Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez ici
Une gifle me réveille.
— Debout esclave, tu oses ne pas apprécier le traitement de tes maitresses?
Elle me gifle encore et je vois des étoiles, je n'entends plus rien pendant un moment.
Je reprends conscience sur le sol. Je suis en laisse.
Cor'Y me soulève d'une main et me jette dans la foule qui me fait passer de bras en bras en riant. Ainsi lancé et passé nu dans la foule, porté par des bras géants, touché et tripoté sans arrêt, je tente de supporter la douleur des coups. Je saigne à certains endroits, c'est encore plus stressant que la dernière fois. On me jette, je vole dix mètres plus haut et je suis rattrapé, elles trouvent cela amusant et elles recommencent. J'ai peur, je pleure de peur et de douleur jusqu'à ce que probablement une demi-heure plus tard, elles arrêtent ce jeu pour me placer sur le sol. Alors, je dois embrasser tous les pieds, marcher entre elles sur mes quatre membres. Je ne vois qu'une immense forêt de belles jambes noires et musclées.
Dès que je faiblis, je reçois des coups. Le temps passe, des heures et des heures, jusqu'à ce qu'on me soulève, je me retrouve dans les bras d'une des femmes, le visage dans ses seins.
— C'est bon, jeune esclave, tu nous plais. Notre déesse a bien choisi. J'espère que tu reviendras, nous aimons jouer avec un mâle, c'est parfois plus agréable que de le torturer.
Les femmes rient. T'Asha vient me récupérer.
— Allons te soigner, propose-t-elle en me serrant dans ses bras.
Elle m'embrasse tout en tenant mon sexe en main.
Elle me mène vers une hutte.
— Tu as bien tenu, je suis très fière de toi. Je vais te soigner.
Elle entre et me donne à S'Arlah qui m'embrasse un moment en me cajolant comme un petit enfant, le temps que T'Asha retire sa combinaison de cuir noir et me porte contre elle, la tête dans sa grosse poitrine.
Je sanglote de joie de savoir mon calvaire terminé. Elle m'embrasse, me caresse alors que les autres apportent l'onguent. Je me retrouve bientôt sur une couche entre deux femmes nues qui me caressent et me massent, puis m'embrassent et me masturbent de la meilleure manière qui soit. Elles continuent sans arrêt, même quand je supplie d'arrêter. Tout doit toujours être fait à fond. Une bonne douzaine de fois plus tard, je me sens encore défaillir, je tombe dans les pommes.
- COMMENTAIRES
