envoyer rejoindre le petit tas de tissu à leurs côtés. Puis elle se releva et embrassa à nouveau sa compagne. Sa main droite vint se nicher dans son entrejambe tandis que la main de Caro en faisant autant pour Léa.

« Aha dit Sylvie, Caro va avoir du mal à la dominer ta jeune pouliche »

« Parce qu'elle te domine? » demanda Loïc avec une certaine ironie

« Ne te laisse pas tromper par les apparences mon beau. Ce n'est pas parce qu'elle est naturellement discrète qu'elle n'a pas une volonté de fer et un tempérament de feu! »

« Zoom avant » dit-elle soudain et la télévision afficha un gros plan du torse et du visage des deux femmes qui s'embrassaient en haletant visiblement. Leurs seins étaient écrasés les uns sur les autres et elles les frottaient avec vigueur pour stimuler leurs mamelons.