Les Jumeaux Croisés 11

BÊTA PUBLIQUE

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« On parie sur celle qui jouit en premier? » demanda Sylvie taquine

« Si cela continue, ce sera moi » répondit le garçon en montrant son énorme verge qui avait vaincu les pans du kimono .

« Ah non, si tu as besoin de jouir, fend-moi d'abord l'abricot! Tu ne crois quand même pas que j'ai été rassasiée tout à l'heure?! »

Elle se mit à quatre pattes devant le canapé et Loïc se glissa derrière elle, enlevant au passage son kimono et relevant celui de Sylvie jusqu'au-dessus des fesses. Il hésita un court instant en voyant son anus lui cligner de l'œil mais en l'absence de lubrifiant, il n'osa pas la prendre par là. Il dirigea donc sa verge vers le vagin de la sexagénaire et la pénétra avec des précautions qui s'avérèrent bien inutiles tant elle était mouillée.

« Son, plus 10 unités » dit soudain Sylvie

« Un concert de gémissements emplit le salon tandis que Loïc prenait la cadence de combat et se mettait à pistonner sa compagne sans ménagement »

« Vas-y , bourre-moi la chatte! » S'exclama la rombière. Loïc était toujours amusé par la dichotomie entre le vocabulaire précieux qu'elle utilisait en temps normal est ses expressions de charretière quand elle faisait l'amour.

A l'écran, c'était semble t'il match nul, Léa et Caro jouissaient en même temps en glapissant de bonheur. Mais c'est la dame de compagnie qui les fit basculer sur un matelas où elle prit tout de suite le dessus pour entamer un 69 forcené. Léa se laissa faire un moment tout en léchant consciencieusement la vulve et le clito de son amante. Puis, alors que l'aînée se relâchait un peu pour profiter des caresses, elle la saisit dans ses bras et d'un magistral coup de rein, Léa les fit rouler à 180° pour reprendre le dessus.

« Regarde Loïc, quelle bataille! AAAH vas-y mon tout beau, c'est bon de me faire baiser pendant que ma femme se fait brouter le minou. Vas-y, plus fort »

Décontenancé, Loïc perdit la cadence et se fit rappeler à l'ordre

« N'arrête pas! Oui Caro est ma femme! Mais baise-moi! Oui, plus fort mon mignon! AAH , regarde, elle jouit et ta Léa aussi! OOH , je viens, aussi! CARO!! »

En voyant sa sœur agitée de soubresauts et avec le son qui lui parvenait par-dessus les cris de Sylvie, le garçon n'y tint plus et salua l'orgasme de sa monture par de puissantes giclées qui la transportèrent de bonheur. Mais avec les images retransmises par l'écran, il ne débanda pas tout de suite et continua la cavalcade sans aucune pitié pour Sylvie qui le suppliait pourtant

« Non, arrête, je n'en peux plus! Pitié! Je n'ai plus de force »

Loïc se calma enfin et Sylvie se hâta de se désengager. Elle s'effondra à plat ventre sur l'épais tapis du salon. Un peu inquiet, le garçon se coucha à côté d'elle pour s'assurer qu'elle ne faisait pas de malaise. Sans ouvrir les yeux, elle lui tapota la main pour le rassurer. « Donne-moi cinq minutes pour récupérer et nous rejoindrons ton amie »

Dix minutes plus tard , ils rejoignaient Caroline et Léa au bord de la piscine. L'adolescente céda sa place sur le matelas à Sylvie et rejoignit Loïc sur un matelas voisin. A la demande de Sylvie, le garçon s'était à nouveau sanglé dans son kimono pour dissimuler son sexe, précaution nécessaire car lorsqu'il sentit le corps alangui de sa sœur se pelotonner à ses côtés, il fut pris d'une nouvelle et impressionnante érection heureusement dissimulée sous les plis du vêtement. Essayant de détourner son attention, il demanda à leur hôtesse

« Donc Sylvie, si j'ai bien compris, Caroline et vous êtes mariées? »

Sylvie avait enlacé sa compagne toujours nue et lui caressait doucement le visage

« Pacsées pour être tout-à-fait précise répondit-elle. Nous nous sommes pacsées il y a cinq ans mais je ferais peut-être bien de vous raconter notre histoire depuis le début.

« J'ai perdu mon mari il y a douze ans et je vous ai expliqué que Caroline m'avait aidé à remonter la pente mais à cette époque, nos relations étaient purement professionnelles. Trois ans plus tard, comme nous nous entendions vraiment très bien, je lui ai proposé de s'installer avec moi dans cette grande maison. La sachant célibataire, je ne fus pas étonnée qu'elle accepte. C'est à cette époque qu'elle m'a fait son coming-out mais je n'ai pas réagi ; je la considérais comme une amie sans plus. Et puis , ma libido était à son point le plus bas. Je venais d'être ménopausée et j'étais persuadée que ma vie sexuelle était terminée. C'est un an plus tard, quand j'ai consulté Lucie pour la première fois que les choses ont basculé. Elle m'a prescrit un traitement hormonal qui m'a fait vivre une seconde adolescence sexuelle. Le problème c'est que j'avais été tellement longtemps privée de sexe que je ne me rendais pas compte que j'étais en manque. C'est de nouveau Lucie qui m'a aidée en me prescrivant la visite de Françoise. Ce fut le déclic. Elle m'a fait hurler de plaisir à faire se décrocher les tableaux dans toute la maison et je pensais mes problèmes résolus mais après le départ de mon « infirmière », j'ai dû affronter Caro qui de douce et discrète dame de compagnie s'était transformée en furie. Elle m'a traitée de tous les noms puis m'a annoncé qu'elle s'en allait. J'étais abasourdie. Et très rapidement, j'ai eu l'impression que ma vie s'effondrait à nouveau. Je l'ai suppliée de rester mais elle m'a repoussé en m'assénant qu'elle ne pouvait pas rester auprès de celle qu'elle aimait si je me payais des putes. C'était déjà assez dur pour elle de feindre l'indifférence mais elle refusait de me voir avec d'autres femmes si elle-même était exclue. Je pleurais. Elle pleurait. Nous sommes tombées dans les bras l'une de l'autre, elle m'a embrassée et, à mon grand étonnement, j'ai répondu avec enthousiasme.

Bref, cela s'est terminé de manière très satisfaisante et depuis lors, nous avons trouvé notre équilibre : nous vivons et nous couchons ensemble mais je fréquente quelques hommes qui satisfont mon côté hétérosexuel et Caro compense de son côté mes infidélités avec des amies. Il n'y a qu'avec mon cercle de relations d'affaires que vous avez vu l'autre soir qu'elle refuse obstinément de se mêler. Elle les trouve trop snobs, ce qu'ils sont d'ailleurs et c'est à cause d'eux que j'ai dû garder notre relation secrète. Ils n'accepteraient jamais une « mésalliance » de ma part or je ne peux pas me permettre d'être exclue de leur réseau. »

« Je n'avais pas compris que tu avais une affaire à toi » intervint Léa

« Tu croyais que je vivais de mes rentes? Non, j'étais la directrice financière de l'entreprise de mon mari avant de l'épouser et c'est moi qui ai transformé la structure du groupe. Donc, je suis la mieux placée pour en continuer la gestion même si notre structure en holding est beaucoup plus facile à gérer que lorsque je m'occupais de l'opérationnel. En pratique, cela ne me demande que quelques heures de travail par semaine, quelques réunions par trimestre et beaucoup de relations publiques, en ce compris les soirées très privées »

« Et le Pacs? »

« C'est une idée de ma chère idiote » répondit Caroline qui était restée silencieuse jusqu'alors. Comme elle a dix ans de plus que moi, elle veut que puisse profiter de sa fortune en cas de malheur. Je n'en voulais pas mais elle a insisté. On est femme d'argent ou pas!«

Et elle se tourna vers sa compagne pour l'embrasser. La narration de Sylvie avait dû lui rappeler de tendres souvenirs car elle prolongea son baiser et vint s'allonger sur le corps de la dame d'Arcques après avoir écarté les pans du kimono. Leurs deux corps nu ondulaient l'un contre l'autre tandis qu'elles se caressaient à qui mieux mieux. Caroline glissa le majeur dans la fente de sa compagne et la masturba une minute ou deux avant de retirer son doigt et de l'examiner d'un œil torve. A la stupéfaction de Sylvie, elle porta son doigt à sa bouche et le suça.

« Caro!»

« Il faudra bien que je m'y fasse un jour et je préfère goûter le sperme du jeune Loïc que celui de tes copains avachis »

Léa, toujours pelotonnée contre son frère, glissa la main sous le kimono serré et découvrit, comme c'était prévisible, qu'il bandait comme un cerf.

Elle lui murmura à l'oreille « Même deux vieilles lesbiennes te font de l'effet , n'est-ce pas mon gros loup? » et à voix haute « Sylvie, est-ce que nous pouvons nous isoler dans votre salon ou dans la salle d'entraînement? Mon Lolo a un gros problème »

« Non, restez! » s'exclama Caroline en se retournant. Vous deux, vous n'êtes pas comme les autres et j'ai envie de vous voir faire l'amour .Tant que je ne vois pas Loïc chevaucher ma femme, je peux accepter la présence de son euh.. organe. »

Dire que Sylvie était étonnée est un euphémisme. « Caro, tu es certaine? »

« Oui mais tu devras payer de ta personne. Allonge-toi tête vers eux pour que tu puisses me lécher pendant que je les regarde »

Entretemps, Loïc avait arraché son kimono et s'était agenouillé derrière sa sœur pour la prendre en levrette. Ils étaient à la perpendiculaire de leurs hôtesses et Caro, juchée sur sa compagne, avait une vue immanquable sur la spectaculaire érection du garçon. Oubliant sa réserve naturelle, elle en fit le commentaire à voix haute pour le bénéfice de Sylvie dont le champ de vision était bloqué par sa chatte .

« Ma chérie, comment as-tu pu te laisser pénétrer par cette horreur. Tu as dû être estropiée par ce monstre. Et maintenant il s'en prend à la pauvre Léa... Ca y est, il a commencé à violer sa merveilleuse intimité. Elle gémit de douleur mais non, on dirait qu'elle apprécie! Voilà, son énorme braquemart a entièrement disparu dans sa féminité. Ce doit être horrible, ce corps étranger dans ton ventre. Mais toi tu aimes cela, vieille salope, tu me lèches plus fort quand je te parle de braquemart ooh. Oui, ma salope , lèche ta femme. C'est tellement meilleur que de se faire défoncer par un mâle comme cette pauvre Léa. Qu'est-ce qu'elle en prend la pauvre. Elle est toute secouée. Je vois ses gros seins qui sont tout chamboulés par la brutalité de ce viol! AAAHH , continue, OOOH! »

« mmmh » proféra Sylvie la bouche collée à la chatte de son épouse.

« Non, pas toi, tu dois me lécher le bouton comme une véritable épouse doit le faire. Laisse la petite se faire baiser à mort par cet animal. AAAH OUI! J'Y SUIS PRESQUE! PLUS VITE, PLUS FORT! OOOH! JE VIENS! JE JOUIS!

Ce flot verbal avait réveillé les plus mauvais instincts de Loïc et, obéissant aux descriptions de la plus jeune des deux lesbiennes, il baisait sa sœur plus violemment qu'il ne l'avait jamais fait jusqu'ici ; oublieux de ses dimensions, il la prenait sans aucune retenue, bien décidé à la marquer à tout jamais de son empreinte.

Heureusement, Léa était tout aussi émoustillée par le délire sexuel de sa précédente partenaire et elle était tellement humide et ouverte que, malgré l'emportement forcené de son frère, elle ressentait plus de plaisir qu'elle n'en n'avait jamais ressenti auparavant. Et elle n'hésitait plus à encourager son pourfendeur .

« Vas-y mon Lolo, ne l'écoute pas! J'aime quand tu me prends comme une bête. Défonce-moi comme elle dit, PLUS FORT! AAAH! JE SENS QUE CA VIENT! BOURRE-MOI! JOUIS EN MOI! JE VIENS AUSSI!!! »

Sylvie se dégagea de sous son amante effondrée et regarda son amie et ses deux invités d'un air désemparé : tout le monde avait connu l'extase sauf elle! Depuis l'autre matelas, Léa s'en aperçut. Elle porta la main à son sexe , se releva et traînant son frère derrière elle, elle s'approcha du couple. Elle envoya Loïc entre les jambes de Sylvie pour lui lécher la chatte tandis qu'elle-même se plaçait au-dessus de la bouche de son hôtesse et elle retira sa main, laissant une traînée de sperme s'écouler directement de sa vulve dans la bouche de Sylvie. Puis elle se joignit à son frère et caressa le vieux clito tandis qu'il léchait le sexe béant. Caroline avait enfin émergé des brumes de l'orgasme et, après un coup d'œil méfiant au garçon, se précipita pour embrasser sa femme sans remarquer les reliquats de sperme qui maculaient les bords de sa bouche!

Sylvie gémit d'un plaisir inavouable en sentant la langue de sa très lesbienne compagne dans sa bouche partager avec elle le mélange des sécrétions du jeune couple. Peu après, les attouchements deux jeunes gens eurent raison d'elle et elle cria son plaisir malgré la bouche de Caro qui bâillonnait la sienne.

Pendant que Caroline préparait une carafe de Margherita pour l'apéritif, Sylvie montra sa salle d'entraînement au jeune couple. Si Loïc ne put résister à l'envie d'essayer une machine à poids pour les biceps, l'attention de Léa fut attirée par un groupe d'appareils dans un coin de la pièce. Le plus compréhensible était un espalier pourvu de menottes et de sangles qui devaient servir à attacher un homme ou une femme. A côté trônait une espèce de rameur pourvu d'un long gode dans sa section centrale . Léa testa la machine et , comme elle l'avait supposé, le membre artificiel se présenta à l'entrée de son vagin dès qu'elle tira sur les rames.

Il y avait aussi un vélo dont la selle percée laissait passer un autre gode à chaque tour de pédalier tandis que la partie avant de la selle se mettait à vibrer. Léa regarda Sylvie qui sourit sans aucune gêne « Que veux-tu ma chérie, je n'ai pas un étalon à demeure, moi et même Caro a parfois des démangeaisons qu'aucune lesbienne ne pourra calmer »

Elles se retournèrent pour admirer l'étalon en question qui poussait un maximum de fonte sur sa machine et aperçurent Caro qui, depuis le pas de la porte, regardait, fascinée, la puissante musculature de ses bras en pleine action. L'ancienne athlète semblait avoir oublié son aversion pour les hommes devant cet étalage de force et d'endurance. D'autant plus que le garçon avait étalé son kimono sur le banc et était entièrement nu dans l'effort. Quand elle comprit que les deux autres la regardaient, elle s'ébroua « l'apéro est prêt » .Elle tendit la main à Loïc pour l'aider à se relever, palpant le biceps droit au passage et appréciant sa dureté.

Elle ne dit pas grand-chose pendant l'apéro mais fit largement à la Margherita dont elle prépara même un second flacon. Une heure plus tard, elle alla chercher avec l'aide de Léa le buffet froid livré par le traiteur mais n'y fit pas tellement honneur au contraire de l'excellente bouteille de Margaux que Sylvie avait sortie de sa cave.

Bref, c'est une Caroline bien pompette qui se leva en fin de repas et, regardant Sylvie dans les yeux, dit d'une voix zézayante « Ze veux l'essayer » . Interloquée , sa maîtresse répondit « En d'autres occasions , j'en serais ravie mon amour mais tu ne crois pas que tu as un peu abusé de l'alcool? »

« Sans alcool, ze n'y arriverai zamais »

Léa ne comprenait pas de quoi il s'agissait mais son frère lui s'était soudain redressé sur sa chaise, comme aux aguets. Lorsque Caro le prit par la main, il se leva et la suivit en direction du gymnase avec Sylvie en remorque et Léa à leurs trousses. Ils traversèrent la pièce et elle le fit s'allonger sur le matelas de gym au pied de l'espalier, ôta son propre kimono puis menotta les poignets du garçon à l'engin. D'un coup sec, elle ouvrit son kimono et palpa son torse en poussant des petits soupirs d'appréciation. Sa main droite descendit le long des abdominaux dessinés en bâtons de chocolat et s'empara de la verge presque complètement érigée.

« Tu as envie de moi, beau mâle? Sois content, je vais te prendre. Et je vais prendre mon plaisir que cela te plaise ou non. Ton gros chibre n'a qu'à bien se tenir, j'arrive! »

« Caro, laisse-moi t'aider » la pria Sylvie tandis que Léa ne savait plus où se mettre.

« Pas nécessaire » grommela la presque quinquagénaire en s'accroupissant au-dessus de la verge maintenant tout-à-fait roide. Elle dut cependant forcer pour pouvoir faire pénétrer le gland dans sa vulve contractée arrachant des gémissements de douleur à sa victime.

Léa voulut intervenir mais Sylvie la retint « S'il te plaît, c'est la première fois qu'elle va aussi loin, laisse-lui une chance de surmonter son traumatisme » Malgré la consigne de son épouse, elle vint s'accroupir à son tour derrière elle et, assise sur les cuisses de Loïc, ouvrit son vêtement et colla ses seins sur le dos de sa compagne tandis que ses mains s'emparaient des seins de la cavalière pour les pétrir amoureusement.

Prenant appui sur les épaules du garçon, Caro parvint enfin à faire pénétrer le gland entièrement en elle et le reste suivit presque complètement. « AAOUUH » cria-t'elle, « tiens-toi bien beau mâle, je vais te baiser! »

Avec Sylvie toujours plaquée contre son dos et la soutenant par les seins, elle commença à donner des coups de reins pour aller et venir sur la grosse bite qui occupait son ventre. A chaque fois qu'elle atteignait son nadir, un cri lui échappait ; tantôt un « AH! » de plaisir, tantôt un « UGH! » plus douloureux mais jamais son tempo ne ralentit. Loïc , un peu intimidé par cette chevauchée dont il n'était pas maître, commençait à ressentir les premières ondes de plaisir maintenant que le vagin de Caro commençait à s'humidifier et à se dilater pour accueillir plus facilement sa verge hypertrophiée. Il aurait bien aimé palper ses beaux seins lui aussi mais les menottes n'étaient pas des accessoires de théâtre et l'emprisonnaient bel et bien malgré ses efforts.

Sachant que Caro était sensible à sa musculature, il gonfla ses biceps comme pour essayer de briser ses chaînes puis fit jouer ses abdominaux pour mieux l'empaler.

«UGH! » gémit -elle en se rabattant sur lui avec violence « rien à faire beau mâle, tu es mon prisonnier AAAHH! sans défense, tu es ma chOOOse!»

Sylvie décida d'aider son amie à atteindre l'orgasme, soupçonnant sans doute à juste titre que la seule verge de Loïc ne lui suffirait pas . Elle abandonna le sein droit et se mit à caresser le clitoris turgescent de son amie. Elle sentit aussitôt celle-ci se relâcher quelque peu en retrouvant une caresse plus familière et ses coups de reins devenir plus souples et plus coulés. Elle embrassa le cou de Caroline et lui murmura tendrement « Je suis là ma chérie, donne-moi ton plaisir, jouis pour moi! ». Elle accéléra le rythme de la danse de ses doigts et mordit l'épaule de sa compagne.

Loïc vit le visage de Caro se crisper soudain et ses cris s'amplifièrent « AAAHH, CA Y EST, JE VAIS JOUIR! BITE IMMONDE! AAAHHH! SYLVIIIIE!

Complètement empalée sur le membre masculin, elle se laissa aller à une jouissance intense, elle qui n'avait plus connu de membre viril depuis des dizaines d'années. Mais dès qu'elle retrouva un minimum ses esprits, elle s'arracha du garçon et se roula en position fœtale à ses côtés. Sylvie se précipita sur elle et l'entoura de ses bras en lui parlant d'une voix indistincte mais sur un ton rassurant et débordant d'affection.

Léa avait une folle envie de se précipiter à son tour sur son frère sans défense et de le chevaucher comme une cow-girl mais, consciente de la particularité du moment, elle résista à son impulsion et attendit la suite des événements. De même, Loïc aurait en temps normal réclamé à grands cris qu'une des femmes s'occupe de son propre assouvissement vu la tension qui habitait sa bite douloureusement prête à exploser mais il réalisait l'importance de l'acte auquel il venait de participer presque à son corps défendant.

Caroline se redressa enfin et à la plus grande stupéfaction de son épouse, embrassa le garçon toujours enchaîné. Pas l'embrassade amoureuse , un chaste baiser sur les lèvres. Ensuite elle lui caressa doucement le visage en lui disant « Merci mon beau, je préfèrerai toujours les femmes mais je reconnais que certains hommes peuvent être de chouettes compagnons de sexe . » Puis se tournant vers Sylvie, lui dit d'un ton faussement fâché « Regarde, vieille salope hétéro, notre jeune étalon a besoin qu'on s'occupe de son braquemart. A ton tour de le prendre pour lui faire cracher sa purée » dit-elle en agitant la verge de Loïc comme s'il s'agissait d'un hochet.