Les Jumeaux Croisés 03

BÊTA PUBLIQUE

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Il sut cependant se montrer particulièrement doux et patient, s'enfonçant millimètre par millimètre jusqu'à ce que le gros gland ait franchi le sphincter. Jean était fasciné par la vue de sa verge qui prenait lentement possession des tréfonds de son épouse . Il ne put résister plus longtemps et s'enfonça encore un peu plus en elle, grognant de plaisir à la vue de ces fesses voluptueuses qui s'ouvraient à lui.

« J'adore ton cul Cécile, tu n'imagines pas à quel point c'est bon de t'enculer »

« Vas-y mon chéri, encule-moi répondit-elle dans un râle , prend ta femelle dans le cul, défonce-moi! Je vais me caresser et je vais jouir en sentant ton sperme m'inonder » .

Excité par le vocabulaire cru de son épouse, Jean se déchaîna et se mit à la pistonner sans ménagement malgré l'étroitesse du conduit. Cécile se caressait sans retenue. En dépit de la douleur causée par le mandrin qui la bourrait , elle sentait monter en elle une jouissance sauvage et laissait échapper des cris incohérents qui ne faisaient qu'exciter Jean davantage. Pourtant ce dernier essayait de retarder au maximum son éjaculation pour profiter le plus longtemps possible de la vue de sa verge tuméfiée qui sodomisait cette croupe somptueuse. Mais Cécile se tétanisa soudain en hurlant

« Jean! ca y est, je viens! je jouis avec ta bite dans mon cul! Aaaahhhhhh! » .

Son mâle , subjugué par la vue de cette femelle en rut total , ne put se retenir et salua cette explosion d'une salve au plus profond de son rectum et s'écroula sur son dos en râlant.

Sous le poids de son mari, Cécile était tombée à plat ventre et Jean l'avait suivi, la verge toujours fichée entre ses fesses. Ils restèrent ainsi de longues minutes jusqu'à ce que le membre ramolli de Jean ne soit éjecté de l'écrin anal de sa femme. Il roula sur le côté et l'embrassa amoureusement « c'était merveilleux chérie! » « Pour moi aussi mon amour »

Ils reprirent des forces puis allèrent se rafraîchir dans le lac avant de se rendre compte qu'ils avaient une faim de loup et de se ruer sur le panier pique-nique. Après avoir fait honneur aux charcuteries locales et à un petit rouge tout-à-fait honorable, la sieste leur tendit les bras et ils s'endormirent, apaisés.

Jean se réveilla une heure plus tard, un peu désorienté et ébloui par le chaud soleil de l'après-midi. Il se laissa bercer par le doux clapotis des eaux du lac et attendit que Cécile émerge à son tour des bras de Morphée. Après une dernière baignade, ils décidèrent de se rhabiller et de retourner vers la plage publique pour profiter de la douche jouxtant le cabanon des maîtres-nageurs et d'y prendre un verre. Vers 17h, la terrasse du cabanon se remplissant suite à l'arrivée des vacanciers du week-end, ils décidèrent de retourner vers Troyes .

Leur Espace était maintenant en plein soleil et Jean laissa tourner le moteur et la clim tandis qu'ils attendaient à l'ombre d'un arbre que la température de la cabine baisse. C'est Cécile qui repéra le couple dans la vieille Xsara garée à l'écart un peu plus loin. A vue de nez, ils devaient avoir une bonne cinquantaine mais semblaient avoir gardé toute l'ardeur de leurs 20 ans car ils s'étreignaient sans vergogne . l'homme semblait fort occupée à farfouiller vers le bas ventre de la femme déjà dépoitraillée. Bien qu'émoustillés, Cécile et Jean firent retraite vers leur propre véhicule pour ne pas les déranger.

L'Espace était encore surchauffée et malgré leur tenue légère, ils transpiraient abondamment . Pendant que Jean manoeuvrait pour sortir du parking, Cécile orienta la ventilation vers le bas , releva sa jupe de plage et écarta les jambes pour laisser le jet d'air froid rafraîchir son intimité moite. Sur ces entrefaites, Jean avait atteint la départementale et jeta un coup d'œil à sa femme dans sa posture très impudique et lui dit

« Ma chérie, cela me rappelle que j'ai un petit cadeau pour toi dans la boîte à gants ».

Intriguée, Cécile ouvrit le compartiment et le sachet contenant les boules de geisha tomba à ses pieds.

« Jean! Quelle bonne idée, j'ai toujours voulu essayer ces petites choses!»

Ouvrant l'emballage sans attendre, elle nettoya les boules avec un tissu hygiénique et, posant un pied sur le tableau de bord, elle se contorsionna pour les introduire sous son slip puis dans son vagin et les faire pénétrer à une profondeur confortable. Puis elle se rassit convenablement et déclencha le petit moteur électrique du vibreur.

« Ouh » s'exclama t'elle, « c'est efficace cet engin! ».

Avant même qu'ils n'arrivent à la nationale, ses joues s'étaient empourprées et sa respiration était devenue plus laborieuse. Elle s'enfonça dans le siège moelleux du véhicule et dit d'une voix rauque

« C'est diabolique! Jean mon amour, je vais jouir! Uuuhhh . C'est trop fort Aaarggh » .

Jean fit un effort désespéré pour garder son attention fixée sur la route tandis que sa femme se laissait aller à un orgasme salutaire. Sa verge était monumentalement érigée et l'élançait presque douloureusement. Toujours concentré sur la conduite, il parvint à se calmer peu à peu pendant que Cécile coupait le contact de son amant électronique et retrouvait une certaine contenance . Ils devisèrent gaiement de choses et d'autres jusqu'à ce qu'à quelques centaines de mètres de l'hôtel, alors que Cécile semblait s'intéresser au menu du soir, il n'entende, par-dessus le bruit du moteur, le ronronnement du vibreur des boules

« Mais tu recommences » s'écria-t'il

« Oui mon chéri » répondit-elle « je veux être ouverte et ruisselante pour toi en arrivant dans la chambre ».

Abandonnant les restes du pique-nique dans la voiture, ils se hâtèrent vers la chambre sous les yeux du jeune réceptionniste interloqué qui se demandait quel malaise étrange avait frappé la dame prise de spasmes qui devait être soutenue par son mari jusqu'à l'ascenseur. Une fois la porte refermé, Cécile se laissa tomber à genoux et fit glisser le short de son mari jusqu'à ce que le gland violacé apparaisse. Les bras noués autour de ses hanches, le suça le gros bout pendant quelques secondes avant que la porte de l'ascenseur ne s'ouvre. En toute hâte, Jean la fit se relever et se rajusta tant bien que mal puis il la porta jusqu'à la chambre, se débrouilla pour déverrouiller la serrure électronique et la jeta sans ménagement sur le grand lit. Il arracha son short et son caleçon et lui présenta son membre pour qu'elle le délivre enfin de l'infernale pression qui l'habitait mais Cécile , les yeux un peu fous, lui sauta dessus et le fit choir sur le dos et l'enfourcha, les mains et la bouche rivées à son sexe tandis que son bassin venait se plaquer sur le visage de son mari.

Jean se retrouva en train de humer l'enivrante odeur de femelle qui s'échappait du bas- ventre de sa femme au travers du slip trempé qui était collé sur ses narines. Le vrombissement des boules de geisha lui emplissait les oreilles. Eperdu , il donna plusieurs coups de reins pour s'enfoncer le plus loin possible dans la bouche de sa femme puis, tandis que celle-ci lui enserrait la tête entre les cuisses en tremblant comme une feuille. Jean se cabra et se vida longuement en elle. Dans un dernier sursaut, Cécile coupa le contact de son jouet et s'écroula sur son mari. Jean, toujours perdu dans les effluves odorantes de l'intimité de Cécile, se dégagea lentement et lui enleva sa culotte qu'il renifla encore une fois délectation .

« Voici un beau souvenir » lui dit-il et il se leva pour aller la glisser dans la poche du sac-à-dos qui ne le quittait jamais et revint se coucher près d'elle. Cécile qui s'était redressée pour ôter les boules de geisha de son intimité, retomba sur le grand lit, complètement épuisée par les émotions. Ils se pelotonnèrent l'un contre l'autre et se câlinèrent mais cette fois sans aucune connotation sexuelle ; leurs corps épuisés n'acceptaient plus qu'une tendresse toute platonique...

Chapitre 4 : L'Envie

Le repas avais mis Loïc au supplice : Léa, toujours uniquement vêtue du slip trop moulant de leur mère, s'était démenée pour les servir en bonne maîtresse de maison mais ce faisant, elle avait surtout exhibé sa fière poitrine à ses deux convives qui en avaient presque perdu l'appétit, trop fascinés par le spectacle hautement érotique qu'elle leur offrait.

Si Lucie, assouvie par les jouissances apéritives, parvenait encore à se contenir, Loïc, bandait comme un taureau furieux, enflammé par l'endurance et la vigueur sexuelles si caractéristiques de fin de l'adolescence. Il avait une folle envie d'aller se branler dans sa chambre pour se soulager mais il n'osait pas bouger, ne sachant comment justifier sa soudaine disparition. Le plus simple aurait été de demander aux filles de se s'occuper de lui mais elle étaient trop occupées à papoter pour s'apercevoir de impérieux besoin de jouir.

« Loïc, ...LOIC! » l'appela Léa

« Uh oui? »

« Tu n'écoutes pas! Lucie doit rentrer chez elle mais elle propose de revenir ce soir et de passer la nuit et la journée de demain avec nous . Tu es d'accord? Oui tu es d'accord! Je me demande pourquoi je te pose la question! »

« Et j'apporterai mes jouets » ajouta Lucie les yeux brillants. « Tâchez de vous reposer cette après-midi mes chéris, vous allez avoir besoin de toutes vos forces ce soir! Mais maintenant il faut que je me sauve!»

Lucie embrassa Léa sur les lèvres tout en lui pelotant vigoureusement les seins puis vint s'asseoir à califourchon sur Loïc et l'embrassa lui-aussi tout en agitant sa croupe sur son pauvre pénis prêt à éclater. Le jeune homme sentait d'ailleurs venir la délivrance tant attendue lorsqu'elle se releva avec un petit rire narquois et lui dit : « Grande leçon pour aujourd'hui, mon bel étalon : savoir se retenir » Et sur ces mots, elle s'enfuit vers la chambre récupérer ses vêtements tandis que Loïc gémissait de frustration. Il fit un effort démesuré sur lui-même, les mains crispées sur la table pour contenir son éjaculation, le front couvert de transpiration. Lorsque Lucie redescendit et se dirigea en boulet de canon vers la sortie, il resta assis à la table, incapable de bouger. Lucie tendit le maillot de foot à Léa en lui disant « Tiens, couvre ces trésors sinon Loïc n'aura plus rien en réserve pour nous ce soir » Et comme Léa s'exécutait, elle se retourna dans l'embrasure de la porte et siffla

« Pas sur que cela l'aide beaucoup! »

Et dans un dernier geste de défi, elle remonta un instant sa jupe pour montrer à Léa qu'elle ne portait pas de culotte et s'enfuit vers sa voiture.

Riant de bon cœur, Léa referma la porte et retourna vers son frère. Elle lui caressa les cheveux et lui dit

« Mon pauvre gros loup, tu as l'air sonné . Va dans ta chambre et essaye de faire une sieste, tu en as bien besoin»

Dubitatif, Loïc obéit, persuadé que jamais il ne parviendrait à fermer l'œil mais une fois sur son lit, son excitation retomba comme un soufflé et il se rendit compte que ses multiples éjaculations l'avaient plus atteint qu'il ne le pensait. Il s'endormit comme une souche . Léa fit rapidement la vaisselle puis s'installa dans le divan , songeant aux événements survenus depuis 24h . Son frère était devenu son amant -- ou presque - , sa gyneco aussi ; il n'y avait qu'une seule ombre au tableau : elle était toujours vierge mais c'était une question de quelques jours avant qu'elle ne puisse se livrer aux désirs surexcités de son beau mâle perpétuellement en rut. Penser à Lolo et à son énorme queue déclencha la montée d'une douce chaleur dans son sexe. Elle se frotta les seins avec le maillot de foot imprégné de l'odeur de son frère et du parfum de Lucie. La chaleur de son bas-ventre allait croissante mais elle se ressaisit : « Non, pas question, il faut que je me réserve pour ce soir! » . Elle mit en route la TV ; regarda d'un œil vague et d'une oreille très distraite un talk-show .. et s'endormit en quelques minutes.

En rentrant chez elle, Lucie se rendit compte qu'elle avait fait une erreur en ne remettant pas son slip. Elle sentait en effet du liquide s'échapper de son sexe et couler sur le siège. « je pensais que Léa m'avait bien asséchée » se dit-elle « mais c'est vrai que notre Lolo m'a inondée à plusieurs reprises. Cela m'apprendra à vouloir jouer à la garce. Encore heureux que j'avais remonté ma jupe sinon j'aurais eu une belle aréole à un endroit gênant ». En arrivant devant sa maison, elle aperçu une silhouette un peu rondelette devant la porte et reconnu son amie Françoise qui semblait l'attendre .

« Flûte » se dit-elle, « j'adore Soise mais elle a mal choisi son jour pour une visite surprise ». Elle se gara, descendit de voiture, embrassa Françoise et la fit entrer. Cette dernière la dévisagea d'un air suspicieux puis l'attrapant par les hanches, la toisa et dit

« Moi je connais une vilaine fille qui s'est fait tringler en beauté! Tu as ton air de femelle heureuse d'avoir été bien baisée . Tu vas devoir tout me raconter!»

Lucie n'avait pas grand-chose à cacher à son amie. Elles avaient le même âge et avaient déjà partagé des amants et même couché ensemble à plusieurs reprises lors de leurs périodes de solitude. Lorsqu'elle décrit le splendide jeune couple qu'elle avait entrepris de dévergonder, Françoise bavait littéralement de jalousie

« Un super-mâle et une amazone! Quand est-ce que tu me les présentes? »

« Attends un peu » répondit Lucie, » les malheureux n'ont pas encore pu consommer et tu veux déjà sauter dans la soupe? »

« Tu l'as bien fait toi! » lui reprocha Françoise .

« Moi, je suis l'initiatrice ; c'est presque dans mes attributions médicales »

« Médicales?! La seule chose qui t'intéressait, c'était de te faire sauter » la moqua Françoise le rose aux joues. D'ailleurs, je veux voir le résultat »

et elle souleva la jupe pour découvrir la motte aux lèvres bombées

« Même pas de culotte, petite salope »

et , plongeant deux doigts dans l'antre du délit, Françoise ajouta

« Et toujours mouillée, dévergondée! ».

« Arrête Soise, je les revois ce soir, j'ai besoin de prendre une douche et de récupérer un peu »

« Parce que tu vas remettre le couvert! Je veux te veux à ma botte demain soir pour tout me raconter et tu as intérêt à avoir la langue bien pendue -- dans tous les sens du terme! »

Lucie se dégagea de l'étreinte de Soise et la poussa sur le canapé

« Pour cela, j'ai encore assez d'énergie » .

Elle s'agenouilla à ses pieds et s'ingénia à ôter son slip. Aussitôt que la voie fut libre, elle écarta les jambes de son amie et se mit à la lécher avec application . Dès qu'elle fut bien lubrifiée, Lucie introduisit en elle trois puis cinq doigts avant de refermer le poing et de lui dire, la voix un peu étouffée

« Tiens , c'est Loïc qui te prend » .

Elle la martela de son poing et se son poignet raidis jusqu'à ce que dans un spasme brutal, Françoise ne referme brutalement ses cuisses tout en hurlant son plaisir! Son vagin contracté retenait Lucie prisonnière et sans ouvrir les yeux, Françoise lui dit

« Promets-moi que tu me le présenteras, promets! » .

Lucie lui embrassa les cuisses et répondit « je te promet d'essayer mais c'est sans garantie . une fois qu'il aura baisé sa jeune pouliche, je ne sais pas s'il voudra encore de vieilles catins comme nous! »

« La jeune pouliche m'intéresse aussi »

« Ma chérie, un porte-manteau avec un soutien-gorge te ferait mouiller! »

« Salope »

« Traînée »

Françoise la quitta en souriant. Au moment où elle allait sortir, Lucie lui demanda

« Mais au fonds, tu ne m'as pas dit ce qui t'amenait? »

« J'avais un besoin pressant » lui répondit son amie, « ca va beaucoup mieux maintenant ».

Léa nourrit ses chats puis prit une douche revigorante. Elle en profita pour passer un gel apaisant dans son intimité encore un peu sensible (« pas étonnant après avoir été chevauchée par une bite d'âne ») . Elle prépara son baise-en-ville sans oublier d'y ajouter une partie de son étonnante collection de sex toys , sélectionnant godes et plugs en fonction de ce que son imagination débordante lui laissait entrevoir de ses futurs ébats avec ses jeunes amants. Satisfaite, elle se coucha sur son lit pour une petite sieste

. Elle allait avoir besoin de toutes ses forces ce soir!

Elle se réveilla peu avant 18h et s'étira langoureusement « Encore cinq minutes et je me lance » se dit-elle. Les cinq minutes passèrent en un clin d'œil et elle se dirigea vers la salle de bain pour se rafraîchir le visage . « Pas de maquillage ce soir » annonça-t'elle à son miroir « pas question que cela coule dans tous les sens ». Elle décida de faire un effort particulier côté vestimentaire et farfouilla dans sa garde-robe pour retrouver des bas et porte-jarretelles blancs ainsi qu'un corset souple de même couleur qui ne couvrait pas ses seins tout en descendant jusqu'à ses reins. Elle s'admira dans le grand miroir de la commode et se dit « Si le petit loup ne me saute pas dessus, c'est qu'il est mort de chez mort ». Pour être certaine de son effet, elle décida de ne pas s'habiller plus avant mais dissimula ses trésors sous un imperméable long assez incongru en cette belle soirée d'été. Puis , empoignant son baise-en-ville, elle dit au revoir aux chats et se dirigea vers sa voiture.

Léa avait également décidé de faire un effort particulier pour sa présentation. Elle avait retrouvé un short en jeans de ses 16 ans évidemment très moulant et avait noué un chemisier sous ses seins. Ni slip ni soutien. « Cela n'en vaudra pas la peine » se dit-elle avec un frisson de plaisir anticipé.

Elle était encore en train de jauger l'effet de sa tenue lorsqu'elle entendit un moteur dans l'allée du garage.

« Loïc, Lucie est là, tu peux aller ouvrir? »

Loïc qui s'était contenté de remettre son bermuda, se précipita vers la porte et accueillit Lucie. Il regarda la jeune femme d'un air interloqué par l'imperméable qui la recouvrait de la tête aux pieds. Lucie sourit devant son étonnement et l'embrassa avec ferveur tout en palpant ses parties génitales .

« Et bien Lolo, tu m'as l'air fatigué, je m'attendais à un accueil plus raide »

Loïc rougit mais avant qu'il ait eu le temps de répondre, la tornade Léa avait dévalé l'escalier et avait enlacé Lucie, la soulevant du sol comme elle semblait en avoir pris l'habitude. La vue des deux femmes s'embrassant voluptueusement réveilla tous les sens de Loïc . il les enlaça à son tour et elles lui roulèrent un patin à tour de rôle.

« Vous voulez boire quelque chose ou direction la chambre tout de suite?» demanda Léa.

« la chambre » répondit Lucie, vous devez déballer vos cadeaux!»

Une fois dans la pièce, Lucie prit la direction des opérations : elle fit asseoir le frère et la sœur sur le lit tandis qu'elle se campait devant eux . Elle déboutonna son imper et le laissa glisser au sol. Loïc déglutit bruyamment tandis que Léa poussait une exclamation de ravissement

« Lucie, c'est sensass! »

Ladite Lucie virevolta sur elle-même pour faire admirer son fessier mis en évidence entre les bas et le bustier avant de refaire face aux deux jeunes gens. Léa en avait profité pour extraire la verge de Loïc du bermuda et la masturbait vigoureusement.

« Tout doux ma biche » s'exclama Lucie, « j'ai des projets pour cet obélisque!»

Elle se rapprocha du lit et laissa les tourtereaux se repaître l'un après l'autre de ses seins aux mamelons érigés par le frottement de l'imper avant de pousser Loïc à plat sur le lit. Si ce dernier espérait un coït rapide pour apaiser ses sens, il dut être déçu car Lucie commença à farfouiller dans son sac à malices d'où elle sortit deux paires de menottes dont elle se servit pour attacher chacun de ses poignets aux montants du lit. Loïc compris immédiatement qu'il serait à sa merci et ne pourrait compter que sur le bon vouloir d'une de ses amantes pour venir à bout de son érection.

Il n'était pas au bout de sa déconvenue . Lucie exhibait maintenant trois objets en forme de double cône et un tube de gel. Elle leur expliqua :