Vengeance d'un homme humilié

Mon engin hypertrophié avance par à-coups, forçant ce passage trop étroit qu'il distend à l'extrême. Clara tente de se dégager de mon étreinte, mais je suis en position de force et maitrise ses mouvements convulsifs, qui redoublent mon excitation, surtout quand elle contracte violemment son fessier pour m'en éjecter. Le visage contre le lit, elle vocifère. Il y a longtemps que je rêvais de braver cet interdit. Je la pistonne en longs coups profonds, mon gros phallus confiné dans ce boyau soyeux, comprimé par tous les muscles en anneaux qui se resserrent à son passage. A chaque poussée, je sens mes couilles boursouflées qui viennent buter contre son vagin aux poils mouillés. Je suis en ébullition et je sens que je vais décharger lourd. Dans un ultime coup de boutoir, je lâche un feu d'artifice de foutre brûlant au fond de son anus violé, et me laisse retomber de tous mon poids sur elle, salaud repus de son cul délicieux.

Clara essaie de se dégager en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. J'ai vraiment pris un pied d'enfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas d'avoir transgressé cet interdit et de l'avoir violé, je suis vengé.

M'adressant des yeux à Paul, je lui fait signe de l'enculer à son tour. Je me positionne pour bien maintenir Clara en levrette pendant que Paul darde son braquemard sur son trou du cul.

Une fois bien en place, Paul s'enfonce d'un coup provoquant les hurlements de Clara. Il s'arrête bien au fond pendant quelques instants, le temps de jouir du spectacle puis il entreprend de pistonner puissamment le cul de Clara que j'ai du mal à maintenir en place.

Au bout de quelques instants, contre toute attente, Clara pousse des feulements qui n'ont plus rien à voir avec la douleur. Cette salope prend son pied!

Paul ne peut pas se retenir plus longtemps et joui à longs jets de foutre brûlant dans le cul de ma femme. Plus besoin de maintenir Clara...

— Alors comme ça tu aimes ça ma petite, lance Paul. La suite ne devrait pas te déplaire non plus.

Paul s'allonge sur le dos et nous faisons s'empaler Clara sur son pieu qui a déjà repris une belle vigueur. Paul attire Clara sur son torse, je me positionne derrière pour une double pénétration. Clara s'affole et tente de se dégager mais nous veillons au grain et nous la maintenons fermement. Je pénètre Clara puis nous nous enfonçons en elle tous les deux alternativement. Là aussi, nous lui arrachons des feulements de plaisir.

Nous avons baisé et rebaisé Clara sous toutes les coutures. Son anus et son vagin dégouline de nos semences.

Après avoir joui en elle une dernière fois, nous attachons les poignets et les chevilles de Clara avec du scotch de déménageur et nous sortons de la maison.

— J'ai une idée pour te venger de l'autre salaud me dit Paul. Téléphonons lui pour qu'il vienne libérer sa chérie.

Ainsi fut fait, puis revêtus de nos cagoules, nous sommes remontés nous cacher à proximité de ma chambre à coucher.

Le patron de Clara ne fut pas long à accourir. Nous avions laissé la porte d'entrée entrouverte et il se rua dans le piège. Il fut facile à maîtriser après que Paul lui eu fait gouter de sa matraque.

Nous ligotâmes ses poignets et ses chevilles, mais auparavant nous l'avions foutu à poil et habillé en soubrette.

Grâce au taser nous avons "convaincu" Clara et son patron de poser pour une séance photos sado-maso ou Clara était la dominatrice. Sur les clichés, le patron de Clara se faisait très clairement dominé et humilié.

Paul a enfilé à Clara son accessoire principal : le gode-ceinture.

— Et maintenant mes amis : le clou du spectacle annonça Paul en brandissant le taser. Clara, tu vas enculer cette petite fiote et je vais immortaliser la scène pour la postérité.

— Non, hurla le patron de Clara, non pitié, je vais vous payer une fortune.

Pour toute réponse, il se reçu une bonne décharge de taser sur le sexe. Voyant que nous n'hésiterions pas à nous montrer violent, Clara se plia à tous nos désirs, d'autant plus facilement que pour elle le plus mauvais était passé.

Pour finir, nous avons à nouveau attaché Clara et assommé son patron que nous avions habillé de nouveau. J'ai fouetté durement Clara sur les fesses et les cuisses, laissant de belles marques, et placé le fouet dans les mains de son patron. Nous nous sommes ensuite éclipsés.

Paul a ensuite téléphoné à la police en se faisant passer pour un voisin très inquiet d'entendre des hurlements de femme dans la maison voisine de la sienne.

Nous nous sommes planqués à proximité. Nous avons bien failli nous faire prendre lorsque nous avons éclater de rire en voyant les flics emmener le patron de Clara menottes aux poignets.

Je me suis débrouillé pour faire parvenir sur tous les ordinateurs de ma boite les photos du patron de Clara dominé et enculé par une femme. Paul a retouché les photos afin que l'on ne reconnaisse pas Clara. J'ai évidemment fait en sorte que l'on ne puisse pas remonter jusqu'à l'expéditeur de ces photos. Nous avons également envoyé ces photos à la presse locale en leur disant que l'homme en question était chez les flics après une séance qui avait mal tournée.

Le patron de Clara a été licencié aussi sec. Il s'est fait copieusement charrié lorsqu'il a du repasser chercher ses affaires et régler certaines questions administratives.

Je l'ai longuement toisé alors qu'il sortait de son bureau, il n'a pas demandé son reste, il a vraiment filé la queue basse. Il a même quitté la région après un article salé à son encontre paru dans le journal.

Quant à Clara, je l'ai reprise en main, seul cette fois. Elle semble apprécier que son homme lui montre sa virilité, son fougueux désir et la prenne par le con et par le cul, même, et surtout, si c'est contre sa volonté à elle.