Vengeance d'un homme humilié

BÊTA PUBLIQUE

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Je ne reconnais plus ma femme, une telle grossièreté, une telle bestialité! Qu'est-ce qui lui est arrivé?

Après un dernier coup de rein, le chef de Clara s'abat sur son dos trempé de sueur, ils restent ainsi quelques minutes à récupérer. Quand il se redresse, sa bite, qui a commencé à débander, est expulsée du cul de Clara avec un bruit de ventouse sonore et indécent. Un filet de sperme s'égoutte lentement de l'anus de Clara.

— Ah, mon salaud, tu m'as bien fourré, dépucelé...devant mon mari! Viens, on va aller déboucher du champagne pour fêter mon dépucelage. Tu trinqueras bien avec nous mon chéri?

Ma garce de femme ne m'épargne décidément rien. J'ai envie de me jeter sur eux, mais je ne peux rien faire. Mes yeux lancent des éclairs de colère et de haine. Je vois Clara revenir avec une bouteille et deux coupes.

— Tu as l'air trop excité mon chéri, ça te ferait mal. On trinquera tout les deux quand tu seras calmé.

Plus tard, son chef parti, Clara s'approche de moi :

— Tu as vu comme il m'a bien enculé, il sait y faire non? Ne fais pas cette tête là, je n'ai plus envie avec toi mais ça ne veut pas dire que je n'ai plus envie de sexe. Pourquoi tu ne m'as jamais proposé de me la mettre dans le cul? Parce qu'au début de notre mariage ça me dégoutait? Mais j'ai changé et toi tu ne me baise qu'en petites cuillères, j'en ai marre! Tu n'as aucune fantaisie. Mais tu as du prendre ton pied à nous voir. Je vais desserrer tes liens si tu me promets de ne pas être violent, de ne pas crier, sinon je te laisse comme ça et je me tire à l'hôtel.

J'acquiesce de la tête et Clara me détache. J'arrache mon bâillon et je lui crie :

— Salope, maudite salope, tu ne perds rien pour attendre.

Ivre de colère, je m'apprête à la gifler. Elle m'arrête d'un geste :

— Ta promesse Patrick, tu m'as donné ta promesse.

— Mais pourquoi m'humilier ainsi, pourquoi accorder à d'autre ce que tu me refuses?

— Je n'ai pas vraiment d'explication, c'est comme ça. Le désir c'est compliqué...et puis je viens de te le dire : tu n'as plus aucune fantaisie.

— Mais c'est de ta faute, c'est toi qui as toujours tout refusé sous prétexte que c'était dégoûtant! N'inverse pas les rôles.

J'ai vraiment envie d'insulter Clara et de la frapper. Ma colère me fait peur mais j'arrive à me dominer. Je suis un cérébral, pas un sanguin. Malgré tout, craignant de péter les plombs je me retire dans ma chambre. Je fulmine, je rumine : vengeance, je ne pense plus qu'à ça. Je vais préparer quelque chose dont Clara se souviendra. Mais il faut que je me calme, que je retrouve la maîtrise de mes pensées, la colère est mauvaise conseillère. Après tout, j'ai tout mon temps. Il faudra que je m'occupe de son petit fumier de chef également...

Le lendemain matin je me lève très tôt pour éviter Clara. Je décide d'avancer une mission pour laquelle je ne devais partir que la semaine prochaine. Avant de partir, je téléphone à mon meilleur ami Paul qui habite justement la ville où je me rend. Paul est divorcé, nous avons le même âge. Par chance, il peut m'héberger. Il semble vraiment enchanté de m'accueillir chez lui. Cela fait un bout de temps que nous ne nous sommes pas vu.

Mon train ne part qu'en milieu d'après midi. Comme j'ai du temps devant moi, je passe au bureau et récupère un équipement de surveillance vidéo ultra discret. Clara est au travail, la voie est donc libre. Je retourne chez nous et installe le micro objectif dans la chambre à coucher ce Clara. J'arrive à dissimuler le dispositif d'enregistrement sur le haut d'une armoire. Si Clara et son chef viennent à nouveau baiser là, le niveau sonore des cris et des gémissements déclenchera l'enregistrement vidéo. La caméra est de la taille d'une mine de crayon, indiscernable dans la moulure de l'armoire où je l'ai fixé. Malgré tout, à la distance du lit où elle se trouve, les images auront une excellente résolution et cela me permettra d'en tirer d'excellents clichés...

J'arrive le soir très tard dans la ville où je dois passer quelques jours à renforcer la sécurité informatique d'une succursale bancaire. Mon ami Paul m'attend sur le quai de la gare.

— Salut mon vieux Patrick, me lance-t-il très cordial, ça fait un sacré bail! Tu n'as pas l'air en forme, des problèmes?

— Oui, c'est assez délicat à expliquer. Je te raconterai tout ça lorsque nous serons chez toi.

Paul habite un grand appartement au centre ville. Nous nous retrouvons rapidement chez lui devant un verre. L'alcool m'aide à déballer mon histoire.

— Oh! La salope! s'exclame Paul, je ne l'aurait jamais cru aussi garce. Elle ne m'a jamais fait l'effet d'une excitée de la chatte, c'est incroyable ce que tu me racontes là. Oups, excuses moi de parler de ta femme comme ça, ça m'a échappé.

— Pas de problème Paul, c'est vraiment une salope. Je vais me venger. Il faut que je me venge. Je ne peux pas accepter une telle humiliation sans réagir, question d'amour propre et aussi d'équilibre mental.

— Je te reçois cinq sur cinq Patrick. Mais que comptes-tu faire? Tu aurais du casser la gueule à son chef.

— Si je n'avais pas été attaché, crois-moi, je lui aurais bien démoli la gueule à son chef de merde et Clara se serait peut-être pris une trempe aussi. Je ne sais pas vraiment ce que j'aurais fait, de toutes les manières je ne pouvais pas remuer le petit doigt sur ma chaise et puis ça ne m'aurait peut-être pas apporté la satisfaction d'une vengeance bien réfléchie, bien élaborée. On dit que c'est un plat qui se mange froid...

— T'as raison mon pote. La violence, les coups peuvent te conduire en prison. Tout peut déraper très vite, le mec ou Clara aurait pu tomber, mauvaise réception, choc à la tête, blessure grave... Imagine que ce soit encore pire, tu te retrouve en taule pour meurtre... Non, tu as raison, il faut réfléchir. Il y a sans doute de bien meilleures punitions qu'un coup de poing dans la tronche. Tu as un plan?

— Pas vraiment Paul. Pour l'instant ce n'est qu'une très vague esquisse...

— Raconte!

— Oh! Puisqu'il semble que désormais ma petite femme aime les coups de bite un peu rude...Eh! bien je lui montrerais bien que je peux acquérir certains talents dans ce domaine. J'aimerais bien la forcer, la ...le mot me répugne, mais je projette de violer Clara.

— Violer ta femme! Mais c'est pas un viol si c'est ta femme?

— Mais si mon vieux Paul. On n'est pas chez les Talibans, la loi française est très claire, un mari peut être accusé de viol sur sa femme.

— Comment comptes-tu t'y prendre? Il est certains qu'elle cherchera à se venger et qu'elle portera plainte contre toi.

— Encore faudrait-il qu'elle sache que c'est moi le violeur, encore faudrait-il qu'elle prouve qu'elle n'y a pas pris plaisir, qu'elle n'était pas consentante.

— Patrick, je ne te suis pas trop là. Elle porteras plainte, il ya aura enquête et tu te retrouveras en taule.

— Paul tu ne sais pas encore que j'ai une vidéo prise dans le bureau de son chef où il est évident que Clara aime les rapports un peu rudes, qu'elle aime bien les jeux de domination avec l'étalon qui la baise. De plus, j'ai installé une caméra dans notre chambre à coucher afin d'enregistrer leurs futures séances de baise et confirmer que Clara aime bien les rapports pas trop tendres. De plus, je porterai une cagoule avant de la menotter et de lui bander les yeux, elle n'aura guère de moyen de me reconnaître.

— Ton plan se défend Patrick. Si tu réussi à enregistrer la scène et si on la voit jouir, il n'y a plus aucun problème.

— On pourrait aussi agir par chantage. Un truc du style : si tu portes plainte, on diffuse la vidéo de ton viol sur internet, et on prévient tout le monde, ton mari, ta famille, tes amis, tes collègues de boulot, etc. Je pense qu'elle aimerait mieux que son humiliation ne soit pas trop rendue public. Je sais de quoi je parle question humiliation...

— Pas mal vu! Et tu y arrivera tout seul?

— Non Paul! Et j'ai un service plutôt délicat à te demander...

— Vas-y! Accouche! Qu'est-ce que tu veux que je fasse?

— Paul, comme tu l'as compris, j'aurai besoin d'un complice. Si elle se débat, il vaut mieux être deux pour la maîtriser. Et puis pour tout le reste aussi d'ailleurs, si j'ai un manque de motivation ou que sais-je, il vaut mieux être deux.

Je reste silencieux un moment. Paul reprend la parole et m'interpelle pour me faire sortir de ma rêverie :

— Eh! Patrick? J'attend toujours ta question...

— Paul, veux-tu être mon complice?

— J'avais peur que tu ne me le demande pas. Me voilà rassuré. Tu peux compter sur moi : un, parce que je suis ton meilleur ami et que tu t'es confié à moi, deux parce que j'ai toujours eu envie de me faire ta femme.

— Salaud, je ne te demande pas de participer activement au viol, seulement de m'assister.

Paul se ravise très vite :

— Oh! Excuse moi! Je parle un peu vite.

Je réfléchis à toute allure.

— Non Paul. C'est moi qui te présente mes plus plates excuses. Il n'est plus temps pour moi de jouer au mari fidèle, de me soumettre aux conventions sociales qui veulent que mon meilleur ami ne pourrait pas désirer ma femme. On va se la farcir tous les deux cette petite salope et par tous les trous et je suis sûr qu'elle va adorer. Excuse-moi encore. Es-tu d'accord pour être mon complice, pour te faire Clara?

— Top là mon vieux! Me lance Paul en me serrant la main. Il n'y a plus qu'à affiner nos plans. Tu sais, moi non plus je ne baise pas trop ces temps-ci. Depuis que ma femme a mis les voiles, c'est le régime plutôt sec. Tu m'excites avec tes histoires de forcer Clara par les trois trous. Je peux bien te l'avouer, aucune femme ne m'a jamais fait de pipe, même pas la mienne qui trouvais ça trop dégueulasse. Et je n'ai jamais sodomisé aucune femme, tu pense bien que la mienne n'a jamais accepté... De ce côté là, on est dans la même misère. Pourtant j'aurai bien léchouillé son clito toute la nuit si elle me l'avait demandé. Pourquoi est-ce que nos femmes étaient si coincées? Qu'est-ce qu'on a loupé?

— La tienne, je ne sais pas Paul. Mais la mienne a l'air de sacrément se dérider et sans moi! On va lui filer un petit coup de main et rattraper un peu le temps perdu...

— Encore une chose Paul, aucune violence physique pendant le viol, pas de gifle, aucun coup. On la forcera, pour sûr, mais en « douceur ».

— C'est bien comme ça que j'envisage les choses Patrick. On pourra peut-être lui faire boire deux ou trois verres histoire de la désinhiber, de la détendre.

— Pas bête ça. Quand je dis pas de coup, j'ai un taser, si elle fait des histoires, une petite décharge électrique sur son superbe cul...

— Rien que d'y penser je bande comme un âne, excuse-moi de te dire ça Patrick, mais il y a longtemps que je n'avais pas été aussi excité sexuellement.

— Moi aussi Paul. Trinquons à notre association! Oh! putain, je n'aurai jamais envisagé que je puisse participer un jour à une double pénétration et sur ma femme en plus...moi aussi j'ai une de ces trique!

Le temps passe vite pendant cette semaine. Nous nous préparerons. Paul achète du matériel : cagoules , menottes, liens divers, etc. dans une boutique spécialisée dans le sado-maso. Il possède un excellent caméscope et il s'y connait très bien en montage et en retouche vidéo. Il se charge, une fois les enregistrements de nos exploits effectués, de réaliser les DVD qui nous permettront de faire chanter Clara et de l'asservir.

Ma mission effectuée, j'envoie un mail à Clara pour lui dire que je ne rentre pas avant quelques jours. Elle se croira seule et nous pourrons opérer tranquillement.

Nous rentrons chez moi dans la voiture de Paul. Clara n'a pas vu Paul depuis très longtemps, elle ne connais pas sa voiture et ne se souvient plus vraiment de lui.

Nous arrivons chez moi en début d'après midi. Nous rentrons discrètement par l'arrière de la maison. Une petite venelle nous y amène hors de la vue de quiconque. Nous montons récupérer les enregistrements de la chambre de Clara afin de les examiner plus tard. Je fais repérer les lieux à Paul, il n'est jamais venu dans cette maison. Je me sens comme un cambrioleur dans ma propre maison. Nous déposons une partie de notre équipement au sous-sol dans un placard dont j'ai la clé. Cela nous permettra d'être moins chargé lorsque nous viendrons accomplir notre forfait.

Nous ressortons de la maison très discrètement et allons nous balader en attendant l'heure à laquelle Clara rentrera. J'ai placé un petit émetteur qui me retransmet le son de l'entrée de la maison afin d'être prévenu de son arrivé et aussi de savoir si elle est seule ou non.

J'allume le récepteur vers 18h00. Vers 18h35 je perçois des bruits de clé dans la serrure de la porte d'entrée et Clara qui chantonne. Elle semble seule. Je continue d'écouter quelques instants afin de m'assurer qu'elle est bien seule C'est le cas, nous nous mettons en route.

Nous repassons par la venelle de derrière, tout va bien, nous ne rencontrons personne. Je m'introduis dans ma maison avec mes clés, pas besoin de simuler une effraction, Clara ne portera pas plainte...

Mon récepteur m'indique que Clara doit être à l'étage. Nous enlevons nos chaussures dans le garage, récupérons notre sac d'équipements et enfilons nos cagoules. Puis nous montons à pas de loup vers la chambre de Clara. Clara est assise à son bureau et feuillète un magazine.

Nous faisons irruption dans sa chambre. Paul se saisit d'elle en premier et la jette sur le lit pendant que je lui menotte les pieds puis les mains. Revenue de sa surprise, Clara se met à crier mais Paul étouffe son crie d'une main pendant qu'il lui souffle dans l'oreille :

— Si tu cries, tu seras punie. Si tu promets de ne pas crier, j'enlève ma main.

Clara acquiesce en inclinant la tête.

Mais aussitôt que Paul retire la main, Clara se met à crier. Pendant que Paul lui remet la main devant la bouche, je lui donne une décharge de taser sur la cuisse.

— Voilà ce qui arrive aux vilaines filles, dit Paul, si tu continues à crier, les décharges suivantes seront plus longues et sur tes seins, à toi de voir ajoute-t-il en enlevant sa main.

La leçon a porté, Clara se tient tranquille.

— Mais qu'est-ce que vous voulez? Mon portefeuille est dans mon sac. C'est tout ce que vous pourrez trouver d'intéressant ici. Filez, mon mari ne va pas tarder à rentrer, il vient avec des copains ce soir.

— Eh bien, on va l'attendre bien gentiment, dit Paul. Mais d'abord on va te mettre un bandeau, ça nous permettra d'enlever nos cagoules.

Clara se laisse faire mieux que je ne l'aurais cru.

Eh Pat! Me lance Paul, va donc nous dégotter de quoi boire un coup, tout le monde meurt de soif, pas vrai ma chérie.

— Je vous interdis de m'appeler comme ça, hurle Clara.

Paul fait claquer une longue décharge de taser à vide près des oreilles de Clara afin qu'elle comprenne bien ce qui la guette si elle ne se montre pas docile.

Je reviens vite avec trois verres et une bouteille de whisky. Je sers une triple dose à Clara et met le verre à ses lèvres.

— Et glou et glou et glou lui chante Paul.

Clara a compris le message et boit presque cul sec. Je ressers un verre à Clara qui avale sa dose en manquant de s'étouffer.

Sur le lecteur de CD de la chambre, je met un disque que Paul a préparé pour mettre Clara en condition : des enregistrements d'orgasmes féminins, des gémissements de plaisir.

En attendant que l'alcool et les sons agissent sur Clara, nous descendons au salon pour visionner l'enregistrement de surveillance de la chambre de Clara.

— Putain, il est venu baiser Clara 5 fois ce salaud!

— Ecoute Patrick, me dit Paul, comme tu le disais, c'est Clara qui a l'air de mener la dance. Elle a pas l'air de trop s'embarrasser de préliminaires, elle veut de la bite bien rude, bien bestiale. Ca me file la trique tes vidéos.

— Tu vois Paul, c'est tout ce qu'il me fallait pour me redonner l'envie de passer à l'action...

— T'as sacrément raison, d'ailleurs qu'est-ce qu'on attend? Il ne faudrait pas faire attendre madame la salope. Aujourd'hui double plaisir, deux pines au lieu d'une, waouh!

Après que j'aie vérifié que la porte d'entrée de la maison était bien fermée, nous remontons dans la chambre de Clara. Nous la trouvons assez agitée et prise d'une légère ivresse.

Nous nous déshabillons et nous positionnons sur le lit de chaque côté d'elle.

— Alors ma jolie, dis Paul en lui pelotant les seins, on t'a manqué?

— Oooh! Qu'est-ce que vous allez me faire?

Pour toute réponse, nous prenons chacun une de ses mains que nous guidons vers nos pines bien érigées.

— Branle nous doucement, dis-je dans un souffle afin de dissimuler ma voix. Pas de blague hein, sinon tu sais ce qui t'attend!

Nous déshabillons Clara, nos mains admiratives flattent ses seins, palpent ses fesses, ses cuisses. Nos bouches la couvre de baisers.

— Arrêtez salauds, mais arrêtez hurle-t-elle en se démenant.

— On est venu prendre notre pied, compris ma belle dis Paul?! Insistes encore un peu et je vais te calmer dit-il en faisant grésiller l'arc électrique du taser à côté de son visage. Là, voilà, tout doux ma belle. Une belle salope comme toi va y trouver son compte. Tu vas même en redemander...

J'allonge un bras, remonte de la main l'intérieur de sa cuisse puis empaume sa fesse dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin. Mon pouce humide s'occupe de son clito que je sens raidir et que je branle doucement. Mes autres doigts écartés vont et viennent dans son sexe mûr à point et le laboure rudement. Elle crie lorsque j'ouvre ses cuisses et tâte sa moule.

Je la retourne et l'enfile sans ménagement.

J'effectue quelques va et vient bien à fond et je me retire. Je fais signe à Paul de prendre le relais. Lui aussi a bien l'intention d'en profiter et de ne pas jouir tout de suite. Lorsqu'il se retire, je me délecte du spectacle de son cul magnifique, j'écarte ses fesses bronzées pour dégager son anus ourlé de rose foncé. La sueur luit et perle le long de sa raie. J'ai devant les yeux son entrecuisse bien ouverte, sa vulve suintante et ses poils humides.

Relevant mon bassin, je me traine sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu'à mettre mon nez à portée de sa chatte baveuse dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui s'en échappe.

Elle essaie de rouler le bassin pour m'échapper, mais ma langue pénètre dans sa moule qui dégorge et je la suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé. J'ai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui s'en dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines.

Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses, et je fais rouler ses tétons tétanisés pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher l'espace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt que j'enfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un cri :

— Non! Pas ça, pas par là.

Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de l'enculer. Quelle salope, "pas par là", je vais te lui en foutre moi tiens!

Mon index ramonant toujours son fion, j'introduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. Préparant mon forfait, je cherche à tâtons le tube de lubrifiant gît à mes côtés, l'ouvre du pouce et en asperge une copieuse rasade sur mon zob enflammé. Agenouillé derrière Clara, j'avance le torse et le plaque contre son dos, une main remontée au niveau de son épaule pressée contre le lit. De ma main libre, j'empoigne mon pieu bien graissé, le guide fermement vers sa cible et force l'entrée de son cul qu'elle me refusait, en une poussée lente mais implacable.