L'Île de Marana Chapitre 13

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cela semble exciter toutes ces femmes. Elles sont en masse autour de l'estrade, il fait noir et nous ne sommes éclairés que par quelques flambeaux. Il me semble qu'il y a des centaines de géantes noires qui me regardent. Mon sexe ne faiblit pas, comme pour montrer à toutes ces femmes que j'adore me faire fouetter tout nu devant elles. Les coups pleuvent, sont de plus en plus rapides, la douleur persiste, ne s'estompe jamais, augmente sans arrêt.

Dans la transe, j'aperçois les quatre autres guerrières s'approcher de moi avec des cravaches et elles me frappent également, partout sur le corps, même sur le sexe et les testicules.

Je hurle encore plus, et je crois que je m'évanouis dans la douleur.

Je reviens à moi, je suis encore attaché en l'air. Les quatre guerrières sont retournées aux coins de l'estrade et T'Asha est devant moi.

— Encore, scande la foule.

— Ce sera tout, clame T'Asha, il ne faut pas abimer cet esclave, et sa punition a déjà été de loin supérieure à sa faute. N'oubliez pas qu'il est l'esclave protégé des déesses.

T'Asha regarde mon visage, elle semble toute douce. D'abord, elle sèchent un peu mes larmes et baise doucement mes lèvres.

— C'est fini, me souffle-t-elle. Nous allons rentrer et te soigner.

S'Ardah et S'Arly viennent détacher mes pieds et puis mes mains. Elles me portent et me déposent sur le sol. Je me sens faible, mon corps est douloureux, j'aperçois ma peau zébrée des centaines de coups que j'ai reçue, cela brûle, pique, mon corps est une seule plaie.

— Ne crie plus, m'ordonne T'Asha, je vais te ramener.

Cor'Y me passe la laisse. Je fais mon possible, et parviens à avancer en marchant, en titubant plutôt. Je dois descendre les marches, à reculons, et puis je suis encore emmené dans la foule, trop vite et je tombe. T'Asha me traine ainsi dans la poussière, je hurle et pleure de douleur jusqu'à ce que nous soyons dans la hutte.

— Pauvre Arno, commente Varnah, quelle punition pour une première fois!

— Sans compter qu'il n'était pas vraiment coupable, intervient encore Cor'Y en me relevant et en me serrant dans ses bras.

— Il n'a pas perdu sa vigueur, dit encore S'Arly. Je n'ai jamais vu ça chez un esclave.

— Nous allons nous en occuper, décrète T'Asha.

Elle me prend dans ses bras. T'Asha a déjà retiré sa combinaison de cuir noir et ne porte que sa tunique blanche. Elle retire s'assied et retire son vêtement vers le bas pour faire apparaître sa grosse poitrine, sur laquelle elle me serre. Automatiquement, je me sens mieux, malgré la douleur et la peine.

Cor'Y arrive avec un flacon et le donne à Varna qui s'est déjà déshabillée. Je sens ses mains douces sur mon dos, occupées d'oindre une lotion huileuse. Dès la caresse, je sens la douleur disparaître en quelques secondes. Quand elle passe sur mes bras, je m'aperçois qu'en quelques secondes, ma peau a repris sa texture habituelle sans les rougeurs et les blessures des cravaches.

— Dans les temps anciens, les esclaves étaient battus en permanence, et parfois, les maitresses soulageaient leurs souffrances en récompense de bonnes actions.

— Merci, réponds-je en reprenant un peu de confiance en moi. C'était vraiment douloureux.

— Ce n'est rien petit Arno, me dit T'Asha, tu n'étais pas vraiment puni. Si un jour je dois te punir, tu n'auras pas droit à cette lotion.

— Mais c'était insoutenable.

— Pas comme une vraie punition.

Pendant qu'on caresse le reste de mon corps, je me demande ce que serait la douleur d'une vraie punition, comme elle dit.

— Vous savez, la déesse m'a parlé juste avant les premiers coups.

— Ah? Et que t'a-t-elle dit?

— Elle m'a dit d'être courageux, qu'elle m'avait choisi, et que jamais elle ne laisserait quelque chose m'arriver. Elle m'a demandé d'avoir la foi et de lui prouver que j'étais son esclave et que je l'aimais.

— Tu es vraiment l'élu d'H'Arhia, s'extasie Varna. Tu dois avoir la foi, elle te sauvera toujours. Elle te fera vivre toujours et tu la serviras pour toujours.

— Tu te sens mieux? Me demande T'Asha.

— Oh oui, merci beaucoup.

Après les coups, la douceur de ces femmes me fait du bien.

— Tu vois, quand cela t'arrive, nous serons là pour t'appliquer cette lotion. Pour autant que tu te sois bien comporté, me dit Sarl'Y

— Nous irons encore dans des villages, m'apprend T'Asha, et tu subiras encore le même traitement. Mais tu devras être plus fort, car cela deviendra chaque fois pire. Nous serons très sévères et impitoyables.

— Mais ensuite, tu auras la lotion, et ce sera fini.

Je laisse faire les caresses, j'en profite un peu.

— Va prendre une douche, me dit T'Asha, et ensuite tu me rejoins sur ma couche, te fouetter m'a beaucoup excitée, tu vas devoir montrer ton savoir d'esclave entre mes cuisses.

— Nous aussi, insistent les autres.

Je vais donc prendre une douche et rejoins d'abord T'Asha, nue sur sa couche. Elle ne dit rien et écarte simplement ses grandes cuisses noires. Je vais directement lui faire ce qu'elle m'a demandé.

A peine a-t-elle utilisé mes ressources et joui plusieurs fois, qu'elle me pousse en bas de son lit pour que j'aille rejoindre sa voisine.

Après une telle journée et surtout une telle soirée, je suis fatigué. Mais je suis obligé de prodiguer du plaisir pendant une bonne heure à chaque femme. C'est Cor'Y qui me garde auprès d'elle pour le reste de la nuit.

Au matin, elles m'ont laissé dormir. Elles sont déjà vêtues en cuir et complètement harnachées quand je me réveille. Tout de suite, Cor'Y vient me mettre ma laisse et me sort dans le village. C'est beaucoup plus calme. Les femmes vaquent à leurs occupations et ne font plus attention à moi. Nous allons dans la hutte de la cheftaine qui nous accueille pour le repas du matin. Elles sont toutes assises en rond sur des bancs, et moi je dois me poster en laisse, à genoux aux pieds des maitresses.

De temps à autres Cor'Y me donne des morceaux de nourriture, comme à un chien. Je voulais refuser, mais le regard sévère de T'Asha me fait changer d'avis. Je ne dois plus avoir de dignité ici, ma vie est une complète humiliation.

Quand je repas est fini, je continue ma balade en laisse dans le village, presque comme un touriste. Mes maitresses me montrent les huttes, le port, les ateliers, et toute la vie du village. Ensuite, elles vont me montrer l'enclos aux esclaves. L'endroit semble tout neuf alors qu'elles me disent qu'il n'a plus été utilisé depuis des milliers d'années. C'est très grand, avec des cages et des prisons pour des centaines d'esclaves de ma taille, des engins de torture et de punition, une grande forge.

— Les esclaves sont amenés en file, nus et enchainés par le cou et les chevilles. Ils sont ensuite amenés à la forge, où ils reçoivent leurs chaines définitives. Ensuite, ils sont marqués au fer rouge pour les différencier et ils passent au lavage et à la désinfection. Ils sont complètement tondus. Ceux qui ne sont pas en forme, éclopés, blessés, sont directement mis à mort. Les autres rejoignent leurs cages. Ensuite, ils sont dressés, pour les travaux, champs, les mines, le nettoyage. Ils n'ont jamais droit à la révolte, c'est la punition assurée. Ils vivent malheureux, ils nous détestent et en même temps nous adorent. Comme toi, ils sont souvent en érection, mais c'est différent. Les plus beaux et les plus jeunes sont parfois entrainés pour le plaisir.

— C'est horrible, m'exclamé-je. Tous ces gens qui...

— C'est le sort des mâles, ils n'existent que pour notre plaisir. Le monde a été trop longtemps dominé par les mâles, cela va se terminer. Toi, tu es à nous, tu as embrassé la vie de Marana. Ceux qui le feront comme toi seront bien traités.

J'imagine les horreurs qui doivent se passer ici. La visite se termine et je me garde bien d'encore en parler. Nous retournons au village et recevons encore de la nourriture et de l'eau avant de partir. Cette fois, je suis encore tiré en laisse par les cinq maitresses à cheval.

Cela fait plusieurs heures que nous marchons lorsque je demande.

— S'il vous plait maitresse T'Asha, pouvez-vous me détacher?

— Nous allons bientôt arriver, ce n'est pas la peine.

Bientôt c'est plus de trois heures de marche forcée, probablement vingt kilomètres. Je suis vanné lorsque nous arrivons au lieu de bivouac, sur le bord de la rivière. Je me laisse tomber par terre.

— Et alors? Demande sèchement T'Asha, c'est comme ça que tu te comportes? Tu as des choses à faire lorsque nous arrivons au bivouac le soir.

— Mais maitresse, je suis fatigué.

— Je ne veux rien savoir, au travail.

— Attendez un peu, s'il vous plait.

Mes suppliques ne l'attendrissent pas du tout. Elle vient vers moi et me prend par les poignets pour m'emmener à un tronc d'arbre sur lequel elle s'assied. Je comprends tout de suite, la fessée.

— Non, s'il vous plait, je ne le ferai plus.

Elle frappe.

— Tu n'as pas encore compris? Tu es ici pour un long voyage, tu es seul et nu et en notre total pouvoir. Tu obéis, et ne contestes jamais les ordres.

Pendant ce temps, elle frappe et je hurle. Elle frappe encore plus fort qu'hier soir.

Elle me donne je ne sais combien de coups, sa grande main frappe mes deux fesses en même temps, méthodiquement pour me faire le plus mal possible.

Alors, elle me relève et me tient par les poignets, en suspension.

— Tu vas bien te comporter?

— Oui, maitresse, pleuré-je.

— Au travail, va chercher du bois et de l'eau.

Je n'en peux plus. Ce soir c'est encore plus éprouvant que d'habitude surtout parce que je suis fatigué. Lorsque je vais dormir, mes fesses brûlent encore. J'ai mal et la douleur ne part pas.

Les femmes sont de plus en plus sévères, et les jours qui viennent ne changent pas notre routine. Malgré tout, je me sens heureux d'être nu avec ces géantes noires, c'est comme un accomplissement, ma vie telle qu'elle doit être.

Je ne compte plus les jours, mais c'est bien une semaine après la visite du village, en fin d'après-midi, nous arrivons à un petit lac, nous sommes dans la partie nord, la partie interdite de l'île. Au milieu du lac se trouve une île avec un petit temple.

— Nous allons nous arrêter ici, me dit T'Asha, ceci est un petit temple en l'honneur des déesses. Tu vas aller présenter tes dévotions.

Elles retirent leurs tenues de guerrières et me font entrer dans l'eau pour me laver.

— Maintenant, tu vas nager jusqu'à l'île et entrer dans le temple.

Il y a moins de cent mètres. L'eau est glacée, et bleue. J'avance difficilement, je lutte pour ne pas m'engourdir. Le froid est fort, surtout après avoir vécu tout le temps dans ces températures tropicales. Enfin, je sors de l'eau et me hisse sur la berge couverte de mousse bleue, douce et agréable sur ma peau. Je m'arrête un peu et cherche l'entrée. Une petite porte que je pousse pour être dans une pièce fraiche. Alors, tout se chamboule, tout se ferme et je me retrouve dans le néant, la masse blanche de brume dans laquelle je flotte. Je regarde partout autour de moi et vois finalement la main de la déesse qui me prend et m'emmène dans un tourbillon. Je me retrouve à nouveau à ses pieds dans des hautes herbes très vertes et très douces. Devant moi, j'ai la belle déesse H'Arhia, majestueuse et resplendissante comme la plus belle femme du monde. Je me jette à ses pieds et les baise tout de suite, submergé d'un immense bonheur. Je passe d'un pied à l'autre pendant quelques minutes.

— Relève-toi, esclave.

Je me mets debout et la regarde, admiratif, arrivant sous ses genoux, son visage me paraît si loin.

— Déesse, je suis si content de vous revoir. Vous m'avez appelé « esclave »?

— C'est ce que tu es, tu es l'esclave divin, mon esclave personnel, l'esclave des déesses.

— Mais déesse, comment puis-je vous servir, je suis si petit par rapport à vous.

— Il y a des milliers de moyens de me servir, ce n'est pas nécessairement ce que tu crois. Comment se déroule ton voyage?

— Très bien déesse. Je me sens si heureux depuis que je suis arrivé sur Marana, et encore plus depuis que je vous ai rencontrée.

— Tu as toujours bien réagi, je suis contente de toi. Sois le plus serviable possible, obéis toujours à une femme, quelle qu'elle soit. Tu as encore un long chemin à parcourir.

— Oui déesse.

La belle déesse se baisse et me prend dans sa main pour me monter à son visage.

— Tu aimes tes bijoux?

— Oui déesse.

Son visage est immense, pratiquement plus grand que moi. Elle irradie de beauté.

— Je veillerai toujours sur toi, tu es celui que j'ai créé et choisi pour me servir et servir Marana. Tu t'en sors très bien. Continue. La magie divine et la magie élémentaire reviennent vite grâce à ta présence, nous nous entrainons, nous récupérons tous les pouvoirs perdus. Nous serons encore plus puissantes qu'avant, nous dominerons le monde et tu seras à mes pieds.

— Je ne comprends pas ce que je dois faire, réponds-je un peu perdu.

— Tu vas rester avec nous, T'Asha va te montrer dans le nord. Tu n'as aucun pouvoir, mais tu as le don de catalyser l'énergie nécessaire à tout le monde de Marana. Tu vivras ainsi éternellement pour nous donner ce pouvoir. Mais tu ne peux en parler qu'à des femmes Mars.

— Cela veut dire que je vais quitter Marana?

— Oui. Quand ton voyage ici sera terminé, tu retourneras chez toi, tu vivras en attendant que nous commencions à conquérir le monde. Il ne peut rien t'arriver.

— Je dois retourner chez moi? En France?

— Oui, où tu veux, mais en dehors de Marana.

— Mais pourquoi? Je ne peux pas rester avec vous?

— Tu te plais tant que cela avec nous?

— Oui déesse, je me sens si bien, c'est ma vie. Je n'aimerais plus retrouver ce que j'ai vécu avant.

— Même pas avec ta tutrice, Sarah?

— Comment savez-vous qu'elle s'appelle Sarah?

— Je suis une déesse, je sais tout.

— Oui, j'ai adoré Sarah. J'ai aimé vivre seul, mais je ne me faisais pas beaucoup d'amis, je n'ai rien à gagner là-bas.

— C'est ma décision esclave, tu retourneras chez toi, pour un moment. Je dois réorganiser mes femmes, elles doivent se préparer à la conquête du monde.

— Est-ce que je vous reverrai?

— Tu aimerais?

— Vous avez changé ma vie, je ne peux plus me passer de vous.

— Je serai toujours avec toi. Je te protégerai, et je te ferai venir ici. Si tu veux me voir, tu m'appelles.

— Merci Déesse.

Elle approche sa main de sa bouche et m'embrasse doucement, ses lèvres touchent même mon sexe me procurant une sensation exquise et divine.

— Je t'aime, mon bel esclave. Sers-moi bien et tu seras grandement récompensé. Un jour, tu vivras avec moi, toujours nu.

Je me retrouve soudain dans le néant blanc pendant un moment, et puis la porte de sortie apparaît et je sors sur l'île. Il fait noir. Suis-je resté si longtemps dans ce temple? Est-ce que je peux nager la nuit. De toute façon, je dois avoir la foi, rien ne peut m'arriver. Je plonge dans l'eau glacée et nage jusqu'à la berge, où j'aperçois un feu. Je rejoins les cinq géantes noires. Elles sont juste en tunique sauf Varna qui est de garde.

— Tu es resté très longtemps, constate T'Asha en m'accueillant et en me prenant dans ses bras. Tu es content de ton entrevue avec la déesse?

— C'est toujours aussi bien. Je me sens si heureux après, et surtout pendant. Elle m'a touché, pris dans sa main. Elle m'a embrassé. Elle m'aime.

— Je sais, petit Arno, nous t'aimons toutes, même si nous te punissons.

Elle me caresse et me sèche, puis me masturbe tout en continuant à me parler.

— Demain, nous allons dans un autre village, un vrai village du nord. Ce sera une première pour toi, et ce sera comme pour le premier village, tu seras considéré comme un esclave, tu devras montrer que tu es traité comme un esclave. Nous serons très sévères avec toi, tu auras la vie très difficile.

— Je ferai ce qu'il faut, réponds-je aidé par les caresses.

Elle me parle du voyage et j'accepte tout ce qu'elle me dit, excité par les traitements que je vais avoir.

Le lendemain midi, nous arrivons effectivement dans un nouveau village. Les femmes ne portent qu'un pagne, et exhibent leur corps magnifique.

— Dans le nord, les femmes aiment la nudité, cela asservit encore plus les mâles, m'apprend T'Asha. Maintenant, esclave, reprend-elle d'une voix sèche et forte, en route! Les vacances sont finies.

Une de ses amies derrière moi me donne un coup de cravache sur les fesses. Nous entrons ainsi dans le village et T'Asha s'arrête devant la cheftaine, nous sommes entourés d'une centaine de femmes noires géantes, pratiquement nues.

— Je suis maitresse T'Asha, envoyée par la déesse H'Arhia pour présenter son esclave personnel et béni à nos sœurs. Voici Arno, l'esclave des déesses, qui augmente notre puissance et renouvelle notre magie. Bientôt, nous dominerons à nouveau le monde et nous aurons des milliers d'esclaves à dresser.

— Maitresse T'Asha, répond la cheftaine, nous sommes ravies de ta visite, les échos de ton arrivée nous sont parvenus il y a déjà bien des jours. Nous vous accueillons avec joie, mais comme tu le sais, cela fait si longtemps que nous n'avons pas vu de mâle, pourras-tu le dresser et le punir en face de nous.

— Bien sûr, Arno est là pour cela, il adore vivre nu à notre service, il adore satisfaire ses maitresses et si tel est notre bon plaisir, il adore se faire fouetter.

Les femmes applaudissent.

Mon aura a dû passer les forêts, car les femmes ne me haïssent pas, par contre elles veulent que je sois battu en public. T'Asha descend de cheval et accroche ma laisse à mes testicules, puis me fait avancer à quatre pattes, soudain très sévère avec moi. Je suis obligé de marcher ainsi au milieu d'un couloir de géantes noires qui m'observent avidement. J'ai peur, mais moins que la fois passée. Je sens que ces femmes m'aiment, elles ne me sont pas hostiles, j'appréhende juste la douleur. Sinon, c'est le rêve, une femme géante en cuir noir qui va me punir!

Elle arrive à une estrade, identique à celle du premier village, et T'Asha cette fois ne s'assied pas, elle me prend à l'envers pour que Cor'Y et S'Arly me coincent entre elles, la tête en bas, les fesses tendues vers le haut. Alors, présenté ainsi à la foule, avec mes organes génitaux exposés, et je sens même mon anus ouvert tellement mes fesses sont écartées, dans la position la plus ouverte et humiliante qui soit. T'Asha me frappe ainsi, elle frappe mes fesses et parfois mes testicules et mon sexe. Je hurle sans arrêt, je pleure et supplie d'arrêter, mais tout cela ne fait que contenter la foule. Quand mes fesses sont à nouveau brûlantes de coup, certainement rouges, T'Asha arrête et me fait retourner, pour exposer mon sexe à la foule, les jambes écartées. Elles tirent tellement sur mes jambes que j'en pleure de douleur, cela me fait pratiquement plus mal que les coups.

— Il va falloir t'entrainer, esclave. Tu dois pouvoir écarter les jambes beaucoup plus que cela, tu commenceras ton entrainement ce soir. Il faut toujours bien exposer ton corps, pour que nous puissions avoir un accès total.

Cor'Y empoigne mes testicules et les serre très fort. Je hurle encore. Elle frappe mon sexe, très fort, elle rit, puis elle frappe encore et encore, aidée ensuite par Sarl'Y qui frappe l'autre côté, en cadence. C'est douloureux, mais cela augmente la dureté de mon sexe. Je pourrais presque éjaculer s'il n'y avait pas cet anneau.

Les coups sont terminés, mais je n'ai pas de répit.

— Le fouet, me souffle T'Asha, demande-moi de te fouetter.

— Fouettez-moi maitresse, je le mérite. Soyez très sévère.

Elle semble un peu étonnée mais sourit.

— Soit, qu'il soit fait comme tu le désires. Tu seras ensuite conduit dans la foule et tu te prosterneras devant chaque femme!

Toujours m'humilier encore plus.

Encore accroché aux poteaux, en extension, je commence à subir les coups de fouet de maitresse T'Asha. Cette fois, elle y va encore plus fort, mais c'est moins douloureux car je sais qu'après elles vont m'enduire de pommade apaisante qui va me soigner tout de suite. C'est plus facile pour supporter la douleur quand on sait qu'elle va se terminer. Les coups redoublent d'intensité. T'Asha frappe avec un plaisir évident, c'est plus fort et douloureux que la dernière fois. Et puis, ses quatre amies viennent également frapper partout. Je hurle sans arrêt, jusqu'à ce que je perde connaissance.